Mal à l'aise dans le monde actuel
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Euh... Il n'y a personne à "abattre". On donne notre avis, qui vaut ce qu'il vaut, ça ne veut pas dire que c'est la meilleure façon de penser. On est tous humain ici, donc on a tous notre vécu et les pensées qui vont avec.
Mais à partir du moment où tu lances un débat, forcément t'as des idées qui se confrontent, et c'est normal de ne pas tous être d'accord avec toi.La pensée unique qui représente soit disant le bien n'existe pas.
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tu postes parce que tu te poses des questions.
On répond en exposant nos points de vue et nos ressentis personnels.
Si il y a eu beaucoup de lever de bouclier en réactions primaires à ton message, il y a tout de même eu des commentaires qui ont cherché d'abord et avant tout à partager des points de vue et tenter de t'apporter des pistes de réflexion. Ce n'est pas chercher à t'éduquer, c'est tenter de te faire partager des avis différents du tien.Aurait-il qu'on se taise parce que nos points de vue diffèrent du tien ?
Tu te rends compte, en lisant les multiples réponses que nos points de vue diffèrent du tien majoritairement et en tire la conclusion qu'il y a une pensée unique...Il n'y a pas de pensée unique. Il y a juste des points de vue qui se croisent et se rejoignent.
Maintenant, libre à toi de continuer à défendre ton point de vue, d'apporter des arguments et des contre-arguments. Car c'est ça, la nature d'un débat.
maintenant, si ce que tu souhaitais, c'est simplement entendre des gens poster en disant "ah ouais tout de même, tu as raison"... alors dis-le nous, qu'on arrête de se fatiguer à te répondre.
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@Artelise non pas se taire bien sûr que non.
Mais insulter quelqu'un, tenter de le rabaisser ou encore de l'éduquer ce n'est pas débattre.
Je suis prête à remettre mon point de vue en question (ce que je fais constamment à vrai dire), je m'intéresse au différents point de vue mais la grande majorité des réponses que j'ai eu n'était pas dans le but de débattre.
Franchement ça coupe l'envie de discuter.
De mon côté je n'ai manqué de respect, insulté, méprisé ou cadamné qui que se soit ici.
Et je m'inquiète de vivre dans une société où on ne peut pas émettre de doute sur son fonctionnement sans être traité de facho.
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@loutre a dit dans Mal à l'aise dans le monde actuel :
mais la grande majorité des réponses que j'ai eu n'était pas dans le but de débattre.
Faut-il pour autant rejeter les autres ?
Et si, pour le bien du débat, tu faisais l'effort de mettre de côté ces réponses (qui ont d'ailleurs été dénoncées) et que tu essayais de répondre à celles et ceux qui acceptent respectueusement de débattre et t'aider à répondre à tes interrogations ?tout en gardant à l'esprit que le sujet touche certains membres du forum de très près et que cela relève forcément chez eux de l'émotif.
Leur réponses étaient certes virulentes et dans la forme, il y a certes eu de très mauvais choix. Mais c'est aussi, je crois, une part de la réponse que tu cherches. Tu as, sans doute sans le vouloir - du moins je l'espère, touché au vif des personnes sur ce forum pour lesquels le sujet que tu abordes n'est pas que théorique. Et ce qu'ils ont lu les ont choqué. Leur réponses, encore une fois étaient peut-être inappropriées dans la forme, mais ça témoigne de leur ressenti de manière sincère. Et répond, d'une certaine manière, à la question que tu te poses sur l'utilité de continuer de défendre certaines causes et ne pas cesser certains combats.
Si vraiment tu souhaite enrichir ton point de vue sur ces questions, ouvrir ton esprit à d'autres point de vues et éventuellement remettre ton point de vue en question, alors, s'il te plait. Essaie de répondre à celles et ceux qui ont fait l'effort de te répondre posément et apportes-nous tes arguments à ton tour.
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Pour certains, si on n'est pas de gauche LFI, on est mal pensant et on se prend des insultes.
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@loutre a dit dans Mal à l'aise dans le monde actuel :
De mon côté je n'ai manqué de respect, insulté, méprisé ou cadamné qui que se soit ici.
La façon dont tu as tourné maladroitement tes phrases et le manque de detail dans tes réflexions peuvent en blesser plus d'un.
Et je m'inquiète de vivre dans une société où on ne peut pas émettre de doute sur son fonctionnement sans être traité de facho.
C'est la même chose pour ceux qui sont plus ouvert et qui sont traité de woke.
Je dirais que le soucis est que le sujet que tu traites, tu le traites à ton échelle, hors il est plutôt à l'échelle de la société elle même.
Par exemple et si je comprend bien, les couples homosexuel devraient avoir le même traitement que les couples hétéro et c'est ce que tu fais dans ton entourage personnel et professionnel et que comme tout ce passe bien sans discrimination tu ne comprends pas qu'il y est une communauté derrière.
