Parce que j'aime pas ce mec... Qui à mon avis n'est pas tout à fait clean suite au fracas de la Mercos de Lady Diana sous le pont de l'Alma.
(Fans de Charles III ce texte n'est pas pour vous).
Dans le palais le plus scruté du Royaume-Uni, une péripétie aussi surprenante qu’un épisode inédit de "The Crown" vient de se dérouler. Charles III, le monarque britannique, avec à peine plus d'un an de règne au compteur, rythmé par des corgis, de voyages et de réceptions en plein air, se trouve confronté à un défi digne d’une pièce de Shakespeare. Effectivement, nos regards sont tournés vers notre souverain qui lutte contre une "forme de crabe" – une élégante périphrase pour parler d’une maladie qui, semble-t-il, ne fait pas de distinction entre les mortels et la royauté.
L’affaire a commencé par un examen rectal des plus ordinaires. Qui aurait pu imaginer qu’un geste médical si commun puisse déclencher un feuilleton royal ? Cette révélation a ébranlé le Royaume-Uni plus fortement qu’une tempête dans une tasse de thé, montrant que, malgré cette bataille intime, notre intrépide Charles III continue de diriger les affaires d’État avec autant de dignité qu’il est possible d’en afficher, après un touché rectal et en arborant un peignoir de maison de campagne.
Entre-temps, le fiston, faisant une pause dans sa vie de star aux États-Unis pour endosser le rôle de fils dévoué, a franchi l’Atlantique plus vite qu’il ne faut pour dire "God Save the Queen". Sa quête ? Assurer que la monarchie reste solide, même face à des adversités de nature... On ne sait plus avec le temps.
Dans une tournure qui pourrait amuser (si l’on omet la gravité du contexte), la France, les USA (et moi même) ont manifesté leur soutien, prouvant que même dans les épreuves les plus sombres d'un trou de cul, le sens de la diplomatie reste intact. Le monde observe, certains avec empathie, d’autres avec une curiosité déplacée, mais beaucoup se demandent en secret si tout ceci n’est pas légèrement surjoué, sauf Biden qui avec ses problèmes d'équilibre récurrents se pose beaucoup de questions sur son état de santé.
Alors que le palais se débat avec des communiqués officiels prostatiques et que le public britannique envoie des vœux de rétablissement par milliers, on ne peut s’empêcher de penser que, dans certains milieux, cette nouvelle fait moins l’effet d’une bombe que d’un pétard mouillé. Après tout, dans un pays réputé pour son flegme légendaire, l’annonce d’une royauté aux prises avec des ennuis de prostate grosse comme une pastèque, rappelle à chacun que la couronne ne confère pas l’invincibilité.
Ainsi, tandis que Charles III poursuit son "traitement" avec la résolution d’un chef d’État en pleine crise, le Royaume, mi-amusé, mi-touché (rectal), mi-triste, se tient prêt à parier que même une procédure médicale banale peut entrer dans les ANNALES de l’histoire britannique comme matière à légende.