Meilleurs messages postés par Artelise

@Biquette

merci pour le tag.
Mon fils a regardé; Il est dispo sur Steam, mais pas en gratuit.
(et il n'a pas envie de se faire un compte Epic Game^^).
Il l'a mis dans sa liste d'envie cadeau, mais il donnera malgré tout la priorité à Worldless.

@Gaip

je viens de jeter un coup d’œil rapide sur le web.
C'est assez intéressant de constater qu'on trouve le produit dans les catalogues de boutiques en ligne dédiées à deux domaines différents : la lecture et les travaux d'aiguilles.

Les prix varient, mais ça reste abordable, je trouve, dans l'ensemble.
Merci ! ton partage devrait pouvoir nous être très utile.

@Shanna

je pense que ce serait plutôt sur les thèmes des fantômes.

Je veux dire, j'ai survécu à Scream (ok, c'est léger), mais j'ai pas osé décroché mon tel durant plusieurs jours après ça. J'ai vu "souviens toi l'été dernier aussi" - le 1, je crois.
J'ai vu "dreamcatcher" de King aussi, au ciné. On ne m'avait pas dit que c'était du Stephen King, hein ^^ Et c'est passé ^^ Carrie aussi que j'ai même osé lire en bouquin ^^

Poltergeist, m'a donné des frissons et j'ai bien été flippée en regardant ce film (j'étais ado quand je l'ai vu), mais j'en garde pas un mauvais souvenir.

Par contre, je refuse de voir à nouveau "Greemlins".
ça ne me fait pas seulement peur, ça ... je ne sais pas... ça me donne envie de fuir, loin, très loin. Le film "ça", rien que de voir l'affiche, j'ai envie de m'enfuir en courant ^^.
J'ai regardé "Stranger Things" aussi et j'attends la suite parce que l'histoire m'intéresse, mais je dois avouer que certaines scènes ont clairement marché sur les limites de ce que je tolère, visuellement parlant.

en ce qui concerne les films de zombies, ils faut qu'ils restent en décors de fond et qu'ils ne soient pas trop présent. En fait, I'm a legend, c'est ma limite.

En fait, c'est pas que j'aime pas avoir peur de temps en temps, hein.
Mais quand il y a trop de sang, de blessures "ouvertes" ou des "transformations" qui font que les "humanoïdes" ressemblent encore à des humanoïdes mais avec des "angles bizarres" ou "des démarches bizarres", ben, ça me tord l'estomac ^^
Pour dire : je ne regarde pas "One piece" à cause de ça ^^ Luffy me met mal à l'aise. L'un des extraits que j'ai aperçu un jour avait réussi à me faire faire des cauchemars ^^.

Enfin voilà, quoi..
(je suis pas sûre d'avoir été claire, mais je parle ici de réactions et ressentis viscéraux et c'est dur à expliquer).

Titre original : 忘れられたレシピ (Wasure rareta reshipi)
Auteur : Hisashi Kashiwai
Genre : Contemporain, tranche de vie, gastronomie.
Éditeur français : Nami / Actes Sud (collection Picquier)
Date de publication en France : à partir de 2024
Nombre de pages : Environ 300 (à adapter selon édition)

A ce jour, la série de livre compte 7 tomes au Japon.
En France, si j'en crois Babelio, il y a 3 tomes disponibles

• le restaurant des recettes oubliées - celui que j'ai lu et dont je vous parle ici.
• le restaurant des recettes oubliées : deuxième service
• le restaurant des recettes oubliées : à la carte.

synopsis du tome 1 :

Dans ce roman apaisant et profondément humain, l’auteur nous invite à pousser la porte d’un restaurant un peu particulier, niché dans une ruelle discrète de Kyoto. On n’y vient pas pour découvrir des plats à la mode, mais pour retrouver le goût d’un plat dont on se souvient parfois à peine… et sans doute, sans s’en rendre compte, tout autre chose qu’un souvenir culinaire.

