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@pompon : les setters effectivement ne sont pas les plus faciles à éduquer. Il faut savoir qu'ils sont foufous jusqu'à 2 ans ! Ils ont un gros besoin de balades et de pouvoir fureter, ce sont des chasseurs par excellence.

@Marcel : j'ai un jardin et mes chiens peuvent faire le tour de la maison, mais ça ne leur suffit pas : ils le connaissent par coeur. Ils ont besoin de leur promenade quotidienne et pas de 15 mn mais d'1 heure. Bon, ce sont des jack russell, une race qui a besoin de se dépenser.

@cygoris : il n'y aurait pas de country en français ? Bien sûr que si.

Et pour que la parité soit respectée, voici la même chanson chantée par une femme .

Bon ,j'avoue préférer la version de Paul Brunelle pour les ououou, et le rythme qui me semble plus soutenu .

@Cynthia80 : et maintenant, on tombe dans l'excès inverse et presque tu nous dis que les laits maternisés sont mieux que le lait maternel ! " On peut mieux connaître la quantité bue, etc." : l'enfant prend ce dont il a besoin et tant que sa courbe de poids est ascendante, tout va bien.
Mon pédiatre ne voulait pas que je pèse mon bébé tous les jours : " un stress bien inutile ", me disait-il et il avait bien raison.
Hormis cas particuliers, le lait maternel est fait pour les bébés humains. En outre, il contient des anticorps bien utiles.
Dans le temps, les lais maternisés n'existaient pas, donner du lait de vache ou de chèvre n'était pas l'idéal mais ça faisait l'affaire. Maintenant, les laits maternisés sont bien conçus pour correspondre au plus près des besoins du bébé.

@waverider : tant mieux que tu aies compris mon propos :).
Tu comprends donc que tu es et seras aimée pour ce que tu es, que ne pas être toujours compris,
c'est vrai pour tout le monde et que tu ne resteras pas seule à vie si tu ne le veux pas ;).

@noname a dit dans Juste envie de m'exprimer :

Merci infiniment de vos réponses, elles me touchent et m'enrichissent beaucoup, et me donnent envie de donner le meilleur de moi même !

N'oublie pas de te donner à toi aussi le meilleur de toi-même .
Par exemple : en ne te dévalorisant pas, en n'ayant pas honte de tes états d'âme et surtout :
en croyant en toi. Nous avons tous des points forts et des points faibles.
Identifie tes points forts et exploite-les, ils sont ta richesse personnelle.
Voilà le conseil de "mama " ayamé ;).

@pompon : " ils sont aussi très présents avec les chasseurs du grand gibier "... surtout le sanglier ! Je ne le sais que trop. Des chasseurs perdent parfois des chiens, éventrés par le sanglier acculé.
Tu comprendras que je préfère éviter ce sujet.

@cygoris : j'aime la chanson, mais le clip...ne correspond pas à lesprit de la country qui tient pour moi en 1 mot : convivialité, oh yeah .
Pour faire le contrepoids, un peu de douceur .

@icescream : je suis bien d'acord, l'auteur aurait mieux fait de dire : monde sans cons

Ma mère me critiquait souvent aussi parce que je ne faisais pas les choses comme elle l'aurait souhaité. Un jour, je lui ai calmement répondu et avec le sourire encore : " tu m'as donné une bonne éducation et je t'en remercie. Tu as accompli ta mission, c'est bon, tu peux passer à autre-chose maintenant, ta fille gère sa vie de façon autonome et tu peux le constater, elle s'en porte bien ".

@icescream a dit dans La transidentité, qu'en penser ? :

c etait plus a cause de sa reflexion sur les médecins qui voulaient lui faire prendre un traitement homonal

T'inquiète, j'avais bien compris le sens de ton post.

A la naissance, on possède pour la grande majorité d'entre nous un sexe déterminé , F ou M,
et toujours pour la grande majorité d'entre nous, que l'on accepte et avec lequel on se sent bien.
Pour la minorité qui souffre de ne pas avoir le corps qui correspond au comment ils se ressentent,
on veut les catégoriser ( décidément, on n'en sortira pas, de ce besoin de définir )
en transgenre, intersexe, transidentité, travestis, etc.
Tous ces mots qualifiants différents n'en cachent pourtant qu'un seul en sous-entendu :
la souffrance de ne pas être accepté dans leur différence par rapport à la majorité.
Et cela est vrai dans n'importe quel domaine pour toutes les personnes qui sortent des clous.

