Décris-moi un mouton
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@heidi : désolée, non, le texte de @Myra-flore n'aurait sa place ici qu'avec les 4 mots demandés.
Il y a un règlement, il se doit d'être respecté.Edit : @Myra-flore : tu pourrais réécrire ton texte en y incluant les 4 mots et l'affaire serait dans le bon sac .
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@ayamé
Ça rigole pas ici -
@ayamé .......
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@carl_jung ça peut pas rigoler puisqu'on parle de guerre
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Je m'occupe avec affection d'une tante de 91 ans,qui a gardé toute sa mémoire,et suis actuellement les évènements...
Elle a vécu la guerre 39-40 en tant que gamine,ado vers la fin,en en subissant toutes les difficultés,père décédé,mère seule devant tout assumer,donc ses souvenirs sont hivers rigoureux sans chauffage,faim chaque jour,nuits passées ds les caves,et malgré tout,scolarité ininterrompue ,souvenirs d'étés chauds ,du débarquement,de l'arrivée des américains ds les villages de Lorraine,ou ils ont dévasté en qq jours,tout ce qui tenait debout!
Et tout ça lui revient en boucle,surtout les privations,la faim et le froid...
Et elle refuse de revivre ça!
Sans savoir du tout comment!
Et comme sa phrase habituelle est:
je me débrouille,et ne veut rien demander à personne...et pas d 'EHPAD...
Je voudrais bien la rassurer...
Mais j'ai moi-même entendu hier une élue annoncer que les restrictions seraient appliquées...
Vu que le gaz sera rare,et que l'alimentation sera chère...
Bonne idée pour précipiter les gens à vider les rayons!
En 1939,tout serait oublié pour noêl....Ouais.....
En 2022,on sait qd ça commence!
J'ai une vraie envie de faire comme Jacques Brel....
Aux Marquises....
Tout une génération a défilé il y a des années en exigeant des "lendemains qui chantent"
D'autre plus pressés affirmaient que "le changement,c'est maintenant... "
Ils se voyaient aller vers un avenir lumineux...
Alors que chaque jour,l'horizon s'assombrit,et que les jours raccourcissent!
Reste le courage,et l'espoir...
Pour nos enfants et les leurs! -
@myra-flore : bravo, ta bonne volonté et ton talent font vraiment plaisir .
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@carl_jung a dit dans Décris-moi un mouton :
@ayamé
Ça rigole pas iciTu vois, en demandant gentiment aux gens, ça valait le coup quand on voit le résultat .
J'adore quand les situations se clarifient simplement et que les problèmes se résolvent comme ça, avec de la bonne volonté . Et c'est tout à l'honneur de @Myra-flore . -
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@heidi Coucou! allez je propose "Hasard et Chance "
Bonne fin de dimanche à tous
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@heidi je propose train et rencontre
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- Mais tu vas où ?
- Moi ??? Je vais nulle part .
- Mais c’est où nulle part ?
- Ben ! C’est un quelque part, un endroit où l’on va.
- Mais quel endroit ?
En fait, elle n’a pas de but précis. Elle ne croit pas à la chance. Elle se fout d’avoir un train de retard, de n’avoir jamais été forcément dans les rails. Depuis toujours, , elle se balade avec l’étrange sentiment de tenir entre ses mains un cerf-volant, aussi capricieux et enfantin qu’elle-même. Rien n’est plus déterminant qu’un hasard. Depuis toujours, elle est convaincue qu’il est une main tendue à tous ses rêves d’inconnu.
A quoi bon avoir le nez collé à la vitre du wagon et tenter de discerner les couleurs?A quoi bon augurer une douce rencontre , entrevoir un visage aux yeux doux, goûter l’ombre d’une petite maison où pousse le lierre, adorer le jeu des enfants en ribambelle, , redouter une sombre tempête ?
Le hasard se joue toujours des âmes en quête. Elle n'est pas de ceux qui veulent savoir si le tunnel a une fin, elle veut juste y entrer dignement.
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Le train de la vie lui a fait traverser bien des régions, certaines luxuriantes et d'autres désertiques.
Elle, Jeanne de son prénom, y a connu bien des climats aussi :
des ensoleillés, des pluvieux et quelques-uns carrément cataclysmiques,
de ceux dont les vents très méchants ravagent tout sur leur passage.
Au hasard des chemins, elle a fait de nombreuses rencontres :
certaines furent éphémères, d'autres plus durables, certaines lui ont fait du bien et d'autres lui ont fait du mal.
Maintenant, arrivée au soir de sa vie, en considérant les évènements qui ont marqué son cours,
elle s'interroge juste sur le sens du mot chance : est-elle le fait d'une quelconque bonne étoile,
indépendant de la volonté, ou au contraire peut-elle être provoquée ?
Elle sourit : cette question restera sans réponse et de toute façon, cela n'a plus aucune importance.
Elle a déjà quitté partiellement ce monde dans lequel elle sait qu'elle n'y a plus vraiment sa place,
dans lequel de toute façon, elle n'en comprend pas certaines évolutions.
Oui elle sourit car elle n'est pas triste pas plus qu'elle n'est résignée.
