Prise en soin des troubles psychiques
-
Edit modération : topic scindé d'un autre.
@Mai-Tai a dit dans La solitude me rend folle :
Enfin ça ils le savent, ils ont l'habitude. Ils sont capables de déceler quand même des choses derrière la réserve affichée par le patient. Et il ne faut pas s'attendre à ce qu'une seule séance permette de tout résoudre.
Si le courant ne passe pas c'est autre chose...Tu as quelle expérience des psy ? Parce que non, ils ne savent et on a l'impression qu'ils s'en foutent totalement et que le but est surtout de te fidéliser le plus longtemps possible.
Psychologiquement, je ne sais pas comment ils arrivent à vivre avec tous ces gens bourrés de problèmes qui racontent leur vie à longueur de journée.
Leurs nuits doivent être folles.
-
-
@JL que de généralités...
-
@Mai-Tai a dit dans La solitude me rend folle :
@JL que de généralités...
C'est pour cela que j'ai utilisé le mot "impression"... On ne saura jamais et ils ne confirmeront jamais qu'ils font ça pour le fric plutôt que pour aider les gens.
La deuxième partie de ma réponse, exprime mon interrogation sur la charge psychologique qu'ils prennent en "traitant" tant de patients aux problèmes plutôt lourds.
J'ai rencontré, dernièrement, une jeune psy qui parle honnêtement et qui vient de terminer toutes ses études pour devenir une vraie professionnelle. Le métier n'a rien de simple et je serais curieux de connaître les conseils donnés à ces thérapeutes pour arriver à vivre sereinement lorsqu'ils rejoignent leurs vies privées.
Comment arriver à pénétrer l'esprit d'une personne qui se noie dans ses problèmes tout en évitant d'en être éclaboussé ?
D'où ma réflexion sur ce que j'ai vécu, vu et que j'entends.
Après, tant mieux si certaines et certains trouvent une personne qui les aide réellement à aller mieux.
Pour ma part, j'ai juste l'impression, quand je fais une séance, d'avoir une discussion avec une personne rencontrée un soir dans un bar, qui se répète de séance en séance.
-
@JL Il arrive que des psys consultent eux aussi quand ils en ressentent le besoin. Nul doute que ça les aide dans leur métier.
Comment font les policiers ? Les croque-morts ? Les pompiers ? Il existe des tas de métiers où il est indispensable d'avoir un recul pour exercer correctement son travail.
-
C'est ce que m'a expliqué cette jeune psy, qui suit des séances une fois par semaine ou qui à la possibilité de discuter quand elle le juge nécessaire avec des collègues.
Pour les pros confrontés à des faits divers, violents, graves, etc... Ils ont en général un psy dans leur service qui sert à échanger pour s'assurer que la personne va bien et peut continuer son boulot.
Je ne sais pas si les gens se confient sincèrement lorsqu'en cas de doute, le psy peut les mettre sur la touche pendant une durée X.
Un autre échange avec une psychologue en ehpad avec qui j'ai discuté sur les différences "humaines" entre les étudiants, leurs objectifs, etc...
Ses confidences étaient tristes, parce que beaucoup de gens qui suivent ces études ne les choisissent pas pour les bonnes raisons ou avec les bonnes intentions.
Peut-être que les études sont plus intéressantes que le concret de la pratique qui peut peser ou ne pas être aussi plaisant qu'imaginé.
Je ne sais pas si beaucoup qui s'expriment sur ce forum accepteront de dire qu'elles ou ils sont passés par des psy et quelles ont été leurs expériences.
Pour ma part, j'ai dû rencontré quelques psy, que ce soit des psychiatres ou des psychologues et que je n'ai pas constaté beaucoup d'humanité en eux (hommes ou femmes).
En plus, un psy m'avait expliqué que les études peuvent varier d'une école à une autre, c'est-à-dire qu'il existe plusieurs méthodes, lui en avait suivi une assez particulière, qui m'a fait perdre beaucoup beaucoup de temps, jusqu'à tomber dans le ridicule.
J'ai aussi rencontré une psy qui aurait eu besoin de séance bien plus que les gens dont elle s'occupait.
