Décris-moi un mouton
-
Salut les plumes ! Suis pas trop en retard pour une fois !
J’ai perçu ton appel et j’ai voulu te rejoindre ailleurs que dans mes rêves, m’enfuir de cette vie anonyme , respirer ton grand souffle , savourer une liberté légitime sur une terre ocre et aride, berceau de l’humanité, gardée par de nobles géants à la silhouette fière et divine. Là bas, ta beauté se meurt parfois dans l’oubli.
Ici, les rayons ardents du soleil m’ éclaboussent et tes plaines me caressent. Je me sens vivante.Dans ce piège émerveillé, mon cœur se mêle au rythme des tambours et se pâme au ciel couchant.
Suivant la piste qui serpente dans la poussière, la vie s’anime et s’organise autour d’étals de fortune, fruits, arachides, bijoux, épices aux vertus aphrodisiaques, roues de camions. Tout s’échange et tout se négocie.
Tu me fascines et tu m’emportes, ma belle amie couleur d’ébène, dans ta magie et tes mystères, sous le regard des marabouts. Comme un voyage dans le temps, pour conjurer les mauvais sorts et donner la chance aux vivants, tu m’apprends que les grigris se portent au ceinture ou bien au cou des élégantes.Ce soir le village est paisible . Les baobabs veillent. Je me sens libre et envoûtée par le son des djembés qui jouent des rythmes lents et percutants dans le soleil couchant.
Un feu danse et crépite . Les enfants ont fait silence pour boire les récits des conteurs et rêver de safaris ,d’éléphants bien gris et de chasse au trésor.
Terre d’amour, terre d’espoir sertie de douces pierres. Je me sens bien chez toi !
Hakuna Matata! -
@kachina mon triple like privilège d être le capitaine ou plutôt l instigatrice de ce topic
-
-
Profitons de son absence .Je suis tombé sur ça par hasard :
Caractère du prénom Ayamé
Ayamé dénote une personne aventureuse. Il s'agit d'un individu déterminé et audacieux, en demande de nouveauté. Malgré le fait qu'Ayamé puisse se montrer curieuse, elle peut être assez imprudente. Avec elle, les buts fixés seront atteints, car elle n'a pas peur de se lancer des challenges jusqu'à y parvenir.Ca reste entre nous, hein ?
-
Mots à glisser: safari, épices, éléphant et baobab. Thème l'Afrique.
Sous les ailes de l'avion qui les emportait vers l'Afrique si cher à leurs coeurs, une mer de nuages blancs et moutonneux s'étendaient à perte de vue. Le voyage qui à l'origine devait être un agréable safari photos s'était transformé en véritable casse tête. Comment concilier l'envie de nature et grandes étendues sauvages de Léo et besoin de nourrir l'appétit culturelle et historique de Margaux. Finalement ils avaient coupé la poire en deux. Les dix premiers jours de leur périple seraient consacrés à la découverte de la faune sauvage des plaines du Serengeti en Tanzanie. Observer, par eux même, les grands prédateurs de la savane dans leur milieu naturel valait tous les reportages animaliers du monde. Léo était comme un enfant, son regard émerveillé se posait sur les graciles antilopes bondissantes, puis il observait respectueux les éléphants qui arpentaient de leurs pas lourds et lents la terre brulée par le soleil. Son sourire éclatant et ses yeux pétillants montrait à quel point il appréciait son voyage de noce. Son amour pour la petite femme qui se tenait à son côté était comme ce baobab qui se détachait immense et solitaire dans la nuit enflammé du soir. Avec elle, il se sentait fort, protecteur et majestueux, elle était non seulement son amour, sa complice, son amante, son âme soeur et son amie depuis toujours.
