@LeaPierce
Ouuuh, triple contrainte (rimes + thème + acrostiche) ! J'adore

Pico Bogue, aaaah, ça, c'est mon chouchou du moment... Enfin, depuis sa sortie, et comme on est au 12ème album cette année...

Dans la même veine que les Peanuts, Calvin et Hobbes ou encore Mafalda (RIP Quino), cette BD met en scène un enfant d'une dizaine d'années qui a un regard bien personnel sur la vie, beaucoup de répondant face aux préoccupations des adultes, et dont les réflexions font mouche. Il aime décortiquer les mots, analyser leur étymologie, pour en tirer parti à son avantage lorsqu'un "grand" tente de le faire obéir ou de le raisonner par exemple.

Le dessin est simple et en même temps adorable, craquant, j'accroche beaucoup. Les histoires sont très courtes, du style "gags" en une page ou quelques-unes. Dans certains albums, un thème lie les strips entre eux, par exemple le séjour chez l'oncle, l'étymologie, les grands-parents, l'art.

Les personnages récurrents...

Donc, il y a Pico, personnage principal, avec ses cheveux roux en bataille, son intelligence qu'il met à profit du "je vais avoir le dernier mot", son envie de liberté et de glandage...
Sa petite soeur, Ana Ana, fillette d'environ 6 ans, blonde, qui a sa propre série pour plus petits et avec peu de textes. Elle ne manque pas de mordant, elle aussi, alimente les farces de son frère, et s'amuse de la vie avec sa copine.

Cette copine, c'est Norma. À deux, elles peuvent se bidonner sur des trucs invraisemblables et on a juste envie de rire avec elles !
Puis, on a l'ami de Pico, Charlie, qui a l'air toujours fâché et agressif, et qui a un regard pessimiste sur le monde.
L'autre ami, Barnabé... Tiens, je n'ai rien à dire sur lui, aucun "gag" le mettant en scène ne m'a vraiment marquée, donc... Mais sur Wikipedia, je vois qu'il manque de confiance en lui... De toute évidence, ça doit signifier que c'est très bien retranscrit, et que c'est plutôt un faire-valoir de Pico !

Les parents de Pico et Ana Ana se dépatouillent comme ils peuvent avec leurs petits monstres qui finissent toujours par leur couper le sifflet !
L'oncle Antoine, chez qui Pico et Ana Ana ont passé un séjour pendant que les parents profitaient de temps à deux... Cela a donné lieu à des échanges attendrissants, ce gros nounours tentant de garder son calme sans pour autant se faire manger son autorité par la malignerie (keuwa, ce mot n'existe pas ??) des enfants...
Les grands-parents, Mamite et Papic, très présents, et ne se laissant pas facilement démonter par leurs petits-enfants, leur rendant parfois la pareille avec brio.

La titulaire de classe, désespérée devant le manque d'entrain de Pico face aux cours. Il n'étudie pas beaucoup, mais parfois parvient à avoir de beaux résultats ou des remarques intéressantes... Ouf !
Le prof de gym, qui tente de faire bouger Pico mais... Ouh, celui-ci n'aime de toute évidence pas le sport à l'école ! Seul le vélo avec ses copains l'enchante ! Le prof de sport se fait donc régulièrement remettre à sa place par cet enfant démotivé, et ça l'agace !
Enfin, citons le libraire Bobby, qui vend des bonbons et a offert à Pico son carnet d'étymologie. Pico essaie toujours de l'arnaquer pour avoir des sucrerie gratuitement, mais Bobby n'est pas dupe.

Les auteurs de cette BD géniale sont une femme, Dominique Roques, au scénario, et son fils, Alexis Dormal au dessin.
Le tout est publié chez Dargaud et je ne saurais que trop vous conseiller de découvrir ces lectures, c'est mignon, rafraichissant, intelligent, tout ce que j'aime !

Souris quand on se fâche,
Plaisante si l'on tempête,
Ignore les humeurs qui font tache,
Favorise le bonheur et la fête !

(Ouaaah, voilà des vers de compèt'
On dirait que j'ai la tête dans l'pet,
Pourtant j'voulais pas que ça se sache,
Dans un trou d'souris, je me cache !)

Un sourire derrière une moustache,
Créant une jolie fossette,
Voilà qu'elle s'amourache
Et devient toute bête...

Je crois que j'ai 11 bonnes réponses, je suis nulle, loool !!!!

Kate Walsh ?

