Je me souviens du témoignage d'un gars, SDF de longue date. Du jour au lendemain, il a retrouvé travail et logement... et l'a super-mal vécu.
Dormir dans un lit au chaud, aller faire ses courses, gérer son logement, sa compta, tout ça lui était insupportable. Dés qu'il avait l'occasion, il retournait dormir dans la rue, retrouver ses repères et ses relations d'avant.
Au final, nous autres, occidentaux plus ou moins aisés, associons par reflexe le bonheur à l'opulence, parce que c'est une norme et un objectif qu'on se fixe depuis l'enfance.
Mais au final ça n'est qu'une petite part de ce concept bien plus vaste qu'est le bonheur.
Pet Cemetary est un livre que j'ai lu à 17 ans, et que je ne pense pas relire, tant il m'a mis mal à l'aise.
Que ce soit clair : dans le contexte, ce n'est absolument pas un défaut. C'est un livre d'épouvante, j'attendais donc de lui qu'il me mette dans mes petits souliers. Et il a réussi au delà de mes espérances
Je me suis identifié comme jamais au personnage de Louis Creed,
confronté au deuil abominable de son fils Gage.
Et je m'y suis pourtant identifié à une époque ou rien me rattachait à lui.
Du coup vous comprendrez que c'est pas aujourd'hui, maintenant que je suis marié, deux enfants (approximativement de l'âge de Ellie et de Gage) fraichement emménagé dans une petite maison donnant une petite route, avec... un chat. On a même un chat. Une chatte vieillissant, dont on a même abordé récemment avec les enfants la question de sa mort, en vue d'être préparés.
Sérieux, je vous jure, dés notre emménagement l'an passé, j'ai immédiatement sympathisé avec le voisin d'en face qui est de 35 ans mon ainé et qui m'a filé des tuyaux, des adresses du coin !
Bon, il ne m'a recommandé aucun cimetière d'animaux, je ne pense pas qu'il y en ai un dans les parages, et d 'ailleurs je ne veux pas le savoir.
A l'heure où j'écris ces lignes mon épouse et les enfants sont en déplacement, en séjour dans la belle-famille. Je suis seul avec la chatte. Elle va bien. Et elle ira bien jusqu'à la fin des vacances. Y'a aucune raison pour qu'il lui arrive quelque chose avant le retour de ma petite famille ? Si ? :unsure:
Un an après, je rédige donc une petite mise à jour, maintenant que notre chatte est... morte.
Pas écrasée par un camion comme dans l'oeuvre, mais de vieillesse, partie rapidement un soir de juin dernier, sans signes avant-coureurs. Sa tombe est dans le jardin.
Non, je ne suis toujours pas tenté par relire ce livre dans l'immédiat, comme vous vous en doutez. Encore moins en confinement de pandémie. Pas d'humeur.
@Peri cetait pas lui qui disait "j'aime quand c'est cru, j'aime suand c'est cuit, cramé, congelé" ?
Non, ça c’est Yves Camdeborde ( rebaptisé « Côte de Porc » pour le sketch ). Mais c’est vrai que c’est trompeur. Venant de Pau, il a comme Lignac un gros accent du sud.
A titre de distraction je vous partage ici ce torchon cet article du sieur Laurent Sagalovitsch à qui je décerne au passage la palme de l'aigri du mois.
Je ne résiste pas à l'envie de partager ces passages qui ne traduisent qu'une ignorance crasse de l'espace, de ses lois, et de ses enjeux.
Je ne vois rien de remarquable à tournoyer au-dessus de la Terre comme un hamster dans sa cage, le tout à bord d'une station spatiale qui ressemble à ma chambre d'ado quand mes parents me laissaient seul pour le weekend. Ils ne connaissent pas le ménage nos amis astronautes ou quoi?
Quelqu'un pour lui expliquer qu'un espace exiguë où la pesanteur n'a pas court, va pousser les gens à doter en équipement non seulement les murs mais aussi le sol et le plafond ?
J'ai longuement contemplé [la photo] de Paris envoyée par Thomas Pesquet et je cherche encore à comprendre son intérêt ou sa beauté.
Ce pourrait être le cliché d'un jardin public vu du haut de mon immeuble, un jour de pleine lune, quand des escargots et autres pigeons s'y promènent, qu'on ne verrait pas la différence.
Ok boomer blasé.
À force d'envoyer toutes les deux semaines une bande de gais lurons le visiter, l'univers est devenu un objet de consommation courante qui a perdu de sa magie et de sa poésie. On s'y rend désormais comme on va chez son boucher.
Euh, non.
«La Terre est bleue comme une orange» écrivait Paul Eluard à une époque où l'espace était encore un rêve d'éternité.
Là il a du se dire que de pondre une citation à la fin allait faire "spirituel" et contrebalancer la fermeture d'esprit du reste. Raté.
Bon si ça se trouve, cette brochette d'anerie n'est en fait qu'un gros prank, et j'ai donné dans le panneau comme un gros noob. Seulement pour l'heure rien ne le laisse supposer et tout ça fleure quand même bon le premier degré.
@leo : Pourquoi ? je vais te faire la réponse la plus idiote qui soit . Années Lycée .J'avais 17 ans et je pensais que cela me donnait un genre devant les copains copines.