Mais les faits, font que ce que tu appliques à ton échelle ne l'est pas du tout à l'échelle de la société. Il y a encore aujourd'hui de nombreuse discrimination homophobe, que se soit la façon dont les personnez homosexuels sont traités ou le désavantages d'un point de vu administratif par exemple.
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@Artelise bon, je vais essayer mais j'ai balayé tellement de sujet en seulement quelques phrases.....
Je ne garantie pas de le faire en une fois par contre.
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Il est clair que tu as abordé beaucoup de questionnements et un peu en vrac en plus. lol.
Essaie de voir si, dans le lot, il y a des choses qui te tiennent plus à coeur que d'autres ou qui te questionnent davantage. ça sera un bon début pour discuter.
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@Artelise on m'a interpellé sur les mères porteuses.
Ce qui me dérange là dedans ce n'est pas les destinataires mais l'acte en lui même.
Le fait de fabriquer un enfant pour le donner.
On ne parle pas d'un chiot mais d'un être humain.
Un bébé a besoin d'être avec sa maman, sentir son odeur, sa chaleur.Et là, on conçoit un bébé dans le but de le séparer de sa maman et ça beh chez moi ça bloque.
Même si il y a de très grande chance pour qu'au final ça soit un enfant heureux et choyé comme un petit miracle, le point de départ me pose un problème.
En revanche, une fois que l'enfant est là je trouve ridicule de faire barrière en empêchant les parents de reconnaître leur enfant.
Une fois qu'il est là autant faire en sorte que tout se passe au mieux pour lui.J'ai parlé également des poly amoureux.
J'ai eu l'occasion de discuter avec certains en mp qui m'ont expliqué tout ça.
Ces personnes là dont je tairais le nom étaient très sympathique et ne m'ont rien dit ai pu m'interpeller.
En revanche j'ai lu des articles ou vue des reportages ou certains parler du sentiments de jalousie comme étant quelque chose de mal et là ça me fait tiquer.
On parle de sentiment humain, comment peut on dire que ressentir un sentiment est mal ou se permettre de juger ce que quelqu'un ressent au fond de soi et c'est là que je me dis que j'ai l'impression que de nos jours la notion de fidélité, exclusivité est mise à mal de nos jours.
Dans un premier tzmps par le fait qu'on se promène en permanence avec une maison close dans notre poché.
Un clic sur notre téléphone et on peut se faire livrer un sushi et une paire de couille.
Et si en plus de ça, on commence a essayé de nous faire croire qu'il faut être open que la jalousie c'est mal que tout le monde trompé tout le monde, ça mène à quoi finalement?Le polyamour si tout le monde est consentant et que ça ninduit pas de souffrance pour les personnes concernés cest cool.
Mais c'est quand on commence à essayer de valoriser une pratique par apport à une autre que ça me dérange.
Tu es polyamoureux c'est cool pour toi.
Tu dis que vouloir garder son partenaire rien que pour soi est égoïste, là par contre ça ne me va pas.Autre sujet: les enfants trans.
Vous trouvez tous cela bien que des parents soient prêts à filer des hormones à leurs enfants pour leur permettre un changement de sexe?
Déjà au niveau santé, je ne suis pas médecin mais j'imagine que des hormones pour un enfant ça ne doit pas être top.
Il y a aussi l'aspect maturité. Un changement de sexe ça n'est pas rien, ça doit avoir de grosse connaissance psychologique. donc pourquoi ne pas laisser l'idée mâturer tranquillement dans la tête de la personne intéressée et la laisser faire son choix une fois adulte?
Si ma fille s'était trouvé dans cette situation, je lui dirai qu'elle est trop jeune pour prendre ce genre de décision et que ça n'est pas à moi de décider de cela pour elle et par conséquent je lui conseillerai d'essayer de mettre ça dans un coin de sa tête et si dans quelques années elle est toujours dans cette optique, sa maman sera là pour elle.
En gros l'idée serait de la poussée à vivre sa vie d'enfant tout en ayant l'assurance que plus tard si elle a toujours envie de faire ce changement sa maman sera là pour elle et laimera quelque soit sa décision. -
Bon, j'ai décidé de prendre le temps de répondre sans le côté "émotionnel" ou "sentimental", mais ça va mettre du temps donc un peu de patience, par contre, je ne répondrai qu'aux choses que je peux objectivement remettre en cause. Je ne me sens pas les épaules de plus, étant donné mon état de santé actuel. Et désolé, si j'ai blessé précédemment mais tes questionnements comme l'a souligné Artelise sont très durs à entendre pour les gens qui vivent au quotidien ce que tu nies voir.
@loutre a dit dans Mal à l'aise dans le monde actuel :
Les homos et bis assumés étaient considérés comme super cool, c'était les débuts des gay prides et tout le tralala.
Au début je trouvais ça cool de voir le monde s'ouvrir que chacun puisse aimer qui il veut librement et sans peur.
