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@jool Ah oui ça n'a rien à voir ! J'adore l'ennemi qui part pour enlever sa brûlure.

@canaille-sympa Oui ça m'arrive parfois d'avoir cette erreur !

De quelle manière les enfants appréhendent-ils les différences sociales qui constituent l’univers dans lequel ils grandissent ? Comment perçoivent-ils les inégalités, les hiérarchies, voire les clivages politiques qui le structurent ? À partir de quels critères en viennent-ils à se classer et à classer les autres ? Et d’où peuvent-ils bien tenir tout cela ?
C’est à ces questions qu’entreprend de répondre cette enquête sociologique inédite, menée deux années durant dans deux écoles élémentaires. Si les mécanismes de la socialisation enfantine sont souvent postulés, peu de travaux les ont réellement explorés. Wilfried Lignier et Julie Pagis identifient un phénomène de recyclage symbolique des injonctions éducatives, notamment domestiques et scolaires, que les enfants transposent lorsqu’il leur faut se repérer dans des domaines peu familiers.
Ces mots d’ordre deviennent ainsi des mots de l’ordre, employés par les enfants pour distinguer les métiers prestigieux des activités repoussantes, les meilleurs amis des camarades infréquentables, ou encore leurs partis et leurs candidats préférés quand surgit une élection présidentielle. Chacun trouvera sa place, du côté du sale ou du propre, de la bêtise ou de l’intelligence, des « bons » ou des « méchants ». Si bien qu’à travers la genèse de ces perceptions enfantines, c’est celle de l’ordre social lui-même que l’ouvrage retrace.

Je fais un petit résumé de ce que j'ai retenu de la lecture de ce livre, de ce que j'ai apprécié et de ce que je pense bien évidemment.

Tout d’abord j'ai bien apprécié ce livre, bien que le scientifique que je suis a du mal à se contenter d'une étude portant uniquement sur deux écoles. C'était intéressant de voir comment les enfants se représentent différents métiers, et de quelle manière ils sont capables de les hiérarchiser. Nous pouvons remarquer qu'il y a dès l'enfance des disparités, entre le sexe, l'origine sociale. Par exemple, les filles classent mieux que les garçons le métier correspondant à la "personne qui s'occupe du ménage", tout comme les enfants d'origine populaire qui classent mieux ce métier par rapport aux enfants issus des classes moyennes ou supérieures. Une explication fournie dans le livre serait que les enfants ont conscience de la hiérarchie des métiers ( bien qu'ils soient influencés par les adultes, ils sont capables de reprendre la vision enseignée par les adultes, et de se l'approprier à leur sauce dans une moindre mesure, selon leurs expériences ). Les enfants issus des classes populaires pourraient ainsi représenter plus haut un tel métier afin de contester l'ordre établi, et de se protéger de la violence de cette hiérarchie.

La partie qui m'a le plus intéressé est celle portant sur la politique, et notamment l'étude portant sur le clivage gauche / droite. Les enfants font effectivement du recyclage de ce qu'ils entendent et ne comprennent pas le sens de ce qu'ils disent bien souvent. En effet pour un enfant, être de gauche ou de droite est surtout vu comme une manière de se conformer à une norme. Ceux qui s'en écarteraient seraient par exemple exclus d'une forme d'amitié. Par exemple une des deux écoles est dite populaire, et la norme y est de se dire de gauche. Un enfant qui s'y dit de droite, ou d'extrême droite serait d'une certaine façon exclu.

La perception de la politique étant trop abstraite, les enfants se concentrent aussi principalement sur les personnalités politiques reconnues (l'élection présidentielle de 2012 se passait durant cette étude). Il est amusant de voir de quelle manière sont dépréciées les personnalités politiques. Comme les adultes en fait ! En tournant en dérision leur comportement, des traits de leur personnalité, ou bien en se moquant de leur nom ( Mélenchon -> reblochon ).

Il est amusant de noter que l'étude portant aussi sur des classes de CP, la perception de la politique, et de la gauche / droite y est erronée. En effet, les enfants y ont répondu qu'ils préféraient la droite car ils sont droitiers.

