Hier soir nous avons encore assisté à une pantalonnade.
Quand je vois qu’un enfant testé positif a le droit d’aller en classe s’il est vacciné (même chose pour les soignants positifs !), et que son frère non vacciné, cas contact et testé négatif, n’en a pas le droit pendant 10 jours... 
Petit rappel : il y a 5 mois, deux doses de vaccins empêchaient d’attraper la maladie et de contaminer. Dixit le premier ministre.
Si, si,
.
Fort de cette expérience, hier, on nous a expliqué, que la troisième dose était efficace à 90 % contre Omicron. FAUX. Ce n’est pas ce que dit
cette étude de l’Agence sanitaire britannique, ni ce que dit le fabriquant Pfizer. Efficacité à 70% de suite, déclinant à 35 à 45% après 10 semaines. Voici la réalité. Réalité mais pas forcément vérité, sans doute en deçà, car j’aimerais qu’on m’explique ces chiffres d’efficacité à 10 semaines alors qu’Omicron est apparu seulement il y a 5 semaines… Ils n’en savent rien, mais il faut vacciner, alors un mensonge de plus ou de moins… En Inde, après la cure d’Ivermectine en mai 2021, ce n’est pas 2 mois, mais depuis 7 mois qu’il ne se passe rien.
« Ce ne sont pas des mensonges, c’est de la politique » écrivait Scholastique Mukasonga, prix Renaudot 2012. Peut-on compter sur la presse d’investigation pour rétablir la vérité ? J’en doute, et regrette que Coluche ne soit plus de ce monde, lui qui disait que « les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent, c’est pire ».
Il aurait adoré la tirade surréaliste sur la “position debout” de notre premier ministre, et en aurait fait un sketch. Notre ministre a oublié d’interdire aux hommes de pisser debout, puisqu’il nous a expliqué que pour échapper au virus, il faut être assis. Il faudrait aussi revenir aux bons vieux pots de chambre à mettre sous les chaises dans les bars et restaurants, afin d’éviter de se lever pour aller au petit coin...
texte complet sur covid-factuel.fr
Allez, pour sourire un peu dans ces temps difficiles