Mon avis :

Le format du roman peut déstabiliser un peu car, bien que le lien soit évident puisqu’on retrouve toujours Nagare et sa fille Koishi ; dans la forme, on est presque plus proche du recueil de nouvelles que d’un roman à part entière. Les récits font la part belle à la gastronomie japonaise avec des recettes parfois très détaillées. Toutefois, c’est un livre qui nous amène toujours au-delà. Le voyage n’est donc pas uniquement culinaire, mais aussi intérieur, car il nous aide à percevoir les liens invisibles entre la cuisine et l’âme.

Je vous le recommande surtout si vous aimez les romans dits « Feel-good », les ouvrages qui parlent de gastronomie ou les livres qui nous transportent vers d’autres horizons culturels.

Alors, prêts pour le voyage ?

@Jabba-the-Hutt

Non, clairement, je ne parle pas de déterminisme non plus.
Je parle de savoir accepter certaines réalités.
Je parle du fait que, certaines personnes après avoir essayé de toutes leur force, après y avoir cru, après s'être dit "je ne suis pas plus bête qu'un.e autre, je vais y arriver", après avoir dit "comment ça, le bricolage, c'est pour le mec, eh bien, ils vont voir".. après.. après.. après.. Ben, parfois, force est de constater que ben, non, il est des choses qu'on ne peut pas faire.

On ne peut pas être doués en tout. Il ne suffit pas toujours de vouloir pour pouvoir.
Sans parler du fait que nous n'avons pas d'affinité pour tout non plus. Pour apprendre à bien cuisiner, coudre, jardiner, bricoler, dessiner, peindre... il faut déjà aimer ça ! Comment apprendre correctement, sinon ?

Un exemple concret : ça fait presque 17 ans que je vis en Autriche. On pourrait croire, après tout ce temps, que je parle couramment l'allemand, non pas aussi bien que ma langue maternelle, mais pas loin.. parce que 17 ans, quoi ! Il y a des gens, qui deviennent bilingues, voire polyglottes en une paire d'année, après tout ! Et pourtant, ce n'est pas le cas. Pourquoi ? Parce que je ne me suis pas assez appliquée ? Parce que je n'ai pas fait assez d'efforts ? Ou bien faut-il que je reconnaisse et que j'accepte l'idée que l'apprentissage des langues, ce n'est pas mon point fort ?

Non, il ne s'agit pas de parler de déterminisme. Il ne suffit pas de dépasser une quelconque idée reçue ou une paire d'a priori. Il s'agit d'accepter le fait que nous avons tous des points forts et des points faibles, une forme d'intelligence qui sera différente de celle de son voisin et que donc, non, il ne suffit pas toujours de vouloir pour pouvoir.

Et sache que c'est ton discours qui me donne l'impression d'un refus obstiné d'accepter que chacun puisse être différent et que tu réduis l'être humain à des sortes de machines toutes basées sur le même modèle et donc censemment capables des même choses. Et c'est cela qui, de mon point de vue est réducteur puisque cela nie cette richesse qui fait de nous des êtres humains : tous différents, mais tous capables de nous compléter, palliant avec nos forces, les faiblesses des autres.

@jool a dit dans Les souls-like :

c'est une histoire de persévérance et de motivation

certes, mais faut supporter de voir "Game over" ou "vous avez péri" toutes les 5 mn ^^
comme @Kallindra, quand je joue, c'est pour me détendre. Un peu de défi, oui. Parce que quand c'est trop facile, c'est vite ennuyeux. Mais, point trop n'en faut.

Maintenant, quand je vois mon fils jouer à Elden Ring et que je vois à quel point il faut être précis dans ses timings pour vaincre les ennemis, je me dis que c'est clairement pas fait pour moi, même motivée de fou, je n'aurais certainement plus les réflexes pour y arriver.
(A noter que, déjà jeune, question précision et réflexes, c'était la misère. Et c'est la raison pour laquelle je déteste les jeux de plateaux et/ou de "jump".)

