@agathe : je balade mes chiens au bord du Tarn, sans laisse : un chien a besoin d'aller à droite à gauche pour sentir des odeurs et courir au gré de ses envies. Je croise souvent d'autres chiens, c'est bon pour entretenir la sociabilité des chiens entre eux et l'occasion de discuter avec les maîtres, c'est bon aussi pour la mienne ( de sociabilité ). .
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Nos rencontres fortuites
@ayamé
si ton chien t'obéit au doigt et à l'oeil, bien sûr qu'on peut éviter la laisse.
Mais ce n'est pas si courant que ça.
On peut les sociabiliser en laisse de la même façon. -
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@agathe : j'ai passé un diplôme d'éducatrice canine et je l'ai été en bénévole en club sur mon temps libre ( en plus de mon métier d'infirmière ) et je peux te dire qu'un chien en laisse ne se sent pas à l'aise en laisse car il sait bien qu'il est entravé dans la gestion de ses mouvements. Cela peut induire, pour les chiens mal sociabilisés, de l'agressivité. La laisse en ville, ok, mais il faut fournir au chien des occasions de pouvoir gambader librement, cela fait partie de ses besoins primaires de chien.
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@Elenwey pas facile de prendre en photo un chevreuil ou un sanglier au saut d'un chemin !! cela vas bien trop vite pour moi
ou alors comme sur la photo avec l'effet de surprise de l'animal qui marque un temps d'arrêt -
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@apis-32
les phares ont dû la stopper
j'en vois de temps en temps dans la vallée... que c'est beau !
au printemps, la mère vient avec son petit brouter les bourgeons. -
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@apis-32, c'est mon chéri, j'étais au volant à ce moment-là.
Je me suis arrêtée quand j'ai vu les biches traverser. Elles ont essayé d'escalader sur la droite, une a entendu la voiture et fait demi-tour. La deuxième est redescendue quand sa copine est repartie mais a priori elle n'avait pas capté que c'était à cause de la voiture. Puis elle a tourné la tête (moment de la photo) et a détalé.
Ca n'était pas très loin de Aire sur l'Adour sur la D646. -
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En vrai, c'est chouette aussi...
Nous en rencontrons souvent, de plus ou moins loin, en promenant les chiens ou en conduisant...
Ça se passe toujours pareil : Ils s'éloignent un peu, s'arrêtent, nous observent un moment puis se sauvent en faisant leurs drôles de bonds...
Ils sont seuls, en petits groupes de 2 ou 3 ou plus nombreux, suivant les époques de l'année, et c'est toujours magique.
je n'ai jamais réussi à prendre une photo ! Mais je profite à fond de l'instant, à chaque fois !ici et maintenant
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@Shanna, oh c'est trop cute, une petite biche à l'oreille musicale Merci pour le partage ^^
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J'en rencontre des bestiaux dans ma campagne. L'été dernier je prenais une route en plein dans les bois pour aller au travail, et en rentrant tard j'ai eu la chance de croiser de beaux chevreuils. J’étais tellement étonnée que je leur ai laissé mes plein phares dans la gueule les pauvres...
J'ai aussi croisé des sangliers, sans encombre heureusement ! D'ailleurs la dernière fois un petit père a pointé son groin de manière assez drôle, il est sorti du bois tranquillement, et a attendu que je passe pour traverser. Un sacré spectacle. Je crois aussi des buses, des hérons et autres échassiers.Parfois, plus tristement, je croise des malchanceux, c'est toujours aussi dur.
Mais plus fréquemment encore, et parce que je travaille en milieu semi-rural, je croise des chats. Le dernier en date est un miron noir qui tournait autour de mon lieu de travail, avec son frère. Les deux pépères ont bien compris à qui ils avaient affaire, ma collègues et moi sommes aussi folle à chats l'une que l'autre. On leur a donc construit un abri, et on les a nourris. En décembre l'un des deux a disparu, et nous avons pu offrir au 2e une vie de chat de canapé, bien plus confortable que le chat des rues. Il n’était pas identifié, c’était bien chat de la street. Il a intégré une famille d'accueil et je pense que sa vie sera bien plus tranquille.
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@Mayhem il faut surtout faire attention la nuit avec les sangliers il y en à de partout sur les routes et les accidents sont pas rare
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@Mayhem maintenant je circule moins la nuit mais je suis quand m^me méfiant sur nos petite routes il y à toujours des mauvaises surprises
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Je vis en lisière de forêt et j'ai donc la chance de croiser de nombreux animaux. Les plus fréquents sont les biches, les sangliers, les renards et les lapins de garenne ainsi que les lièvres.
En hiver comme je distribue des graines aux oiseaux quand il fait froid, je vois aussi de nombreux oiseaux: rouges-gorges, mésanges, pinsons, verdiers et de plus gros comme les pigeons ramiers, les tourterelles, les merles, les grives, les corbeaux et corneilles ainsi que les choucas des tours ou des grues et des hérons.
Je participe régulièrement au comptage national des oiseaux de jardin. Il faut noter la sorte d'oiseau, l'heure et la zone géographique où on les a vus. Il faut beaucoup de patience mais c'est un vrai plaisir.
Il y a quelques années mon jardin a été colonisé par une famille de hérissons. Je leur ai donné au début du lait (dont ils raffolent) et de petites croquettes mais j'ai pensé rapidement que les animaux sauvages devaient survivre par leurs propres moyens. Je ne les ai pas revus et je pense qu'ils ont filé dans le champ voisin où paissent les vaches ou bien en forêt qui est toute proche.
Dans les rencontres plus désagréables j'ai croisé des vipères et des orvets qui eux, sont inoffensifs.| dernière édition par Chloé Réputation: 245 | Messages: 195 -
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@Chloé a dit dans Nos rencontres fortuites... :
les animaux sauvages devaient survivre par leurs propres moyens.
En théorie, tu as raison. Mais vu qu'on empiète de plus en plus sur leurs territoires sauvages ( déboisement - bon, pas trop en France - urbanisation...), leur donner un petit coup de pouce est une bonne chose : juste retour des choses, je dirais.