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    Et si on s'échangeait des poèmes et des jolis mots ?

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    • Shanna
      Shanna @Invité dernière édition par Shanna

      @Punk-à-chien Je me suis permis de déplacer ton post ici, ainsi que les réactions recueillies, puisqu'il s'agit d'un partage de poème (le topic "Poésie ça rime avec envie, vie et zizi" est une animation/un jeu avec des règles précises).

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
      • Antigua
        Antigua @Invité dernière édition par

        @Punk-à-chien très joli.

        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
        • Cygoris
          Cygoris dernière édition par Cygoris

          La Magie de la Lune

          La pleine lune a le pouvoir de transformer les scènes les plus familières :
          Les toits des ardoises des fermes resplendissent comme de l’acier poli et les champs d’herbes folles ondulent comme une soie couleur d’étain.
          Les mouvements lents du bétail dans les prés ressemblent à un jeu nautique de lourds monstres marins ; le brouillard tourbillonne dans leur sillage comme de l’écume, puis se fige, blanc sous la clarté de l’astre.

          Le reflet de la Lune dort sur l’eau comme une assiette d’or oubliée.
          Si un poisson monte à la surface, le globe doré se brise en mille fragments liquides pour se recoller peu à peu.
          Le vent fait courir les nuages et irise la surface de l’onde, dérangeant la Lune qui semble avoir été irritée.
          La Lune orangée de l’automne fait étinceler les chaumes et donne à la forêt l’aspect d’une vieille pèlerine jetée sur les collines.

          Ewan CLARKSON

          L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 4
          • pompon
            pompon dernière édition par

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            belle histoire de la vie

            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 6
            • Tigrette
              Tigrette dernière édition par

              A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres (conte philosophique d’origine inconnue)

              Un jour, l’âne d’un fermier tomba dans un puits.
              L’animal gémissait pitoyablement pendant des heures, et le fermier se demandait quoi faire.
              Finalement, il décida que l’animal était trop vieux et que le puits devait disparaître de toute façon, et qu’il n’était donc pas rentable de récupérer l’âne.

              Il invita tous ses voisins à venir et l’aider. Tous se saisissent d’une pelle et commencent à enterrer le puits.
              Au début, l’âne réalisa ce qui se produisait et se mit à crier terriblement. Puis, au bout de quelques secondes, à la stupéfaction de chacun, il se tut. Quelques pelletées plus tard, le fermier regarda finalement dans le fond du puits fut très étonné de ce qu’il vit.

              Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter sur l’animal, il se secouait et montait dessus…

              Bientôt, à la grande surprise de chacun, l’âne sortit hors du puits et se mit à trotter !

              La vie peut parfois essayer de nous engloutir de toutes sortes de détritus. Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer ! Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en nous souvenant de cette histoire.

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 6
              • Artelise
                Artelise dernière édition par

                Je viens de découvrir que j'ai un poème préféré !! ^^
                C'est dans le cadre du challenge de lecture 2023 que je me suis acheté un recueil de poèmes. Un truc pas compliqué, pas un seul et unique auteur, moi et la poésie n'étant pas très copines (trop d'allégories, trop de formulation que je ne comprends pas.. et autres joyeusetés du genre).

                J'ai donc acheté le recueil : les plus belles récitations de notre enfance, en me disant que du coup, je ferais face à des poèmes "abordables". Et je tombe sur Lamartine. Milly ou la terre natale... Je le lis une fois et je réalise que je connais les 2 dernières strophes. Je relis donc le poème, histoire du voir si, par hasard, je ne pourrais pas mieux comprendre - ayant eu l'impression à la première lectures qu'elles tombaient un peu comme un cheveu sur la soupe. Et là.. le poème se met à prendre du sens. Je le relis une dernière fois et là, il me parle, il me touche... je me mets à l'aimer !

                Pourquoi le prononcer ce nom de la patrie ?
                Dans son brillant exil mon coeur en a frémi ;
                Il résonne de loin dans mon âme attendrie,
                Comme les pas connus ou la voix d'un ami.