Outre l'âge, l'appétence pour la politique paraît plus prononcée pour les garçons que pour les filles. Il ne serait pas surprenant que les filles intériorisent une forme d'exclusion vis-à-vis de la politique vu qu'elles ont moins de modèles à prendre en exemple. De même les enfants issus classes moyennes et supérieures s'intéressent plus à la politique que les enfants issus de classes populaires, probablement parce que ces derniers sont moins stimulés sur un tel sujet dans leur environnement familial.

Merci à toi @Kurapika !
Bravo à tous vous êtes trop forts.

@canaille-sympa a dit dans Dire Bonjour :

Bonjour !
Je sais pas si le confinement fait passer le temps extrêmement vite ou extrêmement lentement... ou les deux en même temps ?

Bonsoir !
C'est déjà dur de savoir quel jour on est !

Ce n'est pas la première fois que l'on voit des sprinters couper la trajectoire à d'autres. Forcément à un moment ou un autre, ça devait arriver.

De ce que j'ai lu l'arrivée était en faux-plat descendant, je me demande si une telle configuration est une bonne idée.

@Hornet mon premier jeu switch fini à 100% !

Bon il reste certains succès mais j'ai tout exploré pour moi c'est suffisant ( surtout le succès "vie unique" ahaha ).

J'avais bien compris qu'il me manquait un pouvoir : je ne pouvais pas ouvrir certaines portes et il y avait à proximité des sphères particulières, j'avais essayé tous mes pouvoirs pour interagir avec mais ça ne fonctionnait pas.

Du coup j'ai fait les zones cachées et effectivement j'y ai obtenu le pouvoir qu'il me manquait.

Je regrette juste d'avoir pris la compétence qui me permet de voir à travers les murs, ça a rendu l'exploration triviale.

Oui c'est un problème mais je pense que ça reste un tag utile car ça donne une indication sur l’œuvre. Bien sûr il y a une part de subjectivité, mais je pense qu'il faudrait les laisser. C'est mieux que rien.

Je me suis déjà servi de la recherche sur un genre, pour voir ce qui existait déjà. Et aussi pour éviter de créer encore plus de doublons.

J'ai fini l'Anomalie aujourd'hui ! Voici donc mon avis.

Ce n'est pas un livre qui restera dans les annales.

Il y a beaucoup de personnages dans ce livre, et chacun a droit a sa partie. On peut voir leur évolution à travers l'histoire. Mais le développement de ces personnages est d'une platitude, et cela m'a ennuyé. Il m'a été difficile de m'attacher à eux, du moins pour une bonne partie. Je pense qu'il aurait fallu approfondir un peu plus les facettes des différents personnages. Ou alors décrire moins de personnages.

Le style littéraire m'a paru un peu pauvre à certains passages du livre. On peut avoir l'impression qu'il s'agisse de propos vocaux transcrits sur un support papier : il y a beaucoup de dialogues, de pensées rudimentaires. Disons que, j'imagine plus l'Anomalie en tant que film ou série que livre.

Concernant l'intrigue, c'est plutôt une déception. Je ne l'ai pas trouvé très cohérente, mais il y a de bonnes idées. Par contre je suis déçu de la fin. Cela laisse une impression d'inachevé.

A noter que le livre présente beaucoup de références culturelles. Pourquoi pas. Mais je ne vois parfois pas trop l'intérêt d'un tel étalage dans le scénario.

@Shanna J'ai un peu regardé et c'est plus poussé et complexe que ce que je pensais en fait. Du coup il vaut mieux bien s'immerger dans l'enquête sinon on rate des choses importantes.

Je retenterai mais il faut prévoir le café !

Bonjour !
Bientôt ma semaine de congés qui se termine.

En lisant les actualités, on pourrait presque se dire que ce tour de France sera disputé !
Ah ouais c'est impressionnant la chute de Remco Evenepoel. J'espère qu'il se remettra bien, ça a l'air d'être quelqu'un de prometteur pour l'avenir.

J'y ai joué mais c'est trop dur et long.