Et puis certains ont commencé à tenir des propos qui m'ont dérangé "comment tu peux être sûr que tu es hetero si tu n'as jamais essayé ?...."Bon, tu es revenue de toi-même sur le terme cool. En ce qui concerne la dernière phrase, qui reflète ton vécu, c'est bien triste, mais dis-toi que c'est ce qu'entendent les personnes bisexuelles toute leur vie et les homos l'entendent certainement bien plus souvent qu'une personne hétéro lambda. Donc tu as un vécu similaire aux leurs en ce qui concerne cette phrase et comme tu l'as dit : c'est dérangeant !
Et puis le drapeau le terme "culture gay".
On parle d'une préférence sexuel pourquoi vouloir faire de l'homosexualité une culture avec un drapeau?Il s'agit d'abord d'appartenance. En psychologie, on apprend que pour se sentir bien, on s'intègre à un ou plusieurs groupes qui nous permettent d'avoir ce sentiment d'appartenance* et d'évoluer dans la société de façon "normale", on va dire. Je mets des guillemets parce que la normalité tout ça, tout ça, vous connaissez.
*Il se construit peu à peu, par le partage avec d'autres d'une même réalité, de mêmes valeurs ou de mêmes objectifs. Il aide à forger son identité, il donne envie de donner le meilleur de soi-même et de se sentir fier de faire partie d'un groupe. (source)
Puis on a parlé d'adoption par des couples homos.
Sur le fond, je trouvais ça super. Un enfant sera toujours mieux dans un foyer aimant plutôt que dans un orphelinat, c'est évident.
Puis ça part sur les mères porteuses.
Ou des gens qui veulent avoir un enfant sans être en couplé "parcrque de toute façon les couplé finissent toujours par se séparer alors qu'elle différence si on fait une garde alternée dès la naissance?"Tu as développé ton point de vue sur les mères porteuses, il t'appartient, je n'ai rien à dire là-dessus.
Aujourd'hui, il existe des tas de foyers différents, de familles différentes. Des familles mono-parentales, des familles avec plusieurs mamans et/ou plusieurs papas. Je ne vois pas vraiment où est le problème ? Et je ne comprends pas vraiment la notion de garde alternée dès la naissance ? Il existe aussi le co-parentage* et cela commence à se faire entendre. Ca ne date pas d'aujourd'hui pourtant.*Apparue au XIXème siècle, le concept de famille nucléaire regroupe le père, la mère et les enfants. Un modèle progressivement élargi aux grands-parents, oncles, tantes et descendants. S’il constituait jusqu’ici un schéma sociologique dominant, il est désormais bousculé pour pouvoir intégrer les familles monoparentales ou recomposées, ainsi que les familles homoparentales. (source)
Mais fière de quoi? D'être homos mais en quoi est ce une fierté? Je hetero et je n'en suis pas particulièrement fière, ni honteuse d'ailleurs, je m'en fou, c'est juste comme ça?.
Je ne vois pa dhomophobie dan mon entourage pro, familial ou amical.
Mais j'ai l'impression que tout est fait pour qu'on croit que l'hémophobie est encore bien présenté.
Pourquoi?Tu es hétéro donc pour toi, la question se pose pas vraiment. Pourquoi les LGBTQ+ se revendiquent ? Parce qu'en fait, il y a toujours des discriminations, des violences, qui sont faites envers ces minorités-là. Ils se revendiquent pour espérer, un jour, être traité d'égal à égal avec un(e) hétéro cis blanc lambda.
Pourquoi tu as l'impression que l'homophobie est encore bien présente ? Parce qu'elle a augmenté de 28% entre 2021 et 2022 en France*.
*En 2022, l'association SOS homophobie a recensé 184 cas d'agressions physiques LGBTphobes, soit une agression physique tous les deux jours, ce qui correspond à une hausse de 28% par rapport à 2021. (source : l'homophobie en France), (source 2 : rapport sur la LGBTphobie)
Aujourd'hui de gens commencent à dire que le genre n'existe pas, on nous parle de iel.
Ce sont les personnes non-binaires qui ne se reconnaissent ni dans un genre ni dans l'autre. Ces personnes existent et font partie de la communauté LGBTQ+. Elles essaient de se trouver une place dans notre langue française qui n'a pas de neutre, contrairement à l'anglais où ils utilisent couramment le "they/them" quand ils ne connaissent pas le genre de la personne. Il existe aussi les personnes intersexes*, qui ont les attributs des deux genres mais que l'un des deux a été choisi arbitrairement à la naissance.
*Une variation intersexe est un phénomène naturel : les personnes naissent avec un corps qui ne répond pas à la définition normative d’un homme ou d’une femme.