En attendant le saut dans le Grand Inconnu, elle a aménagé son oasis, son havre de paix,
dans lequel elle fait régner en maître-mot sa foi, inébranlable malgré les aléas de la vie.
Parce que pour elle, c'est derrière une certaine porte qu'elle retrouvera dans la béatitude
tous les siens qu'elle a tant chéris et qui, pour certains, bien trop tôt sont partis.
Je connais bien cette Jeanne que j'aime vraiment beaucoup.
Il s'agit de ma belle-mère qui aura 95 ans en mai de cette année...si la Vie en décide ainsi.Me revient en mémoire, en écrivant ces quelques mots, cette chanson qu'elle aimait parfois fredonner :
" Le train de la vie, c'est un petit train qui va des montagnes de l'ennui aux collines de la joie ". -
Dans une vie, le train du hasard donne sa chance aux rencontres qui doivent se faire, et les arrêts sont une ponctuation à notre chemin.
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un fantasme parmi d autre ,
est celui de se retrouver avec une inconnue dans le wagon d'un train ,
se toiser et se vouloir , attiré par une pulsion soudaine et incontrôléele hasard n'a jamais voulu m'offrir cette situation ,
d'une rencontre insolite et spontanée ,je n'ai pas eu cette chance d'aimer une femme ,au sens propre et figuré ,
une passion d'un moment ,sans lendemain ,mais exquise . -
Comme tous les matins, Théo est installé dans le TER de 7h48. Le même train tous les jours. Souvent les mêmes têtes aussi, dans le wagon de tête qu’il choisit pour gagner du temps : l’homme d’affaire en costume gris à la calvitie bien avancée, la jolie fille au look gothique, l’étudiant qui potasse ses cours de maths…
Mais aujourd’hui, par le plus grand des hasards, une dame âgée est assise face à lui. Il sent qu’elle le regarde avec insistance, et il finit par lever les yeux vers elle et croiser son regard.
« Quelle chance j’ai ! s’exclame-t-elle- Pardon madame ?
- Oui, quelle chance j’ai d’être assise en face de toi !
- Mais pourquoi ?
- Mais parce que je sens que tu vas m’apprendre plein de choses nouvelles. »
Et la dame de lui expliquer qu’à chaque fois qu’elle prend le train – jamais le même dans son cas, elle est retraitée et n’a pas d’horaires fixes –, elle engage la conversation avec son voisin ou sa voisine d’en face. C’est devenu pour elle une sorte de petit jeu, un défi qu’elle se lance à elle-même : convaincre de parfaits inconnus de discuter avec elle de tout et de rien pendant la durée du trajet. Elle se réjouit d’avance de ces rencontres toutes différentes, qui lui apportent beaucoup de plaisir.
C’est vrai qu’au final, il semble à Théo que le TER entre en gare beaucoup plus vite que d’habitude… Et s’il s’y mettait lui aussi, à parler aux inconnus ?
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"Est-ce que, par hasard, il y aurait un train qui passerait dans le coin ?" se questionna t'elle. Elle marchait depuis près d'une demi heure, elle venait d'emménager dans un petit village de campagne. Il fallait faire 30 minutes de voiture pour arriver à l'épicerie, mais, malheureusement, sa voiture était en réparation chez le garagiste, alors, elle avait eue l'idée de marcher. À pied, c'était au alentours de 2 heures pour arriver à destination. En continuant son chemin, elle vue, une gare. Il semblerait que la chance était de son côté. Le prochain train passait et allait justement près de l'épicerie qu'elle voulait aller. Elle entra dans le train, pris l'horaire du train et toutes ces destinations. Pendant le cours trajet, elle savait désormais chacune des destinations que le train empruntait. Sur son chemin de retour, après l'épicerie et au retour du train, elle était exténuer et avait hâte de retourner chez elle. Arriver près de chez elle, elle fit une rencontre improbable, elle vit un porc-épic.
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Vous donnez envie de prendre le train
Je suis en panne d'inspiration pour le moment -
Hasard, chance, train & rencontre
Il fait nuit noire, en méditerranée, la tempête secoue l’énorme navire comme une vulgaire coquille de noix. Tanguy a pourtant l’habitude, mais même s’il ne laisse rien au hasard, son expérience ne pourra jamais prévoir l’imprévu. Il a réduit sa vitesse à 300 km/h grâce aux volets, et il faudra encore la réduire à 270 pour ne pas rater sa cible. Il rentre de 3 h de mission, il est épuisé, sa vue se trouble, heureusement il a sa patte de lapin autour du cou, ce ridicule porte-chance comparable à la plume de Dumbo.
L’aide à appontage lui donne toutes les infos, et heureusement car il ne voit qu’une faible lumière là dessous qui est logiquement la piste d’atterrissage. Voilà 260 km/h, là il a fait fort, impossible d’arriver moins vite, il suit l’horizon artificiel et équilibre au mieux son mirage marine jusqu’à la rencontre imminente du train et du pont. Un choc puis une décélération brutale , il a accroché le câble, punaise ! il n’aurait pas dû écouter son ami Laverdure et venir faire ce stage sur le Clemenceau ! Mais ou on est des chevaliers du ciel ou pas !
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@artemis bravo
De biens beaux voyages, merci les plumes vous nous régalez