Dans la liste des morts sympathiques : ouvrir un frigo après le début d'une nouvelle partie, ce qui change la saison en hiver. Super j'ai froid et mes récoltes tombent à l'eau. J'ai tout brûlé avec ma torche pour ne pas mourir de froid, et je suis donc mort de faim. Super de choisir sa mort.

Bonsoir !

Je me rends compte qu'il n'y a quasi pas de série d'animation dans cette partie du forum, il faut Y REMEDIER IMPERATIVEMENT !

Donc !

Je viens vous présenter cette incroyable série d'animation américaine qu'est Star Butterfly ! Car oui, les papillons, c'est bô !

Certains papillons ne vivent qu'une journée et en général il s'agit pour eux du plus beau jour de leur vie.

C'était aussi le plus beau jour de ma vie quand j'ai enchaîné les épisodes de cette série. Puis il y a eu ce jour funeste où la quatrième saison a démarré. Le jour où tout s'est écroulé.

Même Google s'enferme dans le déni, et reste sur une série de 3 saisons ( regardez sous le titre ) :

Bref revenons à nos papillons ! Star Butterfly ( du vrai nom Star vs. the Forces of Evil ) est une série d'animation composée de 77 56 épisodes dont chacun dure environ 21 minutes. C'est tout mignon, très coloré ! Et c'est très américain aussi ! Beaucoup d'humour, de dérision !

Pour résumer l'histoire :

La protagoniste Star Butterfly est une magical girl jeune princesse, d'un royaume lointain, toute mignonne et faussement rebelle avec ses cornes rouges. Elle possède une magnifique baguette magique mais ne sait pas du tout l'utiliser. Elle est donc envoyée sur Terre, et bon débarras ! Elle est bien accueillie, car il est bien connu que les êtres humains sont tolérants et n'ont pas peur de la magie.

Il faut bien quelqu'un pour l'héberger et lui apprendre comment vivre sur Terre. Pour cela un étudiant désigné volontaire du nom de Marco Diaz s'occupe de cette lourde tâche. C'est un étudiant modèle, sérieux. Un choix idéal car complémentaire, donc !

Mais qu'ai-je fait pour mériter ça, moa ?

Évidemment une attention particulière sera faite dans la série à propos de l'évolution de la relation entre ces deux personnages. Cela peut se résumer à "Qui aime bien châtie bien". Oui je spoil et j'en ai rien à faire. Après tout c'est un cliché classique des dessins animés...

Et comme dans toute série qui se respecte, il nous faut un antagoniste. Nous avons ici le méchant parfait. Il est moche, il est bête, il est faible, et tout ce que vous voulez. Je ne me souviens même pas de son nom. Il veut juste récupérer la baguette de Star Butterfly pour obtenir le pouvoir. Mais il se fait constamment victimiser.

Au bout d'un certain nombre d'épisodes, vous n'aurez plus que cette image en tête de lui :

Ce que je viens de dire concerne en particulier la saison 1. Mais je suis obligé de parler des saisons suivantes car il y a des changements intéressants.

La série devient un peu plus mature par la suite ( ce qui peut être étonnant pour une série faite par Disney ). Mais elle reste toujours aussi déjantée.

L'antagoniste dont je vous ai parlé aura un développement et un rôle bien plus construits à partir du début de la deuxième saison.

Les autres antagonistes promettront de meilleurs combats. Mais pas de spoil !

Et fait drôle, la série traitera par exemple du racisme envers les monstres notamment pendant toute la quatrième saison, car oui ce n'est pas parce qu'on est moche et bête qu'il faut nous maltraiter. Le tout sous une forme de dérision exacerbée !

Mais, mais, vous allez me dire, pourquoi Star Butterfly alors ? Tout simplement parce qu'elle peut se transformer en super papillon qui lance des supers rayons de la mort qui détruisent tout ! Voilà, c'est tout.

Note personnelle : la série est plus appréciable après quelques pintes.

Les comics mériteraient plus d'amour !

@Hornet ton entretien annuel a été ?

Bon ça sera pour l'année prochaine !

@jool Erf il a phal... fallu que je dise ça ! Cette phrase hors-contexte est terrible.

