"Le fiel des envieux est la bave des lâches"
sais pas qui l'a dit.
Messages postés par cupide
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RE: Citations remarquables
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RE: Décris-moi un mouton
Je rate tant de choses en ce moment en poireautant sur ce quai. A quoi bon attendre ? Je sais bien qu'il ne viendra pas. Satané train ! Je voudrais bien le prendre mais il s'arrange à chaque fois pour me poser un lapin de sorte que j'en ai amassé une collection de toutes les couleurs et tous les types.
Je me débrouille en prenant des corollaires pour arriver avant lui à son prochain arrêt mais en vain.
Tous me demandent si je l'avais essayé et se désolent profondément devant ma réponse négative. Ils me disent que c'est un train magnifique, envoûtant voire magique. Je sais au fond de moi qu'il n'est pas aussi extraordinaire que cela mais je me dis que si je ne tente rien je ne gagne rien.
Au fil de ma course j'ai commencé à aimer les autres trains et j'y découvrais des charmes jusque là ternis par l'image trop encombrante de mon objectif.
Je pense qu'il est temps d'arrêter d'attendre ce qui ne viendra pas. Je veux profiter de ce qui me reste de ma vie. -
RE: Décris-moi un mouton
Monsieur le directeur du CHU,
Si j'ose me présenter je pourrais dire que je suis celui qui a un flair extraordinaire et la capacité étonnante à dénuder les gens. Oui messieurs les dénuder!
Je sais lire les symptomatologies des gens et leurs expressions pour savoir s'ils sont malades ou non et s'ils sont une bonne source de pognon.
Depuis mon jeune âge je jouais au détective Conan. Je dévoilais les complots des adultes et trouvais toujours les anguilles qui se cachaient sous les roches ( pour moi il y'en avait toujours, réelles ou non). J'ai acquis ainsi mon flair prestigieux.
Étant un recalé de de la faculté de médecine, je possède des notions suffisantes sur la médecine et je suis en état de diagnostiquer une pléthore de maladies ( même les imaginaires s'il le faut). Ci-joint mon attestation d'inscription à la fac et 2 photos de moi exerçant mon stage.
Mes capacités pourront être utile pour détecter les hypocondriaques et les simulateurs et en tirer profit surtout s'ils roulent sur l'or car si j'ose dire vous peinez ces temps ci à joindre les deux bouts.
Sur ce, veuillez agréer Monsieur l'expression de mes sentiments les plus distingués.
votre éternel serviteur de la santé -
RE: Décris-moi un mouton
Une absence inéluctable..j'en suis désolée.
Je veux rester au fond de l'obscurité. La nuit est une amie bien trop pressante pour être aimée. Mais moi je l'aime et je l'idolâtre car elle sait cacher les cicatrices et panser les plaies. Je trouve ma réponse sous ses ailes, ses immenses ailes sombres et chaleureuses et l'émotion qui m'étouffait toute la journée se dissipe comme par magie et je respire de nouveau.
Un mur, un mur fort dur et fort âpre se dresse toujours devant moi, et moi, la pauvre conne je le percute en plein fouet. Réveillée un peu de mon ahurissement, je le revois et je fonce sur lui encore. Je ne peux pas comprendre pourquoi il me refuse et se laisse infranchissable.
Seule, j'attends le silence de la nuit, ma muse, mon égérie pour m'expliquer pourquoi je suis la seule à rester comprimée dans ce côté là de la barrière.
Alors, d'une main noueuse, osseuse elle me caresse et me susurre à l'oreille que je suis unique et de ce fait je ne peux pas me mêler avec des bipèdes qui me souilleront de leurs vices.
