Décris-moi un mouton
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Y'a de la joie sur ce bâteau . C'est le moins que l'on puisse dire.
@epinard : quand j'ai commencé à te lire , me suis dit , mais où veut-il en venir ? où va-t-il nous emmener . Jolie performance originale et très amusante! . La moquette te va bien pour faire la sieste ! Si tu pouvais éviter d'en refiler à @ayamé . Ce serait bien . Vois un peu dans quel état ça la met . Dans quel état surtout je vais la retrouver à l'arrivée. Les flics vont nous tomber dessus si ça continue.
@artelise : une plume toute douce , un récit qui captive. Double like pour ma part également
@Leitmotiv : Toi tu devrais écrire des pièces de théâtre. J'ai bien aimé la chute . Double like .
@lissilma : toujours imperturbable, disciplinée, et tellement pleine d'imagination .
C'est pas tout mais faut que je me mette au boulot . En vrai, ça la fout mal pour un capitaine de se la couler douce.
à toute !
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@kachina merci, tant que tu ne coules pas doucement...
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@epinard gardez bien les bouées à proximité . Je vous ai pas engagé pour rien
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C'est pas tout mais faut que je me mette au boulot . En vrai, ça la fout mal pour un capitaine de se la couler douce.
à toute !
Prends ton temps, on est bien installés
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@kachina j'me sens assez bouée en effet.
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@leitmotiv ok j'ai lu le pedigree de la poupée, je suis d'accord elle fait peur.
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Que sont devenues, nos années lycéennes ?, les fêtes clandestines, plus ou moins arrosées
Les plaisanteries des garçons, au niveau du CALECON
Occultants la morale d'un principal blasé
Les journaux intimes, nos sentiments secrets.
La DOUCEUR des retrouvailles, au retour des VACANCES
Les promenades amoureuses sous un même PARAPLUIE
Et rêver l'avenir sous le plus petit chapiteau du monde
Quelle route entreprendre ? Quel destin à ACCOMPLIR ?
ADIEU insouciance, bonjour CONJONCTURE -
Artelise = toujours au top
Leitmotiv le facétieux = toujours un pied de nez ou une pirouette en conclusion, c'est encore un plaisir
Lissilma= toi qui n'aimes pas les films d'horreur tu es douée pour en écrire les scénarios
Epinard = le plus malin d'entre nous
Ayamé= j'aime ta façon de voir la vie et ses petits tracas, toujours avec un humour un peu délirant
Music= elle a une belle silhouette ta dulcinée, mais il ne faut pas abusé d'elle. Toujours aussi bien écrit
Spillway= mêler la conjoncture économique avec la fête à la grenouille ça demande beaucoup d'imagination chapeau!
Mais où est passé Katchina ? -
Coucou la troupe !
@steam-punk Kachina rentre du boulot . Hé! Ho! Hé! Ho♪♪ Cerveau ramollo mais j'ai lu ton texte aux parfums de nostalgie . On se reconnait bien . J'aime beaucoup . Va pour un double like sans hésitation aucune.
PS : J'ai toujours pas mon fil conducteur . J'ai l'impression que ma muse me fait la gueule.
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@kachina AHaah, chacun son tour...!
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Je vous prie de m'excuser, mais je ne ferai pas de commentaire sur vos textes, juste un petit com par ci par là, pour certains ( ce qui ne veut pas dire que je n'ai pas apprécié le texte de ceux que je ne commente pas). C'est juste, pardon, ô pardon, que j'ai la flemme de me creuser les méninges pour trouver les bons mots.
@Steam-Punk : j'ai adoré ton texte, presqu'une petite larme à l'oeil toutefois. J'aimerais tellement que les jeunes d'aujourd'hui connaissent ces merveilleuses années lycéennes que j'ai vécues : elles ont forgé ma joie de vivre que depuis, je bichonne consciencieusement. Double-like : .
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@leitmotiv suis en train de la supplier la mienne . Elle la joue méprisante.
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@kachina
sic katchina "Mauvaise excuse . on t'attend !"
Encore un plagiat
Et oui je suis taquin -
@kachina Comme nous, ta muse doit voir les flammes de l'enfer s'approcher, bienvenue dans la fournaise
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Pfiou j'arrive plus à suivre le rythme
Vous écrivez de sacrés pavés -
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Ca ronfle dur! Je dépose mon texte sans faire de bruit .
