Les hommes ont-ils une pression sociale?
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@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Ceux qui s'en accommodent, de chaque genre, sont la majorité, la norme donc... Et même si évolution il y a, il ne faut pas oublier (bon allez je suis obligé), le vieillissement social. C'est à dire le fait que, jeune, l'envie de changement par exemple va nourrir de nouveaux comportements, mais que ceux-ci vont pouvoir, parfois lentement, parfois très vite, laisser revenir le culturel au galop, c'est à dire les comportements acquis par les parents, in-corporés, bien plus pesant que chacun le voudrait croire et surtout le voudrait faire.
Peut être mais chaque génération acquiert de nouveaux comportements. On voit bien que les choses évoluent durablement et qu'on ne pense pas exactement pareil que les générations précédentes.
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Oui, j'en suis d'accord, je modérais seulement les ardeurs idéalistes
Et puis nous pourrions nous interroger également sur ce que ces modifications apportent, en bien, certes mais aussi en pertes, en problèmes, en risques, en difficultés... Ou marcherions-nous alors sur des œufs... de caille !
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@Ragnar a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Dans ma jeunesse j'ai eu beaucoup de pression en tant que gay comme si je voulais me prouver que j'étais un mec quand même. Être un homme et gay c'est une double pression qui m'a un peu niqué l'existence.
J'ai mis beaucoup de temps à déconstruire tout ça et mtn je subit la pression de l'apparence, en fait on a 1000 pressions dans la vie, homme ou femme
D'expérience... Au lieu de déconstruire petit à petit, imagine ta vision du monde comme un immense gratte-ciel sur lequel - au niveau des fondations - tu as posé quelques (beaucoup plus que nécessaire) pains de C4... N'y va pas par étage, fait péter la base et laisse tout s'effondrer, de là tu réfléchis à qui tu veux être, et tu reconstruis comme ça te plaît.
Parce que finalement chaque individu n'est ni un homme ni une femme, ni tout un ensemble d'étiquettes qu'on voudrait se coller parce que ça rassure, on est juste nous, des individus uniques. Toi tu es Ragnar, et c'est tout. Ça sous-tend pleins de petits traits de caractère ou quoi, mais au final tu es toi, rien de plus. C'est la seul étiquette que tu dois avoir.
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@Martin
Filons la métaphore...
Faire exploser un bâtiment, surtout un gratte-ciel, en pleine ville, ça demande beaucoup de savoir-faire... Pas seulement des pains de plastique à la base... Tu vas avoir des conséquences sur ce qu'il y a autour, surtout si tu ne t'es pas spécialisé dans ce type de démolition. Qui plus est, lorsque tu vas reconstruire, soit tu vas rebâtir au même endroit... et tu vas vite comprendre qu'on ne va pas te laisser construire n'importe quoi à cet endroit (plan d'occupation des sols, contraintes sanitaires, normes esthétiques, etc.). Soit tu vas couper les ponts avec cet entourage pour aller bâtir sur un terrain mieux placé pour toi, possiblement loin (voire très loin) car il y a vraiment beaucoup de construction presque partout... Et comme les îles vierges n'existent plus à la surface du globe, depuis pas mal de décennies, tu vas devoir malgré tout t’accommoder d'un nouvel environnement "humain". Et quel matériaux vas-tu utiliser ? Quels plans as-tu en tête ? Qui ne soit pas des acquis du lieu que tu as quitté ? Au moins en partie, et souvent plus nombreux que tu ne crois...
Nous sommes des animaux sociaux. Notre Ego aime à se croire unique, singulier, etc. mais il aime aussi à ressembler, imiter, etc. pour être aimer, pour aimer, pour échapper à la solitude, la vraie solitude.
Les vrais solitaires ne viennent pas sur des forums, ils vivent sans personne, aucun lien, aucune relation, strictement. Et, par définition, personne ici n'en connaît aucun... !