Il existe une quarantaine de variations possibles. Elles peuvent survenir au niveau des chromosomes, des hormones, des glandes génitales, des organes reproducteurs ou d’autres caractéristiques sexuelles physiques. La variation peut être visible, par exemple si les organes génitaux externes se sont développés différemment. Mais la variation peut aussi être totalement invisible, par exemple en cas d’absence d’utérus ou de variations sur le plan des hormones.(source)
Des parents font bouffés des hormones à leur gamins pour qu'ils changent de sexe (je n'ai vue ça qu'aux États Unis pour le moment).
Aurais-tu une source ? J'ai cherché sur Google sans succès, par contre les lois transphobes aux USA se succèdent, ce qui va donc à l'encontre de ce que tu dis. Si tu sources, on peut en discuter.
Mais devrait on pas laisser l'enfant grandir tranquillement et choisir quand il sera adulte?
Généralement, l'enfant sait ce qu'il est en lui. S'il se sent plutôt fille ou garçon.* Cela n'a aucune importance. L'important, c'est de l'accompagner et le soutenir comme ferait tout parent. En France et en Belgique, il est très compliqué d'avoir des hormones avant 18 ans.
*L’étude a porté sur des adolescents (garçons et filles) dysphoriques et a utilisé l’imagerie par résonance magnétique (IRM) pour évaluer les schémas d’activation du cerveau en réponse à une phéromone connue pour produire une activité spécifique au genre. Le mode d’activation cérébrale chez les adolescents garçons et filles transgenres ressemblait davantage à celui des garçons et des filles non transgenres du sexe désiré qu’à celui des adolescents non transgenres du même sexe biologique. source
Mais là encore j'entends de loin en loin des discours sur la jalousie été jaloux c'est nul, n'importe quoi égoïste.
Alors, je ne sais pas avec quelles personnes tu as discuté, mais sache qu'une personne polyamoureuse peut ressentir de la jalousie, et elle est libre ou non de travailler sur cette jalousie*. Cela réveille peut-être des insécurités en elle ou peut-être cela signifie que l'autre dépasse ses limites en terme relationnel ? Ce ne sont que deux questionnements mais il en existe des tas, et en fait, ça fonctionne aussi sur les relations traditionnelles.
Si les gens te jugent parce que tu es jalouse, bah ils sont bêtes. C'est à toi de te questionner pour savoir si oui tu as des raisons ou non de l'être (genre ton/ta partenaire t'a menti ou omis qq chose ?).
*La première chose que je veux vous dire c’est de ne pas avoir honte de la jalousie, de culpabiliser et d’en faire un tabou. Peu importe votre orientation relationnelle, exclusive ou non, c’est un sentiment humain que tout le monde peut ressentir et qui ne nous définit pas.(source)
On me dit que c'est la société qui a tout fait pour que aujourd'hui ont soit bloqué dans schéma papa, maman bébé.
Oui, la société nous a formé à cela parce qu'il y a bien plus longtemps, il fallait protéger sa progéniture, son patrimoine etc. Ca ne veut pas dire que c'est mieux ou moins bien qu'un autre schéma.
Mais... n'a ton plus le droit de ressentir ce que l'on veut ?
Allons nous bientôt nous interdire d'être jaloux?
Ou nous faire passer pour des gros coincé si on a envie d'une relation hetero sexuel et exclusive?En fait, non pas du tout et c'est même le schéma le plus répandu la relation hétérosexuelle et exclusive. Après si tu te sens à ce point persécuté par une minorité... Tu devrais peut-être te questionner.
Pour te donner une idée, il n'existe même pas de statistiques concernant le nombre de polyamoureux. Tout ce que j'ai pu trouvé sur internet : Si aucune étude en France n'a évalué le nombre de personnes pratiquant le polyamour, on estime que son pourcentage se placerait aux alentours des 2 à 5 % en Hexagone.
Autant dire niet.
L'infidélité? Trompé ? Bof, c'est normal. Après tout de nos jours, nous nous promenons tous avec un bordel dans notr poché, un clique sur le téléphone et hop, on s'envoie en l'air de façon remunere ou non.
Tu mélanges ici beaucoup de choses. L'infidélité pour les personnes en relation libre/polyamour ce n'est pas tromper. Pourquoi ? Parce que comme tu l'as mentionné plus haut, "les règles ont été établies en avance, tout le monde est au courant et consentants".
La tromperie c'est un acte déterminé par chacun dans une relation, cela peut aller de "j'ai rêvé d'un/e autre" à "j'ai couché avec un/e autre", et certains te diront le rêve c'est déjà trompé et d'autres te diront envoyer des sextos c'est là que commence la tromperie. Tout le monde a un ressenti différent sur ce qu'est tromper dans une relation.
En ce qui concerne la rémunération et donc les travailleurs et traveilleuses du sexe, je ne m'y connais pas et comme tu n'as pas vraiment évoqué de questions ou quoi, je ne me vois pas argumenter.
En fait j'ai l'impression que le but de tout cela est de détruire la cellule familiale dites classique.
Que le but final serait de faire de nous des êtres totalement individualiste sans réel identité.
