@Mayhem
Avec le temps, je n'en ai plus envie : C'est si bon un plat peu salé mais très parfumé où se rejoignent légumes frais, légumes secs et céréales...
Messages postés par apis 32
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RE: La consommation de viande
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RE: Nos rencontres fortuites...
@Chloé
Cet article répond en même temps à ta question.
Si tu trouves un petit non sevré, c'est du lait maternisé pour chiot ou chaton qui conviendra.
https://www.lpo.fr/decouvrir-la-nature/conseils-biodiversite/conseils-biodiversite/accueillir-la-faune-sauvage/faut-il-donner-a-manger-aux-herissons -
RE: Nos rencontres fortuites...
@Chloé
Ne JAMAIS donner de lait aux hérissons : oui, ils le boivent, mais y sont intolérants... -
RE: Partagez tout ce que vous voulez
Ce week-end, au CMDT à Toulouse, ce sont les rencontres quelles danses pour quels bals. Cela m'a inspiré une réflexion sur ma proppre pratique de la danse...
Les rencontres autour de la danse, c'est ce week-end... et j'ai hâte d'y être, d'entendre toutes ces personnes qui nous font ou nous apprennent à danser...
Du coup, je me pose la question : Pourquoi la danse occupe-t-elle, depuis toujours, une telle place dans ma vie ?
Les premiers pas dont je me souviens, j'avais 4 ans, c'était à Clermont Ferrand dans une école dont le nom de la directrice me faisait rêver. Titane Saint Hubert...
Il y a eu ensuite plusieurs cours, plusieurs professeurs, au fil des déménagements : rythmique, classique, méthode Irène Popard...
En 1974, je suis arrivée dans le Gers et, moi qui n'étais de nulle part j'ai voulu y planter des racines.
C'est donc naturellement que j'ai très vite rencontré les danses traditionnelles, dans un atelier... à la prison de Condom !
Puis, à l'Isle Jourdain j'ai découvert les bals mensuels de la Maisoun Mjc et c'est finalement là que je me suis posée...
J'ai appris à danser, en dansant et j'ai beaucoup dansé, beaucoup tourné, beaucoup sauté... jusqu'au jour ou je me suis fait semoncer par Léa Saint-Pé pour avoir sauté la polka alors qu'elle jouait sous la halle de l'Isle Jourdain qui n'était pas encore le musée campanaire.
La danse a été le premier vecteur de mon intégration en Pays Gascon.
J'ai renoncé aux bals quelques années : Mon compagnon n'était pas danseur, les enfants étaient petits. Je retournais à la MJC un soir par semaine pour de nouvelles découvertes : modern jazz, contemporaine, africaine...
Je suis revenue au trad grâce au Carnaval Gascon qui a mis en place un atelier avec Paulette... et j'ai réappris à danser. Plus précis, plus glissé... et le plaisir s'en est encore accru.
Le retour au bal a été... thérapeutique.
En 2003, au décès du père de mes enfants, j'étais triste et fatiguée. Le sommeil me fuyait... Danser jusqu'à épuisement, tous les samedi soir me vidait la tête et m'offrait une nuit de sommeil réparateur. Je crois que c'est grâce aux bals trad que j'ai pu faire face, m'occuper de mes enfants, continuer à travailler.
Le goût de vivre est petit à petit revenu, le goût du bal est resté, redevenu joyeux.
Depuis, je n'ai pas arrêté de danser...
Danser, c'est me laisser porter par la musique, guider par un partenaire, envelopper par un groupe.
C'est me référer à un code, à des règles qui offrent les bases d'une merveilleuse liberté de mouvement.
C'est vibrer aux mêmes fréquences que les musiciens.
C'est rencontrer des gens de toutes générations et d'innombrables façons de danser .
Pour moi, j'aime à connaître les différentes formes collectées, et j'aime aussi m'en évader.
Et, encore à mon âge, j'aime glisser, virevolter, tournoyer, au même rythme que les musiciens et les danseurs.
Si je vis longtemps, peut-être qu'il faudra m'inventer un déambulateur à roulettes, pour que je puisse danser encore... -
RE: Le Bonheur du jour !
Ce soir, cours d'occitan.
Comme la dernière fois j'avais fait remarquer que c'était vraiment difficile pour les débutants de s'exprimer oralement au milieu de ceux qui étaient déjà un peu locuteurs, le prof nous a proposé des situations à préparer, puis à "jouer" à lire, en fait, pour l'instant.
Dans mon groupe, nous nous sommes beaucoup amusés à rédiger et avec une autre vraie débutante nous avons présenté aux autres... qui ont compris ce que nous disions !
Cela m'a bien encouragée ! -
RE: Que portez-vous pour dormir ?
@wawa007
Alors ça, je n'aurais pas confiance...
Une bonne couette, maintenant en en fait de légères, et des draps en flanelle l'hiver, ça suffit ! -
RE: Que portez-vous pour dormir ?
@Marcel
Je crois aussi que les possibilités de confort nous ont donné des habitudes... contre nature.
Quand j'ai pris ma retraite, j'ai décidé- de faire attention à mes dépenses énergétiques
- de ne pas vivre dans l'inconfort.