Chez les scouts, l'aspirateur à copeaux...
Naaan, trop la flemme de le raconter aujourd'hui !

@Myra-flore

D'accord ou pas d'accord, en soi, la question ne se pose pas... En matière de foi, chacun croit ce qu'il croit et il est fort difficile de faire changer une opinion par un argument raisonnable quelconque

D'un point de vue "écolo", il faut clairement se dire qu'on n'est pas victime, qu'on a le pouvoir d'inverser le cours des choses, effet de serre, tout ça, et donc de limiter les dégâts occasionnés par l'activité humaine.

Wesh wesh wesh...

Mes règles, c'est de pire en pire ! Enfin, non, pas les règles elles-mêmes, mais l'humeur qui va avec.

Depuis quelques mois (corona, démission de mon boulot, etc., ont amplifié le machin), je fais des vrais épisodes dépressifs en période hormonale.
La difficulté supplémentaire, c'est que j'ai un cycle complètement déréglé : parfois il dure 30 jours, parfois 50, et le moment du SPM est difficile à déterminer. J'ai même l'impression qu'il s'installe petit à petit durant 2-3 semaines, jusqu'au début de mes règles où c'est le pire.
Donc, pendant tout ce temps, je vais de plus en plus mal, ne supporte aucune remarque, n'ai aucune autodérision, aucune confiance en moi, pas de motivation à accomplir quoi que ce soit, et petit à petit, je sombre...
Jusqu'au véritable SPM, le moment où une fille "dans la norme" va se sentir un peu moins patiente et d'humeur bougonne, et qui dure deux-trois jours. Là, je pète un câble pour un oui ou un non, je crie, je pleure, j'ai envie que tout s'arrête.
Puis, magie magie, au 3ème jour de règles, ça va mieux, pour enfin revenir à la normale, être pétillante, bavarde, pleine de projets, etc.

Bref, la galère.

Et ça progresse mal.

RDV gynéco est pris pour gérer tout ça car ce n'est plus possible...

"Purée, ma p'tite, t'es lesbienne, cesse donc de regarder les garçons !" XD !

Et l'apathéisme, dans tout ça ?!
(Voir Wikipedia pour les infos)

Perso, je suis plutôt apathéiste, oui.
Ou... Je ne sais pas... Dieu, qu'il existe ou pas, ça m'est totalement égal.
Mais c'est plus compliqué que ça.
Je crois que non. Parce que s'il existe, il ne peut pas être si bon que ça pour laisser des trucs abominables se passer en son nom.
(Les croyants parlent de libre-arbitre humain, etc., mais de mon côté, alors, on ne peut pas parler d'un Dieu incroyablement bon, et ça remet en question toute "l'adoration" que les croyants ont pour ce Dieu.)

Par contre... Je crois en une espèce de pouvoir de la nature. Le tsunami, les inondations, les incendies, les tremblements de terre, le coronavirus, tout ça, ce serait la nature qui fait son boulot : on est trop d'humains sur Terre, et donc, elle gère, avec un événement catastrophique par ci par là, engendrant de nombreux morts et régulant le trop-plein de parasites terrestres...

Notez que je suis baptisée (catholique), j'ai fait toutes mes communions (jusqu'à 14 ans) et trouvé dans la religion des belles histoires fondatrices et génératrices de valeurs qui auxquelles j'adhère.
En ça, je ne rejette pas le fait d' "enseigner" une religion, tant qu'il s'agit des éléments positifs de celle-ci, car ça aide à se forger un système de valeur altruiste et tout et tout.
Puis bon, vers mes 14-15 ans, j'ai découvert que le curé qui m'avait tout enseigné était un salopard de pédophile ayant violé plusieurs des gamins qui faisaient partie de mes amis. Ma "foi" n'étant alors pas une vraie foi, mais plutôt un plaisir de faire partie d'une communauté, de connaitre des paraboles et d'avoir des lignes de conduite qui me convenaient, s'en est retrouvée ébranlée : quid d'un dieu qui laisse des pourris parler en son nom, blablabla... Je vous épargne les réflexions.
Et voilà que j'ai cessé d'aller à l'église, me suis rendu compte que je n'étais pas "croyante en Dieu" par conviction mais juste "comme les autres" et ai fini par rejeter l'idée du "Bon Dieu" et même de la puissance supérieure invisible...
Pour finalement me dire que la seule puissance qui existe vraiment, c'est celle du monde en lui-même, la nature, la planète, toutes ces choses bien tangibles et qui ont pouvoir de vie ou mort sur nous.

