J'ai l'habitude des gens qui accostent tard le soir pour x ou y raison. J'ai aussi eu plus d'une fois ceux qui tentaient la drague bien lourde alors que je sors du taf et que je vais juste prendre mon vélo pour renter chez moi mais le coup de ce soir, je l'avais encore jamais eu !
Il est quasiment minuit et demi, je sors du restaurant (crade évidemment puisque je suis toujours avec mes vêtements du taf) et je me dirige vers la place où je laisse mon vélo. Au moment où je l'atteins et que je commence à le décrocher, y a un type qui se dirige vers moi et qui commence à me parler.
Au début, il me demande si c'est mon vélo et je lui dis que oui. Je soupçonne la blague de merde et en fait non puisqu'il commence à me taper la causette en me demandant où je bosse, mon âge, mon prénom, etc. Bref, les trucs bien relous et dont t'as pas envie de parler avec un parfait inconnu à cette heure-ci puisque t'es crevée et tu veux juste rentrer chez toi. Sauf que le mec met sa main sur mon vélo pour éviter que je parte. Ce qui me plait moyennement voyez-vous, j'aime pas trop qu'on me bride ma liberté de mouvements.
Je lui réponds vite fait et je fais mine de vouloir me casser. Il me demande où je vis et j'élude la question et essaye de lui faire virer sa main de mon vélo. Sauf que là il me dit qu'il veut un bisou, ce à quoi je réponds évidemment non (on a pas gardé les cochons ensemble hein) et il me retient en me prenant le main. Là, pour le coup je commençais à devenir vraiment agacée. J'ai mis deux bonnes minutes à me dépêtrer parce qu'il voulait pas me lâcher la main et il insistait. J'ai fini par me libérer, redire non, monter sur mon vélo et balancer un "bonne soirée" tout en me cassant.
Tout ça pour dire que quand je me tapais des fermetures à BK l'année dernière en rentrant bien plus tard dans la nuit, j'ai jamais eu aucun souci. Mais là, en rentrant le soir du centre ville, c'est fou le nombre de fois où des gens viennent te prendre la tête. Le pire étant évidemment que là c'était carrément me bloquer toute retraite en s'accrochant à mon vélo puis à ma main.
C'est ouf de se faire ennuyer pour rien juste parce que t'es une meuf. C'est encore plus ouf quand t'es crado du taf et que t'as une sale tronche (en plus d'avoir la tête de zombie fatigué).

Meilleurs messages postés par Egon
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RE: Les trucs insupportables
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RE: Présentation des couples
-Dans quelles circonstances vous êtes-vous rencontré.e.s pour la première fois ?
On s'est connus sur le forum.
-Que s'est-il passé entre votre première rencontre et l'"officialisation" de votre couple ?
Après plusieurs mois de discussions par écrit et au téléphone, on a franchi le pas de la rencontre IRL et le feeling qui était déjà plus que prégnant derrière l'écran s'est avéré l'être tout autant en face à face.
-Qu'est-ce qui vous a séduit.e chez ellui ?
Tout plein de choses qu'il est difficile de retranscrire à l'écrit mais il y a notamment l'humour, le sens de la répartie, la curiosité et le fait qu'il en a dans la caboche.
-Quel est le mode de fonctionnement de votre couple (exclusif/libre/à distance/sexfriend/etc...) ?
Exclusif et ça nous semblait normal à tous les deux parce que nos visions des choses concordent parfaitement à ce sujet.
-Quelle est votre situation parentale (parents/fencesitters/childfree/childless) ?
Sans enfant ni envie d'en avoir.
-Quel est le régime officiel de votre couple (PACS/mariage/cohabitant/séparé) ?
Concubinage.
-Quelle place prend la sexualité dans votre couple ?
Ce n'est pas central.
-Une anecdote mémorable sur votre couple ?
Quel type d'anecdote au juste ? Du croustillant ? Du marrant ? Impressionnant ?
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Evergreen ou les dérives du progressisme... et de la partialité.