La cellule familiale traditionnelle prédomine et prédominera encore longtemps*. On n'est pas tous fait pareil. Chacun a des besoins différents. Après, il existe des personnes polyamoureuses qui vivent dans des communautés et éduquent leurs enfants parmi les adultes et ont donc différents référents, comme c'était le cas avant avec les oncles, tantes, grands-parents vivant sous le même toi que parents et enfants.
*Les familles « traditionnelles » restent la configuration familiale la plus fréquente (66 %) même si leur part diminue. (source)
J'ai également limpression qu'on essaie de nous faire que nous vivons dans le français homme blanc et hetero sexuel est tout puissant est responsable de tout les maux de la terre.
Je corrige : Nous vivons dans une société patriarcale où l'homme blanc et hétéro n'a pour ainsi dire aucun souci de discrimination classique.
Il existe des sociétés matriarcales qui fonctionnent très bien dans notre monde, on n'en entend juste pas parler parce qu'elles sont souvent très éloignées de notre mode de vie.
Donc oui, être une femme* racisée est plus compliquée. Être issu(e) d'une minorité rend les choses plus compliquées mais ça ne veut pas dire pour autant que seuls les mecs blancs cis hétéro sont responsables. Ce qui en découle, c'est que les minorités aimeraient juste être à égal de l'homme blanc cis hétéro lambda. Ce qui pour le moment est loin, très loin d'être le cas et que beaucoup de personnes se battent pour leurs droits qui ne sont pas respectés.
*LES CHIFFRES DE 2022
FÉMINICIDES
-> par (ex)compagnons : 112 (+ 16 tiers dont 10 enfants)
96 tuées chez elles, 15 ailleurs, 1 non connue
58 en contexte de séparation et/ou de violences connues (peu renseigné)
72 étaient mères (dont 6 tuées avec leurs enfants) + 2 enceintes (5 mois et 8 mois) - pas toujours renseigné
148 orphelins dont 38 témoins (34 présence, 4 découverte).
33 suicides du tueur + 12 tentatives + 1 en fuite-> par compagne : 0 (0 suicide, 0 tentative)
-> non conjugaux : 12 (dont 4 relations avec le tueur non renseignées, dont 0 personne trans, dont 1 féminicide prostitutionnel)HOMICIDES
-> par (ex)compagnes : 15 (dont 6 en probable légitime défense, 0 suicide, dont 1 par femme transgenre)
-> par compagnon ou ex : 3 (0 suicide - 0 tentative de suicide) (source)Que les arabes et les noirs doivent faire face à un racisme quotidien et qu'ils passent leur temps à se faire taper dessus dans la rue en plein jour.
Je ne peux pas parler en connaissance de cause. Mais en tout cas, le racisme est encore bien présent en Belgique (je vais parler de ce que je sais), et même des menaces de mort pour certains.
Ensuite, après quelques recherches :
*Injures, provocations, diffamations, menaces, chantages... 12 600 infractions à caractère raciste, xénophobe ou antireligieux ont été enregistrées par les services de police et de gendarmerie en 2022. C'est le bilan global des chiffres publiés le 21 mars 2023 par les services statistiques du ministère de l'intérieur. (source)Alors je vis peut être sur la planète des licornes mais quand je regarde autour de moi, je n'ai pas l'impression que mes proches noirs (Afrique et dom Tom, désolé je n'ai pas d'arabe dans mon entourage proche actuellement) vivent dans la terreur.
Bien sûr chacun à ses petits à priori les uns sur les autres et le racisme existe mais je ne pense pas qu'il soit aussi violent et assumé qu'on veut bien nous le faire croire.
Seuls ceux qui le vivent peuvent en parler. S'ils sont encore en vie pour cela.
Et puis ça mennerve de voir partout le même discours lissé, sur à peu près tous les sujets.
Un discours lissé ? Un discours qui se veut égalitaire pour chacun indépendamment de qu'il est, tu veux dire ?
On nous parle encore de patriarcat en France.
Heu..... depuis ma planète licorne je n'ai pas l'impression qu'en France la femme soit opprimé.La femme n'est peut-être pas opprimée comme tu l'entends dans des pays musulmans ou autres, mais on est loin d'être l'égale de l'homme en France, en Belgique, en Europe, dans le monde en fait.*
*Le terme patriarcat est aussi utilisé depuis la fin du xxe siècle pour désigner des sociétés dans lesquelles le pouvoir est principalement détenu par les hommes adultes.(source)
Ce qui confirme donc mes propos précédents.
Si je dis que à mes yeux dire "communauté gay" n'a pas de sens on me traite d'homophobe.
Et bien sûr de raciste quand je m'agace sur le terme "communauté noir"Hé bien, comme dit plus haut, ce sont des propos homophobes et racistes que tu tiens en niant le sens d'une communauté minoritaire qui existe et qui se réunit par sentiment d'appartenance et qui décide de se faire entendre pour avoir les mêmes droits que le voisin hétéro cis blanc.
