Votre lecture du moment
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Michael Christie - Lorsque le dernier arbre
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Je commence Le Cabinet des illusions de Jean-Luc Bizien encore pris au hasard en bibli parmi les dernières entrées.
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J'ai commencé la lecture du tome 1 de "le prieuré de l'oranger".
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@Artelise Oh ce parpaing bon courage !
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Les ombres du monde - Michel Bussi
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@Artelise, oh, il est dans ma PàL celui-ci. J'en ai entendu beaucoup de bien

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@Elenwey @Artelise Le sujet du livre est tout prêt pour recevoir vos avis

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Octavia E. Butler - La parabole du semeur
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Alors pas encore "du moment" car tout frais venu de ma bibli, mais sur ma table basse figure Du côté sauvage de Tiffany McDaniel.
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J. D. Salinger - l'Attrape-coeurs
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La Mélancolie de la résistance de Laszlo Krasznahorkai, dernier prix Nobel de Littérature. J'avais déjà lu un de ses romans il y a plusieurs années mais je n'avais pas été emballée par ses phrases à rallonge qui perdent le lecteur. Je retente avec un de ses livres les plus abordables et pour le moment, au bout de 40 pages, c'est plutôt très bon !
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Albert Moukheiber - Neuromania: le vrai du faux sur votre cerveau
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Saint Luigi : comment répondre à la violence du capitalisme ? de Nicolas Framont
Je vous mets le 4ème de couverture :*Est-il condamnable de tuer une personne responsable de la mort et de la souffrance de milliers d'autres ?
Luigi Mangione, érigé en icône par une partie du monde, est accusé d'avoir assassiné Brian Thompson, PDG de la première assurance santé privée des États-Unis. Son geste présumé est évidemment illégal, alors que celui de sa victime, responsable d'une politique agressive de refus de remboursements de soins souvent vitaux, est tout à fait acceptable, voire estimable dans le système capitaliste.
La violence du capitalisme, c'est une violence que l'on cache, qui est discrète, qui se décide avec des PowerPoint et qui pourtant s'exerce partout, aux États-Unis, en France et dans le reste du monde. Face à cette violence, ne devrions-nous pas hausser le ton et changer de tactique ? Jusqu'à quel point et à quel prix ? Ce sont ces questions que la personnalité de Luigi Mangione soulève, de façon spectaculaire et dérangeante.*