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Il n'était pas question de solitude
c'est quoi cette réponse de merde
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Bonjour, Je pense que les hommes, les femmes sont les deux moitié d'une même pièce, les deux moitié de l'humanité. Ce qui pourrait les différencier pour moi (peut être que je me trompe! je le reconnais) mais c'est l'éducation que les uns et les autres reçoivent à la base et qui influe sur leur vision du monde. Pour ma part j'ai élevé mes huit enfants (filles et garçons) en essayant de ne pas marquer les différences (y suis je arriver c'est une autre histoire). Petits mes garçons jouaient à la dinette, et a la Barbie, les filles avec les voitures, la boite à outils etc... si pour moi il n'y avait aucun problème pour mon entourage proche voir même mon époux qui se posaient des questions sur leur construction psychologique futur. Je me suis toujours battue contre ces insertions douteuse. Maintenant mes petits sont devenus des adultes. Les garçons n'hésitant pas à changer les couches de leurs enfants, ils partages les tâches quotidienne avec leur compagne, ils sont sensibles et forts bref... ils sont humains avant tout. Quand à mes filles... Se sont de belles personnes indépendantes, elles s'assument en tant que femme et traite d'égal à égal avec la gente masculine. L'avenir sera ce que nous autres les mères actuelles inculqueront à nos enfants. Cordialement
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@leo je ne vois pas le mien avec le propos de base, la métaphore part beaucoup trop loin. Je dis simplement que chacun doit se sentir libre d'être qui il souhaite, que toutes les constructions sociales que l'on a étant jeune et qui sont aujourd'hui désuètes, bah au lieu de les refaire une part une, on fait tout péter et in recommence.
Quel que soit le style architectural choisi, les matériaux au quoi si c'est vraiment de ça que tu veux parler...
Si j'ai envie de bâtir un building en bois au milieu d'un truc en béton c'est moi que ça regarde, c'est pas au monde qui m'entoure de déterminer ce que je veux faire de ma vie... Sinon c'est une vie bien triste. -
@Ragnar a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Il n'était pas question de solitude
c'est quoi cette réponse de merde
C'est une réponse pour faire parler les gens vulgaires et grossiers qui ne lisent que ce qu'ils veulent lire...
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@Martin a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
@leo je ne vois pas le mien avec le propos de base, la métaphore part beaucoup trop loin. Je dis simplement que chacun doit se sentir libre d'être qui il souhaite, que toutes les constructions sociales que l'on a étant jeune et qui sont aujourd'hui désuètes, bah au lieu de les refaire une part une, on fait tout péter et in recommence.
Quel que soit le style architectural choisi, les matériaux au quoi si c'est vraiment de ça que tu veux parler...
Si j'ai envie de bâtir un building en bois au milieu d'un truc en béton c'est moi que ça regarde, c'est pas au monde qui m'entoure de déterminer ce que je veux faire de ma vie... Sinon c'est une vie bien triste.En ce cas je ne vois pas bien à quoi servait non plus ta métaphore... Pourquoi tiens-tu autant à la restreindre ? Pour défendre la sacro-sainte liberté individuelle, existentielle ?
Sans pressions sociales, il n'y aurait pas de société, pas d'identité individualiste, qui est un produit socio-historique. Il n'est pas possible à un être humain de se re-définir hors société. De fait tu choisiras d'autres pressions, qui te paraîtront moins contraignantes mais qui n'en seront pas moins des pressions à un degré quelconque et surtout en fonction des appartenances...
Tu ne peux pas ne pas vouloir fumer dans une société qui ne connaît pas le tabac, tu ne peux pas aimer faire du ski dans une société qui ne les a pas inventé, etc. C'est sans fin. Et dans un société mondialisée, dont la culture s'unifie chaque jour un peu plus, les marges de choix, de liberté réelle, diminue chaque jour. Les pressions à l'intégration sont massives chez les jeunes, mais, à mon sens et dans ce que j'ai vu autour de moi, toujours, elles ne font que cesser de sembler moindre, peut-être par orgueil, avec l'avancement en âge.Les hommes conservent des pressions vestimentaires par exemple, très forte au travail, mais même chez eux, pour se sentir différent de leur femme, pour qu'elle les sente 'masculin'. Si tu veux être aimé, tu auras des concessions à faire.