La clope m'a aussi permis de me démarquer auprès de mes potes de lycée. Dans la bande, j'étais celui qui ne fumait pas. Le seul.
Ce qui m'a un jour poussé à me questionner.
" Bon mon gros, t'as le choix entre
t'y mettre, et perdre de ton caractère d'excetion avec ce qui peut très vite devenir un gouffre financier
réinvestir ta thune dans autre chose, comme une nouvelle guitare."
Au grand dam de mes parents, j'ai préféré leur casser les oreilles. Y'avait moins d'efforts à faire pour se cacher, en plus.
La notoriété, ça peut être sympa un quart d'heure.
Mais ça nourrit pas son homme.
Indirectement si.
Une forme de notoriété, bien exploitée, peut aider à faire fructifier une affaire, une entreprise.
En quelque sorte, "argent ou notoriété" pourrait s'apparenter à "poisson ou canne à pêche".
Sauf que la question c'est bien : Argent OU notoriété.
Si, avec la notoriété tu te procures de l'argent, alors, l'énoncé de la question n'est pas respecté puisque tu te retrouves avec de l'argent ET de la notoriété.
Pas faux.
En fait, de par sa formulation somme toute succincte, j'ai interprété ce choix un peu comme le voeu qu'on demanderait à un génie de la lampe. Genre là, tout de suite, souhaites tu être riche ou célèbre ?
Mais textuellement, l'énoncé ne stipule pas si choisir la notoriété revient en retour à faire voeu de pauvreté jusqu'à sa mort. C'est donc ici une faille que j'exploite.
Jason Clarke, enfin qui est ce type ? il joue comme un plat de nouilles, j'ai rarement vu ça
J'avoue que moi non plus je ne comprends pas trop l'engouement de ces dernières années pour cet acteur.
Il a aussi joué John Connor dans Terminator Genisys et là aussi je ressens le fail dans le casting, le gars n'ayant selon moi pas le charisme pour jouer un leader de l'humanité dans une guerre totale contre les machines, peu importe le nombre de balafres que vous lui collerez sur la tronche.
En revanche, il a campé un très convaincant Ed White dans First Man de Damien Chazelle. Voila, un astronaute, un personnage de la vie de tous les jours, bien ancré dans le réel. Ca, ça lui va plus.
@Shanna pour la petite histoire, la mysterieuse Mamie est Maria Snoeys-Lagler, une représentante de la Hollywood Foreign Press Association, une organisation à but non lucrative de journalistes et photographes hollywoodien, en charge notamment de la célébration des Golden Globes.
@allezsavoir il faut surtout prendre son temps et bien comprendre ce que fait chaque curseur. Une fois le truc compris ça va a peu près
Yep.
En fait le joystick de droite ajuste l'orientation cap/tangage/roulis et celui de gauche est en charge des coordonnées X,Y, Z (l'origine du repère (0,0,0) correspondant à l'écoutille d'arrimage de l'ISS).
Par contre j'ai fait l'erreur d'y aller à la souris sans me pencher sur les commandes clavier, qui auraient été plus pratiques.
Au passage je poke @jool, qui peut être intéressé par le jeu (y'a des maths pour faire rentrer une fiche mâle dans une fiche femelle).
Ça a déjà été dit, mais l'IMC n'est qu'un indicateur, à prendre avec des pincettes. Pour ma part, au poil idéal statistiquement parlant, je serais trop maigre (à mes yeux).
J'ai tout essayé :
[...]
les jeunes intermittents.
J'ai cru l'espace d'un instant que tu "essayais" de jeunes intermittents du spectacle, comme activité physique. Je me disais "tiens, c'est pour le moins original".
Un film de BW sans la voix habituelle, je ne sais pas vous, mais ça va me faire bizarre...
Il se rabattront peut-être sur Bernard Métraux, qui avait assuré le doublage de Willis sur le Cinquième Elément. C'était pas du niveau de Poivey mais il s'en était bien sorti.
Je ne sais pas quelles sont les expériences des gens qui s'expriment ici, mais il doit certainement y avoir des gens qui comprennent ce qu'est se sentir persécuté par une société qui prône la liberté alors qu'elle ne cesse de créer des lois empêchant son expression (et ce n'est pas à cause de la période de COVID 19 que je dis ça).
A quel niveau ressens-tu ta liberté d'expression actuelle comme menacée, sans indiscretion ?
Film culte pour moi aussi, je l'aime de bout en bout, et typiquement c'est un film que j'ai dû voir 50 fois, que j'ai en dvd, mais si jamais il passe à la télé et que j'en aperçois une image, je suis obligée de m'asseoir et de regarder jusqu'au bout.
La reconstitution est incroyable déjà, ça suffit largement pour aimer le film, mais même l'histoire d'amour je l'adore, alors que je suis rarement sensible au romantisme dans les films. Je pleure chaque fois comme une madeleine à la toute dernière scène du film...
Avec la pendule réglée sur 2h20. Le souci du détail.
Et la présence de Fabrizio en bas de l’escalier en charmante compagnie. Il me semble qu’il a aussi droit à sa petite romance, dans des scènes coupées. A confirmer.