Mais j'admire ceux qui sont capable d'aller au bout de ces jeux. En plus, souvent les univers, bien que dark, sont souvent très beaux.

@Guizmo

Titre original : 별의 계승자들 (litt. l'héritage des étoiles)
Auteur : Kim Bo-Young (김보영)
Pays : Corée du Sud
Genre : Science-fiction, anticipation, réflexion sociale
Éditeur français : Payot et Rivages
Date de publication vf : 2024
Nombre de pages : 336 pages

Synopsis²

Cet ouvrage regroupe trois récits qui, à l’origine, ont été publiés séparément.

Les deux premières parties sont intimement liées et peuvent être présentées à travers un même synopsis.

Dans un futur lointain, l’humanité a appris à voyager à une vitesse phénoménale, proche de celle de la lumière. Il est désormais possible de s’aventurer plus loin que jamais, aussi bien dans l’espace que dans le temps — conformément à la théorie de la relativité d’Einstein et à la notion d’espace-temps.

C’est dans ce contexte qu’un jeune homme et une jeune femme décident de se marier. Elle doit faire le voyage depuis Alpha du Centaure. Le trajet durera quatre ans.
Son fiancé, resté sur Terre, choisit alors d’embarquer à bord d’un vaisseau qui effectuera quelques boucles dans le système solaire avant de le ramener… exactement quatre ans plus tard. Il prend ses dispositions : il envoie les invitations à leurs amis et réserve une salle pour le mariage.

Mais rien ne se déroulera comme prévu.

La troisième partie de l’ouvrage reprend l’idée du voyage temporel induit par la navigation interstellaire à ultra-haute vitesse, et explore les conséquences possibles d’une telle technologie.
Les quatre récits qui composent cette section ont un point commun : Seongha, un voyageur temporel qui cherche à atteindre les confins de l’univers.
Les thèmes abordés sont variés, oscillant entre spéculations scientifiques, questionnements existentiels et réflexions quasi métaphysiques.

Mon avis perso :

Les deux premières parties sont à la fois tragiques et profondément humaines.
Le choix du format épistolaire nous plonge au cœur d’une intimité bouleversante, offrant un point de vue subjectif sur les événements qui se déroulent sous nos yeux.
Tout comme eux — d’abord lui, puis elle —, on ne comprend pas toujours tout ce qui arrive, on observe, on subit.
On partage alors leurs émotions qui oscillent comme des montagnes russes, entre espoirs et désespoirs, les poussant chacun à prendre des décisions lourdes de conséquences.

La dernière partie, quant à elle, adopte un ton différent, plus réflexif, introspectif, presque philosophique, même si elle s’appuie toujours sur des spéculations scientifiques.
J’ai particulièrement apprécié que, malgré ces bases scientifiques solides, l’auteure parvienne à nous inviter à une réflexion profonde sur l’humanité : ses désirs, ses limites, ses valeurs, et son devenir ultime.

De la très belle science-fiction, où le mot "anticipation" est poussé à ses ultimes retranchements.
Un petit bijou à découvrir absolument !

Ce genre de récit vous tente-il ?
Pensez-vous vous laisser tenter par ce voyage hors du commun ?

Je vais me défouler un peu aussi, tiens !

Qu'est-ce que j'en ai ras-le-bol de ces gens qui critiquent les autres, s'autorisent des généralités et des amalgames sous prétexte de coup de colère ou d'agacement !
'tain, ils ne se rendent vraiment pas compte que c'est à force de ce genre d'amalgames et de raccourcis que les esprits s'étriquent, les a priori naissent et grandissent et que les préjugés se répandent ?!

@Elenwey
j'ai surtout l'impression que les sachets de thé ont fini par mettre au rebus une certaine façon d'aborder l'art de boire du thé. C'est un domaine qui a été atteint, comme bien d'autres, par le désir de faire "plus vite, plus facilement" quitte à perdre du sens et du goût.

