@heidi je t'admire de parvenir à choisir, mais tu es capitaine, et puis voila
Bravo les plumes vous nous régalez
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@delnis : les double like ayant un caractère plutôt officieux et n'ayant eu que 7 likes officiels,
alors que toi 8 : je te laisse la place, à toi de donner un mot. " Et puis voilà " . -
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@ayamé tu dois obeir à ton capitaine pirate jusqu'aux ongles
Vas-y très chère| dernière édition par Delnis Réputation: 11547 | Messages: 10621 -
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@delnis : t'es pas sympa sur ce coup-là, moi qui pensais me défiler à bon compte .
Pas de fuite possible, alors je propose prison . Voilà . -
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selon le souhait de @music qui m'a demandé de proposer le 4ème mot , rebelle. m'est venu à l'esprit.
On est tout bon à présent
Pensée - s'évader - prison - rebelle
à très vite !
| dernière édition par Kachina Réputation: 23367 | Messages: 16270 -
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" Une grande pensée habitait l'âme de ce prisonnier rebelle condamner à la peine capitale dans cette prison. (S'évader, s'évader par tout les moyens inimaginable.) Avait t'il réussi ? Au final non, puisqu'il n'est plus de ce monde. "
Il pris une pause et les regarda :
" Vous êtes sûr que c'est un livre pour enfants ? "Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
-Victor Hugo -
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C'est décidé ! Plus jamais elle ne laisserait ses pensées sombrer dans l'abîme sans fonds de la mélancolie.
D'accord, sa vie professionnelle ressemble à celle d'un oiseau en cage,
enfermée dans la prison d'une morne routine de laquelle il lui paraît impossible de s'enfuir.
Du matin jusqu'au soir, elle court après le temps, un temps qui ne lui offre pas la moindre parenthèse pour reprendre son souffle.
Quand elle rentre chez elle en fin de journée, elle est si épuisée qu'elle n'a plus la force de s'évader
dans des rêves que de toute façon, elle n'arrive même plus à imaginer.
Mais c'est décidé, ça doit changer, ça va changer !
Afin de montrer qu'elle se rebelle, elle troque sa jupe plissée bleu marine-chemisier blanc à col Mao
pour une tenue de baroudeuse : jean délavé, pull ample, et se chausse de godillots de cuir gras trés épais.
Elle se rend sur son lieu de travail, toque à la porte du directeur, entre et tout de go, dit à cet homme imbu de sa personne :
" je vous ai toujours dit oui parce que je m'y sentais contrainte.
Aujourd'hui, je vous dis non : non à vos caprices, non à votre harcèlement, non à votre emprise. Un non ferme et définitif.
Si vous me menacez de mise au placard ou pire, de licenciement, je n'hésiterai pas à partir, je n'ai enfin plus peur de vous.
J'ai gagné ma liberté, et vous le constatez, en 1er celle de pouvoir vous dire : non ! "
L'homme, sidéré, réfléchit quelques petites minutes et finit par murmurer, ne sachant que répondre :
" vous portez bien votre prénom maintenant, Marianne ".| dernière édition par ayamé Réputation: 14951 | Messages: 11334 -
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@ayamé si beau si vrai si parfaitement écrit touchée en plein coeur
Apres tu râles.....triple likes
| dernière édition par Un Ancien Utilisateur Réputation: 0 | Messages: 0 -
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j'ai toujours eu l esprit plus ou moins rebelle ...
et si, à la dérobée , ma pensée divague ,c 'est peut être juste la conséquence que mon esprit ,
bridé dans cette enveloppe corporelle ,cherche à s'évader quelque soit le moyen ou le sujet .Alors ,régulièrement , je sors de cette prison organique ,pour un envol spirituel ,voir orgasmique ,
c'est une parade comme une autre à la monotonie de la vie . -
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Bonjour à vous tous et toutes.
Mots à inclure :
Pensée, s'évader, prison et rebelle.Caché bien à l'abri derrière l'arbuste sauvage, Fulbéric songeait que sa vie prenait prenait une direction étrange. Aurait il songer un jour à défier l'autorité de son père et la volonté du clan ? Que nenni, ce n'était pas que le jeune homme était un couard, non mais il croyait sincèrement que le patriarche agissait pour le bien de tous et que sa parole et son jugement étaient infaillibles. Ors ce matin même le garçon avait découvert une facette beaucoup moins reluisante de son géniteur. La conversation qu'il avait surprise entre ce dernier et le vieux druide avait profondément ébranlé le garçon. Elle lui avait fait découvrir tout un monde fait de manigances et de trahisons. Le jeune homme n'était pas un enfant de cœur loin de là, l'art de la guerre, les violences des champs de bataille ne lui étaient pas étranger mais il exécrait la félonie surtout si celle-ci se doublait de lâcheté. Ors la conversation surprise dans la matinée laissait entendre que le prêtre itinérant venait réclamer le paiement d'une dette contacté autrefois par le chef de clan.
