Décris-moi un mouton
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Hop, deuxième mouture pour le coup..
De moi, à moi, plus tard...Salut Princesse,
Nous n’avons jamais été du genre nostalgique.
Nous avons décidé, très tôt et très vite dans notre vie, que les regrets et les remord
n’étaient que des boulets que nous ne trainerions pas.
Je ne viens donc pas t’ennuyer avec des "souviens-toi"
ou des "si tu avais su ou des "pourquoi ce choix-là et pas l’autre?".Non, cette lettre, je te l’adresse pour t’encourager, pour te rappeler
que nous sommes convaincues qu’une nouvelle voie,
une nouvelle façon d’aborder notre existence
s’est présenté à nous en ce 25 avril 2023 et que cette voie,
nous devions la suivre car elle résonnait déjà en nous
depuis déjà des années.
Alors, quoi que tu ai pu vivre entre temps,
garde le cap !
Souviens-toi :
Ikigai. -
j'ai trop envie de savoir ce qui s'est présenté à toi en ce 25 avril
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Ecrire à l'agathe de demain ?
Que lui dire ?
Tu ne changeras plus, c'est trop tard
dommage, d'ailleurs, car c'est pénible, par moment, d'être ce moi d'aujourd'hui.
Une agathe toujours pressée, toujours à répondre : "ce n'est pas pour aujourd'hui, c'est pour hier !".
Une agathe qui ne tient pas toujours ses bonnes résolutions, pfff... autant ne pas en prendre. Pourtant, côté gourmandise, il y aurait du boulot !
Une agathe prompte à répliquer... là, faudrait aussi te calmer un peu (lol).
Mais je sais que ton bon côté ne changera pas non plus, et ça, ouf !!! ça me rassure.
Tu seras toujours amoureuse des belles choses, de la nature.
Tu seras toujours optimiste et partageuse. Nan, ne te gausse pas, tu n'y es pour rien, tu es comme ça, c'est tout...
Je vais préparer un thé, tu en veux un ? -
Hello Moi,
Comment vais-je ? Moi et moi rions de cette formule creuse dite « de politesse ». Mais elle a une importance capitale. De moi à moi, en toute intimité, j’aime me poser régulièrement cette question.
« Comment vais-je « ? ». Les réponses changent selon les périodes et les événements. Car bien entendu (de moi à moi toujours) il ne s’agit pas de me répondre « bien » mi-bien » ou « mal » voir « très mal ». Ca c’est ce qu’il faut dire à tous ceux qui ne sont pas moi. Je peux ensuite développer si ils m’y invitent, si ils le souhaitent. Mais ce n’est pas obligatoire. Pour moi en revanche je veux faire l’effort. Et c’est formidable de voir le champs des possibilités qui s’ouvre une fois que la réponse est là : claire comme de l’eau de roche. Cela me fascine, j’en ai même le souffle coupé parfois.
Je crois qu’elle est là la clef. Me demander souvent comment je vais et prendre le temps de me sonder. Changer ce qui doit être changé, conserver ce qui me rend heureuse voir l’améliorer. Puiser dans mes ressources, mes possibilités mais aussi dans celles que les autres peuvent offrir. En créer des nouvelles et apprendre encore et toujours. Me tromper, retenter, réussir parfois suite à un échec manqué.
Voilà cher Moi ce que je tenais à me dire. De ne jamais perdre de vue cette petite question si banalisée qui est pourtant la clé de tout. Même si le temps défile bien vite. La possibilité d’appuyer sur le bouton « pause » est là, il est primordial de l’utiliser.
Au risque de passer pour la narcissique que je suis peut-être : je m’aime bien. Je resterais à mes côtés demain, pour toujours et à jamais…jusqu’à ce que la mort nous sépare.
Bien à Moi.
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A toi, l'ayamé de demain, je n'ai qu'une chose à te dire : reste ce que je suis aujourd'hui, parce que cela me convient très bien et que je sais que c'est très bon pour nous : carpe diem hic et nunc = profite de ce jour, de chaque jour, ici et maintenant parce que nul ne sait de quoi demain sera fait. It's a good deal, isn't it ? .
Ceci étant dit, je sais déjà quel genre de petite vieille tu seras : à dire de plus en plus les choses telles que tu les penses, sans fard hypocrite, parce que tu auras encore mieux compris que le manque de sincérité nous fait perdre nos valeurs et à ton âge, tu voudras te concentrer encore plus sur l'essentiel. Bonne chance pour la suite, ma vieille . -
Allez hop ! allons y gaiement !