J'ai même rencontré une psy comme celle de la série "Profilage", mais vraiment très très proche, peut-être était-ce la même qui avait inspiré le ou la scénariste de la série.
De mon opinion, je dirais qu'on lâche dans la nature des gens à qui ont a donné des outils puissants qui peuvent permettre à ces gens de faire de profonds dégâts et que le métier est peut-être mal imaginé par ceux qui se lancent dans ce domaine et qu'une fois diplômés, ils peuvent être complètement dépassés par tout ce qu'ils ont à traiter, les amenant, sans doute, à se protéger tellement qu'ils en perdent leur côté humain.
On peut faire un parallèle avec certains médecins qui finissent par ne même plus lever la tête pour vous regarder en notant les soucis qu'on leur explique pour nous rédiger un arrêt de travail et une ordonnance.
Dans mon cas et dans celui de pas mal de gens en souffrance que j'ai rencontré, nous attendons de rencontrer des humains, des gens qui ont des émotions pour que nous puissions nous ouvrir et partager quelque chose de lourd et de profond qui nous empêche plus ou moins de vivre normalement.
-
@JL En ce qui concerne les études et ce qui en découlent les plus à mêmes à répondre sont ceux qui en ont faites. Ce n'est pas mon cas. Je connais des personnes qui ont fait ces études et nous n'avons clairement pas le même ressenti.
Une personne n'est pas l'autre et cela vaut pour n'importe quel métier, études et ce qu'on décide d'en faire. C'est comme ça que je le vois.
Bref, ça part en HS, j'arrête là. Bonne soirée.
-
Il me semble qu'on ne fait pas la différence être psychiatre,médecin,souvent en hôpital,psychanalyste,qui sonde l'inconscient,et psycho-thérapeute,qui écoute avec attention,sans juger,mais trouve les bonnes questions et guide vers les bonnes solutions!
Et curieusement,plein de gens ne font pas la différence!
Alors que si on a un gamin infernal,on est content de voir un pédo-psychiatre! -
@Myra-flore a dit dans La solitude me rend folle :
Il me semble qu'on ne fait pas la différence être psychiatre,médecin,souvent en hôpital,psychanalyste,qui sonde l'inconscient,et psycho-thérapeute,qui écoute avec attention,sans juger,mais trouve les bonnes questions et guide vers les bonnes solutions!
Et curieusement,plein de gens ne font pas la différence!
Alors que si on a un gamin infernal,on est content de voir un pédo-psychiatre!C'est intéressant ce que tu dis, mais s'ils ne font pas l'effort de nous expliquer tout ça, on en sait rien !
J'ai été guidé par une infirmière de soins psychiatrique avec qui nous avons discuté, puis elle m'a amené dans un cabinet où on trouve plusieurs type de thérapeutes sous la direction d'une psychiatre et là on fait un tandem avec cette jeune psy, je l'appelle comme-ça, parce que je ne sais même pas ce qu'elle est vraiment.
Je poserai la question à ma prochaine séance, parce que c'est très intéressant.
Ma moitié est psycho-pédagogue...
Mais une fois ses études terminées, elle n'a plus du tout eu envie de s'occuper des gamins, elle s'occupe des anciens qu'elle affectionne tout particulièrement.
Dernièrement, elle a acquis une technique d'une américaine qui s'appelle "la validation", développée pour les anciens, mais qui peut servir pour tout type de public et qui pourrait être bien utile dans beaucoup de domaines.
-
@JL Je crois que tellement de personnes sont en situation de mal-être,que lorsqu'elles s'en plaignent,y a tjrs une voix qui conseille" va voir un psy";sans plus de détails!
Et c'est là,qu'on entend l'autre son de cloche des proches:
Untel va chez un psy!Il n'est pourtant pas fou!
Tout ça en toute bonne foi...
C'est un peu comme la fin de vie choisie,baptisée "euthanasie" par tous les médias!
Pas foutus de trouver le mot juste! -
C'est effectivement la chose que beaucoup (presque tout le monde) pense au départ.
Psy = Être fou !
