Décris-moi un mouton
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l'adaptation est un bien vilain mot parait il .....mais elle est nécessaire quand il s'agit de ne pas heurter la sensibilité de nos congénères ,de même que pour se fondre dans une société par exemple ,et ainsi communiquer , mieux s'ouvrir à l'autre ,sans imposer sa loi ,mais en l'inondant de positivité , d'amour et de paix au contraire, tout en prenant en compte les frontières à ne pas dépasser.
suite au prochain épisode ................
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@vi-king Touche d'humour ciblée et message délivré.
J'aime ! Merci pour ce partage, c'est beau. -
Bonjour les moussaillons, pour moi le mot sera: ensorceler.
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@heidi je vous propose dévorer
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l'adaptation est un bien vilain mot parait il .....mais elle est nécessaire quand il s'agit de ne pas heurter la sensibilité de nos congénères ,de même que pour se fondre dans une société par exemple ,et ainsi communiquer , mieux s'ouvrir à l'autre ,sans imposer sa loi ,mais en l'inondant de positivité , d'amour et de paix au contraire, tout en prenant en compte les frontières à ne pas dépasser.
Et quand bien même vous auriez un appétit qui soutiendrait aisément la comparaison avec une vieille chatte gourmande ,et une envie de dévorer la vie tel un épicurien affamé de plaisirs, à en faire pâlir votre belle mère et sa morale ,
restez donc sur vos gardes car vous pourriez bien un jour être pris à votre propre jeu ,et vous faire ensorceler ,après avoir succombé ,sans trop de résistance ,à l'appel d'une sirène opportuniste et habile . -
@vi-king On se doutait bien que la fin de l'épisode nous surprendrait tout autant que le début. Pari gagné. Chouette message .
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@vi-king Double like obligé
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Poème que je n'adresse à personne en particulier, juste à un amant imaginaire que j'invente
pour la circonstance et caser les mots imposés.La paix, démon de midi et démon de minuit ! Vous n'arriverez pas à m'ensorceler, j'ai déjà donné.
Aujourd'hui, les plaisirs que je souhaite dévorer sont ceux qui ne font ni bleu à l'âme ni trou au coeur.
Je veux, sinon rien, l'adaptation de l'amour-passion, qui ne m'a jamais rien apporté de bon, en amour-amitié,
celui tissé de tendresse et de complicité, celui qui se contente de tout petits bonheurs,
sans ces mielleuses paroles qui s'envolent aussi sûrement que les feuilles d'automne dans le vent.
Je sais qu'ils n'engagent que celles et ceux qui les croient, les promesses et les vains serments.
Mais que valent-ils si les actes sont absents ? Ne soyons l'un pour l'autre que des amis-amants,
savourant les moments que l'on voudra s'offrir, conjuguant tous nos verbes seulement au présent. -
Je reviens. Sur la pointe des ongles.
Et la lumière. Et ce silence. Et Celui qui toujours ne vient pas. Et mes fantômes qui ne me trouvent pas. Pourtant, il viendra. On entend que les dents du temps viennent dévorer mon cuir chevelu, que la solitude est une paix qui vient pourlécher les blessures. Pourtant, je sais qu’il viendra pour ensorceler l’enfer qui mouille mes écailles. Attendre dans ce bar, apercevoir les autres. L’autre qui dénigrait Dali, l’un qui croyait détenir l’aube dans ses paumes. Gémir du présent, l’adaptation à l’horizon, la vessie trouée par l’alcool et les cancans. Et l’Aube qui ne me séduit toujours pas, et ceux qui tentent de laver la suie. Balayer les anges probables. Et Celui qui ne vient pas et qui ne viendra jamais, ne tranchera plus les heures. Madeleine non plus. Madeleineeeee que j’attends là…
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@ayamé j'accepte le mot "adaptation" pour l'adaptation de l'amour-passion.
Merci pour ton texte très parlant pour moi.
Je double like -
@astyanax Nous n'avons pas encore eu le plaisir d'échanger.
Je découvre tes écrits et ton style, sur un petit air de Clive Barker.
Que vais-je bien pouvoir écrire maintenant sans paraître ridiculement petite ? -
@music Au plaisir. Je viens et je pars de toutes manières. Sourire.
Tu ne peux être petite, ici. On loge tous à la même enseigne. -
@astyanax A moi la garde ! capturez moi ce poisson volant
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Dévorée par un loup.....voilà ce qui effraye le plus clémence ses petites nattes blondes, sa bouille de petit chaperon rouge ,ses fossettes ,ses yeux en amendes tout chez elle est à croquer comme le répète sa maman alors de là, à finir dévorée par un loup ,il y a qu un pas ...