Evergreen ou les dérives du progressisme est un documentaire sorti sur Youtube en 2019. Il se concentre sur les événements qui se sont déroulés à l'Evergreen State College en 2017 et qui ont une couverture médiatique nationale aux États-Unis. De quoi il s'agit ? Comme chaque année, l'université organise un jour appelé "Day of Absence" qui propose aux étudiants appartenant aux minorités de ne pas être présents sur le campus pour montrer que leur absence reflète l'importance que leurs membres jouent au sein de l'université et de la société en général. Or, en 2017 l'administration de l'université propose aux étudiants, au corps enseignant et au personnel d'inverser les rôles en demandant aux personnes "non racisées" de ne pas venir sur le campus et de laisser la place uniquement aux étudiants et personnel issus des minorités.
L'idée ne plaît pas et certaines voix s'élèvent au sein du corps enseignant car elles y voient une forme de racisme à l'égard des blancs. Brett Weinstein, un prof de bio écrira même une lettre à l'administration pour dénoncer la situation et montrer son désaccord vis-à-vis des positions idéologiques que prend l'université depuis quelques années.
De tout cela découleront des comportements excessifs du côté des étudiants anti-racistes qui vont manifester contre "l'oppression des personnes blanches", prendre à parti Weinstein notamment et réclamer auprès de l'administration son renvoi. Tout au long du documentaire, son créateur va nous démontrer par A+B que l'idéologie d'une certaine gauche progressiste (qu'il range dans la catégorie "de l'extrême gauche") "politiquement correcte", pro-équité, en vidant de son contenu toutes les luttes intergroupes (racisme, de genre, de sexe...) conduit à une nouvelle forme d'oppression qui empêche tout avis contraire ou différent de s'exprimer et rejette toute forme d'argumentation qui ne va pas dans son sens. Beaucoup la compareront d'ailleurs à une structure sectaire.Bref, ce documentaire met en avant les défaillances d'un progressisme qui, sous-couvert d'une volonté d'équité et de réduction des discriminations de tout bord au sein de la société, dérive petit à petit vers une autre forme d'oppression, qui, cette fois-ci, se dirige vers ceux qui sont historiquement considérés comme des "privilégiés" et des "oppresseurs" : les hommes blancs cisgenre hétéros.
Mais pourquoi je vous propose de regarder ce documentaire ? Serais-je devenue bête et de droite ? Est-ce que je déteste les SJW au point de me tourner vers les kheys de JVC pour nourrir mon refus de cette vision des choses trop extrême ? Non, du tout. Cela tient en quelques raisons : je souhaite pointer du doigt quelques fondamentaux.
Le premier élément est le suivant : Les SJW, les féminazies, les pro-équités, bref toutes les personnes qui versent dans le "trop politiquement correct" et rejettent en bloc tout ce qui ne va pas dans leur sens, ça pue.
C'est notamment ce que dénonce South Park dans ses dernières saisons avec le personnage du Principal PC (les initiales de "PC" correspondant justement à l'expression "politiquement correct"). C'est un discours vide de toute substance qui ne lutte pas contre les discriminations mais les exacerbe en cherchant le diable dans les moindres détails et en niant toute possibilité de remettre en question sa vision orientée. À mon sens, ce courant de pensée est nocif car il ne conduit pas à un changement sociétal vers plus d'égalité et de cohésion entre les individus et les groupes sociaux mais s'attache à des chimères tout en inventant des problèmes qui n'existent pas. Je trouve cela dangereux car ça éloigne le débat public des principaux problèmes sociaux (à tout hasard les inégalités entre classes sociales ?).Le second élément : la partialité du documentaire (euphémisme, mon ami). L'auteur a une vision très orientée des événements qu'il relate ainsi que des idées véhiculées au sein de l'université. Le vocabulaire qu'il emploie dès le départ n'est pas anodin, il fait partie des mots clefs qui reviennent couramment dans le langage de droite (pour ne pas dire très à droite), cf. les "bien-pensance", "politiquement correct", "idéologie" qui reviennent régulièrement au cours des 50 minutes de vidéo.
Aussi, il présente uniquement les témoignages qui vont dans son sens, il n'y en a aucun venant du mouvement étudiant ni des personnes les ayant soutenu et chaque vidéo diffusée est suffisamment tronquée pour se concentrer sur ce qui peut paraître abusif tout en ôtant le contexte (cf. l'exemple des 2h de vidéo de la réunion du président de l'université avec les élèves noirs qui se plaignent du manque de réaction du personnel. Il ne montre que 5 minutes sur 2h en se concentrant sur l'agressivité des étudiants et de leurs sarcasmes à l'égard du président. Qui du reste des 2h où il s'y est sûrement dit autre chose ?).