Faut dire que les souvenirs des "asiles", les chambres capitonnées et des combinaisons pour t'empêcher de te faire mal, laissent des traces !
Les asiles ont aussi servi à faire disparaître des gens de la société. Il y a un très beau film avec Angelina Jolie qui parle de ça (l'histoire où on lui son fils disparu qui s'avère ne pas être le vrai, en la faisant passer pour une folle).
Il y aussi quelque chose qu'on ne raconte plus trop, mais si plusieurs personnes décrivent une même personne comme étant dangereuse, elle peut être internée contre son gré et souvent pour un moment sans qu'elle puisse y faire grand chose.
Personnellement, je préfère discuter avec un ancien qui m'écoute et qui me raconte que des psy qui te mettent dans une case et qui commence un protocole X ou Y avec des médicaments.
Dès que j'ai pris contact avec cette psy, elle m'a demandé si j'allais bien, si je ne voulais pas qu'elle me prescrive quelque chose, j'ai refusé parce que je veux pouvoir être attentif à ce qui se passe.
Là, rien qu'en écrivant ces quelques lignes et ces derniers messages, j'imagine les gens qui lisent se dire que je suis dingue, que je vais mal, etc...
Hors ça n'a rien à voir avec de la folie, j'ai décidé de prendre cette direction pour observer et analyser ce que ce domaine peut concrètement apporter aux gens.
Disons voir par moi-même.
Il m'est arrivé d'accompagner des gens aussi, de les suivre dans un processus lourd de conséquence avec souvent une descente aux enfers difficile à décrire, disons que ça parle de statut social que l'on perd, l'argent manque et on peut rapidement finir SDF sans que qui que ce soit n'en ait quelque chose à faire !
Et ça peut aller tellement vite.
J'ai vécu une histoire au travers d'un fait divers qui est arrivé à une de mes participantes, tellement dingue que ça mériterait un bouquin avec des images des différents documents officiels, preuves, lettre de l'État, mais des trucs dégueulasses à un point !!! Je l'ai accompagné dans ses démarches, autant dire que son état mental, sa fatigue, personne n'en avait quelque chose à foutre, et la montagne de trucs administratifs qui arrivent de tous les côtés. En gros, y'a pas mieux pour mettre la tête de quelqu'un sous l'eau et d'attendre qu'elle en finisse par elle-même.
Ou celui à qui il est arrivé un petit accident du travail, le voilà au chômage, il se fait opérer, ça se passe mal, il ne peut plus faire son métier, doit en trouver un autre, le temps passe, l'argent commence à manquer, il ne peut plus se déplacer et vivre normalement et il finit par imaginer se supprimer tellement tout s'écroule autour de lui sans qu'aucune aide lui soit proposée, genre: "t'avais qu'à faire attention."
C'est pourquoi la situation de Jenniferjeni me touche particulièrement.
-
@JL a dit dans La solitude me rend folle :
C'est effectivement la chose que beaucoup (presque tout le monde) pense au départ.
Psy = Être fou !
Faut dire que les souvenirs des "asiles", les chambres capitonnées et des combinaisons pour t'empêcher de te faire mal, laissent des traces !
Les asiles ont aussi servi à faire disparaître des gens de la société. Il y a un très beau film avec Angelina Jolie qui parle de ça (l'histoire où on lui son fils disparu qui s'avère ne pas être le vrai, en la faisant passer pour une folle).
Il y aussi quelque chose qu'on ne raconte plus trop, mais si plusieurs personnes décrivent une même personne comme étant dangereuse, elle peut être internée contre son gré et souvent pour un moment sans qu'elle puisse y faire grand chose.
Personnellement, je préfère discuter avec un ancien qui m'écoute et qui me raconte que des psy qui te mettent dans une case et qui commence un protocole X ou Y avec des médicaments.
Dès que j'ai pris contact avec cette psy, elle m'a demandé si j'allais bien, si je ne voulais pas qu'elle me prescrive quelque chose, j'ai refusé parce que je veux pouvoir être attentif à ce qui se passe.
Là, rien qu'en écrivant ces quelques lignes et ces derniers messages, j'imagine les gens qui lisent se dire que je suis dingue, que je vais mal, etc...