Sur ce, je dors sereinement dans son giron. -
RE: Décris-moi un mouton
(texte d'artelise choisi)
Il prit le dossier et tout devint noir autour de lui, rien ne comptait plus que lui et les quelques mots manuscrits. Ceux qui renfermaient à leur sein « la preuve ». Son grigri tremblait lorsque sa main nerveuse vint le gratter plus que le frotter. Il prit une longue inspiration et ouvrit le dossier. Il y avait une dizaine de feuilles jaunies, rien de plus. Déchiffrer cette écriture s’avérerait un travail titanesque. Elle était serrée, petite, penchée tantôt à droite tantôt à gauche et presque effacée. Mais le dossier, lui, était relativement récent, cela voulait dire que quelqu’un prenait soin d’elles… oui cela concordait, se dit-il, tout fier de son intelligence explosive et remarquable. Mais maintenant il devait lire ces feuilles et s’attela donc à sa tâche ardue. Des nominations, des comptes rendus sur les activités de la compagnie, des promotions, des démissions et des licenciements étaient notés. Il y avait des remarques donc il se jeta dedans. Dates de décès, elles étaient toutes des dates avec des accidents divers. Mais pourquoi ? Ces personnes étaient-elles toutes mortes ? Les dates étaient relativement récentes. Tiens, il y a quelqu'un qui meurt aujourd'hui apparemment. Peut-être que c'est l'œuvre d'un hurluberlu pour Halloween ou pour le premier avril. Tout fier de ses déductions et déçu en même temps de ne pas trouver un complot qui se tramait derrière son dos, il jeta un dernier coup d'œil sur les feuilles et ses yeux tombèrent sur son nom avec la date de ce soir-là. Il se figea. Non il n'allait pas croire en ces choses…La preuve, il était encore vivant..il lit la note près de la date.. mort par attaque bestiale. Diable ! Qu'est-ce que cela pouvait dire ? Non, non, cela ne pouvait pas passer comme ça. Il se donna 2 bonnes gifles pour se ressaisir, rit de cette mort ridicule, prit les feuilles et les brûla au-dessus de la poubelle. Il ferma le bureau, et se dirigea vers la sortie. Sa voiture était garée devant la porte du bâtiment. Tout paraissait calme, très calme, trop calme. Son véhicule était sombre et paraissait tel un monstre préhistorique tapi dans l'ombre à l'attente de sa proie. Il s'approcha même s'il commençait à se sentir mal à l'aise. Une odeur malsaine se dégageait, d'où ? Il n'était pas sûr de pouvoir répondre. Cette odeur s'amplifiait, on dirait qu'un cadavre se cachait dans sa voiture. Ce n'était pas possible, cela ne paraît pas logique, un repas gâté ne ferait pas autant de relents. Il tâta la carrosserie, rien de suspect, et déverrouilla les portes mais il ne put avancer d'un pas car ses yeux exorbités ne se détachaient pas de la masse noire sur son capot. Son cœur battait douloureusement dans sa poitrine et semblait vouloir fracasser ses côtes. Des yeux rouges, béants, vides le fixaient et ses entrailles se liquéfièrent. Il chia dans son froc mais jurerait que c'étaient ses viscères qui le quittaient. Des poils la couvraient rendant impossible la classifier bête ou humain, des crocs, il y en avait ? Oui grandes et acérées qui brillaient à la lumière pâle de la voiture. Sa face, il n'était pas capable de la décrire, une face d'outre-tombe, ridée, poilue ; livide, noire ; ronde, carrée… Il s'en foutait royalement. Il ne voulait pas la regarder et pourtant il plongeait ses yeux terrifiés dans les trous rouges, ces fausses infernales semblaient l'avaler, l’hypnotiser. Il savait qu'il mourrait. La feuille l'avait prédit, mais il l'avait brûlée. Comment était-ce possible ? Qui avait écrit ces dates ? Un voyant ? Une sorcière ? Un alien ? Ces questions resteraient à jamais dans sa tête car c’étaient ses dernières pensées.