De plus, d'entrée de jeu il nie l'existence d'un racisme institutionnel (qu'il appelle d'ailleurs "racisme systémique", terme qui n'existe pas vraiment dans le milieu scientifique. Il est soit question de racisme institutionnel/d'Etat, soit de discrimination systémique, si vous voulez en savoir plus sur la question et une approche critique de ces notions, je vous renvoie à cet article) et l'associe à une simple construction idéologique de la part de "l'extrême gauche" et ses vilains gourous "sociologues". Car oui, selon lui la faute de cette "dérive sectaire" est notamment due aux sciences humaines, aux études menées sur le genre, les discriminations ainsi qu'à la pensée post-modernisme§ (vous savez cette qui émerge lors de la seconde moitié du XXe siècle et qui a été véhiculée par des philosophes comme Deleuze, Foucault ou Derrida).
D'autre part, le contexte posé par l'auteur de la vidéo est simpliste car celui-ci ne s'attache à ce qui peut aller dans son sens (le politiquement correct mène à des dérives autoritaristes). En effet, après le visionnage de son documentaire, j'étais pas mal sceptique par rapport à ce qu'il pouvait raconter et j'ai voulu en savoir plus pour avoir une idée plus précise de ce qui a pu pousser des élèves à péter des câbles, se balader avec des battes sur le campus, refuser la parole à certains professeurs, réclamer à corps et à cri des changements rapides et notables à l'administration, leurs réactions excessives à l'égard de la police du campus, bref le pourquoi de tant de tensions. J'ai vite constaté que le contexte donné dans la vidéo omettait des détails notables : en effet, j'ai pu apprendre que seulement dix jours avant le Day of Absence, deux étudiants noirs de l'université sont arrêtés abusivement sur le campus et sont gardés à vue dans des conditions peu clémentes, ce qui va forcément créer des tensions avec les étudiants noirs. Ainsi, la réaction des élèves à l'égard des policiers du campus au moins où Weinstein est pris à parti, est une réaction défensive à l'égard de cet événement.
À cela, on peut ajouter qu'au même moment se déroule le nouveau procès de l'affaire Samuel DuBose (un jeune black qui s'est fait tuer par un policier du campus de Cincinnati pendant un contrôle en voiture), ainsi que les tensions exacerbées entre les différentes parties de la population depuis l'arrivée de Trump à la Maison Blanche.§ (c'est pas un astérisque parce que sinon ça me met un gros point) "La philosophie postmoderne désigne un ensemble d'études critiques menées entre les années 1950 et les années 1970 voire 1980, qui rejettent en partie les tendances universalistes et rationalistes de la philosophie des modernes, ou cherchent à s'en distancer pour mieux les analyser. " (cf. Wikipedia).
Que pensez-vous de cette vidéo ? Le politiquement correct est-il l'apanage d'une extrême gauche outrancière ? Cette lutte qui se déroule notamment sur les réseaux sociaux, à qui profite-t-elle au juste ? Est-ce que la généralisation de l'écriture inclusive, la mise en avant des "privilèges" de chacun est vraiment une défense de l'égalité et des droits des individus ? Pourquoi les conservateurs s'attachent particulièrement à rejeter ce type de discours en le ridiculisant ?
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RE: Le Bonheur du jour !
Mon frère a réussi à décrocher un appart après avoir galéré ces derniers jours pour une question de garant ! Il emménage la semaine pro dans la ville de sa chéwie.
(Et on a plein de photos des n'amoureux et du petit bout de sa dulcinée, c'est choupi tout plein). -
RE: Votre parcours scolaire et le métier que vous faites à présent
Ah ça m'étonne qu'il n'y ait pas déjà de topic sur le sujet.
Bref, pour ma part j'ai passé un bac L, puis une licence de Psychologie avec en parallèle des cours de Lettres Modernes. Puis, j'ai enchaîné avec un master recherche de Littérature Comparée. Puis, retour à la Psychologie pour valider un master aussi dans le domaine sauf que je ne l'ai pas validé pour l'histoire d'un dossier déjà noté mais pas rendu en session 2 donc, j'ai un M1 aux trois-quarts validés mais pas le M2.