Hors ça n'a rien à voir avec de la folie, j'ai décidé de prendre cette direction pour observer et analyser ce que ce domaine peut concrètement apporter aux gens.
Disons voir par moi-même.
Il m'est arrivé d'accompagner des gens aussi, de les suivre dans un processus lourd de conséquence avec souvent une descente aux enfers difficile à décrire, disons que ça parle de statut social que l'on perd, l'argent manque et on peut rapidement finir SDF sans que qui que ce soit n'en ait quelque chose à faire !
Et ça peut aller tellement vite.
J'ai vécu une histoire au travers d'un fait divers qui est arrivé à une de mes participantes, tellement dingue que ça mériterait un bouquin avec des images des différents documents officiels, preuves, lettre de l'État, mais des trucs dégueulasses à un point !!! Je l'ai accompagné dans ses démarches, autant dire que son état mental, sa fatigue, personne n'en avait quelque chose à foutre, et la montagne de trucs administratifs qui arrivent de tous les côtés. En gros, y'a pas mieux pour mettre la tête de quelqu'un sous l'eau et d'attendre qu'elle en finisse par elle-même.
Ou celui à qui il est arrivé un petit accident du travail, le voilà au chômage, il se fait opérer, ça se passe mal, il ne peut plus faire son métier, doit en trouver un autre, le temps passe, l'argent commence à manquer, il ne peut plus se déplacer et vivre normalement et il finit par imaginer se supprimer tellement tout s'écroule autour de lui sans qu'aucune aide lui soit proposée, genre: "t'avais qu'à faire attention."
C'est pourquoi la situation de Jenniferjeni me touche particulièrement.
alors oui , il y a une succession d'evenement en mode domino , c'est fou la succession d'évènement poisseux qui peut arriver , apres souvent pour surmonter ça , on a besoin de soutient mais on est seul , j'arrive à voir maintenant le cheminement qui peut emmener quelqu'un dans une sale situation mais bon la société est faite comme ça , même moi je flippe d'un gas dans la rue alors que peut être il peut être très bienveillant , tout le monde peut en arriver là meme si la une ,personne est est toute heureuse et se sent forte , on est pas à l’abri
-
@Sky J'ai lu ce livre terrifiant:" le bal des folles" ou comment les familles se débarrassaient d'une jeune fille qui ne rentrait pas ds le moule,en prétextant l'hystérie,chère à Charcot!
-
@Myra-flore moi j'ai lu l'histoire d'une personne qui a fini en hôpital psychiatrique car il commençait à partir en dépression suite à une douleur du genou impossible a diagnostiquer , ils lui disaient que c'etait une douleur dans sa tete , ca m'a fait de la peine parce que j'ai vécu la même chose avec mon genou durant un an , j'avais fait tous les médecins me disant que je n'avais rien , les exam ne montraient rien mais pourtant j'avais trop mal H24.... j'ai frôlé la dépression .... et finalement j'avais le genou legerement déboité ... peut etre qu'il avait eu la meme chose , j'ai pas eu la fin de son histoire mais bon , c'est dur de vivre avec des douleurs
-
@Sky a dit dans La solitude me rend folle :
alors oui , il y a une succession d'evenement en mode domino , c'est fou la succession d'évènement poisseux qui peut arriver , apres souvent pour surmonter ça , on a besoin de soutient mais on est seul , j'arrive à voir maintenant le cheminement qui peut emmener quelqu'un dans une sale situation mais bon la société est faite comme ça , même moi je flippe d'un gars dans la rue alors que peut être il peut être très bienveillant , tout le monde peut en arriver là meme si la une ,personne est est toute heureuse et se sent forte , on est pas à l’abri
Dans ma région, il y a eu plusieurs faits divers sur des gens qui demandent des cigarettes et qui reviennent par derrière en plantant un couteau dans le dos.
Alors oui, on peut flipper !
Un jeune gars tout sympa, était allé à une soirée, c'était même celle du 31, je crois et voilà qu'en fin de soirée, une personne est passée dans la foule avec un cutter ouvert à la main, entaillant tout ce qui se trouvait sur son chemin...