Le lendemain on le trouva près de sa voiture, éviscéré, le torse béant. Le même jour son associé trouva les cendres des feuilles dans la poubelle. Mais un petit morceau jauni émergeait d’eux, il contenait le nom de son collègue, la date du jour d'avant et la petite remarque. Il se rappela aussi avoir entendu un appel dans la radio incitant les gens à ne pas quitter leurs domiciles car il y avait un ours enragé qui avait échappé et qui se baladait dans la ville. -
RE: Décris-moi un mouton
Je suis perdue les amis ! Oui, perdue, damnée et maudite. Il me faut le plus fort objet apotropaïque qui ait existé sur terre sinon je sombrerai et je ne veux pas savoir où.
J’ai fouillé dans les archives poussiéreuses de ma mémoire histoire de dénicher quelque chose utile. Ce que j’ai découvert a fait sérieusement branler mes certitudes. En faisant passer les divers journaux de bord j’ai réalisé combien j’étais dénigrée parmi les gens (hormis ma famille et 2 individus qui se considèrent comme mes amis). Je sortais toujours ulcérée d’une conversation et je donnais l’impression d’être une glauque, une biscornue limite une psychopathe. Se sentir marginalisée était devenu pour moi une habitude et cela nourrissait au fur et à mesure ma haine envers les gens et ma misanthropie.
« Ils sont tous hypocrites avec moi, disait le journal, moi je me démène à apporter des informations intéressantes mais je me heurte à un mur de marbre (fort poli mais très dur). Je sens toujours de la pitié dans leurs yeux et cela me fait sortir de mes gonds. »
« Peu à peu, engager la conversation était devenu un supplice que je l’ai abandonné sans regrets. Je vivais heureuse dans ma bulle à moi, mon monde à moi, pourquoi d’ailleurs s’intéresser aux autres s’ils vont me faire du mal ? Ce sont l’enfer et qui veut rester auprès du bûcher ? »
Eh bien ma belle il faut reconnaître que cette bulle vient de s’éclater et que je suis en détresse. Il y a une fille ou jeune femme ou une femelle de 20 ans qui a bouleversé mon petit coin. Je ne sais pas comment mais je suis obnubilée par ses yeux de merlan frit. Elle est blanche et cela fait un contraste avec la noirceur de ses cheveux et ses yeux froids, tellement froids que j'en deviens folle. Son détachement apparent et son regard hautain me subjuguent, me dégoûtent et m'excitent. Imaginez l'état de mon cœur lorsque je la croise. L’ironie est que toujours nous nous regardons dans les yeux sans sourire ni dire bonjour puis chacune continue son chemin. Cela dure quelques secondes mais moi j'en reste malade des jours, la maudissant parfois, souhaitant l'éviscérer parfois et par d'autres rêvant de devenir amie avec elle. Vous voyez mon état ? Je crois que ma bête veut la faire sienne ou quelque chose comme ça parce que toutes les filles que je croise et qui retiennent mon attention sont par suite ou bien domptées ou bien rejetées...Bref, rendues des humains à mes yeux. Ce n'est pas encore son cas et ce retard énerve ma petite bête.
J'ai beau essayer de la raisonner, elle demeure inflexible. Bon après, en regardant la fille plus près, j'étais sidérée quant à la quantité d'égards que je lui avais réservés inutilement. Elle était apparemment une fille tout ce qu'il y a de normal avec un visage un peu particulier parlant comme tous les gens riant, buvant, mangeant… Bref un humain… Elle rejoint donc la case de « autres individus pas d'intérêt » et ma bulle, je suis en train de la reconstruire pièce par pièce. Cela n'empêche que de j’ai encore un faible pour elle. -
RE: Quiz – Porno ou pas porno ? - Hornet et un autre popcorner ont gagné !
@Shanna
Ai répondu..par curiosité
Ai utilisé un autre nom.. ''triloulou'' -
RE: Décris-moi un mouton
Une cyanose est une coloration bleuâtre des téguments des extrémités du corps humain due à une forte hypoxie et une désaturation. Donc un individu bleu n’augure rien de bon..doit-on alors abhorrer cette couleur ? Sachant aussi qu'elle évoque l'étendue du ciel, de l'océan et nous procure un sentiment de bien-être indéfinissable ?