Heey ! C’est encore moi ! ou plutôt toi .. La toi d’hier. Si, aujourd’hui, tu peux dire sans prétention que tu es une personne heureuse à 100% au moment où tu lis ces mots, alors arrête de lire.
Mais si ce n’est pas le cas, tu devrais écouter ce que j’ai à te dire, tu pourrais être surprise.
Et oui, je sais, le temps s’est accéléré . Je me doute bien que tu ne t’attendais pas à tomber sur ça, sur cette lettre, qui va troubler tes pensées. Mais je trouve que ça fait longtemps qu’on n’a pas passé de temps ensemble, qu’on n’a pas pris le temps de discuter, toi et moi.
Je sais aussi que je te manque, mais que tu ne sais pas comment faire ou encore quoi dire pour me faire revenir. La routine de la vie d’adulte a eu raison de moi, de nous. Parce qu’on a beau être la même personne, deux perspectives d’un même tableau, deux flancs d’une même montagne, toi, tu es la version d’aujourd’hui et, moi, je suis celle d’avant.
Tes amours, tes amis, tes emmerdes. Okay ! Mais sans parler de choses si « grandiloquentes », rappelle-toi juste des moments chouettes qui ont jalonné ton quotidien et le jalonnent encore.
Je te l’accorde : j’ai connu la plus belle version de nous : celle qui avait de la fougue et une rage ou une urgence de vivre indescriptible. J’ai connu l’absence de peur, l’innocence des premières fois, des premières rencontres.
Non mais Stop ! Et si tu arrêtais de repasser en noir et blanc le film de notre vie . Tu oublies qu’avec un bon objectif, les couleurs et les paysages ont une toute autre allure.
Donnes toi donc la peine d’analyser l’image de toi que tu vois dans le miroir . Apprends à te plaire, accepte les tes défauts.
Tant pis si par moments tu te détestes. Tant pis si tu ne veux même plus regarder ton reflet dans le miroir. Tant pis si tu n’es pas au top tout le temps. Tu en as le droit.
Aime toi encore au moins .. Aimes avant tout, ton cœur généreux, ta grande capacité à ressentir et aimer, que parfois tu aimerais faire taire mais qui vraiment fait de toi ce que tu es, pour le pire mais surtout pour le meilleur.
Regarde-toi dans le miroir, regarde bien, et dis-toi ce que je vois…:
tu es la personne avec laquelle tu passeras le plus de temps lors de ta vie, tu es la seule qui sera vraiment toujours là, jusqu’au bout, même si parfois tu voudrais faire une pause.Ta plus belle chance c’est d’aller jusqu’au bout , de conduire de mieux en mieux . En revanche, fais en sorte, s'il te plait c'est important, de ne pas faillir à ta promesse : ne laisse pas s'échapper l'ado qui sommeille encore en toi .
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A toi,
Ô celle qui fût un jour une partie de moi.
Je t'écris aujourd'hui car je sais très bien que tu n'en reviens plus de ce que tu vois devant toi: les changements, les nouvelles attitudes, le chamboulement de ta zone de confort et tout. Tout ça tu le regardes sans comprendre, réfugiée dans ton tout petit coin, tout sombre et au fond du couloir, ton fortin de fortune.
Vois-tu ? Lorsque j'étais toi ou tu étais moi, je ne sais plus, on était comme la surface de l'eau stagnante dans un bourbier. On était discret, gardant le profil tjrs bas : on ne réclame rien, on est exactement comme les gens nous veulent être.
On était ou tu étais si timide et si humble que même ton droit confisqué tu ne le réclames pas, même si c'était ta petite sœur qui te narguait ou qui te faisait avaler des couleuvres (littéralement). Tu te réfugiais chez maman ou bien tu confiais tout à ton oreiller docile en l'inondant de larmes.
A part ça tu étais parfaitement sage, studieuse, excellente en tout, bref, parfaite mais tout en assumant et refoulant.
Ce réservoir de désirs refoulés avait dû commencer à faire des fuites tant qu'il était plein (apparemment). Ces fuites se manifestaient sous forme de rebellions imprévisibles, des gestes irrespectueux ou déplacés ou des entêtements inexplicables... ce qui faisait tjrs étonner tes parents qui ne savaient plus à qui ils faisaient face.
Une fois même tu as failli faire tuer ton petit frère, simplement parce qu’il n'était pas "sage". Le plus surprenant dans cette histoire c'est que t'étais complètement hébétée en voyant l'accident, tu voyais tes parents courir dans tous les sens, t'engueuler, emporter le garçon hurlant et tout, comme à travers un voile translucide. Et ton âme qui se détache et qui vogue sur eux en les laissant à leurs jérémiades. J'apprécie et j'apprécierai tjrs cette capacité en toi.
