@philèjône en effet! comment ai-je pu oublier?! Donc au bas de la photo, je vous présente ma cheville, elle-même rattachée à ma jambe gauche. Cheville qui a subi divers traumatismes (entorses) mais qui me tient toujours debout (respect pour sa force)
Meilleurs messages postés par Zazoute
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RE: Que représente votre avatar ?
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RE: Quand j'étais enfant, je croyais...
Quand j'étais petite je croyais que "l'huile de coude" était un produit ménager
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RE: Le grand bain
@artemis avec plaisir
Elle entre dans sa chambre en traînant des pieds, les cheveux tout ébouriffés, le visage noirci de poussière. Elle se regarde dans le miroir avec un air amusé. Violette, sa nourrice surgit derrière elle en la hâtant d'aller se laver. "Vous devez être présentable jeune fille!" @Artemis alla à la salle d'eau en soupirant, elle n'avait vraiment pas envie de s'ennuyer à ces fichus diners mondains. On ne peut pas sauter et courir avec une crinoline accrochée à soi et toute ces couches de tissus tellement lourdes à porter! Certes, les robes que sa mère la comtesse, lui choissisait étaient magnifiques, mais à 10 ans, on préfère jouer et se rouler par terre qu'être endimanché et coincée dans un corset!
Je défie @biquette avec radieux et colle
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RE: Partages divers Humour
J'ai retrouvé ça, elle est tellement mignonne cette petite. Un peu de douceur dans ce monde de brutes
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RE: Le Bonheur du jour !
Journée du compliment au boulot, je reçois ça, je ne sais pas de qui ça vient mais ça fait toujours plaisir !
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RE: Décris-moi un mouton
Adossé au mur de l'entrée, il tira sur sa cigarette comme si c'était la dernière de sa vie. Il avait le regard plongé dans le vide, il n'entendait ni ne voyait rien autour de lui. Il ne vit pas l'homme pressé qui en voulant s'engouffrer en vitesse dans son taxi, manqua de près de renverser une pauvre petite grand-mère qui luttait déjà péniblement contre la gravité, afin de descendre de l'ambulance sans tomber.
Il ne vit pas non plus le couple qui s'embrassait langoureusement sur le banc d'en face ou encore la jeune trentenaire en tailleur qui pestait contre le cycliste qui l'avait éclaboussée en roulant dans une flaque d'eau.
Non il ne les voyait pas. Se retrouver là l'avait replongé dans un souvenir qu'il avait tenté de garder enfoui dans les méandres de l'oubli. Quatre ans déjà. Pécisément, quatre ans, deux mois et douze jours. Mille cinq cent trente-quatre jours. Il revivait chaque seconde de cette horrible journée, à coups sûrs la pire de sa vie, encore aujourd'hui ce souvenir lui était douloureux.
C'était un jeudi d'automne, il s'était levé heureux, inexorablement amoureux. C'était un de ces matins où l'on se dit que le monde nous appartient, où l'on est prêt à ouvrir le champ des possibles, quel idiot... s'il avait su ce qui arriverait ce jour là, il n'aurait pas posé un orteil en dehors de son lit. Il n'avait décelé aucun signe avant coureur, il la pensait heureuse. Il ne l'avait pas vu glisser tout doucement, loin, très loin de lui.
Il l'avait aimée dès qu'il avait entendu son rire, éclatant, raisonnant dans la pièce comme une magnifique mélodie. Il l'avait encore plus aimée en la découvrant au fur et à mesure de leurs conversations. Il avait adoré découvrir son univers un peu loufoque et décalé. Sa mère l'avait pourtant prévenu, les artistes sont exigeants et se lassent vite et les psychologues sont farfelus et ont l'esprit trop critique... Sacrée maman, elle pourrait pas se tromper parfois ?!
Ce jeudi 10 octobre, il vit son univers s'écrouler. Univers qu'il avait bâtit autour d'elle, un univers qui perdait tout sons sens sans elle. C'est quand ils montèrent dans la voiture qu'elle lui annonça qu'elle le quittait et qu'elle avait déjà pris ses dispositions. Les quinze kilomètres qui les séparaient de l'hôpital où elle travaillait lui parurent interminables. C'est dans le couloir qui séparait les urgences du reste de l'hôpital qu'il la vit sortir de sa vie et rendre le champ des possibles en un vaste désert ardent et hostile.
