A y'est, mon changement d'horaires au taf est effectif. Je commence le travail du soir dans deux semaines, hamouah les fin de taf à 2 ou 3h du mat (et un peu plus de fric).
Et des collègues qui me demandent : "comment tu vas faire pour les transports ? Tu vas prendre le vélo ?" "Bah oui, il cesse pas de fonctionner passée une certaine heure hein" "Mais t'as pas peur la nuit comme ça ?" "Euh de quoi ? C'est le meilleur moment pour rouler en paix !"
Ce n'est pas évident de répondre quand on ne sait pas ce qui te fait souffrir. Je suppose que, dans tous les cas, ce n'est pas irréversible et qu'il y a donc la possibilité de se diriger vers un mieux quel qu'il soit et peu importe le temps que cela peut prendre.
Quand on est pas bien dans son corps et/ou dans son esprit, il est difficile de voir comment améliorer les choses pour que son quotidien devienne plus positif, c'est un travail de longue haleine et dans lequel on a souvent besoin de soutien extérieur de la part de ses proches et de motivation (commencer un projet qui nous intéresse vraiment) pour qu'on voit un effet apparaître au bout d'un moment.
Bon bah RIP le secteur culturel, c'est moche pour touah petit ange.
Au moins, on pourra sortir sans foutue attestation et aller où bon nous semble tant qu'il n'est pas 20h (sinon notre carrosse se transforme en citrouille).
De jolies demies mesures que l'on paiera dans quelques semaines. 
Je viens de découvrir l'existence de ce truc : calchemise. C'est la classe incarnée. 
Ces dernières années, j'ai pu avoir quelques difficultés à dormir notamment à cause d'horaires décalés avec le travail et, avant ça, parce que pendant plusieurs mois j'avais pu être sollicitée constamment la nuit au chevet de ma grand-mère. Tout ça m'avait bousillé mon rythme de sommeil jusqu'à qu'il se régule à nouveau avec un retour à des horaires normaux (et de la patience).
Néanmoins, j'ai souvent cette sensation d'être fatiguée parce que je me lève tôt pour le taf et que je dors plus 7/8h par nuit alors que je fais partie de ceux qui ont besoin d'avoir leur 9h pour être au taquet.
Ce que je trouve le plus dommageable en fait, c'est de se faire violence en se levant alors qu'on sait qu'on a pas terminé notre sommeil. On subit le réveil du matin juste pour aller au boulot.
Je croyais l'avoir déjà fait ici mais non c'était sur un ancien fofo. Je me permets de reposter mon tout beau topic :
Drame réalisé par Tom Ford (2009).
Synopsis (Allociné) :
"Los Angeles, 1962. Depuis qu’il a perdu son compagnon Jim dans un accident, George Falconer, professeur d’université Britannique, se sent incapable d’envisager l’avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie la belle Charley, elle-même confrontée à ses propres interrogations sur son futur, George ne peut imaginer qu’une série d’évènements vont l’amener à décider qu’il y a peut-être une vie après Jim."
Mon humble avis :
L’avez-vous vu ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ? Non ? Mais qu’est-ce que vous faites encore sur le forum ? Foncez le voir et pis c’est tout ! è_é
L'Arabe du futur est une bande dessinée de Riad Sattouf qui compte aujourd'hui 5 tomes (l'auteur avait annoncé qu'il y aurait en tout six tomes).
Elle conte l'histoire autobiographique de l'auteur de son enfance au Moyen-Orient (Libye et Syrie) jusqu'à son adolescence en Bretagne.
Avec beaucoup d'humour Riad Sattouf nous raconte la vie d'un enfant de double culture (mère bretonne, père syrien), les différences et décalages que cela produit lorsque les cultures s'entrechoquent et cela par les yeux d'un enfant.
C'est vraiment excellent, on se marre du début à la fin même lorsque le ton devient plus dramatique (les deux derniers tomes montrent des pans difficiles de la vie de famille de l'auteur), malgré les thématiques abordées, il y a beaucoup de légèreté. Puis, c'est aussi l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les conflits au Moyen-Orient et la perception que chaque culture a de l'autre.