Mais comprends-tu ? Je ne peux pas laisser tjrs les gens t'écraser les pieds. Donc je suis sorti de l'ombre (vers 17-18 ans) et dit : non ! Arrête ! Tu vas pas continuer comme ça ! Tu vas crier non et tu n'auras peur d'aucun, oui aucun minable mortel ne te souillera ni te profanera plus. Tu feras tout ce que tu voudras en envoyant tous paître, oui tous. Tu défendras les faibles, redresseras les torts si l'envie t'en dit (tu seras une puritaine bien chiante) et tu seras si tu le veux plus baroque que les plus baroques et plus biscornue que les plus biscornus.
C'est pour cela que je te cache, toi la partie sensible de moi, bien à l'abri des pourfendeurs et des charognards, bien entourée de toute sortes de barrières, obstacles, épines...pour te préserver, et je ne te fais sortir qu'à des moments rares (vraiment rares) juste pour adoucir mes attitudes et les embellir.
Tu avais voulu tjrs te distinguer des autres, te détacher d'eux et nager contre le courant. Eh bien ! J’espère que j'avais réalisé ces rêves fous ou bien une partie d'eux.
Une pensée à toi, le moi de 55 ans. Tu sais que je t'attends avec impatience et je veux t'avoir et t'être aussi vite que possible.
Je t'imagine bien vaquant à tes hobbys avec joie et nonchalance et aussi sans contraintes. Oui aussi étonnant que ça paraisse, mais j'aspire à mes 55 ans : l'âge de la retraite, la tranquillité et...la paix.
P.S.: n'oublie pas la petite dans le fortin, elle aura besoin d'un ravitaillement fréquent.
Ton ravisseur, oppresseur et violeur bien aimé. -
@cupide
ce moi que je pressens par rapport à la partie j'ai lue, mais que tu as ôtée depuis... ce moi me peine énormément. -
@agathe
Ça risquait de mettre les bâtons dans les roues de mes rêves (la timidité) -
@cupide Whaouh ! j'ai pris tes mots en pleine face . Et tu sais quoi ? je me réjouis d'avoir eu l'idée de choisir ce thème parce que c'est une jolie façon de régler ses comptes entre nos moi et moi, d'évacuer, de faire un bilan sincère, d'oublier sa timidité. Je te remercie d'ailleurs pour cette sincérité dont tu as fait part et tout comme @agathe tu m'as émue.
Oui , merci, d'avoir rejoint tous ces "moi"
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Salut les belles plumes .
J'avais envie de vous dire que vous m'avez TOUTES, sans exception , épatée pour cette édition qui se termine vraiment en beauté , en même temps que ce mois d'avril.
Je tiens d'ailleurs à dédier une douce, très douce pensée à @music ce soir , qui, j'en suis certaine, nous rejoindra très bientôt sous un beau soleil .
parce que le Show must go on, je vous propose encore et encore un petit exercice d'écriture et vous demanderai cette fois ci de dénicher une couverture de livre qui vous intrigue, et d'écrire un texte à partir de ce qu’elle vous évoque.
PS : vous pourrez nous mettre la photo de cette couverture en introVoili voilou !
Bises , bonne soirée, et surtout à très très vite
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@Kachina
je vais regarder dans les livres que je n'ai pas lus...
deux brins en avance lol -
... Ce livre m'a attirée par la nudité de sa couverture. Par ce noir qui la recouvre.
et ces deux taches rouges en son centre. Non pas des taches de sang, comme on pourrait s'y
attendre, vu le nom de l'auteur. Non, rien d'inquiétant, pas de couteau, aucune arme.
Mais deux piments longs, effilés et séchés… Des piments d'espelette ? Rien de moins
sûr puisque l'action se dérouerait en Islande. Quoi que… pourquoi pas ?
Et pourquoi le titre rappelle un vieux négatif en noir et blanc, rayé ?
Aucun personnage en perspective, le vide complet sinon ces deux fruits de capsicum.
Quel peut-être leur impact dans le récit de ce livre ?
Et pourquoi le nom de l'auteur vient-il, comme un intrus, se poser sur le titre du livre ?
Et pourquoi avoir choisi cette couleur de lettres ? Couleur or… Est-il question de richesses ?