Lui c'est fait toucher au visage, parce qu'assez petit, et c'était à quelques millimètres d'un œil !
Le monde est bourré de tarés et de dangers.
Il faut réussir à vivre tout en étant plus ou moins détendu.
Bonne année à toi !
-
@Sky a dit dans La solitude me rend folle :
@Myra-flore moi j'ai lu l'histoire d'une personne qui a fini en hôpital psychiatrique car il commençait à partir en dépression suite à une douleur du genou impossible a diagnostiquer , ils lui disaient que c'etait une douleur dans sa tete , ca m'a fait de la peine parce que j'ai vécu la même chose avec mon genou durant un an , j'avais fait tous les médecins me disant que je n'avais rien , les exam ne montraient rien mais pourtant j'avais trop mal H24.... j'ai frôlé la dépression .... et finalement j'avais le genou legerement déboité ... peut etre qu'il avait eu la meme chose , j'ai pas eu la fin de son histoire mais bon , c'est dur de vivre avec des douleurs
Pas d'osthéopate ou de chiropraticien dans ta région ?
Tu avais vu l'épisode de Docteur House, avec le type qui souffrait comme un malade de sa main, alors qu'on lui l'avait coupée ? La solution au problème était dingue.
-
@JL a dit dans La solitude me rend folle :
Il y aussi quelque chose qu'on ne raconte plus trop, mais si plusieurs personnes décrivent une même personne comme étant dangereuse, elle peut être internée contre son gré et souvent pour un moment sans qu'elle puisse y faire grand chose.
Je l'ai vécu deux fois, donc j'en témoigne, j'ai signé par deux fois, ( et seule ) pour que mon fils soit hospitalisé. Les deux fois, cela m'a été conseillé par le psychiatre qui l'a accueilli en urgence.
Pour que le juge entérine la décision, il faut une contre visite par un deuxième psychiatre.
La priorité, ensuite est d'organiser les soins en ambulatoire et les conditions de vie pour que le malade puisse sortir au plus vite dans les meilleures conditions.Le problème, actuellement, ce ne sont pas les hospitalisations abusives, mais le nombre important de malades qui ne sont ni soignés ni accompagnés pour avoir des conditions de vie correctes.
-
Le principal problème vient d'une seule chose: Le temps !
Le temps qu'on a à accorder à l'autre, à apprendre à le connaître, à communiquer, etc....
Eux-mêmes, que je pourrais appeler des victimes, sont perdus, sont stressés, n'ont plus de repères et finissent entre les mains de gens qu'ils ne connaissent pas et qui disent vouloir s'occuper de lui, comment ne pas faire monter encore plus la peur et le stress ?
J'ai vu des "soignants", pas des infirmiers, mais des gens qui bossent dans le milieu médical et qui ne sont, également, pas du tout fait pour bosser dans ce milieu, car ils n'ont aucune compassion, aucune état d'âme, ils traitent les gens avec énormément de froideurs.
J'aurais pu/dû filmer une scène ou 3 d'entre-eux étaient en train de jouer avec une malade, mais en disant des choses dégueulasse et en rigolant, eueeerk !
Triste monde où la vie nous pousse à l'opposé de temps que l'on devrait pouvoir se consacrer les uns, les autres.
-
@apis-32 pardon, mais une situation n'est absolument pas représentative de la généralité. Puis surtout les hospitalisations abusives et les violence institutionnelles sont aussi des problèmes actuels.
Car perso, j'ai observé l'exact inverse pour des proches (violences, graves négligences, manque de matériel, surmédicalisation et soumission à des protocoles sanitaires dangereux aux conséquences irréversibles...). Je ne généralise pas pour autant, bien sûr, l'internement volontaire ou par un tiers peut être profitable, mais je te trouve bien péremptoire. -
@Noodle
Je m'appuie sur mon expérience et les résultats du baromètre UNAFAM ( une enquête récente de l'Union Nationale des Familles et Amis des Malades et handicapés Psychiques )
https://www.unafam.org/sites/default/files/fichiers-joints/10-2020/DOSSIER_DE_PRESSE_UNAFAM.pdf