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ED SHEERAN

Voltaire a de manière très juste dit :

« Demandez à un crapaud ce que c’est que la Beauté, le grand beau, le to kalon ! (beau en grec) Il vous répondra que c’est sa femelle avec deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête, une gueule large et plate, un ventre jaune, un dos brun »

Vaste sujet que les apparences ! Il est indéniable qu’elles comptent tout simplement parce qu’elles constituent la première source d’informations dont nous disposons sur une personne , en particulier si nous ne la connaissons pas . Quoique l’on en dise nous sommes fatalement jugés sur notre physique et nous jugeons automatiquement les autres dès les premiers regards. Toutefois, la beauté physique, ne suffit pas elle seule à faire la valeur d’un individu. Il peut être super beau et n’avoir aucune valeur morale. A contrario, il peut être doté d’une grande valeur morale et dépourvu de beauté physique.
Ne nous voilons surtout pas la face. Avouons le ! de prime abord et de manière spontanée la laideur nous indispose tout comme la beauté nous émerveille, mais heureusement, et très souvent, nos a priori s’estompent au fur et à mesure que nous connaissons cet autre.
Faut bien garder à l’esprit que nous ne pouvons rien contrôler de ce que pensent les autres de nous.
Il y a toujours quelqu’un pour nous trouver « trop » ou « pas assez ». Faut juste prendre le risque de l'accepter .

@ delnis : judicieuse initiative que celle de mettre en valeur des "femmes majeures". Puisque tu parles de catalogue, j'aimerai ajouter le portrait d'une artiste au destin tragique, qui nous fascine , je pense.

Une sculptrice dans l'ombre du maître .........

"L’œuvre et le terrible destin de Camille Claudel ont refait surface près de 50 ans après sa mort. De multiples rétrospectives de sa vie et de son œuvre, ainsi que des pièces de théâtre, des ballets, des biographies et un film ont aidé à restaurer la mémoire de cette femme injustement oubliée et ignorée de son vivant.
Maîtresse de Rodin, artiste géniale et femme rebelle : Camille Claudel avait tout pour marquer l'histoire de la sculpture. Elle s'est élevée aux sommets de la création, avant de sombrer dans les gouffres de la folie. L'histoire de sa déchéance est ponctuée d'œuvres qui disent d'abord son chagrin de femme abandonnée, puis sa haine d'un monde hostile, qui se transforma finalement en paranoïa.
Camille Claudel est l’une des rares femmes sculpteurs du 19e siècle à être connue aujourd’hui du grand public. Cependant, sa popularité posthume doit beaucoup à la fascination pour son destin dramatique, plus qu’à une véritable compréhension de l’importance de son œuvre, environnée de celle de Rodin, de 24 ans son aîné.
Le sculpteur est déjà sur la voie de la célébrité lors de leur rencontre et il poursuivra son œuvre bien après l’internement de Camille. La carrière de Rodin s’étend sur près de 60 ans, celle de Camille sur 27 années seulement. Les années suivant immédiatement la rencontre de Camille et d’Auguste en 1882 seront celles du bonheur, de l’osmose artistique ; Camille travaille pour Rodin et parallèlement construit son œuvre. Puis, la passion deviendra douloureuse. Camille développe sa propre originalité en sculpture avec des œuvres magistrales, comme La Valse, La petite Châtelaine, Les causeuses, La Vague… Rodin conçoit ses sculptures qui sont réalisées dans son atelier par des praticiens ; Camille est à la fois concepteur et praticien, un travail très physique qui l’épuisera.
A quarante-neuf ans, , c'est l'internement psychiatrique pour toujours : elle meurt trente ans plus tard, en 1943, sans avoir jamais revu Rodin, sa mère, ni accepté de recommencer à sculpter."

"MAI 2017 : Ironie du sort : il a fallu attendre le centenaire de Rodin pour que le musée Camille-Claudel ouvre enfin ses portes. À Nogent-sur-Seine, l’événement était très attendu et le chantier commencé en 2012 a connu maints rebondissements avant la fin des travaux. A croire qu’une malédiction s’acharnait sur Camille Claudel, ou que la postérité tardait une fois encore à lui rendre hommage.

Présentée dans sa version en plâtre au Salon de 1897, La Vague, , est réalisée en grande partie de la main de Camille Claudel.

La Femme accroupie datant de 1884-85 fait partie de premiers travaux de Camille Claudel. L'œuvre est réalisée alors même que la jeune femme travaillait dans l'atelier d'Auguste Rodin, participant au projet de La porte de l'Enfer.
Elle représente une femme, comme son titre l’indique, accroupie, recroquevillée sur elle-même, le dos en tension, et les bras relevés au-dessus de la tête. Le personnage est posé sur un socle très fin qui accentue l’impression de fragilité.

C'est un beau film . Je l'ai vu 3 fois (une 4ème ne me gênerait pas ) et comme je suis fleur bleue, outre la scène quand il remet la lettre de son fils sur la tombe de Jenny j'ai à chaque fois la petite larme pour celle également de leur retrouvailles après son discours.

@Wi-lili-K Je m'en doutais. Faut que j'aille relire un peu les tutos. Là je farfouille sans filets !

bises à tous ! merci @Shanna L'essentiel est de participer . Je la retiens toujours cette petite citation.
En fait , j'ai laissé gagner la plupart d'entre vous. Ca me faisait trop plaisir
Bonne soirée à tous . à+++

@guizmo Calme toi steuplé !