Bonjour !

Aujourd'hui, je vais vous parler de cette incroyable série qu'est My little pony. Un sujet qui ravira les divers fans ici présents.

Tout d'abord, My little pony a vu le jour en 1982 par un américain du nom de Bonnie Zacherle travaillant pour Hasbro. L'idée à la base était de créer un nouveau design pour un jouet en forme d'animal. Cela a abouti à la création de poneys terrestres comme celui que vous pouvez voir ci-dessous.

Petite parenthèse, Bonnie Zacherle est aussi connue pour avoir amené au monde les « nerfuls » :

Bref, revenons à nos poneys.
Différentes générations de poneys ont été réalisées avec des design différents. Dans le but de promouvoir la vente de ces jouets, des séries, des films et des jeux ont été réalisés. Je ne peux évidemment pas détailler toute l'histoire de My little pony, alors je me concentrerai plus sur ce dont j'ai envie de parler. Après tout c'est MON topic.

Nous allons donc faire un bond temporel de 1982 vers 2010, année du lancement de la quatrième génération avec le dessin animé My little pony : Friendship is Magic.

Pour renouveler la série, le groupe Hasbro embaucha Lauren Faust, qui a apporté à My little pony une philosophie différente, avec des personnages qui possèdent notamment un meilleur design.

Le dessin animé My little pony : Friendship is Magic ainsi créé se découpe en neuf saisons. Chacune de ces saisons comporte 26 épisodes, à l'exception de la troisième qui n'en comporte que 13. Une dixième saison sortira le 29 juillet sous forme de comics.

Mais commençons par présenter l''histoire et les personnages importants.

Le scénario s'articule initialement autour de Twilight Sparkle, une licorne studieuse mais assez solitaire, puisqu'elle n'a pas d'amies. Etant élève d'une princesse du nom de Celestia, elle se voit proposer comme mission d'apprendre l'amitié (d'où le titre de la série). Car oui, l'amitié c'est tellement bô. Elle fera connaissance en particulier de cinq autre poneys répondant aux noms de Rainbow Dash, Pinkie Pie, Fluttershy, Applejack et Rarity. Les amitiés entre les différents personnages se forgeront au fur et à mesure de l'avancement de la série et seront parfois mises à rude épreuve.

Voici les images des personnages : dans l'ordre Fluttershy, Rainbow Dash, Twilight Sparkle, Rarity, Pinkie Pie et Applejack.

Le design rappelle par moment certains codes du chibi, le fait d'avoir d'aussi grands yeux donne un petit côté mignon et attachant aux différents personnages, et les rend aussi beaucoup plus expressifs.

Le scénario s'articule autour de valeurs comme l'amitié qu'apprendra Twilight Sparkle, et d'autres valeurs seront aussi mises en avant selon les personnages abordés. Comme la générosité, la gentillesse, la loyauté, la tolérance et autant de choses qui paraissent en décalage par rapport au monde réel (car oui, il y a un petit côté naïf propre aux dessins animés sur le partage de ces valeurs ). My little pony est une série qui ne se veut justement pas trop sérieuse, au contraire, et beaucoup d'éléments humoristiques sont introduits dans la série. Cela passe par exemple par des réactions des personnages assez caricaturales ( certains personnages disjonctent complètement à certains moments, à croire qu'être poney prédispose à être atteint de pathologies mentales ).

Le côté humoristique se perçoit dans l'exploitation de références plus ou moins visibles vers d'autres dessins animés, jeux ou films. Par exemple un combat fait penser à "dragon ball". Oui je spoil un final et je m'en fous !

Et dans My little pony, on aime bien salir s'approprier les différents univers. Encore plus dans les comics où bien plus de libertés sont prises.

Mario et Luigi dans My little pony ? C'est fait !

Le Seigneur des anneaux dans My little pony ? C'est fait aussi.

Vous l'aurez compris, rien n'échappe à My little pony !
Voilà, je pense que j'ai fait le tour, flemme d'écrire plus !

@Godzapon L'espoir du monde entier repose sur tes épaules.