@libellule : bienvenue Demoiselle ( autre nom de la libellule ).
Au plaisir de te retrouver ici ou là, il y a de quoi se distraire selon ses goûts et l'humeur du moment :).

@pompon : je sais que les chiens qui font de la moto avec leur maître en portent et ils finissent par bien s'y habituer .Et même le casque .

@cygoris : bon, encore un rythme qui n'est pas dans tes préfs, mais mon humeur un tantinet nostalgique ( mon brestois de fils repart bientôt et je ne le reverrai qu'à Noël ) me pousse à choisir ce genre de chanson :

La même dans une autre version :

@Marcel

L'évènementiel est surmédiatisé et les médias quels qu'ils soient savent très bien y faire pour choquer notre émotionnel.
Or, il faudrait envisager les problèmes en se détachant un minimum des émotions, comme le stipule
à juste titre @leo, pour trouver des solutions qui ne correspondent pas à des sur-réactions.
Si les crimes sont jugés des mois voire des années après les actes, c'est bien pour permettre à la vivacité
des réactions émotionnelles d'être moins prégnante.
Léo, tu analyses les choses " à froid " ( et c'est la raison pour laquelle certains ici interprètent mal tes propos )
en mettant de côté ton émotionnel pour conserver le plus possible d'objectivité.
Mais le mettre de côté ne signifie en rien qu'on en est dépourvu ;). Cela permet d'aller plus en profondeur dans un débat.

Je rebondis sur cet exemple :

la fille du voisin 8 ans, qui a échappé à toute cette influence societale sur la guerre des sexes, a dit à son père qui est un homme blanc cis genre hetero qu'elle voulait être un garçon mais d'une manière réfléchie et elle a réussi à faire comprendre qu'être dans ce corps de petite fille c'est une souffrance pour elle.

Ma soeur petite-fille tenait le même discours. Elle ne s'habillait qu'en pantalons, pas question de mettre robe ou jupe, se frappait le thorax pour empêcher ses seins de pousser, bref : un vrai garçon manqué.
Mes parents l'ont laissée faire, mais sans se dire pour autant : il faut l'accompagner dans son désir d'être un garçon. Les années ont passé, elle est tombée amoureuse ( d'un garçon ), s'est mariée et a fait volontairement 3 enfants alors que les changements du corps pendant la grossesse étaient pour elle une abomination .
Qu'en aurait-il été si elle avait été confortée dans son désir d'être un garçon dès l'enfance ?
Je pense comme @leo qui dit : " Laisser des enfants, qu'on ne reconnaît pas suffisamment mûrs pour tout un tas d'activités et de prises de décision, et à bon escient, prendre de telles décisions est un glissement grave ! Très symptomatique du désordre et de la confusion mentale de ce type de changement social désarticulé."
Ne pas rabrouer l'enfant mais ne pas trop cautionner non plus, car la puberté fait évoluer les choses.
Si le désir de changer de sexe perdure, car cela se peut aussi, il sera toujours temps de mettre en place les moyens pour y parvenir.
Cette confusion mentale que tu évoques , Léo, est un vrai problème de nos jours.
Mais rien que l'évoquer sera perçu comme un manque d'ouverture d'esprit alors qu'au contraire,
cela permet d'envisager plus sainement tous les tenants et aboutissants d'un problème.

@sagane : bienvenue. Tu sais, parfois on se prend au sérieux sur certains sujets, mais :
it's just for the game ;).

@agathe : je balade mes chiens au bord du Tarn, sans laisse : un chien a besoin d'aller à droite à gauche pour sentir des odeurs et courir au gré de ses envies. Je croise souvent d'autres chiens, c'est bon pour entretenir la sociabilité des chiens entre eux et l'occasion de discuter avec les maîtres, c'est bon aussi pour la mienne ( de sociabilité ). .

@cygoris : ceci dit, j'aime beaucoup cette chanson, paroles et musique, que je préfère écouter en me concentrant dessus.

Changement de style avec du blue grass et sa danse si particulière : suis en admiration devant l'homme aux cheveux blancs qui a vraiment le rythme dans le corps et avec grâce encore .