Niveau boulots, j'ai bossé en pharmacie (ce que je faisais déjà pendant mes études), en association culturelle (dans le domaine du théâtre) et en restauration.
Et comme j'aimerais actuellement avoir un boulot dans mon domaine de compétences (parce que je suis lassée des bullshits jobs), je compte reprendre mon Master de Psycho pour le valider et avoir le statut de psy. Celui que j'avais commencé était spécialisé en Psycho Sociale (recherche) et cette fois je vais plutôt me diriger vers le Développement (pro). En parallèle, job dans un domaine moins relou (si possible retour à la case culturelle voire contractuelle dans la fonction publique) + passage de concours.Voilà les objectifs de la rentrée, priez pour moi qu'il n'y ait pas de reconfinement en octobre quand je vais repartir dans la recherche de job. °_°
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RE: Ces hommes qui ne respectent pas l'espace public
On a encore mieux ici. La ville a mis en place depuis quelques années des urinoirs "écologiques" dans certaines rues du centre ville qui sont à côté des rues les plus fréquentées par les piétons.
Voilà le bousin :
Je vous dis pas comme ça embaume dans les périodes les plus chaudes de l'année. Et ça incite justement à continuer de pisser dehors comme ça au lieu d'apprendre à se retenir (je suis désolée mais si un gros pourcentage de la population le fait, c'est que c'est à la portée de tous ceux qui n'ont aucun problème de vessie).
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Baby Driver
Baby Driver est un film réalisé par Edgar Wright (oui, le mec qui a réalisé Spaced, la trilogie Cornetto et Scott Pilgrim vs the World <3), sorti en salles en 2017.
Il possède un casting de fifous avec notamment Kevin Spacey, Jon Hamm, Jon Bernthal, Lilly James et Jamie Foxx.Le pitchounet :
"Chauffeur pour des braqueurs de banque, Baby a un truc pour être le meilleur dans sa partie : il roule au rythme de sa propre playlist. Lorsqu’il rencontre la fille de ses rêves, Baby cherche à mettre fin à ses activités criminelles pour revenir dans le droit chemin. Mais il est forcé de travailler pour un grand patron du crime et le braquage tourne mal… Désormais, sa liberté, son avenir avec la fille qu’il aime et sa vie sont en jeu." (cf. Allociné).
Le trailer du film :
Tout ce qui fait l'originalité de ce film, c'est qu'il est rythmé par la musique. Les scènes, la gestuelle des acteurs et même certaines parties de leurs dialogues sont directement en lien avec les musiques qui tournent en boucle tout au long des 2h de film et nous placent directement dans la peau de Baby, en écoutant sa playlist qui lui permet, à la fois de fuir ses acouphènes et la réalité peu enviable dans laquelle il baigne au quotidien.
La BO est excellente et variée, les dialogues sont savoureux comme d'habitude chez Edgar Wright, sans oublier que le casting porte très bien le scénario qui peut paraître léger mais qui est travaillé pas mal par tous les détails qui jonchent le film (en arrière plan notamment). C'est réécriture assez parodique et contemporaine du conte de fée vu par un jeune homme qui a vécu un peu trop longtemps dans son pays magique.Bref, vous l'aurez compris, ce film c'est la coolitude incarnée !
L'avez-vous déjà vu ? Si oui, qu'en avez-vous pensé ? Si non, foncez le voir !
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RE: La psychologie du vieillissement
@jool Putain, il est "jeune" ton grand-père. Le mien, si il était encore vivant aujourd'hui, il aurait 96 ans.
Vieillir implique surtout de perdre un statut social : avec l'arrivée de la retraite et l'absence d'un travail comme activité régulière pour maintenir les individus dans le rythme qu'impose la société ainsi que pour leur octroyer un statut social qui leur permet d'être considérés et d'avoir un rôle actif en son sein, les conséquences ne se font pas attendre. Ne plus être actif, ne plus avoir une "utilité" sociale implique une détérioration cognitive et organique plus rapide que pour les individus qui maintiennent des activités et des contacts sociaux réguliers au cours de leur vieillesse.