Parfois les adultes ne se rendent pas compte des dégâts qu ils provoquent dans ces petites têtes aux cerveaux bouillonnants.
Clémence préférerait être laide comme tantine ou comme son frère le grand imbécile avec ses cheveux corbeaux et ses dents toutes de travers.
Elle soupire au fond de son lit et si le loup etait déjà tapis sous son lit !
Elle réclame de l eau un verre puis une histoire drôle à sa mère, qui ne comprend pas pourquoi passé dix heures elle ne dort toujours pas .. .
Clémence ne dit rien de sa peur ,elle est grande maintenant 7 ans ,l âge de raison ...
Elle tremble sa mère lui prend la température, rajoute une couverture rien y fait .
Elle tremble comme une feuille en automne parcourue par les premiers vents.....Elle ferme les yeux enfin de fatigue," le diable l a ensorcelé" rit sa mère en lisant ses cheveux de sa main bienveillante .
La paix, le calme voilà ce qu elle pense dans son fort intérieur en rejoignant son Mari en bas .
Un hurlement déchire ce silence
Clémence crie à vous décoller les tympans
Cette fois si c est son père qui monte précipitamment....
Il prend sa fille dans ses bras et l interroge "de quoi as tu peur ma chérie "
"Du loup "finit elle par répondre
Il rit et la couvre de baisers
"Le seul grand méchant loup de cette maison c'est moi "murmure t il à son oreille
Au milieu de ses larmes, elle lui sourit .....
Tout est une histoire d adaptation..... -
En direct du Temple: Adaptation, Paix, Ensorceler & Dévorer
... Donjons et Dragons ou warhammer, voilà les univers dans lesquels nos 4 aventuriers passent leur temps libre. En plus de leur métier d'archéologue et des leurs différentes passions, ils ont en commun, le jeu de rôles. Véronica, alias Wiki, est de façon implacable la maîtresse du jeu de leurs interminables parties qui durent parfois jusqu’à l’aube. Elle a cette faculté d’adaptation aux aléas qui fait que son récit n’a pas d’équivalent. Ils se régalent, à 4 ou parfois 5 ou 6 avec des invités, et ne se lassent pas d’être ensorcelés par des sorciers maléfiques ou d’être dévorés par un troll des montagnes.
Alors forcément dans les souterrains du temple, et pour leur premier bivouac, toutes ces mésaventures reviennent à la surface et le sommeil tarde à venir. Puis Léo se mit à chanter au coin du feu qui procure une faible chaleur, beaucoup de lumière, mais surtout les rassure, car tout le monde sait bien, que les animaux ou les monstres craignent le feu...
La symbiose lumière, crépitements et voix paternelle leur apportèrent une paix relative mais suffisante pour qu’ils s’endorment.
Après tout ils ne sont qu’au Level 1, c’est toujours le plus difficile,...
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@delnis On se demande bien ce qu'on va trouver et qui on va trouver dans ce temple ! Que le jeu commence !
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@delnis ton texte me fait penser à une partie d'escape game dont je suis très friande .
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@heidi : n'aurais-tu pas oublié le mot adaptation dans ton texte ?
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@ayamé oui oui tout a fait ....je vais essayé de le mettre.....merci
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Au sortir de la bouche d'obscurité de la grotte qui leur servait de refuge, il fallut un léger temps d'adaptation à leurs yeux pour admirer le panorama qui s'offrait devant eux. A l'horizon un soleil flamboyant se faisait lentement dévorer par le crépuscule. A leurs pieds la savane s'endormait. Une paix toute relative succédait à l'effervescente du jour. Mais cette tranquillité n'était qu'une façade trompeuse car dans les ombres de la nuit les prédateurs nocturnes rôdaient. Depuis le début des âges, le jeu de la vie et de la mort se déroulait sans regret, ni amertume dans ces plaines luxuriantes. Tel était la destinée des êtres vivants.
Ce continent mystérieux qui se nommerait bien des siècles plus tard Afrique exhalait cette nuit ses parfums entêtant et puissants de terres chaudes, d'excréments d'animaux et de végétations piétinée. mais plus que tout; elle laissait une force de vie couler entre ses vallées. caresser amoureusement la cimes de ses forets inextricables, plonger dans l'onde claire de ses fleuves puissants. La puissance énergique de la création et la vitalité de l'évolution ensorcelaient toutes choses et sur un piton rocheux une petite femelle sentit dans ses entrailles le frémissement de la vie s'éveiller en elle.