                Montagnes que voilait le brouillard de l'automne,
                Vallons que tapissait le givre du matin,
                Saules dont l'émondeur effeuillait la couronne,
                Vieilles tours que le soir dorait dans le lointain,

                Murs noircis par les ans, coteaux, sentier rapide,
                Fontaine où les pasteurs accroupis tour à tour
                Attendaient goutte à goutte une eau rare et limpide,
                Et, leur urne à la main, s'entretenaient du jour,

                Chaumière où du foyer étincelait la flamme,
                Toit que le pèlerin aimait à voir fumer,
                Objets inanimés, avez-vous donc une âme
                Qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?...

                Survive
                Love
                Laugh
                Repeat

                LeaPierce 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                • LeaPierce
                  LeaPierce @Artelise dernière édition par LeaPierce

                  @Artelise Alors, peut-être que je me trompe mais Eluard et Prévert sont selon moi facilement accessibles à ceux qui ne sont pas trop poésie 😊

                  Et je pense que beaucoup d'entre nous reconnaîtrons cette petite strophe de fin d'un poème très célèbre d'Éluard :

                  (...)Et par le pouvoir d’un mot
                  Je recommence ma vie
                  Je suis né pour te connaître
                  Pour te nommer

                  Liberté.

                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                  • Cygoris
                    Cygoris dernière édition par Cygoris

                    814bd1bf-1e22-40b3-b032-25a25f2121c4-image.png

                    Ce pont de 173 mètres possède 2 piles représentant des bateaux.
                    Chaque demi-bateau est orné de statues allégoriques en bronze de Jean-Antoine Injalbert.
                    Au nombre de 4 : La Ville de Paris (proue du bateau de la rive droite), La Navigation (poupe), L’Abondance (proue du bateau de la rive gauche) et Le Commerce (poupe) posté ici avec le poème.

                    https://fr.wikipedia.org/wiki/Pont_Mirabeau

                    text alternatif

                    https://www.ipreferparis.net/2011/07/statues-on-le-pont-mirabeau.html

                    http://paris1900.lartnouveau.com/ponts/pont_mirabeau.htm

                    L'important n'est pas la fin de l'aventure mais la manière de l'avoir vécue

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                    • Kachina
                      Kachina Banni dernière édition par Kachina

                      Etre jeune

                      La jeunesse n'est pas une période de la vie,
                      elle est un état d'esprit, un effet de la volonté,
                      une qualité de l'imagination, une intensité émotive,
                      une victoire du courage sur la timidité,
                      du goût de l'aventure sur l'amour du confort.
                      On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d'années :
                      on devient vieux parce qu'on a déserté son idéal.
                      Les années rident la peau ; renoncer à son idéal ride l'âme.
                      Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs
                      sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre
                      et devenir poussière avant la mort.
                      Jeune est celui qui s'étonne et s'émerveille. Il demande
                      comme l'enfant insatiable : Et après ? Il défie les événements
                      et trouve de la joie au jeu de la vie.
                      Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute.
                      Aussi jeune que votre confiance en vous-même.
                      Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abattement.
                      Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif.
                      Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages
                      de la nature, de l'homme et de l'infini.
                      Si un jour, votre coeur allait être mordu par le pessimisme
                      et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard.

                      Général Mac Arthur, Normal Instructor & Primary Plan ,1945.
                      Traduction de Youth de Samuel Ulman (1840-1924)

                      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                      • Kachina
                        Kachina Banni dernière édition par

                        Les rêves
                        ANNA DE NOAILLES

                        Le visage de ceux qu’on n’aime pas encor
                        Apparaît quelquefois aux fenêtres des rêves
                        Et va s’illuminant sur de pâles décors
                        Dans un argentement de lune qui se lève.

                        Il flotte du divin aux grâces de leur corps
                        Leur regard est intense et leur bouche attentive ;
                        Il semble qu’ils aient vu les jardins de la mort
                        Et que plus rien en eux de réel ne survive.

                        La furtive douceur de leur avènement
                        Enjôle nos désirs à leurs vouloirs propices,
                        Nous pressentons en eux d’impérieux amants
                        Venus pour nous afin que le sort s’accomplisse ;

                        Ils ont des gestes lents, doux et silencieux,
                        Notre vie uniment vers leur attente afflue :
                        Il semble que les corps s’unissent par les yeux
                        Et que les âmes sont des pages qu’on a lues.

                        Le mystère s’exalte aux sourdines des voix,
                        À l’énigme des yeux, au trouble du sourire,
                        À la grande pitié qui nous vient quelquefois
                        De leur regard, qui s’imprécise et se retire...