Autre chose, nous sommes dans une société qui a une vision très négative du vieillissement (Simone de Beauvoir montrera d'ailleurs que la plupart des sociétés existantes ont une vision négative de la vieillesse*), où l'on fait tout pour mettre en avant la jeunesse et conserver le plus longtemps possible l'illusion de celle-ci. On perçoit les personnages dites âgées comme des personnes "fragiles", qui coûtent beaucoup à l’État du fait qu'elles sont inactives (elles ne produisent plus de richesses puisqu'à la retraite) et qu'elles induisent beaucoup de dépenses au niveau des soins puisqu'elles consultent plus fréquemment des médecins et consomment beaucoup plus de médicaments et on besoin d'assistance au quotidien.
En Europe, la population vieillit de plus en plus, cela est indéniable et, avec l'augmentation de l'espérance de vie, l'on se retrouve avec de plus en plus de personnes âgées et même très âgées qui vivent plusieurs années en perte d'autonomie et nécessitent des soins quotidiens spécifiques. Les Ehpads explosent leurs capacités, les maisons de retraite sont extrêmement coûteuses et il est de plus en plus préconisé de maintenir au maximum les gens à leur domicile tant que cela est possible.
On peut constater que deux facteurs jouent indéniablement dans la perception négative de la vieillesse (à la fois par les gens extérieurs mais aussi par les individus eux-mêmes) :-
la perte d'autonomie : à partir du moment où un individu commence à avoir des difficultés à effectuer les tâches du quotidien (ménage, manger, conduire...), se mouvoir (marcher, se lever, soulever des objets, la préhension...), se contenir, cela induit un décalage avec son entourage mais aussi avec le monde extérieur en général. L'individu vit mal de perdre son indépendance et de dépendre des soignants ainsi que de ses proches. C'est vécu comme une déchéance.
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le fait de ne plus jouer un réel rôle dans la société a quelque chose d'excluant pour les individus et peut accélérer la sénilité et avoir aussi des effets dévastateurs sur le comportement comme la désinhibition. En effet, puisque l'on fait comprendre aux personnes âgées qu'elles sont des "parias" à quoi leur servirait-il de continuer à se comporter d'une manière socialement attendue (respect de la bienséance, politesse, comportements respectueux des autres...).
D'ailleurs, on constate notamment que l'entrée dans un service spécialisée (comme en Ehpad par exemple) accélère la déchéance physique des individus, ceux-ci ne font pas de vieux os. En fait, même si leurs blasons ont été redorés depuis quelques décennies et que des moyens sont alloués aujourd'hui, cela ressemble encore fortement aux mouroirs qu'étaient les hospices il y a encore 50 ans et plus. Et ça, les vieux l'ont bien compris.
- Simone de Beauvoir a écrit en 1970 un essai intitulé La Vieillesse dans lequel elle s'intéresse à la fois à la vision de cette période de la vie dans les différentes cultures, l'évolution de sa vision au fil des époques ainsi que les premières évolutions sociales et médicales qui ont permis d'améliorer les conditions dans lesquelles on vieillit. Elle montre notamment à quel point la société a mis du temps à s'intéresser aux personnes âgées et à quel point le sujet était peu défriché encore à la fin des années soixante. C'est rien de le dire puisque les différentes disciplines scientifiques ont encore assez peu de littérature sur la question même si cela commence depuis une vingtaine d'années.
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RE: Le poids des apparences
@leo a dit dans Le poids des apparences :
Fais-tu d'ailleurs seulement la différence entre philosophie et sociologie.
C'est quoi ? Ça se mange ?
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RE: Le topic défouloir (quand t'as envie de rager)
@Barbouille Faut te plaindre à Sarkozy pour pub mensongère.
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RE: Qui êtes-vous ? ou plutôt, qui pensez-vous être ?
@manson Tu joues encore au jeu des menaces et je te montre gentiment la sortie.
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RE: Le Bonheur du jour !
En week-end à 15h30 pour mieux profiter de la côte sauvage en n'amoureux. °_°
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RE: Partagez tout ce que vous voulez
Je me remets pas de cette blague à deux balles. Je me marre dès que je regarde la tête du dino. é_è
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RE: Le Bonheur du jour !
Ze retourne dans ma ville adorée (accessoirement la capitale de Noël) pour la période de nowel en n'amoureux.
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RE: Le Bonheur du jour !
Un week-end en amoureux avec une première grosse soirée avec pas mal de monde. On a fait les fifous et malgré la fatigue et les cernes, c'était crop bien.