@cubix : purée, tu me poses plein de questions, ça serait trop long de tout expliquer.
1- les questions : posées pour avoir comme réponse : oui-non et on affine au fur et à mesure.
2- les mouvements : le pendule fait un cercle dans le sens des aiguilles de l'horloge pour oui et dans le sens inverse pour non.
3- confiance en les réponses : il y a parfois des erreurs, pour plusieurs raisons :
le mental-émotionnel qui nous fait mal interpréter, un manque de lâcher-prise, des questions auxquelles il n'est pas souhaitable que l'on ait des réponses.
4- J'ai commencé avec des exercices simples : par ex, 3 verres d'eau, l'un neutre, l'un sucré, l'autre salé et avec le pendule
au-dessus, je dois les identifier. Je me suis procuré un livre sur la radiesthésie pour approfondir.
5- Je fais ou plutôt faisais très peu de prévisionnel, question d'éthique : les réponses pourraient influencer inconsciemment ou miner le moral dans l'attente que la chose se réalise ou pas, car rien n'est définitivement écrit :
qu'en serait-il de notre libre-arbitre ? Et puis, j'estime qu'il ne faut pas chercher à tout savoir :
il n'est pas bon de jouer avec les lois de l'Univers comme avec le bas-astral d'ailleurs.
Je pense que tu comprends ce que je veux dire.
6- Je pratiquais aussi le tarot divinatoire, mais je ne veux plus : j'ai constaté que ça ne fait pas vraiment du bien aux gens parce qu'ils deviennent dépendants du truc : ils veulent en savoir toujours plus et quid de la magie de la Vie avec ses surprises ?
7- Mes réussites : trop long à décrire. Par exemple :
mon fils avait perdu son portable à la bergerie où il bosse. C'est vaste : les locaux, les extérieurs, les prés de patûrage...
De chez moi, j'ai posé les questions sur les différents lieux et pour le bon endroit, le pendule a oscillé en oui.
Il l'a retrouvé le lendemain à l'endroit que je lui ai indiqué.
Idem pour son couteau qu'il avait perdu et retrouvé dans l'enclos des béliers grâce au pendule.
8- En paranormal : infirmière de nuit, une fois à la pause café, je joue avec mon pendule.
Avant de poser une question, il se met à tournoyer comme un fou, je n'avais jamais eu ça.
Je commence à poser des questions pour trouver la cause, j'ai eu des réponses : une jeune femme morte de la tuberculose
juste après la guerre 39-45. Elle attendait son fiancé parti à la guerre, elle ne savait pas qu'il avait été tué.
Tu demandes : " savez-vous quoi faire ? " Je lui ai parlé, expliqué les choses et j'ai ressenti
son soulagement et son départ de notre salle de repos.
Ma collègue, présente, m'apprend alors que notre salle de repos était dans le temps l'ancienne morgue !
Je n'aime pas parler de ça, je ne cherche pas à convaincre quiconque de la véracité de mes expériences.
Les gens qui ont l'esprit fermé à ces choses se moquent, critiquent, condamnent.
Je ne suis pas une bête de foire, peut-être un peu sorcière, mais je veille à bien garder les pieds sur terre
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