Mon totem scout est le pinson... parce qu'on dit "gai comme un pinson"

@Peri

Pour le coup, la Clochette de Loisel et celle de Hook peuvent être "différentes" de celles décrites dans l'oeuvre originale, puis qu'il ne s'agit clairement pas de cette oeuvre originale. Je veux dire... L'oeuvre originale raconte l'histoire de Peter Pan qui emmène Wendy and Co au monde imaginaire, patati patata. Loisel replace l'intrigue dans un autre univers, c'est totalement différent, et Hook dans une autre époque, pareil, ça n'est pas "L'histoire telle qu'imaginée par l'auteur". Autrement dit, ce sont des "adaptations libres".

Donc, seule la Clochette de Disney devrait, pour moi, coller au récit de base, car c'est une "adaptation fidèle". Si on choisit de "mettre en vie" une oeuvre existante, on est sensé la respecter et ne pas tant s'en détourner. Les gens qui lisent un écrit se font une image des personnages par les descriptions des auteurs. En regardant un film sensé raconter la même histoire, dans les grandes lignes, je m'attends à ce que les personnages ressemblent à cette image. Je ne conçois pas qu'Hermione, dans la pièce Harry Potter, soit noire, car dans ma tête et dans la tête de JK Rowling, elle ne l'était pas.

Voilà voilà, après, ce n'est que mon avis.

@Peri

T'es biesse !

Mon jeu favori actuellement, c'est Azul...

Dans un style très différent, j'aime beaucoup Dixit...

Sinon, y en a plein d'autres, j'ai des groupes d'amis très joueurs !
Et j'ai fait du bénévolat au Brussels'games festival les trois dernières années. Je suis devenue amie avec plusieurs bénévoles, on se retrouve pour jouer.
En famille aussi, on joue souvent, surtout les "lendemains de la veille" (comprenez : le 25 décembre) et lorsqu'on est en vacances tous ensemble.

En vrac : Sagrada, Pas de bras pas de chocolat, Just one, Colons de Catane, Shadows Amsterdam, Feelings, Six qui prend, Les 7 vilains, Century, Aventuriers du rail, Bonanza, ...

Perso, j'ai une préférence pour les jeux de mots, ceux style Azul et Sagrada (placement et "logique"), et j'aime bien, mais pas trop souvent, les "grands jeux" stratégiques.

Je déteste les jeux avec des tas de cartes toutes différentes où il faut lire chaque carte pour comprendre son rôle... Une impression désagréable de ne jamais pouvoir maitriser "complètement" les règles, ça m'ennuie grave (genre Citadelles, quoi !).

Et j'ai joué une seule et unique fois à Pandémie, jeu de coopération très connu. Outre le fait que le simple mot est devenu insupportable à entendre (merci 2020 , confinement et tout le tralala), on avait mis plus d'une heure à lire les règles te commencer la partie... Et en un seul tour, on a perdu ! La pire partie du monde, j'ai du coup ce jeu en horreur XD !

@apis-32
"Couque" est utilisé à Bruxelles (couque au chocolat, au beurre, aux raisins, à la crème, ...).
Ce mot existe aussi ailleurs en Belgique, je ne sais pas si c'est dans tout le pays, mais ce qui est sûr, c'est que ce n'est pas toujours avec le même sens. Par exemple, à Liège, une "couque", c'est un biscuit (mais les Liégeois utilisent les mêmes mots que nous pour dire des trucs différents, c'est perturbant... Ex : ils disent "chique" pour "bonbon", alors qu'une chique, ici, c'est un chewing-gum !)...

Moi, je trouve ça triste de choisir des acteurs qui ne correspondent pas aux descriptions physiques des personnages tels qu'imaginés par les auteurs...

Non mais moi, j'ai jamais compris ce débat entre "pain au chocolat" et "chocolatine"... On dit "couque au chocolat", non ?!?!

Haaaan, je l'entends, même, le "Qui veut jouer avec moi ?" Comme une petite chansonnette... Hihihihi, souvenir souvenir !

Je ne sais pas où tu habites, mais il existe des sites du genre "On va sortir" (ou veut ?).
Moi, en Belgique, j'avais utilisé "Rencontres du temps". Je ne sais pas s'il existe encore.
Dans l'un comme dans l'autre, l'idée est de faire des activités avec des "inconnus", et petit à petit, des liens peuvent se créer !