S'ils n'étaient pas opprimés, considérés comme ayant moins de valeur que l'homme cis blanc hétéro, ils n'auraient pas eu besoin de créer une communauté, un endroit safe où ils se sentent en sécurité et respectés.
Et j'en viens à me demander si on ne cherche pas à faire en sorte que nous hontes de notre propre pays.
De notre drapeau, de notre hymne national.
Le seuil moments où on peut fièrement brandir le drapeau français c'est lors d'une victoire sportive, le reste du temps c'est au placard.
Vous connaissez beaucoup de pays comme cela?En ce qui concerne le chauvinisme évident ici, j'ai rien à dire parce que je trouve ça désuet et non-avenu. On est citoyen du monde pour moi et j'ai dit que je me ferai la plus objective possible. Donc j'ai rien à ajouter pour cela.
J'ai lu la suite de tes posts Loutre mais je pense qu'ici j'ai ratissé large, et que dans l'ensemble, j'ai touché à tous les points mentionnés. Ce post m'a mis 2h à être rédigé donc j'espère que tu le liras et t'informeras avec chaque source. J'ai pas multiplié les sources parce que ça aurait alourdi mon texte mais tu pourras en trouver d'autres facilement.
Voilà, tu voulais un débat, en voici un en bonne et due forme. Je m'arrête ici et vous souhaite à tous un bon débat.
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@loutre a dit dans Mal à l'aise dans le monde actuel :
on m'a interpellé sur les mères porteuses.
Ce qui me dérange là dedans ce n'est pas les destinataires mais l'acte en lui même.
Le fait de fabriquer un enfant pour le donner.Tu penses quoi de l'abandon du coup ?
On ne parle pas d'un chiot mais d'un être humain.
Un bébé a besoin d'être avec sa maman, sentir son odeur, sa chaleur.
Et là, on conçoit un bébé dans le but de le séparer de sa maman et ça beh chez moi ça bloque.Du coup ta conception d'être mère est basé sur le fait d'avoir un enfant qui sort de son utérus ? Personnellement cette façon de voir les choses me heurte.
Je pense au couple homosexuel et à l'adoption.Même si il y a de très grande chance pour qu'au final ça soit un enfant heureux et choyé comme un petit miracle, le point de départ me pose un problème.
En revanche, une fois que l'enfant est là je trouve ridicule de faire barrière en empêchant les parents de reconnaître leur enfant.- Il y a plusieurs sorte de GPA, quand c'est un problème concernant un couple hétéro, et quand c'est possible, le matériel génétique utilisé est le même qu'une fécondation in vitro, on prend un ovule de la femme et du sperme de l'homme mais l'implantation ne se fait pas dans la femme mais dans une mère porteuse.
Dans ce cas là porteuse n'a aucune filiation biologique donc la porteuse est un parent ?
Il est également possible pour la femme du couple (fonctionne aussi pour les couples homosexuel) via des hormones de pouvoir allaité l'enfant une fois né malgré l'absence de grossesse si cela est son souhait est possible.
- Quand il s'agit initialement d'un couple homosexuel on se doute que l'enfant n'aura que la moitié du matériel génétique et d'un seul des futurs parents. Et l'autre moitié ne vient pas forcément de la porteuse quand il s'agit d'un couple d'homme. D'ailleurs je crois que cela ne se fait quasiment jamais, c'est plutôt comme une grossesse médicalement assisté sans GPA.
Plus rares chez un couple lesbien car souvent l'une des deux peut être porteuse donc inutile de faire appelle à une personne tiers.
J'ai pas de problème avec tant que c'est pas pour le confort, c'est à dire que c'est uniquement pour que la femme échappée au mauvais côté de la grossesse par confort et que la personne gestante est prise en considération humainement parlant. Sachant que de base la porteuse est volontaire.
J'ai parlé également des poly amoureux.
J'ai eu l'occasion de discuter avec certains en mp qui m'ont expliqué tout ça.
Ces personnes là dont je tairais le nom étaient très sympathique et ne m'ont rien dit ai pu m'interpeller.
En revanche j'ai lu des articles ou vue des reportages ou certains parler du sentiments de jalousie comme étant quelque chose de mal et là ça me fait tiquer.Alors tout comme y a pas de mono exclusif qui dise pas de connerie y a aussi des polyamoureux qui en disent. Les propos tenus par quelqu'un n'engage que lui, peu importe ses mœurs.
On parle de sentiment humain, comment peut on dire que ressentir un sentiment est mal ou se permettre de juger ce que quelqu'un ressent au fond de soi et c'est là que je me dis que j'ai l'impression que de nos jours la notion de fidélité, exclusivité est mise à mal de nos jours.
Les sentiments et émotions sont humaines et propre à chacun. On peut difficilement dire qu'une émotion est plus mauvaise que l'autre par contre on peut remarquer que personne n'a était assassiné sous le coup le la compersion ou de la sérénité la où certaines peuvent poussé des personnes à commetre des actes condamnables.