Et ce n'est qu'un exemple parmi des milliers.
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@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
@Ragnar a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Il n'était pas question de solitude
c'est quoi cette réponse de merde
C'est une réponse pour faire parler les gens vulgaires et grossiers qui ne lisent que ce qu'ils veulent lire...
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@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
En ce cas je ne vois pas bien à quoi servait non plus ta métaphore... Pourquoi tiens-tu autant à la restreindre ? Pour défendre la sacro-sainte liberté individuelle, existentielle ?
Parce que c'est une façon de parler, j'ai besoin d'exprimer les choses par des propos imagés afin de parvenir à me faire comprendre, il n'y a pas besoin de chercher midi à 14h...
Sans pressions sociales, il n'y aurait pas de société, pas d'identité individualiste, qui est un produit socio-historique. Il n'est pas possible à un être humain de se re-définir hors société. De fait tu choisiras d'autres pressions, qui te paraîtront moins contraignantes mais qui n'en seront pas moins des pressions à un degré quelconque et surtout en fonction des appartenances...
Mais par essence une pression sociale exerce une contrainte, elle va induire une forme de pénibilité au quotidien, hors si l'on choisi de vivre selon certaines normes sociales, qui sont en adéquation avec qui nous sommes, et ce que nous voulons être, il n'y a plus de pression, plus de difficulté à s'adapter ou quoi, et donc la notion de pression disparait.
Les hommes conservent des pressions vestimentaires par exemple, très forte au travail, mais même chez eux, pour se sentir différent de leur femme, pour qu'elle les sente 'masculin'. Si tu veux être aimé, tu auras des concessions à faire.
Ca pue très fort le sexisme tout ça... notamment vis-à-vis de la femme qui doit sentir son homme masculin. La masculinité d'un homme ne passe pas par ses habitudes vestimentaires. Je ne pense pas qu'une femme aimera un homme pour ses vêtements, mais plutôt pour les valeurs morales, humaines, etc. qu'il véhicule... en autre, mais jamais parce que le mec porte un costume cravate tous les jours.
Quand à la dernière phrase, je fais des concessions parce que je ne vis plus que pour moi, mais pour un binome... Mais à aucun moment je n'ai eu des concessions à faire sur qui je suis et ma façon d'être pour que mon copain ait des sentiments pour moi... C'est un peu contre productif sinon. -
@Martin a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Sans pressions sociales, il n'y aurait pas de société, pas d'identité individualiste, qui est un produit socio-historique. Il n'est pas possible à un être humain de se re-définir hors société. De fait tu choisiras d'autres pressions, qui te paraîtront moins contraignantes mais qui n'en seront pas moins des pressions à un degré quelconque et surtout en fonction des appartenances...
Mais par essence une pression sociale exerce une contrainte, elle va induire une forme de pénibilité au quotidien, hors si l'on choisi de vivre selon certaines normes sociales, qui sont en adéquation avec qui nous sommes, et ce que nous voulons être, il n'y a plus de pression, plus de difficulté à s'adapter ou quoi, et donc la notion de pression disparait.
Et ce sont donc des normes ? Mais celles-ci s'installeraient sans pressions, elles correspondraient à une diversité d'individus sans efforts même minimes, durant la construction même de leur socialisation ? La notion de pression part effectivement de l'idée de contrainte, mais elle se dilue 'le plus souvent' dans l'intégration de la pression, de la norme. Et cette pression, sociale, n'est plus sensible pour beaucoup, si ce n'est la plupart. C'est ce qui fait inviter des femmes par des féministes à prendre conscience de certaines pressions pour s'en émanciper.
Les hommes conservent des pressions vestimentaires par exemple, très forte au travail, mais même chez eux, pour se sentir différent de leur femme, pour qu'elle les sente 'masculin'. Si tu veux être aimé, tu auras des concessions à faire.
Ca pue très fort le sexisme tout ça...