Curieuse, je vais à la dernière page. 396 pages ! Mais ce n'est pas écrit petit, je l'aurai vite lu.
a contre-jour, je m'aperçois que, subtilité, les deux piments sont brillants alors que le reste
de la couverture est mat. Ce livre, je l'ai acheté chez Emmaüs, comme presque tous les autres.
Combien de mains ont déjà ouvert et refermé ce roman ? Ce n'est pas comme dans une
bibliothèque où il y avait une fiche de lecture avant que l'informatique soit reine.
l'informatique… les e-books… Je ne pourrai jamais m'y faire. Du moins tant que je pourrai me
procurer ces bons livres-papier qu'il fait bon toucher voir et respirer.
Allez, je retiens ma respiration et j'attaque la première opage :
"Il enfila un jeans noir, une chemise blanche et une veste confortable, mit des ….photo de la couverture :
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Ça fait déjà de longues minutes que j’arpente les rayons de la librairie. Elle est en travaux et de nombreux rayonnages ont été modifiés, déplacés ou supprimés. J’ai eu un mal fou à trouver la section « livres en anglais ». Je suis à la recherche d’un livre de SF - c’est vraiment ce que j’ai envie de lire en ce moment. Mais, force est de constater que la librairie ne propose rien dans le genre. Avec un soupir, je me résigne. Mais je ne renonce pas pour autant à trouver un bon livre.
Je recommence mon tour des rayonnages, j’essaie de m’ouvrir l’esprit. La seule contrainte que je m’impose encore, c’est la taille du bouquin et son prix. Je souhaite un livre peu épais (ça me changera des pavés que je lis habituellement) à un prix raisonnable (exit les grand formats). Je constate vite que, du coup, il ne reste pas grand choix. Je continue malgré tout de balayer les étagères du regard. Et là, d’un coup, une couverture sort du lot, elle m’interpelle, elle m’appelle.
La couverture est d’un jaune ambré chaleureux avec des incrustations dorées qui scintillent à la lumière. Ce qui m’attire le plus, comme je m’approche, c’est ce chat qui se tient, paisiblement allongé sur une pile de livre. Avec sa fourrure rousse, il pourrait presque se fondre dans la couleur de fond. Mais c’est pourtant lui qui attire mon regard car il se tient de face et son regard plonge dans le mien. C’est un regard empreint de douceur, de sérénité et de bienveillance. C’est une invitation polie. Je ne sais pas encore si je vais y répondre favorablement. J’hésite. Le bouquin est au milieu de livre dits feel-good et je ne suis pas trop une adepte de ce genre de livre – peut-être à tort, d’ailleurs. Mais j’ai à peine le temps de commencer à argumenter avec moi-même que je note un détail qui m’avait échappé jusqu’alors. Une lampe japonaise est suspendue au-dessus de la tête du chat. Ma curiosité s’éveille alors véritablement : le livre aurait-il un rapport avec le japon ? ça serait cool, car c’est vraiment une culture qui m’intéresse et que j’aimerais mieux connaitre.
Je me donne alors la peine de lire ce qui est inscrit sur la couverture. Juste sous la lampe en papier japonaise, le nom de l’auteur est écrit en lettres d’un rouge délicat : « Sosuke Natsukawa ». Si ce n’est pas japonais, ça, je ne sais pas ce que c’est. Tandis que je saisis le livre, je découvre le titre : « The Cat Who Saved Books ». Oki, logique. Je plonge à nouveau mon regard dans celui du chat et, mentalement, je le salue : « bonjour à toi, le chat qui sauve des livres ». Plus que curieuse, désormais, je suis intriguée : comment un chat peut-il sauver des livres ?
Une dernière inscription sur la couverture affirme que le livre est un Bestseller international. Ce n’est pas un argument qui parvient à me convaincre à tous coups. Mais c’est un argument que je prendrais en compte pour ma décision finale.
Je retourne le livre, je cherche le 4e de couverture. Mais au dos du livre, je ne trouve rien de tel. Juste une phrase énigmatique en rapport avec le formidable pouvoir des livres. Je tente alors le rabat de la couverture et je découvre enfin le synopsis qui me parle et fini de me convaincre !
Allez ! viens, le chat ! je t’adopte.
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"elle prend toute la place cette épée".
C'est la première chose que je remarque lorsqu'enfin je trouve le livre que je cherchais. Le premier tome du cycle "Les brumes d'Avalon" de Marion Zimmer Bradley. Effectivement le paysage en arrière plan -une forêt mystique - est plongé dans une brume bleutée.