Faisons un plongeon dans cette couleur. Plus on s’enfonce plus elle paraît infinie, on dirait qu’elle nous nargue et cela nous provoque. Le bleu alors devient mystérieux, dubitatif voire flippant. Il est enjôleur, nous plongeant dans une douceur vaporeuse, floue et nous berce. Nous aimons cela et continuons notre exploration même si au fond apparaît un signal rouge qui clignote. On ne distingue pas les limites de notre environnement et si on essaye de les fixer on sent comme un étau qui nous resserre le cœur. Il y a comme une peur indicible en voyant des bords sombres donnant sur le noir. Normalement il n'y a pas de méchanceté dans le bleu honnête, sincère, franc..superficiel...Mais celui-là est pas net, comme s'il se cache derrière un brouillard opaque.
On commence à se fatiguer, c’est encore loin ? Non, il ne reste pas beaucoup...pas beaucoup à quoi exactement ? Le signal rouge s’amplifie, il est maintenant accompagné d’un son rythmé, continu... Attendez ! Ce sont les battements de mon cœur..pourquoi paraît-il en détresse ? Et mon cerveau..il s'embrouille..trouve des difficultés à rester concentré... Non ! Tout cela n'est pas important, j'ai un guide fiable, le bleu, qui me fait avancer..mais il commence à s'assombrir ou ce sont mes yeux ? À propos de mes yeux..ils veulent sortir de leurs orbites..oui je le sens..c'est imminent..encore qu'est ce qui est imminent ?
Attendez, on suivait la couleur bleue au début, on essayait de l'explorer, de l'amener à se démasquer..mais nous voilà en train d'ôter le masque après le masque et ça n'en finit pas..on commence à se fatiguer et à se désespérer aussi..
Je vais juste respirer et on continuera...Ach ! Je ne peux pas reprendre mon souffle ! Je suis sérieux..j’essaye d’inspirer mais l’air n’entre pas..il n’y a pas d’air..mes poumons brûlent, mes cellules crient à l’hypoxie, mon cœur est en déroute, son muscle va s’éclater d’un moment à l’autre et mon cerveau..il met de la pression et veut de l’oxygène sur le champ mais il ne l’obtient pas et donc il l’accentue cette pression empirant la situation. Par tous les diables, qu’est ce qui se passe ? Je veux de l’air, je veux ce putain d’air..une gorgée mais je ne peux pas respirer ! Je veux crier, tout mon être crie mais aucun son ne sort..je suffoque..c’est la fin..je ne peux rien sentir de mon environnement..un dernier effort..ouvrons les yeux et perçons ce voile bleuté...Mais c’est du noir ! Du noir pur..attendez..je sens quelque chose sur mon visage, c’est doux, froid et ça s’appuie..ça met de la pression..son odeur est familière ou ce qu’il s’en dégage..ce..c’est un..OREILLER.. -
RE: Décris-moi un mouton
@Kachina si j'ai bien compris, on doit faire un texte en relation avec la couleur bleue, avec tout ce qu'elle peut signifier ou bien on doit la relier au calme, l'apaisement..?
Et merci bien. -
RE: Décris-moi un mouton
Bonjour, cela fait un bail.. heureuse qu'on m'avait pas oubliée.
C'est une couleur de sang. Cela me frappa lorsque j'avais atteint la scène du crime. Comme si la nature voulait accentuer l'horreur qu'on allait voir. La brouette mangée par la rouille gisait mélancoliquement entre les hautes tiges lui donnant l'air d'un vestige du passé. Les plantes apparemment plantées avec soin et amour essayaient de conserver une trace de dignité même après leur mort. Les herbes avaient rampé sur tout et autour tout les couvrant d'un linceul sanglant comme un deuil sur leur maître.