Il y a d'autres choses aussi peut-être à prendre en compte dans l'apparition des théières dans les films / séries : d'abord, c'est plus élégant que de sortir le sachet de thé et ensuite, c'est plus facile ainsi d'éviter le placement de produit.

@apis-32 a dit dans La communication chez le chien :

Non, notre chien le plus joueur

euh.. si le chien s'appelle "Non". comment vous faites pour lui dire "non" ?

@jool

perso, je suis venue m'amuser.. je sais très bien que question vitesse, je n'ai aucune chance. lol.

j'ai pas de chance jusqu'à présent, quand je sais, on me grille et quand j'ai le temps de répondre, je connais pas.

Alors, pour commencer, les germanophones ont des véhicules "neutre" l'article qu'ils utilisent étant das Auto, pour la voiture ou das Fahrzeug pour le véhicule.

Ensuite, je plussoie ! Trop d'assistance tue la vigilance, selon moi.
Je n'utilise donc, dans ma voiture que le limiteur de vitesse. J'ai essayé le régulateur de vitesse, au bout de 5mn, je regardais le paysage comme si j'étais passagère !
Et je n'utilise l'assistance au parking que lorsque je suis pressée de me garer vite fait bien fait ou lorsque je pressent que j'ai la place, mais pas le talent pour m'y loger.

Par contre, ma voiture à quelques commandes aux volants que j'aime bien (pour monter ou baisser le son ou changer de musique). Un truc aussi, que je trouvais assez gadget... mais que finalement j'utilise assez souvent, c'est la commande vocale (pour lancer un titre ou demander un album qu'on a envie d'entendre, c'est pratique de ne pas avoir à lâcher le volant pour manipuler la liste de lecture)

Sinon, j'avoue que je ne crois en la voiture autonome que dans le cadre d'un ensemble de voiture autonome... Ce que je veux dire, c'est que la voiture autonome aura, normalement, un comportement prédictible. Elle respectera les distances, les vitesse, mettra le clignotant systématiquement pour tourner / doubler... etc. Ce qui n'est pas le cas d'un conducteur lambda. Une voiture autonome au milieu de conducteur lambda aura, à mon avis, trop d'imprévisible à gérer. Par contre, plus il y aura d'autres véhicules autonomes autours d'elle, et plus il sera facile de se "concentrer" sur les imprévisibles "hors chaussé" (un chien qui traverse, par ex.) et donc, à mon avis, c'est un système qui ne sera vraiment viable et sécurisant que lorsqu'on aura atteint un certain nombre véhicule en circulation.

@Egon

oh, punaise, mais c'est que ça t'arrive vachement souvent en plus, en ce moment.
Je t'envoie des pensées positives pour te soutenir et t'aider à garder le moral.

ouch !
je compatis.
C'est tellement vrai qu'ils ne se plaignent pas, ces braves toutous.
Bon courage et bon rétablissement à Marty.

@Mnemmeth

Et il pipe rien avant de balourder sa réponse..
il va dormir dans le canap ce soir !

j'aime pas trop son style ni ses chansons, mais elle a une voix vachement reconnaissable.

Edit : elle passe sur les radios de temps en temps, ici, en Autriche

@wawa007 y a une astuce aussi bien chelou pour les pirates : composer ses mots de passe en utilisant des mots d'origine étrangère et sucrer les voyelles ou les consonnes au passage.

@icescream

bon courage !

Ici, c'est la voiture que nous avons dû laisser au garage ce matin.
Ils essaient de s'en occuper aujourd'hui... ou demain.. ou peut-être après demain ^^
Les symptômes : Elle vibre au ralenti comme si elle souffrait d'un Parkinson, et la boîte de vitesse nous cause des soucis - on a beau appuyer à fond sur la pédale d'embrayage, il faut forcer une fois sur deux pour réussir à changer de vitesse.