Quelques planches pour vous faire une idée :
Avez-vous déjà lu cette BD ? Qu'en pensez-vous ? Si vous ne l'avez jamais encore lu, c'est plus que temps d'aller la commander !
@Chibi a dit dans Avoir un chat :
Chachon mal cadrée
On est d'accord que son regard mi-interloqué mi-paniqué, c'est parce qu'elle a aperçu la tignasse de @Hornet ?
Cette photo date mais je la trouve bien (même si il y avait des travaux) :
Elle est belle ma chéwie hein ?
@Mai-Tai Ils sont particulièrement épais et j'ai cessé il y a des années d'essayer de les discipliner, ce qui fait qu'ils font leur vie et qui est impossible de les coiffer correctement à moins de les avoir courts (sauf que j'aime pas les cheveux courts). Et les gens adorent faire des remarques sur ça, j'en ai depuis que je suis gosse et même si la plupart du temps c'est pour taquiner, à force ça gonfle. Je fais pas chier les gens sur leurs défauts physiques alors qu'ils foutent la paix à ma tignasse.
The Imitation Game est un film américain réalisé par Morten Tyldum, sorti en 2014. Il s'agit de l'adaptation cinématographique de la biographie Alan Turing ou l'énigme de l'intelligence (Alan Turing: The Enigma) d'Andrew Hodges.
Le film est inspiré de la vie du mathématicien et cryptanalyste britannique Alan Turing, notamment pendant la Seconde Guerre mondiale.
L'avez-vous vu ? Qu'en avez-vous pensé ?
Skottie Young, le créateur de I Hate Fairyland, nous sort là une nouvelle pépite illustrée.
Middlewest raconte l'histoire d'Abel, un jeune garçon élevé seul par un père tyrannique et tourmenté et qui, un jour, lors d'une dispute familiale, se retrouve jeté dehors et fuit la violence paternelle en se lançant à l'aventure sur les routes avec son fidèle compagnon (un renard qui parle, sissi). La fuite sera un parcours initiatique pour pour Abel, pour guérir ses blessures personnelles mais aussi pour trouver un remède aux séquelles magiques que son père lui aura infligé.
Le comics est composé de 3 tomes dont seul le 1er est actuellement traduit en français. Le second tome en traduction française est prévu pour février 2021.
Les dessins sont vraiment magnifiques même si on s'éloigne pas mal des couleurs vives de l'univers féérique de I Hate Fairyland. Le ton y est aussi plus dur et plus sérieux même si l'humour de Young y apparaît tout de même régulièrement. Les personnages sont vraiment intéressants et bien développés et l'histoire prend une tournure d'autant plus captivante qu'elle s'inscrit dans un univers qui n'est pas complètement réel ou, plutôt, qui se tourne vers le fantastique (présence de la magie, de personnages surnaturels, animaux qui parlent, etc.).
Bref, une bonne petite découverte mais je n'en attendais pas moins de Skottie Young. Je n'ai lu que le premier tome mais vais certainement cédé à la tentation de commander les deux tomes suivants en anglais.
@LeaPierce C'est un peu avant le Belvédère que tu as pris la première photo ? J'en ai une qui y répond très bien prise cette fois du fameux point de vue sus-cité :
Parce que des fois les parents sont facétieux et/ou ont des goûts étranges, vous avez sûrement eu l'occasion de côtoyer des individus au prénom quelque peu "particulier" dirons-nous.
Quels sont les prénoms les plus bizarres, originaux que vous avez pu entendre (que ce soit des camarades à l'école, des collègues de taf, des gens rencontrés ici ou là...) ?
Le Dictateur est un film réalisé par Charlie Chaplin et sorti en 1940. On notera au passage que c'est son premier film parlant et puté, ça vaut le détour.
Le speechounet (pour les quelques personnes du fond de la salle qui ne le connaîtraient pas encore) :
"Lors de la Première Guerre mondiale, dans un pays imaginaire nommé la Tomainiaa (Tomanie en VF) et ressemblant beaucoup à l'Allemagne, un soldat maladroit sauve la vie d'un pilote de chasse nommé Schultz. Tous deux réussissent à s'enfuir en avion mais l'appareil s'écrase et le soldat est blessé. Devenu amnésique, le soldat passe de longues années à l'hôpital, coupé du monde. Entre-temps, la Tomainia est devenue un régime dictatorial et fasciste, dirigé par Adenoïd Hynkel (une caricature d'Adolf Hitler), et les Juifs sont persécutés comme sous le régime nazi.