Ce type de commentaire est-il une ouverture à discuter ? Il est sexiste pour toi, à en insulter l'autre de puant, que de noter le fait que beaucoup de femmes aiment et recherchent une masculinité, une altérité, chez leur compagnon ? Y compris visuelle, physique, comportementale, non pas par un costume cravate (où en ais-je parlé ?), mais par des vêtements masculins, très différenciés dans le prêt à porter (ou le contesterais-tu ?).
Quand à la dernière phrase, je fais des concessions parce que je ne vis plus que pour moi, mais pour un binome... Mais à aucun moment je n'ai eu des concessions à faire sur qui je suis et ma façon d'être pour que mon copain ait des sentiments pour moi... C'est un peu contre productif sinon.
Je n'ai jamais connu de couple dans lesquels il n'y avait pas de chaque côté des concessions à faire. Je ne parle pas de changement radical de comportement mais bien d'adaptations, si tu préfères les appeler comme ça pour éviter de reprendre mes termes. Mais disons qu'on ressent moins la contrainte lorsqu'on aime, c'est certain, surtout si elle est déjà faible.
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@Noodle a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
@Peri celui qui boit pas Energy 3000
Boire de l’Energy 3000, c’est so 2999.
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@leo a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Et ce sont donc des normes ? Mais celles-ci s'installeraient sans pressions, elles correspondraient à une diversité d'individus sans efforts même minimes, durant la construction même de leur socialisation ? La notion de pression part effectivement de l'idée de contrainte, mais elle se dilue 'le plus souvent' dans l'intégration de la pression, de la norme. Et cette pression, sociale, n'est plus sensible pour beaucoup, si ce n'est la plupart. C'est ce qui fait inviter des femmes par des féministes à prendre conscience de certaines pressions pour s'en émanciper.
Encore une fois, une pression, si elle n'exerce pas une contrainte ou quoi que ce soit, n'est pas une pression... donc une pression qui en est une pour toi, ne le sera pas pour toi et inversement. bref...
Il est sexiste pour toi, à en insulter l'autre de puant
Je parle ici du propos et non de ta personne, mais bon peu importe.
que de noter le fait que beaucoup de femmes aiment et recherchent une masculinité, une altérité, chez leur compagnon ? Y compris visuelle, physique, comportementale, non pas par un costume cravate (où en ais-je parlé ?), mais par des vêtements masculins, très différenciés dans le prêt à porter (ou le contesterais-tu ?)
Beaucoup de femmes peut-être, mais c'est surtout du fait d'une construction sociale particulièrement bidon, et c'est justement ce qu'on cherche à faire tomber, pour que chacun soit libre d'être comme il souhaite et que ce soit accepté, et non que la personne soit contrainte de se conformer à un carcan stéréotypé. C'est justement ça qu'on veut mettre en lumière... ce qui est nocif pour la société.
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@Martin a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
que de noter le fait que beaucoup de femmes aiment et recherchent une masculinité, une altérité, chez leur compagnon ? Y compris visuelle, physique, comportementale, non pas par un costume cravate (où en ais-je parlé ?), mais par des vêtements masculins, très différenciés dans le prêt à porter (ou le contesterais-tu ?)
Beaucoup de femmes peut-être, mais c'est surtout du fait d'une construction sociale particulièrement bidon, et c'est justement ce qu'on cherche à faire tomber, pour que chacun soit libre d'être comme il souhaite et que ce soit accepté, et non que la personne soit contrainte de se conformer à un carcan stéréotypé. C'est justement ça qu'on veut mettre en lumière... ce qui est nocif pour la société.
Bidon ? Je trouve étrange de dire d'une construction sociale qu'elle est bidon. Il s'agirait d'une mode, oui, pourquoi pas, mais pourrais-tu qualifier cette construction sociale dont tu parles. Je m'en doute un peu mais je préfères que tu en donnes toi-même ta dénomination. Conçois-tu que ta position soit choquante pour des hommes mais aussi pour des femmes ? Et alors, au fond, pourquoi ne considéreraient-ils pas comme bidon, cette proposition libérale de construction sociale individualisée (d'ailleurs pas tant que ça puisqu'il reste de grands agrégats) ? Le terme nocif est très fort pour juger toute une Histoire de l'être humain, non ? Ces transformations ne promettent-elles que des lendemains qui chantent ? Est-il possible de se poser la question actuellement ?