@carl_jung Pour les gens du Sud une part de juste et de vrai, une grosse part d'approximation ,d'amalgame et croyance
Je pense que la nature profonde des gens est la même au nord qu'au sud, seule la façon de l'exprimer change.

“Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais.”
Oscar Wilde

@Elenwey je suis en partie du même avis que toi 3/5 . Pas plus . J'ai vu le film cet aprèm. Un peu fouillis. Quelques anachronismes. Pas de quoi sauter au plafond mais c'est un bon divertissement . Une ambiance BD bien retranscrite. Je n'irai pas jusqu'à m'extasier ni me prosterner, ceci dit, globalement, il y a de très bons effets spéciaux . 2 à 3 répliques marrantes. Le duo Lelouche/Canet fonctionne bien
Ne pas s'attendre à du GRAND cinéma. Faut juste aller voir ce film pour se vider la tête.Point !

PS : Un plaisir de voir Philippe Katerine en barde .

Parce qu'il est pas interdit de croire en un peu de magie et de cultiver en soi un soupçon de paix !

@Shanna Des soins nécessaires pour que cette bactérie hautement virulente cesse d'altérer les tissus et que le mort retrouve un aspect décent pour la mise en bière .

@Marcel j'ai pas osé le proposer . J'ai pensé à un traitement expérimental visant à ressusciter . Bob avait signé des papiers de son vivant pour que tout soit tenté après qu'il ait rendu l'âme

je la connais par la force des choses . je vis avec des jeunes de 17/20 qui me saoulent alors a force je m'instruis

edit En revanche le titre j'aurai jamais mais jamais su dire

Les boucles brunes ,un sourire à toute épreuve, on la surnommait la « petite fiancée de l’Atlantique ».
Florence Arthaud, l’aventurière de la mer , la dompteuse d’océans, qui a ouvert la voie à de nombreuses femmes navigatrices.
La voile n’est pas qu’une histoire de testostérone, disait-elle en se moquant des clichés. « La voile n’est pas un sport de ¬machos «
Florence Arthaud a à peine 22 ans en 1978 quand elle se lance dans l’aventure de la Route du Rhum ; Elle impressionne déjà par sa persévérance. Elle termine à la 11ème Place. En 1982 , elle récolte la 20ème place.
le 18 novembre 1990 , c’est à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe, que sa carrière connaît son apogée Difficile d’oublier qu’elle a été la 1ère femme à remporter la Route du Rhum à à bord du trimaran « Pierre 1er » . Quatorze jours, dix heures et dix minutes passés seule en mer à la barre de son bateau aux coques dorées, Merveilleux défi !
C’est en 1990 également qu’elle rafle le record de la traversée de l’Atlantique en 9 jours, 21 heures et 42 minutes.
Pour elle qui , pourtant, avait échappé par deux reprises à la Mort, elle qui , en 2009, avait écrit dans sa biographie « La disparition en mer a quelque chose de tragique. L’espoir empêche le cœur déchiré de faire son deuil », . Et de citer le navigateur Olivier de Kersauson : « Il n’y a pas une meilleure façon de mourir. » le destin avait prévu une toute autre fin de scénario.
En 2015, elle a pris le large vers d’autres flots !
« Les vagues tournent autour de toi / C’est toi qui les mènes en bateau », lui disait le chanteur Pierre Bachelet

@Peri je l'ai vu et revu avec plaisir et toujours avec un peu de nostalgie

qu'en ai-je pensé ?

Très honnêtement , c’est un bon divertissement , un bon film de capes et d’épée. En clair ,on a échangé un zorro un peu fatigué ( que j'adorais ceci dit) contre un zorro nouvelle formule, nouvelle génération qui parvient à injecter une bonne dose de sang neuf dans ce mythe indétrônable du justicier au grand coeur, sans trahir la mémoire de ses glorieux aînés.
Antonio avait une lourde charge, tout de même, mais il s'en sort très bien je trouve .
Après c'est toujours le même combat : on aime ou on aime pas

@Music blanche gardin ?

Je vote pour Egon

"La beauté commence au moment où vous décidez d'être vous même "
(Coco Chanel)

Tout le monde connait-il la méthode Konmari ? Marie Kondo , la déesse du rangement. Je n'en suis qu'au béaba hélas ! . Elle a raison, le rangement ça s'apprend .

J'adore sa façon d'envisager ce fameux tri.

Elle évoque 3 grandes typologies de personnes : celles qui sont incapables de jeter, celles qui sont incapables de remettre les choses à leur place, et celles qui sont incapables de faire les 2. La plupart des gens (90%) sont dans le cas n°3
Le plus important est de jeter une bonne fois pour toute et en une seule fois

Il faut trier par catégorie d’objets et non par pièces.

Si on hésite à se débarrasser d’un objet, il faut réfléchir si cet élément nous met en joie ou ne nous fait rien de particulier.

Il faut considérer son intérieur et ses objets comme des êtres à part entière. Les objets sont faits d’« énergies » positives ou négatives selon qu’ils rappellent de bons ou de mauvais souvenirs (très japonais comme façon de voir les choses !)

Elle invite à remercier chaque objet que l'on jette pour les moments qu'ils nous ont permis de vivre un jour ou l'autre.

Bon ! je ne suis pas au bout de mes peines avec tous ces remerciements.

Ceci dit , mes albums photos , hors de question de leur dire au revoir . Me restent encore des tas de boîtes remplies de photos récupérées chez mon père que je n'ai pas eues le courage de trier .

Bon ! de l'ordre et de la méthode . Habits - Papiers - Livres . Le reste , je verrai plus tard

En tous les cas, suis ravie de tous vos retours. Merci !