Au début, je chauffais à 16 degrés les pièces où je n'étais pas.
Je montais à 18 degré dans la cuisine quand j'y étais, à 17 dans la chambre, à 20 dans la salle de bain pour prendre la douche.
Au bout de 7 ans de retraite ( j'ai donc vieilli d'autant ), je suis bien pour dormir à 16 degrés, pour prendre la douche je monte à 19 degrés mais je n'attends pas que ça ait beaucoup chauffé pour commencer à me doucher.
Dans la cuisine, on ne monte plus qu'à 17. Dans le salon, le poêle fonctionne bien et le soir il fait 17 ou 18 degrés, avant moins mais cela m'est égal puisque je bouge, sinon, je mets une couverture...
Je n'attrape ni angine ni bronchite, parfois des petits rhumes qui ne résistent pas aux tisanes thym-miel...
Avant l'électricité je pense qu'on ne chauffait pas autant qu'aujourd'hui, et je pense qu'il va falloir y revenir, tant pour la santé que pour l'énergie...
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RE: Que portez-vous pour dormir ?
C'est drôle, parce que même en période de grand froid, comme ces jours ci, c'est... rien du tout, avec un peignoir sur le lit pour me lever .
Et dans la chambre, on maintient la température à... 16° !
Par contre, dès que je jeûne, j'ai froid : je me suis acheté un pyjama chaud. Et s'il ne fait pas très chaud, il me faut des chaussettes ( alors que depuis que je suis à la retraite je n'en porte plus, je suis pieds nus la plupart du temps.) -
RE: Le Bonheur du jour !
Hier, soirée dans la bastide de Pavie ( dans le Gers, bien sûr ).
Histoire des lieux, histoire de la forme gasconne de l'occitan ( créolisation du proto basque et du bas latin ) qui se serait "fixé" vers l'an 1000, et toponymie.
C'était passionnant et je me suis noté plein d'informations...Ce matin, c'était l'anniversaire de mon musicien chanteur préféré, Guillaume Lopez, et je me suis lancée : J'ai rédigé mon message en gascon . ( Bon, lui parle plutôt languedocien, mais on se comprend ! )
Il m'a remerciée en occitan.
Parler, je ne suis pas encore prête, mais écrire, dictionnaire du tel d'une main et fiches de grammaire de l'autre, ça me prend un peu de temps, mais j'y arrive !
Je suis trop fière d'arriver à faire ça à presque 70 ans, moi qui ai toujours été nulle en langues... -
RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@Mnemmeth
Ah zut ! Tu as un PC qui n'aime pas les souris... -
RE: Le Bonheur du jour !
@Antigua
Ah non !Les jours qui rallongent, oui !
L'heure d'été, non !Merci ! J'ai trouvé le slogan de ma croisade !
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RE: Le Bonheur du jour !
@Kachina
Même si on a parfois l'impression que le changement climatique essaie de nous ravir le printemps et l'automne, ces deux là restent mes saisons préférées... -
RE: Le Bonheur du jour !
@Kachina a dit dans Le Bonheur du jour ! :
Plus que 5 mois et
c’est l’étéla caniculeMoi, je dis plus que 2 mois et c'est le printemps. Mais du coup, je ne sais pas si je suis plus ou moins optimiste que toi !
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RE: Vos pires dates / rencards
@Shanna
Bah, en faisant comme moi : En passant de la page 1 à la page 5.
Mais c'est vrai qu'il manque une marche dans le raisonnement, du coup... -
RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Cynthia80
Mon expérience, dans l'enseignement privé, c'est d'avoir profité de beaucoup de liberté.
Cela nous a permis, avec mes collègues spécialisées de déployer ( à moyens constants ) nos postes sur toutes l'es écoles du département, pour qu'aucun enfant à besoin particulier de bénéficie pas d'une aide.
Nous avons, avec l'aval de notre hiérarchie organisé notre formation et notre politique de fonctionnement. -
RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Cynthia80
J'ai personnellement fait toute ma carrière d'enseignante dans l'enseignement privé, ce n'est pas la question.
La question, c'est l'équilibre à trouver entre ses propres intérêts et le bien commun.
Quand on travaille dans un établissement privé participant du système public on reste guidé dans ses objectifs et sa pratique par le bien commun.
A fortiori quand on occupe un poste de responsabilité à la tête de l'état, qu'on soit élu ou nommé.
De plus en plus nos dirigeants sont tellement "hors sol" qu'ils n'ont plus aucune idée de ce que peut être le bien commun. C'est cela qui est problématique. -
RE: Animaux choupis
@ayamé
J'en rencontre rarement...
Alors que les chevreuils, c'est presque quotidien... -
RE: Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait
@Jabba-the-Hutt a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :
Une des caractéristiques sociétales de l'élite est de s'extraire facilement des règles communes. Et une des conséquences de cela est une sorte de mépris pour le respect des règles et de ceux qui les respectent.
Et pour moi, ça devient franchement insupportable.
D'autant que la désobéissance civique, elle n'est pas tolérée.