Il y avait un appenti au fond de ce maelstrom avec une chaise en bois. Il dégageait un air morbide voire macabre donc nous y frayâmes un chemin et la surprise nous attendait derrière un tas de bois inutilisable. Le pauvre vieux y était tout tordu ou du moins ce qu'il en restait. Les termites du bois s'étaient régalées de sa chair et le bon vieux vent avait balayé les odeurs rances qui se dégagèrent du cadavre.
On ne pouvait pas savoir depuis quand il était ainsi. Son jardin avait essayé de transmettre une lettre aux humains mais ils étaient trop grossiers pour la comprendre ou du moins avoir un doute. Ce qui fait que le pauvre bougre avait pourri dans son coin jusqu'à cet après-midi. Sortir le cadavre ou la carcasse s'était un travail de titan: sortir le bois, dégager un sentier, garder le cadavre intact le plus possible... Tout cela nous prit tout le reste de la journée. La scène de photos terminée, commença une chasse au trésor invisible. Fallait trier tout élément dans ce jardinet qu'il soit macroscopique ou microscopique et pour être honnête la nature ne nous avait pas facilités la tâche. Bref, classer les indices prit 2 semaines à lui seul. L'autopsie avait révélé un os hyoïde brisé confirmant l'hypothèse d'un crime, hideux même, car qui penserait à amocher ainsi un vieux ne vivant que pour son jardin.
Ce doit être un gendre rancunier ou une bru jalouse. Cela n'empêche je me suis promise de lui casser la figure le jour où on le ou la coincerait. -
RE: Décris-moi un mouton
Ma muse décapitée, ses ailes tranchées, je ne pourrai écrire hélas cette semaine.
(J'ai des funérailles à organiser) -
RE: La Boîte à Musique de Cupide
Je salue toutes les les femmes du monde et leur souhaite une journée pleine de victoire.
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RE: Décris-moi un mouton
@Kachina oui🤭
J'avoue que j'avais une ébauche avec le mot pus puis honnêtement j'avais pas su comment exploiter les autres mots.Mon mot sera impotence
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RE: Décris-moi un mouton
Il pataugeait depuis un bon moment dans ce bourbier et sentait ses forces le quitter peu à peu. S'il avait su le fil des évènements, il n'aurait jamais accepté de postuler pour ce voyage. Ils l'avaient bien eu ces gueux. Une annonce alléchante l'avait ensorcelé: il cherchait depuis peu de nouvelles perspectives dans sa vie merdique et la voilà qui apparaît comme par magie l'incitant à voir de nouveaux horizons et à revigorer ses sens poussiéreux. Tout y était : un vol direct, une résidence au milieu de la nature et des aventures épicées, bref le paradis. Le pauvre, il était tombé pile dans le panneau. Contacter les organisateurs, réserver une place et acheter un ticket d'avion ne lui prirent que quelques minutes. Il faut dire que l'arnaque était bien ficelée et les vols étaient pour de vrai mais la destination constituait une... surprise...mortelle.
C'était au milieu de la nature, mais quelle nature! Une nature sauvage, indomptée, la forêt était impraticable et il finit par s'empêtrer dans ce bourbier purulent et verdâtre. Il l'aspirait à lui, lentement mais inexorablement. Tandis qu'il attendait, résigné, le dénouement de cette histoire dans l'un de ses sens, une pensée philosophique germa dans son esprit engourdi. Hélas, je ne pus la recopier car elle était sortie sous forme de gargouillements avec ses derniers souffles pendant que ses yeux exorbités regardaient l'au-delà. Je regardai longuement sa dépouille empoisonnée se faire aspirer par le bourbier qui se délectait visiblement de sa victime. Il était satisfait, il avait aimé l'homme et cela me réjouissait. Je retournai ensuite à ma tente pour voir s'il y avait une autre âme simplette en quête de nouveaux horizons. -
RE: Décris-moi un mouton
@Kachina suis sincèrement désolée, je donne à la hâte un mot: pus