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    • Myra flore
      Myra flore @Cygoris dernière édition par

      @cygoris Merci pour Eluard...J'ignorais l'auteur,c'est mieux de savoir que c'est lui!

      1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
      • icescream
        icescream dernière édition par

        "Il [l'orgasme] est devenu une sorte de gratification raffinée, que Mihaela Pavlicev compare à notre capacité humaine à apprécier l'art, dont les origines évolutives sont obscures,mais 《qui pourrait être le résultat d'une propriété non adaptative du cerveau》, sans que notre enthousiasme diminue. 《On peut voir l'orgasme féminin comme une forme d'art qui ne répond qu'à elle-même plutôt que de remplir une fonction utilitaire, conclut la chercheuse. C'est probablement la forme d'art la plus intime, pour une audience d'une ou deux personnes》"

        Tiré dun numéro spécial de Sciences&Avenir Les grandes énigmes de l'Évolution, conclusion de la partie L'orgasme un fascinant mystère

        1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
        • want.wish
          want.wish dernière édition par

          "Tu n’es pas simplement abîmé. Toi aussi, on t’a abandonné. Toi aussi, on t’a laissé quelque part, sans se soucier de savoir si demain, tu respirerais encore. Toi aussi, tu es un peu orphelin, de ces lâches sans conscience. Toi aussi, tu étais sur un fil, si fragile, si branlant, que tu aurais pu tomber de l’autre côté. Toi aussi… Jimi… Toi aussi tu connais cette solitude… Celle dont on ne peut parler à personne… À part à ceux qui la comprennent…" Les mots oubliés, L.Haime

          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
          • Egon
            Egon dernière édition par

            "Je voulais coucher mes souvenirs sur le papier, pour les conserver. Vous savez, je crois en la magie. Je suis né et j'ai grandi à une époque magique, dans une ville magique, entouré de magiciens. Oh, la plupart n'avaient pas vraiment conscience de vivre dans cette toile de magie reliée par des filaments argentés tissés de chance et de circonstances. Mais moi, je savais. Quand j'avais douze ans, le monde était ma lanterne magique, et dans sa lueur verte se levaient le passé, le présent et l'avenir. Vous aussi, sans aucun doute, vous ne vous en souvenez pas, c'est tout. Selon moi, nous connaissons tous la magie dès le début. Nous venons au monde plein de cyclones, de comètes et de feux de forêt. Nous naissons capables de lire dans les nuages, de chanter avec les oiseaux et de voir notre destin dans les grains de sable. Mais en grandissant, nous perdons tout ça à coups d'éducation, d'instruction religieuse, de peignes et de gants de toilette. On nous force à marcher droit et à être responsables. On exige que nous nous conduisions comme des grands, des adultes, bon sang ! Et vous savez pourquoi ? Parce que ceux qui nous le demandent ont peur de notre liberté et de notre jeunesse. Parce qu'ils sentent en nous cette magie qu'ils ont laissée dépérir en eux, qu'ils sont amers et honteux d'avoir perdue.
            Malheureusement, quand on la laisse trop s'éloigner, on ne peut plus la faire revenir. Si ce n'est que pour quelques instants. Des éclairs de limpidité et de souvenir. Quand les larmes montent aux yeux devant un écran, c'est que, dans l'obscurité de la salle, quelque chose a brièvement effleuré le lac doré de votre magie. Vous revenez ensuite dans le soleil cru de la raison, et tout s'assèche. Vous ressentez un vague à l'âme sans savoir pourquoi. Quand une chanson vous évoque un souvenir, quand des particules de poussière qui dansent dans un rayon de soleil entraînent votre esprit dans leur sillage, quand vous vous laissez emporter par un train qui siffle au loin dans la nuit en vous demandant où il va, vous échappez au moment présent pour faire un pas hors de vous. Un bref instant, votre pied s'est posé au royaume de la magie.
            C'est ce que je crois.
            La vérité, c'est qu'au fil du temps, nous nous détournons de l'essence même de ce qui est né avec nous. Des fardeaux, certains utiles, d'autres moins, s'accumulent sur nos épaules. Des choses nous arrivent. Des gens que nous aimons meurent. Des accidents nous laissent diminués. Nous perdons notre chemin, pour une raison ou pour une autre. Dans le grand labyrinthe de ce monde, une seconde d'inattention suffit. La vie elle-même s'ingénie à nous arracher nos souvenirs de cette magie. On ne s'en rend pas compte, jusqu'au jour où on se sent dépossédé, sans savoir au juste de quoi. Comme lorsqu'on sourit à une jolie fille dans la rue, et qu'elle vous donne du "monsieur". Ça arrive, c'est tout. "