                        Ce sont des frôlements dont on ne peut guérir,
                        Où l’on se sent le cœur trop las pour se défendre,
                        Où l’âme est triste ainsi qu’au moment de mourir ;
                        Ce sont des unions lamentables et tendres...

                        Et ceux-là resteront, quand le rêve aura fui,
                        Mystérieusement les élus du mensonge,
                        Ceux à qui nous aurons, dans le secret des nuits,
                        Offert nos lèvres d’ombre, ouvert nos bras de songe.

                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                        • agathe
                          agathe dernière édition par agathe

                          L'ARBRE
                          PAR ANTONIN ARTAUD

                          Cet arbre et son frémissement
                          forêt sombre d'appels
                          de cris
                          mange le cours obscur de la nuit

                          Vinaigre et laits le ciel la mer
                          la masse épaisse du firmament
                          tout conspire à ce tremblement
                          qui gîte au cours épais de l'ombre

                          Un cours qui crève un astre dur
                          qui se dédouble et fuse au ciel
                          le ciel limpide qui se fend
                          à l'appel du ciel sonnant
                          font le même bruit font le même bruit
                          que la nuit et l'arbre au centre du vent.

                          Antonin Artaud
                          Nature

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                          • Kachina
                            Kachina Banni dernière édition par

                            Dans un dictionnaire, il est écrit que
                            «l'amour est un mouvement,
                            une affection, de la tendresse».

                            Je m'efforce de comprendre comment ça peut
                            disparaître
                            et je tourne en boucle dans ma tête
                            la certitude que
                            si ça se perd,
                            ça se retrouve

                            un coeur ce n'est pas une lumière
                            avec un interrupteur.

                            Il doit bien rester quelque chose
                            par terre.
                            Si je cherche assez fort, je finirai bien
                            par le voir, le reste d'amour à faire pousser
                            dans un bocal avant de le restituer.
                            Il faudra attendre une bonne grosseur, la bonne couleur,
                            ce sera «mon précieux».
                            Ce sera leur surprise.
                            Jardinier de parents heureux.

                            Je rampe sur le sol et pose des pièges,
                            élabore des plans à même le plancher,
                            ma mère crie que je fais lever la poussière.
                            Je lui réponds que l'air vide de notre appartement a besoin
                            de cette décoration,
                            qu'à défaut de nous avoir,
                            je m'entoure des particules de nos peaux mortes,
                            des restes de déjeuner et de nos jeux dehors,
                            avant que le vent ou le ménage emporte vraiment tout.

                            Elle a ouvert la douche pour pleurer tranquille,
                            elle fait toujours ça en pensant que je ne le sais pas.

                            Pendant ce temps-là, je me sens un peu mal,
                            mais me semble que j'ai droit
                            d'avoir de la peine,
                            des larmes,
                            une colère bien à moi.

                            Aujourd'hui, je ne ferai pas le ménage de ma chambre.

                            Véronique GRENIER
                            Canadienne, Enseignante en philosophie, auteure, chroniqueuse, militante

                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                            • agathe
                              agathe dernière édition par

                              Les feuilles

                              Comme une fine palette de couleurs qui évolue au fil des saisons, des pierres précieuses sont accrochées aux fiers piliers, les élèvent vers les cieux… Ces petits grains et petits boutons de vie au printemps s’épanouissent pour devenir des émeraudes en été et des rubis en automne. Lorsque la brise s’éveille, ces joyaux chantent en chœur le son de la liberté.

                              Certains se détachent, lâchent prise et s’envolent, légers et fluides, dansant entre ciel et terre.

                              Les joyaux affaiblis, de couleur ocre, qui ne peuvent plus danser parmi les leurs, prennent un nouvel envol quand les enfants, de leurs mains délicates, prennent une poignée de ces pierres précieuses et les éparpillent dans les airs.

                              L’hiver où tout n’est que neige, les joyaux ne sont plus. Ils meurent aux yeux des uns, agonisent aux regard des autres. Mais regardez de plus près et vous les verrez au sol, recouverts par une fine couche de cristaux de glace, à peine visibles à l’œil naïf de l’imprudent qui, d’un pas pressé et agacé, effectue la performance d’un patineur ne sachant pas patiner.