Je sais pas vous , mais souvent , sous mon parasol, les pieds en éventail, planquée derrière mes lunettes noires, je m’amuse à observer les gens et me demande pourquoi certains d’entre eux font une sale tête en vacances. En fait , c’est faux. Je ne me le demande pas. Je ne fais que constater leurs airs crispés, dénués de douceur, qui masquent leur visages. Des airs disgracieux qui ne les lâchent pas , qui s’accrochent comme la confiture sur le pain grillé . Je les trouve trop parfaits. Adieu la spontanéité ! On dirait qu’ils ne transpirent pas , qu’ils ne dégoulinent pas de sueur. C’est vrai quoi ! Ni leurs tee shirts , ni leurs caleçons ne sont marqués d’auréoles.
En fait ils ne portent pas de tee-shirts. Même en période de canicule , ils portent des chemises impeccablement repassées, à croire qu’un fer à repasser est intégré dans leurs valises. Et quand la musique incite à la danse, les jupes plissées ne tourbillonnent même pas.Ils gardent toujours la pause au cas où on les observerait . Ils ont bien raison car c’est ce que je fais Je les observe . Ils marchent toujours deux à deux, enlacés, comme sous un parapluie, même pour se rendre au buffet. Ils ne s’extasient pas , ne se ruent pas comme des mouches sur la nourriture . Quand ils s’en approchent, leurs gestes lents, semblent être savamment calculés . On dirait que rien n’est assez bon pour eux. Leurs assiettes à la main , ils retournent à leur table, toujours enlacés .
Moi, j’aimerai bien qu’ils m’expliquent comment ils peuvent avoir une telle maîtrise de leurs assiettes qui ne bougent pas sur une table posée sur un sol en sable. Enfin, installés , les voilà qui commencent à goûter leurs plats, d’une seule main, puisque la deuxième est fermement accrochée à celle de leur alter égo, si alter égo il y a .
En vacances, , il parait qu’il faut toujours avoir l’air amoureux , faire comme si les conflits n’existaient pas et prendre soin de laisser la conjoncture à la consigne de l’aéroport. Des taches pas si faciles à accomplir .
L’extase du voyeur atteint son paroxysme quand ils comprennent qu’on les regarde. Je les provoque d’un sourire amical, ce qui , n’a pour effet que d’intensifier la dureté de leurs traits. C’est fou comme ils respirent le dédain. Nous sommes pourtant les mêmes, des touristes ayant choisi le même endroit, la même période . Mais, non ! eux , se complaisent dans le paraître, se distinguent , se veulent différents .
Lorsque la nuit tombe, que le coucher de soleil éclaire l’océan, leurs visages scintillent aux lueurs des bougies . Ils en deviendraient presque attachants si l’on ne savait pas que leur attitude n’est rien d’autre qu’une parodie de leur vie en vacances.
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Bien vu @Kachina , c’est vrai que le spectacle des gens est toujours surprenant.
@Steam-Punk merci, c’est trop. Je vais m’efforcer à persévérer comme dit Chief Dan George dans le film de Clint Esatwood " Josey Wales "! -
@Leitmotiv @epinard merci , l'humour manque tellement ici bas, mes Doubles
@Artelise trop beau et tendre, et oui vive le respect des anciens (je m'en rapproche ha ha)
je ne peux pas citer tlm, les anciennes vous êtes épatantes, je l'ai déjà dit 1279 fois
@Lissilma bon toi, tu ne joues pas le jeu, tu écris des nouvelles, des romans fantastiques, On devrait reposter ça ds le Kiosque.
Pensez y le Kiosque est ouvert à tout le monde Au delà d'une certaine taille, ça n'est plus du tout l'esprit de ce jeu, vous entrez dans autre chose, j'ai vécu la même chose il y a des mois, on m'a prié de poster ailleurs, ... et c'était une bonne idée, une bonne solution
bon faut que je m'y remette avant d'être débarqué, ...
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@delnis a dit dans Décris-moi un mouton :
Au delà d'une certaine taille, ça n'est plus du tout l'esprit de ce jeu, vous entrez dans autre chose,
Je suis d'accord avec toi : l'esprit de ce jeu, c'est un texte pas trop long et l'idée du kiosque à nouvelles est excellente pour les textes qui sont de petites nouvelles qui y ont tout autant leur place que les grandes .