            In Zephyr, Alabama de Robert McCammon.

            Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

            Kachina 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
            • Kachina
              Kachina Banni @Egon dernière édition par

              @egon a dit dans Citations de vos lectures :

              Ce passage est lourd de sens. Il est si émouvant. Il m'a beaucoup émue. Il ne peut laisser insensible.

              La vérité, c'est qu'au fil du temps, nous nous détournons de l'essence même de ce qui est né avec nous. Des fardeaux, certains utiles, d'autres moins, s'accumulent sur nos épaules. Des choses nous arrivent. Des gens que nous aimons meurent. Des accidents nous laissent diminués. Nous perdons notre chemin, pour une raison ou pour une autre. Dans le grand labyrinthe de ce monde, une seconde d'inattention suffit.

              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
              • Egon
                Egon dernière édition par

                "L'enfance s'envole si vite, Cory. Elle eut un sourire imperceptible. "Les petits garçons se hâtent de devenir des hommes, puis ils découvrent un beau jour qu'ils aimeraient bien redevenir des petits garçons. J'ai un secret pour toi, Cory. Tu veux l'entendre ?"
                J'acquiesçai.
                "Personne, murmura-t-elle, personne ne grandit jamais vraiment."
                Je fronçai les sourcils. Tu parles d'un secret ! Papa et maman, ils avaient bien grandi, non ? Et Monsieur Dollar, le capitaine Marchette, le docteur Parrish, le révérend Lovoy, la Dame, bref, tous ceux qui avaient plus de dix-huit ans ?
                "Ils paraissent grands, continua-t-elle. Mais c'est un leurre. Ce n'est que le masque du temps. Au fond de leur coeur, les adultes sont toujours des enfants. Ils voudraient continuer à sauter partout, à jouer, mais ce lourd masque leur pèse sur les épaules. Ils voudraient se débarrasser des chaînes que le monde leur a passées, arracher leurs montres, leurs cravates et leurs chaussures cirées pour aller s'ébattre tout nus- ne serait-ce qu'une journée - dans le ruisseau où ils allaient autrefois se baigner. Ils voudraient retrouver le goût de la liberté, avoir des parents à la maison qui s'occupent de tout et qui les aiment quoi qu'il arrive. Même derrière les yeux du plus méchant des hommes, on devine un petit garçon effrayé, qui essaie de se cacher dans un coin où le mal ne pourra pas l'atteindre." Elle repoussa ses papiers et joignit les mains sur son bureau. "J'ai vu quantité de garçons devenir des hommes, Cory, et il y a une chose que j'aimerais te dire : Souviens-toi.

                • Me souvenir ? Me souvenir de quoi ?
                • De tout, de n'importe quoi. Ne laisse pas passer un seul jour sans en garder un souvenir, que tu conserveras comme un trésor. Car c'est ce que c'est. Les souvenirs sont de fabuleuses portes, Cory. Des professeurs, des amis, des maîtres. Quand tes yeux se posent sur quelque chose, ne te contente pas de regarder. Il faut voir. Vraiment voir. Voir suffisamment pour que, lorsque tu le raconteras aux autres, ils puissent voir à leur tour. On peut traverser la vie en étant aveugle, sourd et muet. C'est d'ailleurs ce que font la plupart des gens que tu rencontreras. Ils arpentent une forêt de miracles sans en soupçonner un seul. Mais il suffit de le vouloir pour vivre des milliers de vies. Tu peux parler à des gens que tu n'as jamais vus, dans des pays où tu n'as jamais mis les pieds." Elle hocha la tête, ses yeux rivés aux miens. "Et si tu as du talent, de la chance, et des choses à dire, tu continueras peut-être à vivre bien après."