Par contre c'est quoi le rapport entre le polyamour et la fidélité/infidélité ?
Par contre faut arrêter l'amalgame entre polyamoureux et couple libertin. On peut vivre de polyamour sans sexe. J'ai déjà lu le témoignage d'une femme libre de vivre une autre relation que son amoureux ou dans les limites des parties est que cela reste platonique et que cela convient à tous.Dans un premier tzmps par le fait qu'on se promène en permanence avec une maison close dans notre poché.
Un clic sur notre téléphone et on peut se faire livrer un sushi et une paire de couille.
Et si en plus de ça, on commence a essayé de nous faire croire qu'il faut être open que la jalousie c'est mal que tout le monde trompé tout le monde, ça mène à quoi finalement?Encore une fois je pense que tu fais des amalgames, si tout le monde était polyamoureux et que personne n'était jaloux et baignait dans la compersion et le respect total qu'est ce que cela ferait à ton avis ?
Dans le polyamoursi le fonctionnement est respecter par tous, personne ne trompe personne et tout le monde le vie bien.
Y a pas de lutte contre la monogamie et l'exclusivité, y a juste le besoin de reconnaissance que cette façon de fonctionner est viable et donc avoir en finalité les même droit que le couplé traditionnel (poir certains, beaucoup s'en fiche)
Le polyamour si tout le monde est consentant et que ça ninduit pas de souffrance pour les personnes concernés cest cool.
C'est ce qu'est le polyamour en somme, s'il y a de la souffrance c'est qu'il y a un problème, que se soit une personne exclusif qui préfère rester et souffrir plutôt que d'accepter que cela ne lui convient pas et de trouver quelqu'un qui lui correspond ou une personne qui l'impose par la force des choses. C'est linverse du consentement et donc ce n'est pas de la polyamorie.
Mais c'est quand on commence à essayer de valoriser une pratique par apport à une autre que ça me dérange
Tu es polyamoureux c'est cool pour toi.
Tu dis que vouloir garder son partenaire rien que pour soi est égoïste, là par contre ça ne me va pas.Bah si l'autre personne concerné n'est pas d'accord avec ça, à quel moment tu considères qu'il y a de l'égoïsme ou non? Tu considères que tu ne l'es pas tant que tu es prêt à conséder quelques choses, même si au goût de l'autre c'est pas assez et que c'est l'autre qui est égoïste car il refuse de s'obliger à rester mono malgré ses sentiments et pour toi et pour d'autre ?
Le polyamour n'est pas une question de cul mais de sentiments. Et on ne peut obliger quelqu'un à ressentir que certaines choses.
Peut on considérer moral d'accepter que quelqu'un puisse ressentir quelque chose mais lui empêcher de l'exprimer ?
Comprenons bien que quand deux personnes n'ont pas les mêmes besoins et ne sont pas d'accord sur quelque chose qu'ils jugent essentiel comme la relation a l'autre, il faut accepter soit de faire un compromis soit de se séparer.
Autre sujet: les enfants trans.
Vous trouvez tous cela bien que des parents soient prêts à filer des hormones à leurs enfants pour leur permettre un changement de sexe?
Déjà au niveau santé, je ne suis pas médecin mais j'imagine que des hormones pour un enfant ça ne doit pas être top.
Il y a aussi l'aspect maturité. Un changement de sexe ça n'est pas rien, ça doit avoir de grosse connaissance psychologique. donc pourquoi ne pas laisser l'idée mâturer tranquillement dans la tête de la personne intéressée et la laisser faire son choix une fois adulte?
Si ma fille s'était trouvé dans cette situation, je lui dirai qu'elle est trop jeune pour prendre ce genre de décision et que ça n'est pas à moi de décider de cela pour elle et par conséquent je lui conseillerai d'essayer de mettre ça dans un coin de sa tête et si dans quelques années elle est toujours dans cette optique, sa maman sera là pour elle.
En gros l'idée serait de la poussée à vivre sa vie d'enfant tout en ayant l'assurance que plus tard si elle a toujours envie de faire ce changement sa maman sera là pour elle et laimera quelque soit sa décision.En somme j'ai rien à dire là dessus, il me semble normal que la transition ne se fasse pas avant un certains degré de maturité, par contre rien n'empêche de respecter le choix de ton enfant s'il se reconnaît pas dans son sexe de naissance.
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C'est un peu court de balancer juste un lien qui renvoie vers un livre, controversé, qui plus est.
Y a à boire et à manger dans les avis. Si on passe outre, j'ai été lire un extrait du dit-livre.
"Il suffit de vouloir changer de sexe pour le corps médical et on le fait". Bah non pas du tout, y a des mois de processus psychologiques, un accompagnement. Je ne sais pas comment c'est ailleurs qu'en Europe mais ici, c'est extrêmement contrôlé et les démarches sont très lentes. Y a des années de processus. Donc non, on change pas de sexe comme de culotte. En plus, deux spécialistes et elles sortent ça sans aucune source. Moui moui.