Ce même couloir où il venait de se retrouver quatre ans après. Ce même couloir coloré ponctuellement par les gyrophares des ambulances garées à l'entrée. Ce même couloir où il sentit son âme et son corps tout entier glisser inexorablement vers les abîmes de son enfer.
Il jeta sa cigarette, respira profondément et chercha des yeux un moyen d'éviter de passer dans ce maudit couloir qui pour lui s'apparentait désormais plus à une sorte de champ de mine.
A trop attendre il rata l'heure de son rendez-vous, tout ça pour ça.. Il rentra chez lui en coupant à travers bois et se dit qu'il vaudrait mieux trouver un nouvel hôpital.. -
RE: Les trucs irl qui nous font penser à PopcornFr
Hier, je regardais tranquillement une série, quand tout à coup :
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RE: Décris-moi un mouton
Bonsoir les plumes! Je me régale toujours autant de vous lire, que vous êtes doués! Je profite d'un peu de temps libre...
Quelle est loin l'époque où elle serrait les doigts de sa mère dans ses petites menottes. Fini les petites culottes à fleurs et la robe coincée dans les collants filés. Aujourd'hui, elle n'achète plus de bonbons mais de la jolie lingerie en dentelle. Douce comme une plume, chacun de ses gestes est inconsciemment empli de sensualité. Être inconsciente de sa beauté la rend d'autant plus ravissante. La petite chenille toute mignonne n'est plus car sorti de sa chrysalide, le somptueux papillon a pris son envol.
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RE: Le Bonheur du jour !
@easy-k C'est vrai, mais ça peut détruire certaines ouïes.. Plaisir non partagé avec mon entourage Et en vrai, je ne parviens pas à poser ma voix et jouer en même temps
Bonheur du jour : Dans TROIS jours je suis en Vacances (...j'oublie tout, plus rien à faire du tout.. )
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RE: Le grand bain
@kachina avec plaisir ! Ça fait longtemps !
Installée sur un transat, elle profite du beau temps. Le soleil chauffe sa peau, elle adore cette sensation. Elle se dit qu'elle a bien fait de mettre son chapeau. Plongée dans sa lecture, elle balance ses pieds au rythme de la musique. Que c'est bon les dimanches au soleil !
Au bout de quelques chapitres elle finit par se lever et décida d'aller se promener au bord de l'eau. Elle adore admirer les somptueuses couleurs que lui offre la nature. Elle est toujours fascinée et émerveillée par la beauté des paysages alentours.
Elle rentrera avant le coucher du soleil, pour l'heure, elle se balade au hasard des chemins, sans destination particulière, profitant de la légère brise qui lui fait danser les cheveux à chacun de ses passages.
Chaque jour est une aventure, elle se demande ce qui l'attend au bout de ce chemin, dont elle ne voit pas encore l'issue.
Peut-être fera-t-elle une rencontre interessante..Je défie @Biquette, si elle veut bien, avec douceur et enfantin
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RE: Le grand bain
Chaque seconde qu'il lui reserve est à ses yeux un privilège.
Passer deux heures sans lui est une épreuve, quand enfin elle le retrouve, le temps défile différemment, comme si Cronos prenait un malin plaisir à écourter leurs si délicieux instants. C'est en ressentant un manque de plus en plus pesant, qu'elle comprit l'importance de leur lien si particulier et combien ces échanges étaient bénéfiques et addictifs.
Sans le voir, sans le chercher, chacun a fait sa place dans le coeur de l'autre.
Plus le temps passe, plus elle le découvre et plus l'évidence est grande....S'il le veut bien, @Cygoris peut reprendre la main avec : carnet et jazz
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RE: Le Bonheur du jour !
Mon bonheur du jour : il est 18h29 et je suis enfin en week-end ! Après un vendredi tumultueux, je vais continuer de m'abîmer le bout des doigts sur ma jolie guitare