                In Zephyr, Alabama de Robert McCammon.

                Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 3
                • Un Ancien Utilisateur
                  Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                  "Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses... des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver. C'est cela aussi vivre. Mais à l'intérieur de notre esprit - je crois que c'est à l'intérieur de notre esprit - il y a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ces occasions perdues. Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquions un index, avec des cartes de références, pour connaitre précisément ce qu'il y a dans nos cœurs. Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs. En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque."

                  Murakami, Kafka sur le rivage.

                  Un Ancien Utilisateur 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                  • Un Ancien Utilisateur
                    Un Ancien Utilisateur @Invité dernière édition par

                    @punk-à-chien juste une citation trouvée dans un bouquin de Franz Bartelt . C’est un colonel qui parle : " Réfléchir c’est désobéir ! "

                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                    • Carl_Jung
                      Carl_Jung dernière édition par Carl_Jung

                      " Restez l'un avec l'autre mais pas trop près l'un de l'autre..
                      Car les piliers du temple sont éloignés entre eux "

                      ayamé 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                      • ayamé
                        ayamé Banni @Carl_Jung dernière édition par ayamé

                        @carl_jung a dit dans Citations de vos lectures :

                        " Restez l'un avec l'autre mais pas trop près l'un de l'autre..
                        Car les piliers du temple sont éloignés entre eux "

                        et la fin de la phrase : " et le chêne et le cyprès ne poussent pas dans l'ombre l'un de l'autre ".
                        Khalil Gibran - Le prophète -
                        ( faut citer nos sources, l'ami, pour notre culture 😉 ) .

                        Carl_Jung 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                        • Yoyo
                          Yoyo dernière édition par

                          Le bateau est plus en sécurité quand il est au port, mais ce n'est pas pour cela qu'ont été construits les bateaux.

                          Le pèlerin de Compostelle de Paulo Coelho

                          ᕦ( ͡° ͜ʖ ͡°)ᕤ

                          1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 2
                          • Carl_Jung
                            Carl_Jung @ayamé dernière édition par

                            @ayamé
                            Bravo 👋

                            ayamé 1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                            • ayamé
                              ayamé Banni @Carl_Jung dernière édition par ayamé

                              @carl_jung : aucun mérite, mon cher, je rends à César ce qui appartient à César Google :
                              une simple recherche internet, c'est magique 😉 .

                              1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                              • Un Ancien Utilisateur
                                Un Ancien Utilisateur dernière édition par

                                Je vous propose Chateaubriand : " Il faut distribuer le mépris avec parcimonie car il y a beaucoup de nécessiteux "

                                1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 1
                                • ayamé
                                  ayamé Banni dernière édition par ayamé

                                  Voici un extrait qui colle au thème actuel de la battle : " un moment de solitude ".
                                  Mais ce n'est bien sûr pas celui que j'ai choisi pour la battle.

                                  " Il faut accepter ce mystère : vous ne pouvez pas concevoir ce que les autres voient dans votre visage.
                                  Il y a une contrepartie au moins aussi mystérieuse : je me regarde dans le miroir.
                                  Ce que je vois dans mon visage, personne ne peut le savoir. Cela s'appelle la solitude ".
                                  Dans SOIF de Amélie NOTHOMB .

                                  1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                  • guy_lee
                                    guy_lee dernière édition par guy_lee

                                    je vous propose de mettre ici tout ce qu'il faut pour se remonter le moral

                                    je commence avec une citation de charlie chaplin
                                    "rien est éternel. même pas nos problèmes"

                                    pour ceux qui sont parents de John Wilmot
                                    "Avant d'être marié, j'avais six théories sur la façon d'élever les enfants ; maintenant, j'ai six enfants et pas de théorie."