Vingt ans plus tard, le soldat amnésique s'enfuit de l'hôpital et reprend son métier de barbier dans sa boutique, qui fait désormais partie du ghetto juif. Le barbier est lui-même juif et peu au courant de l'évolution politique et sociale de son pays, ni du fait qu'il est un parfait sosie du dictateur."
Source : Wikipedia.
Ce film est cultissime et certainement le plus connu de Chaplin avec Le Kid et Les Temps Modernes. C'est aussi mon préféré du réalisateur et acteur. Je l'ai découvert quand j'étais enfant/pré-ado et une fois que j'ai eu le DVD, c'était fini : j'ai dû me le faire une bonne douzaine de fois pendant mon adolescence. Je connaissais les scènes par cœur, j'étais pliée de rire la moitié du film et étais à deux doigts de sortir les larmichettes pour le discours de fin.
Et puis, quand on connaît un minimum l'histoire du régime nazi, les dignitaires qui le composaient et quelques faits sur les deux guerres mondiales, sa caricature devient à pleurer de rire dans chaque détail mis en scène avec brio par notre moustachu facétieux.
Le plus génial dans le film, ce n'est pas le tour de force de savoir rire de l'Allemagne nazi en pleine guerre mais de dépasser le stade de la simple parodie pour en faire une satire savamment intelligente et se terminant sur un discours qui montre tout l'amour que Chaplin portait à la démocratie et à l'humanité.
Je ne résiste pas à mettre un chti n'extrait qui me fait toujours autant marrer :
Avez-vous déjà vu ce film ? (si c'est pas le cas, allez-y et que ça saute !) Si oui, qu'en avez-vous pensé ?
Est-ce qu'il est dans votre top 3 des films de Chaplin ? °_°
Peaky Blinders est une série britannique créée par Steven Knight, qui compte (actuellement) 5 saisons et 30 épisodes. Un épisode dure en moyenne 55 minutes.
Pitchounet wiki :
"La série narre l'histoire d'une famille de criminels de la communauté des Travellers, interprétée par Cillian Murphy, Helen McCrory, Paul Anderson et Joe Cole. Surnommés les « Peaky Blinders », ils ont la mainmise sur Birmingham et ses environs dans l'entre-deux-guerres." (cf. source).
Je me suis laissée tenter après en avoir longtemps entendu parler et surtout parce qu'on me l'a conseillé. Je viens de commencer la troisième saison et pour le moment, je ne suis pas déçue. Le casting est classe (Cillian Murphy, Sam Neill, entre autres, mais même ceux dont le moins connu, valent le détour), la façon de filmer est de qualité (c'est une série considérée comme "cinématographique" tant dans sa photographie, que dans la construction minutieuse de chaque épisode). La musique a un grand rôle dans l'immersion, le choix de la BO est d'ailleurs assez original puisque volontairement anachronique par rapport à l'époque dans laquelle se déroule la série.
Enfin, les décors, notamment ceux de la ville de Birmingham (les quartiers ouvriers crasseux) sont vraiment chouettes et bien rendus. Je crois que c'est ce qui m'a le plus sauté aux yeux dès le premier épisode.
Bref, si vous voulez une série de qualité qui parle de l'univers gangster avec des accents à couper au couteau (mais très bien rendu même si Tom Hardy exagère trèèèèès légèrement le sien) et où les personnages sont bien développés, vous devez tenter votre chance avec Peaky Blinders. C'est sale, c'est violent et ça envoie du pâté !
Je surkiffe notamment le générique :
L'avez-vous ? Qu'en pensez-vous ?
@mai-tai Quand tu es avec des gens qui s'y connaissent, c'est safe et l'occasion d'apprendre plein de choses ! J'adorerais apprendre la voile (dans l'oreillette on me dit que je devrais déjà passer mon permis avant de griller les étapes. 
).
On y est allés sans aucun espoir que le film soit au moins de qualité potable et on a quand même été surpris qu'il soit encore plus affligeant que les deux précédentes bouses du même nom.