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@Martin a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
@Ragnar a dit dans Les hommes ont-ils une pression sociale? :
Dans ma jeunesse j'ai eu beaucoup de pression en tant que gay comme si je voulais me prouver que j'étais un mec quand même. Être un homme et gay c'est une double pression qui m'a un peu niqué l'existence.
J'ai mis beaucoup de temps à déconstruire tout ça et mtn je subit la pression de l'apparence, en fait on a 1000 pressions dans la vie, homme ou femme
D'expérience... Au lieu de déconstruire petit à petit, imagine ta vision du monde comme un immense gratte-ciel sur lequel - au niveau des fondations - tu as posé quelques (beaucoup plus que nécessaire) pains de C4... N'y va pas par étage, fait péter la base et laisse tout s'effondrer, de là tu réfléchis à qui tu veux être, et tu reconstruis comme ça te plaît.
Parce que finalement chaque individu n'est ni un homme ni une femme, ni tout un ensemble d'étiquettes qu'on voudrait se coller parce que ça rassure, on est juste nous, des individus uniques. Toi tu es Ragnar, et c'est tout. Ça sous-tend pleins de petits traits de caractère ou quoi, mais au final tu es toi, rien de plus. C'est la seul étiquette que tu dois avoir.
J'y ai pas mal réfléchit, et c'est une bonne idée de forcer un peu les choses, j'ai déjà une bonne idée de ce que je veux être mais pour l'instant ça reste du petit à petit, le déclic viendra.
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@Ragnar si c'est pour toi (et j'entends par la la manière la plus bénéfique pour toi de procéder) alors fais comme ça.
Et si tu as envie de parler de ça avec quelqu'un, ne serait-ce que pour confronter des expériences, fais moi signe, je serai une oreille (ou plutôt œil ici) attentive. -
Un monde sans pression social où l'on pourrait vivre comme on le souhaite tant que cela ne nuise à personne mais c'est le cercle vicieux des individus que mettent la pressions aux autres , comme le serpent qui se mort la queue , c'est là que la force moral entre en jeux pour arriver à survoler tout ça .
C'est quand on se sent entouré avec du soutient que tout cela parait plus simple , il faut savoir bien s'entourer mais c'est pas si simple que ça -
Oui je pense que les hommes ont une pression sociale. Entre être viril qui est un concept sociétaire bien encré dans les mœurs comme il faut être fort, pas pleurer etc. Si un homme se fait violer ou battre par sa femme, il n’est pas forcément prit au sérieux, Après, il faut le dire, un homme a une position plus « positive » que la femme car même si les stéréotypes font mal, ils sont plus positifs ou démontrant une certaine force. Une femme, c’est faible, dans l’émotion, elles sont plus sujette aux violences sexuelles etc. Mais ça n’empêche pas que la pression sociale touche n’importe quelle personne. Qu’elle soit homme, femme, trans, intersexe etc.
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Oui, les hommes subissent une pression sociale, ou plutôt des pressions sociales car elles vont être différentes suivant l'homme et sa situation.
De la masculinité à affirmer à l'exemplarité totale et constante de certaine classe sociale, du pilier familiale au rock qui ne doit jamais céder, de s'affirmer en tant qu'homme (identité je parle, pas machisme) tout en conciliant l'injonction de destructuration etc... etc... etc...
Sans compter les images que nous vendent la pub, les RS etc...C'est à en rendre plus d'un schizophrène
Mais la plus grosse pression sociale que l'homme va subir, c'est qu'en aucun cas, il ne peut se plaindre, sinon c'est pas un homme. Et ça, c'est terriblement ancré dans nos comportements humains.