                                    ma préférée pour ceux qui me posent problèmes de alexandre dumas fils
                                    "Comment se fait-il que les enfants étant si intelligents, la plupart des hommes soient bêtes ? Cela doit tenir à l'éducation"
                                    en fait je la paraphrase comme cela "enfant vous étiez si intelligent. que c'est il passé ?"

                                    Tu veux un monde meilleur, plus fraternel, plus juste ? Eh bien commence à le faire : qui t’en empêche ? Fais-le en toi et autour de toi, fais-le avec ceux qui le veulent. Fais-le en petit, et il grandira." Carl G. Jung

                                    1 réponse Dernière réponse Répondre Citer 0
                                    • Un Ancien Utilisateur
                                      Un Ancien Utilisateur dernière édition par Un Ancien Utilisateur

                                      "Il n'est, pour en être assuré, que de l'écouter, pour peu qu'on l'en presse, développer ses thèmes majeurs qui sont d'abord cette découverte qu'il a faite de la valeur de l'attention. L'habitude nous abêtit et nous endort. Nous finissons par ne plus percevoir du monde que ses envers et que ses ombres. Il nous faut réapprendre à aimer l'eau, le feu, à toucher la bête, le fruit, à regarder monter et descendre le jour avec des sens de prisonnier libéré, d'enfant en vacances, des yeux de commencement du monde. La vie, dit-il encore, ne vaut d'être vécue que dans la mesure où on s'en émerveille.
                                      Et il n'a pas non plus achevé de nous dire son étonnement devant l'indifférence de l'homme pour l'homme, sa tristesse devant ce tenace appétit d'agression dont vingt siècles de christianisme n'ont pas réussi à le guérir, son regret du monde maternel, cette nostalgie qui se traduit de loin en loin par de timides essais de sympathie ratés : "Donne-moi du feu, mon petit pote !" qui ne vont guère plus loin qu'une nuance de pitié dans le sourire en se quittant, d'encouragement à la patience.
                                      Amour ? Le mot a trop servi, trop porté les rêves des hommes.
                                      Ce n'est plus qu'un mot creux, faussement prometteur, un peu écoeurant à la fin.
                                      Mais peut-être que bienveillance ..."

                                      Extrait de la préface par Paul Géraldy de "Travaux" de Georges Navel

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                                      • Egon
                                        Egon dernière édition par

                                        "Quelle idée, de lire autant ! De quoi les livres m'ont-ils sauvé ? Je sais bien qu'ils ne m'ont sauvé de rien ; mais d'une certaine façon il fallait passer le temps et me laisser une chance de comprendre, rassembler quelques connaissances et, avec un peu de chance, d'élargir mon horizon vital."
                                        In Oiseaux de Passages de Fernando Aramburu.

                                        Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

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                                        • Egon
                                          Egon dernière édition par Egon

                                          "Il est heureux que le temps réprime le désir de vengeance et fasse taire ce que vois suggèrent la rage et l'aversion. J'avais quitté cette femme pleine d'amertume et de haine, et je revenais aujourd'hui auprès d'elle sans autre émotion qu'une sorte de pitié pour ses grandes souffrances et un fort désir d'oublier et de pardonner tous les torts, d'être réconciliée et de serrer une main amie."

                                          In Jane Eyre de Charlotte Brontë.

                                          Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

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                                          • Egon
                                            Egon dernière édition par

                                            "Pourquoi aimes-tu tant voyager ?
                                            [...]

                                            • Les gens vivent constamment dans l'attente d'un événement heureux ou intéressant, ils rêvent de bonheur, de changement. C'est précisément ce qui est attirant dans les voyages. Et puis la liberté, l'espace...Le choc de la nouveauté décuple le sentiment de la vie, c'est uniquement cela que nous recherchons dans les émotions fortes."

                                            In La vie d'Arséniev d'Ivan Bounine.

                                            Je ferme les yeux alors et m'enroule comme une boule.

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