- « Othon, par les bois de Cernunnos dois je te rappeler que c'est grâce à ma magie que tu diriges ce clan ?
- Non le druide je n'oublie rien … rassures toi ! Mais par tous les Dieux de la nature le prix a payer est élevé car tu me demande de sacrifier celle qui devait être un jour prochain la nouvelle chaman de la tribu !
- Justement ! C'est parce que cette fille possède en elle un grand pouvoir qu'elle doit servir d'offrande à la Chasse Sauvage.
- Mais....
- Puis elle risquerait de devenir une druidesse de première ordre si elle continuait d'arpenter ce monde. Sa naissance mystérieuse, la magie innée et les capacités dormantes que je sens au plus profond de son être ne doivent jamais éclore. Les Dieux veulent sa mort et la Chasse Sauvage pourvoira à son trépas ! »
Alors qu'il s'éloignait sans bruit de la maison communale, une pensée rebelle commençait à germer dans l'esprit du jeune homme. Alixia était son amie depuis toujours. La seule qui l'avait accepté comme il était ! Elle l'avait accueillit avec ses forces, ses faiblesses, ses préférences amoureuses qui faisait jaser dans les chaumières. S'il avait du choisir une épouse Alixia aurait certainement été la seule qu'il aurait put envisager. Douce, ouverte d'esprit et compréhensive, elle n'aurait pas chercher à l'enfermer dans une prison de convenances absurdes.
C'est pour toutes ces considérations et son indéfectible amitié pour la jeune fille que le garçon se tenait tout proche du németon. Quand il vit Alixia se redresser effrayée peureuse comme un biche prise au piège, Fulbéric sut qu'il allait tenter l'impossible pour lui sauver la vie. D'un pas décider le garçon entra dans le cercle de pierres. D'un geste plein de douceur il enlaça la fille tétanisée et lui murmura de douces parole d'encouragement.
Cependant sur le haut de la colline, le chant des olifants retentirent. Les chevaux de l'enfer montés par leurs cavaliers issus du néant se lancèrent à la poursuite des deux jeunes humains : La chasse commençait.
Devant eux ; Alixia et Fulbéric couraient éperdus. Ils fuyaient l'horreur qui cherchait à les rejoindre, Tremblants et confus les amis cherchaient à s'évader de cette funeste réalité, ils détalaient comme des lapins. Main dans la main, il s'élançaient vers l'orée de la forêt toute proche, espérant ainsi gagner la protection des grands arbres.
Leurs espoirs hélas furent vain car derrière eux, se rapprochait inexorablement l'immense destrier couleur de nuit et son cavalier. Aucun humain n'avait vu un Nemrod tel que lui, le destin des fuyards était déjà scellé.
| dernière édition par Lissilma Réputation: 1747 | Messages: 928 -
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Bonsoir les plumes
Même le soleil dessine des barreaux d’ombre sur l’herbe de la cour. Derrière ce décor de frayeur, le temps s’est arrêté . Faut dire, que depuis longtemps, ou peut-être même depuis toujours, mon seul univers c’est cette porte solidement verrouillée . Je suis engloutie dans cette forteresse sans issue, cette prison ! A force d’être enfermée dans une pièce de quatre mètres sur six., le temps devient bizarre. On finit par en perdre toute notion.
Allongée sur ce matelas si fin , je fixe le ciment de ce plafond , à l’allure sinistre. J’en connais les moindres détails, comme tous les signes du temps qui l’enveloppent. C’est sa façon bien à lui de me faire comprendre que je suis là depuis longtemps. A vrai dire, je ne vois même plus ce que mes nerfs optiques me transmettent. Mon regard se perd dans la seule couleur qui prédomine ici. Durant une seconde de répit, mes pensées rebelles tentent de s’évader vers un ailleurs ; le passé me retient encore et le présent m’échappe. Et si finalement , j’avais rêvé ma vie au lieu de vivre mon rêve ? Celui peut-être d’être libre. Tout n’est plus qu’une illusion, exceptés, ces quatre murs pâles aux allures de spectres qui m’épient.
Comment arrêter la machine infernale ? Les maux me tourmentent et brisent en plein vol ces mots qui pourraient donner un sens à mes émotions. A quoi bon ! Ce n’est plus le moment de comprendre.
Je reconnais le bruit des verrous qui se décadenassent. La porte de la cellule vient de s’ouvrir. J’ai peur .
| dernière édition par Kachina Réputation: 23367 | Messages: 16270 -
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@kachina : j'ai adoré ton texte, si bien écrit. Tu sais quoi, Victor Hugo ne l'aurait pas renié, lui qui a écrit
" le dernier jour d'un condamné ". Double like amplement mérité.| dernière édition par ayamé Réputation: 14951 | Messages: 11334