                              Anna Couloumy

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                              • Kachina
                                Kachina Banni dernière édition par

                                J'ai retrouvé ce poème de Jean Villard (Gilles)

                                Le Mot de Cambronne

                                On nous dit qu’il est de Cambronne.
                                C’est bien possible, mais voilà
                                Très sincèrement je m’étonne
                                Que notre humanité bougonne
                                Ait pu s’en passer jusque-là.

                                Souvenez-vous des temps d’Homère !
                                Homère d’alors, quel mordant
                                T’eût donné ce mot légendaire
                                Si tu avais, grand visionnaire,
                                Pu te le mettre sous la dent !

                                Que serait donc notre existence
                                Si nous devions nous en passer ?
                                N’est-il pas bon français de France,
                                Riche en couleurs, riche en nuances ?
                                Essayez de le remplacer,

                                Par exemple, sortant de table,
                                Quand, ayant abusé, hélas,
                                Par trop de nectars délectables,
                                Dans une obscurité du diable,
                                Vous tombez sur un bec de gaz !

                                Vous le lâchez, ça vous soulage,
                                Vous ne sentez plus la douleur.
                                Ah ! Messieurs, le bel avantage,
                                Quel secours, quel appui ! J’enrage
                                Quand je vois d’austères censeurs

                                Aux visages de funérailles
                                Vouloir nous ôter ce trésor,
                                Ce cri – jailli sous la mitraille –
                                Du fond des humaines entrailles
                                D’un héros marchant à la mort !

                                Il peut tout dire : ardent, lyrique,
                                Tendre ou sec, placide, enragé,
                                Plébéien, aristocratique,
                                Il est à nous, il est unique,
                                Ils ne l’ont pas à l’étranger !

                                Je le vois, rocher solitaire,
                                Car de tous les mots que l’on sait
                                Il est presque seul, sur la terre,
                                À ne pas avoir, ô mystère,
                                De rime dans les mots français.

                                Si, une seule, le mot : perde…
                                Là devant, je me sens perdu,
                                Car il faut une rime à perdre,
                                Maintenant, et je n’ai que…
                                Pardon…ce fut sous-entendu !

                                Pourtant cet illustre vocable,
                                Je voudrais que, par un décret,
                                Il fût, en ces temps misérables,
                                Dont la cruauté nous accable,
                                Mis en quelque sorte au secret,

                                Afin qu’au fond de ce silence,
                                Tendant lentement ses ressorts,
                                Accumulant force et puissance,
                                Se chargeant d’âpre violence,
                                Au nom des vivants et des morts,

                                Il puisse, un jour, jaillir, sublime,
                                Du cœur des peuples outragés,
                                Tendres moutons, pauvres victimes,
                                Rejetant dans les noires abîmes,
                                D’un seul coup, leurs mauvais bergers !

                                Cri vengeur, cri pur, cri superbe,
                                De l’éternelle humanité,
                                Que nous leur jetterons en gerbe,
                                Quand, enfin, nous leur dirons : MERDE !
                                En saluant la Liberté !

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 4
                                • Un Ancien Utilisateur
                                  Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                                  "Être avec des gens qu'on aime, cela suffit ; rêver, leur parler, ne leur parler point, penser à eux, penser à des choses plus indifférentes, mais auprès d'eux, tout est égal." ❤️

                                  Jean de La Bruyère (1645 - 1696)

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                                  • pompon
                                    pompon dernière édition par

                                    362213335_609331384643685_6214139290975850615_n.jpg

                                    ayamé 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                    • ayamé
                                      ayamé Banni @pompon dernière édition par

                                      @pompon : la canicule te fait retomber en enfance, mon cher Pompon 😂 .
                                      Vite, va te réhydrater en château la pompe 🙂 .

                                      pompon 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                      • pompon
                                        pompon @ayamé dernière édition par

                                        @ayamé un petit retour en enfance cela fait pas de mal
                                        quand à la canicule j'ai un peu trop était optimiste
                                        aujourd'hui il à fait la journée la plus chaude chez nous
                                        encore 37° et cet après midi il à fait certainement plus de 40°

                                        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                        • agathe
                                          agathe dernière édition par

                                          Prolonger des adieux ne vaut jamais grand chose ; ce n'est pas la présence que l'on prolonge, mais le départ.

                                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 6
                                          • Un Ancien Utilisateur
                                            Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                                            "L'esprit s'enrichit de ce qu'il reçoit, le cœur de ce qu'il donne." (Victor Hugo)

                                            1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
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