Le titre ne ment pas. Mais ce qui est étonnant c'est cette jeune fille toute frêle qui semble maitriser sans le moindre effort son cheval et une immense épée blanche lumineuse, éblouissante. La cavalière tient les rênes d'une main et l'arme -qui semble faire quasiment sa taille- de l'autre. Sa chevelure brune qui tombe en cascade sur ses épaules est aussi imposante.
La Dame, qui évolue avec une aisance déconcertante ne semble pas gênée par cet attirail. Elle semble faire parti de ce tout. Une femme forte en somme. Plus étonnant encore un cygne blanc à côté du cheval semble nager. Mais alors ??? Sont ils sur la terre ou dans l'eau ? Peut-être bien les deux.
Si j'avais su que ce livre allait changer ma vie...
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Whaouh ! vous m'avez réservé de belles surprises. Je vous avoue que j'ai eu peur : je pensais avoir mis la barre un peu haut mais j'avais oublié que j'avais une TEAM d'exception .
Merci !
@agathe une histoire pimentée
@artelise : Bingo ! Trop drôle, un chat , roux en plus, (mon préféré) qui sauve les Livres . Que demander de plus, sinon d'aller plus loin et d'acheter le livre.
@Hilda-1 J'ai lu ce livre . Merveilleuse épopée au pays du Roi Arthur et des chevaliers de la table ronde . Un univers magique où les femmes tiennent le meilleur rôle.Oui , je confirme, que de belles surprises !
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@Artelise oh j ai failli le prendre hier !!
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@Kachina : dénicher une couverture de livre qui vous intrigue et écrire un texte à partir de ce qu’elle vous évoque.
Je ne sais pas vraiment ce que tu attends de nous, j'ai buggé toute la semaine sur la consigne. Finalement, j'ai décidé d'inventer une histoire à partir de ce que m'évoque la couverture du livre choisi et je suis sans doute hors-sujet.
La couverture m'évoque un extra-terrestre qui regarde à la loupe ce qu'il se passe sur Terre, une planète qu'il découvre, ainsi que les humains qui la peuplent avec lesquels il pense s'allier d'amitié...mais voilà ce que ça m'inspire.Lucène venait de loin, de très loin, d'une planète appartenant à une autre galaxie. Il voulait visiter la Voie Lactée et surtout l'une de ses planètes, la Terre.
Chez lui, une légende circulait à son sujet et il voulait savoir quelle était la part de vérité et celle d'imaginaire.
Il se disait qu'elle devait être merveilleuse avec ses océans, ses forêts, ses montagnes, ses déserts, ses villes avec des monuments parfois grandioses...tant de paysages et de lieux d'une beauté à couper le souffle.
On racontait lors des veillées qu'elle était peuplée d'animaux très variés et surtout de ceux qu'on nomme les humains, des êtres dotés, disait-on, d'une grande intelligence, qui savaient maîtriser leur environnement pour assurer gîte et couvert pour tous.
Plus il approchait et commençait à découvrir certains détails, plus son excitation grandissait. Mais très vite, il découvrit des engins qui crachaient du feu et des choses qui explosaient juste après les tirs, des bâtiments qui s'effondraient, des villes en ruine avec des cadavres dans les rues, des femmes et des enfants qui s'enfuyaient, le visage tordu par l'effroi. On avait bien évoqué le mot guerre dans certaines brèves conversations chuchotées chez lui à demi-mot mais il lui avait été impossible d'en comprendre le sens.
Maintenant, il voyait ce que c'était, la guerre : des cris, des larmes, bien des douleurs physiques ou morales et comble de l'horreur, la désolation et la mort.
Il fut saisi d'un immense vertige devant tant de monstruosité, devant ce qui lui aparaissait insensé et d'une cruauté sans nom, devant ce qui était insoutenable à ses yeux, lui qui vivait sur une planète où ne régnaient qu'harmonie et douceur de vivre. Il s'effondra alors sur le tableau de bord de son engin spatial, terrassé par un violent sanglot juste après toutefois avoir eu le temps de mettre sa fusée en pilotage automatique pour faire le voyage de retour.
Rentré chez lui, parents et amis lui demandèrent ce qu'il avait découvert, mais il ne put rien raconter : le choc traumatique avait été si violent qu'il s'en trouva frappé d'amnésie. -
@ayamé et ben voilà t’as très bien compris la consigne . Réécrire le synopsis d’un livre à partir de sa couverture . Y’avait aucun piège ni l’intention de vous mettre en difficulté
Tu t’en es très bien sortie pour notre plus grand plaisir
Merci