Ça enchaîne les clichés, les incohérences, les clins d’œil pas subtils et qui n'apportent absolument rien au film, les dialogues foireux et des péripéties de pur remplissage.
Les personnages sont inintéressants au possible, ils n'ont aucune évolution du début à la fin du film et on se demande à quoi servent les nouveaux personnages.
Le "méchant" putain, mais c'est quoi cette merde finie ?! On dirait que le réalisateur n'a même pas essayé de faire semblant de créer un antagoniste et s'en tamponne à tel point que le personnage ne finit jamais ses phrases, et que les dialogues qui devraient avoir un impact dans l'histoire finissent en eau de boudin. Un peu comme si on sautait quelques lignes de dialogue en plein milieu d'une scène, comme lorsque l'on fait une avance rapide.
Je vous avoue, que comme beaucoup, j'ai voulu voir ce film juste pour le retour des personnages emblématique de Jurassic Park et alors même que j'avais déjà vu les précédents Jurassic World et que je savais pertinemment que c'était un gros dégueulis immonde balancé à la tronche des fans et de la saga (faire pire que Jurassic Park 3 fallait le faire, mais rien n'est impossible quand on s'appelle Colin Trevorrow et qu'on sait autant faire des films que je sais piloter un avion de chasse).
Bref, j'étais tout de même contente de retrouver les persos du 1, ça fait plaisir au côté nostalgique mais, j'ai vite déchanter en voyant que le réalisateur dénaturait complètement les personnages et les rendaient quasi insipides.
J'ai lu dans ma dernière lecture (Bienvenue à Jurassic Park, chez Third Editions) que Trevorrow était fan de la saga de Spielberg et qu'il avait voulu rendre hommage aux premiers films tout en faisant des films qui collaient plus à l'ambiance de notre époque (cynique, désabusé et tout le blabla alakon qui est censée représenter notre société post-moderniste chez les esprits déconnectés) et avec une inspiration pulp (raison qui fait que les personnages prennent le contrepied de ceux de Spielberg et que ça vire juste à l'action pure, sans aucune réflexion), bah je peux vous dire que je ne suis pas du tout convaincue par cette vision des choses. Pour moi, c'est juste de la soupe insipide comme si bien nous vendre Hollywood dès que ses griffes s'emparent d'une saga. On la presse jusqu'à la moelle pour vendre des produits jusqu'à temps qu'elle ne ressemble plus à rien. On dit merci à Trevorrow qui atteint l'objectif avec ses films.
Ah au fait, je crois que j'ai oublié de vous parler des effets spéciaux...non rien, en fait, ils sont purement oubliables. Je trouve ça tellement fou et affolant qu'un film qui date de presque 30 ans et qui a justement lancé cet outil, soit toujours aussi nickel visuellement parlant aujourd'hui alors qu'un film qui a pu hériter de l'expérience d'animation de ces dernières décennies nous ponde un rendu aussi nullissime. On ne croit pas un seul instant à l'incrustation des dinos, ils n'ont pas de rendu réaliste. C'est baveux, les mouvements font cheap. Bref, ça ne fonctionne pas.
Une autre chose qui n'a pas l'effet escompté : le fait de nous montrer un maximum de dinosaures en 2h30. Plein d'espèces différentes sont montrées (certaines qu'on identifie pas du tout, c'est d'ailleurs pour ça que les personnages se sentent obligés de les nommer histoire de faire le taf de la mise en scène à la place du réalisateur).Trop de dinos, on fait juste une overdose au bout d'un moment tout en se demandant leur utilité. Surtout quand ceux-ci apparaissent à des moments bien précis dans certaines scènes tandis que, pendant d'autres scènes ils sont totalement absents, alors que l'on se trouve en plein dans la réserve et que les personnages ne sont pas des plus discrets. Rassurez-vous, le film n'a pas cherché à faire preuve de logique et fais en sorte de nous le montrer tout au long de ces deux très longues heures.
Un conseil ? Passez votre chemin. Cette bouse ne mérite pas votre temps ou alors seulement dans un contexte où vous êtes passablement éméché et que vous souhaitez le visionner en version HDcam. Là, vous aurez l'occasion de vous marrer un coup en tentant de faire les bruitages et les dialogues vous-mêmes.