Aussi pour lui plaire il avait fragmenté leur voyage et dans les prochains jours, ils découvriraient main dans la main les murs de la "Perle du Désert". Tombouctou et son passé glorieux les attendait. Ville historique nommée également la ville aux "333 saints" elle abreuverait certainement le besoin de dépaysement de sa douce moitié. Il ne doutait pas un seul instant que sa puissante imagination la propulserai par dela les époques aux temps anciens où la ville était la plaque tournante du commerce des épices, des dates, du tabac, du sel et parfois loin des regards profanes initiatrice du trafic d'esclaves. Le voyage s'annonçait sous d'heureux hospices. -
@lissilma
WalaWalaWala, que c'est bien écrit !
On s'y croirait, on a les images et les parfums, j'aime beaucoup
Et puis "Léo posant son regard sur les antilopes graciles..."
Ca me donne faim ! -
@lissilma rien à redire. Tu me donnes envie de revoir le film "out of africa"
@leitmotiv Quoi ??? tu mangerais une antilope toi ?
-
@kachina Ben oui si Léo m'en laisse un morceau !
Léo est la racine latine de lion, alors c'est lui qu'à commencé !
C'est de la provoc
".Léo était comme un enfant, son regard émerveillé se posait sur les graciles antilopes bondissantes" tu m'étonnes... -
@leitmotiv ah! dans la savane tu sais c'est "que le meilleur gagne" (et une antilope ça court vite )
-
@kachina ou celui qui court le plus vite...!
comme tu dis -
@leitmotiv tout à coup j'ai en tête une chanson " dans la jungle, terrible jungle ......"♪♪♪
-
@kachina oOwembowé oOwembowé...
-
-
@kachina je connais mes classiques non mais !
-
@leitmotiv en fait, je voulais juste savoir si tu suivais bien .
-
Aveux...
Des baobabs, je ne sais qu’une seule chose, c’est qu’ils sont une réelle menace pour les mini-planètes. Le petit prince, nous l’a dit : il faut penser à en arracher les pousses très tôt, de crainte que l’arbre ne finisse par tout envahir.
Des safaris photos, je ne connais que le principe : Se lever tôt pour parcourir des kilomètres en voiture en suivant un guide qu’on ne connait que de réputation, avec au cœur l’espoir de croiser quelque animal sauvage – lion, gazelle, girafe, éléphant… - dont on immortalisera l’image avec plus ou moins de bonheur sur une pellicule désormais numérique.
Des épices, je ne connais que les noms, mentionnés ici où là dans les quelques émissions que je regarde parfois avec plus ou moins d’attention et sans jamais faire vraiment d’efforts de mémorisation.
En vérité, de l’Afrique je ne connais vraiment pas grand-chose. Quelques films, une multitude de documentaires, de nombreuses images m’en ont donné une vague idée. Mais je n’en connais pas la chaleur, les senteurs, les parfums de ses vents, l’immensité réelle de ses paysages, ses cultures, sa gastronomie… Oui, tout ça reste pour moi méconnu et étranger à mes sens.
On me dit qu'un voyage pourrait palier à ce désert culturel...
Peut-être bien... Après tout, ce n'est pas l'argent qui me manque. Ni le temps, d'ailleurs.
Surtout depuis que...bon, on verra demain..
D'ailleurs, on sonne à la porte.. mon kebap arrive.. ça sera déjà une sorte de premier pas...dernière page du Journal Intime de Verana.
Tome 47... le 29 mai 1997...Edit... modif de la date fictionnelle après vérification d'un petit détail technologique.
-
@artelise Tom 47 ? j'ai du ratr qulqus pisods
Bah désolé j'ai un touch d mon clavir qui rst coincé, dvinz laqull
A+ -
@leitmotiv a dit dans Décris-moi un mouton :
@artelise Tom 47 ? j'ai du ratr qulqus pisods
Bah désolé j'ai un touch d mon clavir qui rst coincé, dvinz laqull
A+mon pauvre... j'espère que ça va se résoudre..
-
@artelise c'est fait merci
-
@leitmotiv quand on dit taper sur un clavier c'est une image hein