Dernier paragraphe : le lien sourcé que j'ai mis dans mon précédent message (qui a été lu, je l'espère) démontre avec étude et preuve (IRM et cie) que ce qu'elles disent est faux. C'est pas une "une subculture idéologique", donc oui je peux le dire ce sont des propos transphobes. C'est pas au risque de passer pour des transphobes, c'est de la transphobie. Suffit de remplacer cette magnifique phrase par "au risque de passer pour des racistes, [insérez ici votre préjugé raciste du jour sans aucune source scientifique]".
C'est triste quand même... Avant même que le livre commence puisqu'on est dans l'avant-propos, le voilà déjà réduit à peau de chagrin parce qu'il n'est pas capable de mentionner des sources scientifiques et ne s'appuient que sur des opinions.
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@Loutre les livres d'opinions faut s'en méfier, y a un petit moustachu qui en a écrit un, c'est pas pour autant qu'il faut croire ce qu'il y a dedans.
Pas de faits à l'appuie et/ou corrélation douteuse ne fait pas figure de preuve.
J'ai lu qu'en somme pour les auteures, les réseaux sociaux était un véritables fléau qui meneré a une derive sectaire dans ce domaine et qu'il a été remarqué que peu de temps avant la prise de décision les réseaux étaient largement consulté.
Bah personnellement quand je m'intéresse à un sujet et que je veux être informer et avoir des avis j'ai aussi une hausse d'intérêt sur les réseaux sociaux, peut on affirmer qu'une personne peut décider de changer de genre et d'entamer une transition après avoir consulté pendant des dizaines d'heures des réseaux sociaux pour autant?J'ai lu aussi que le livre avançait qu'il y avait une hausse de 4000% des demandes de changements de genres en comparaison à quelques années auparavant, est ce du au fait qu'il y a un effet de mode ou du fait que c'est maintenant possible de le faire sans finir en HP et que c'est de plus en plus toléré?
Et peut être aussi car on en parle plus librement aujourd'hui, car pour être informer de ce qui est hors cadre, on peut difficilement compter sur les moyens d'information traditionnels.C'est facile d'avancer des chiffres et de leur donner la signification que l'on veut, mais ceux qui en parle le mieux sont les concernés.
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mal à l'aise un peu!! mais surtout la nostalgie des années 60
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@pompon les contemporains des années 60 disaient aussi que c'étaient mieux avant.
Ah l'époque où le mur de Berlin était encore présent et la guerre froide me manque. joke
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@Barbouille si c'est les murs le problème, on peut donner raison à @pompon
https://www.popcornfr.com/post/458346 -
@Marie-Thérèse les années 67 / 68
le quartier napoléon et le mur de berlin
j'étais militaire à cette époque !! pour moi une super époque !! c'était génial ! la forêt noire je l'ai parcouru dans tous les sens !! tout comme les rames entre khel et berlin
et dire que j'ai quitter l'armé pour une fille
les permes pour venir de strasbours à montpellier c'était 10h de train ! la plupart du temps c'était dans le couloir sur la valise
ensuite en gare de montpellier à 4 heure du matin six bon km de marche pour rejoindre la maison de mes parents
rien à voir avec le monde d'aujourd'hui -
@pompon Les murs, c'est de la psychose de paranosaures.
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@Marie-Thérèse : on pourrait aussi parler des murs que l'on érige dans notre tête pour se protéger de tout ce qui nous fait peur, bien que l'on sache depuis la nuit des temps que la peur n'évite pas le danger .
Le monde actuel fait peur : certains préfèrent ne pas savoir et zappent toute info, d'autres gémissent et pleurent et d'autres encore, la majorité sans doute, se résignent en se disant : on verra bien.
Le monde ne cesse de changer, rien ne peut rester statique et ainsi en est-il pour l'humanité. Comme l'inconnu fait peur, on le voit dangereux et forcément mauvais donc nocif. Il y a au début de tout changement des tâtonnements, des points à modifier.
Ce fut le cas avec le féminisme où pour se faire entendre, il fallut les " chiennes de garde " qui furent excessives certes, mais sans elles, les femmes n'auraient pas le statut qu'elles ont aujourd'hui ( y'a encore du chemin à faire ceci dit ! ).
Contre le racisme, j'avais rêvé que les unions mixtes et le métissage lui mettraient une grosse claque.
Que les cultures se côtoieraient et s'enrichiraient les unes les autres au lieu de se combattre ...
Je ne me sens pas mal à l'aise dans le monde actuel, il y a moyen d'y faire sa place. Je me sens, je nous sens impuissants à exercer une quelconque influence sur ceux qui dirigent et sabotent le monde. Mais je ne désespère pas qu'une vraie grosse crise permettra un changement, puisque tout change, puisque rien ne reste immuable.