Vos réactions sur l'actu
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@Jabba-the-Hutt Des amis pour la vie apparemment. Mon père a gagné ça pendant son service en tout cas.
Mais bon ce n'est pas un argument décisif pour l'imposer.
@pompon C'est mixte maintenant. Du coup c'est pas fait pour apprendre à être un homme.
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Suite au maintien de la participation d'Israel à l'Eurovision les diffuseurs de l’Espagne, des Pays-Bas, de l’Irlande et de la Slovénie ont décidé de boycotter le concours cette année.
L'Espagne a notamment justifié sa décision par le fait que la Russie avait été exclue du concours suite à l'invasion de l'Ukraine et que ne pas faire de même pour Israël revenait à faire des différences de traitement.
"La situation à Gaza, malgré le cessez-le-feu et l'approbation du processus de paix, ainsi que l'utilisation du concours à des fins politiques par Israël, rendent de plus en plus difficile le maintien de l'Eurovision en tant qu'événement culturel neutre", a réagi le secrétaire général de la chaîne de télévision publique espagnole RTVE, Alfonso Morales.
Israël a été accusé d'ingérences et d'instrumentalisation politique du concours. -
@icescream enfin des européens qui ont de la morale !
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@icescream Quand on voit le résultat du vote du public 2025, on voit bien que la sincérité du scrutin n'a pas été respectée. Le seul pays qui n'avait pas mis Israël dans son top 3 était la Pologne, et c'est également le seul pays d'Europe où, si on veut acheter une carte SIM, il faut décliner son identité.
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@icescream a dit dans Vos réactions sur l'actu :
Suite au maintien de la participation d'Israel à l'Eurovision les diffuseurs de l’Espagne, des Pays-Bas, de l’Irlande et de la Slovénie ont décidé de boycotter le concours cette année.
L'Espagne a notamment justifié sa décision par le fait que la Russie avait été exclue du concours suite à l'invasion de l'Ukraine et que ne pas faire de même pour Israël revenait à faire des différences de traitement.
"La situation à Gaza, malgré le cessez-le-feu et l'approbation du processus de paix, ainsi que l'utilisation du concours à des fins politiques par Israël, rendent de plus en plus difficile le maintien de l'Eurovision en tant qu'événement culturel neutre", a réagi le secrétaire général de la chaîne de télévision publique espagnole RTVE, Alfonso Morales.
Israël a été accusé d'ingérences et d'instrumentalisation politique du concours.
L'Eurovision se doit d'être apolitique. Du moins, ça devait l'être dès l'origine.
On a hélas perçu une dérive de 'copinage' entre pays limitrophes, ou d'intérêts économiques.
Ces dernières années chaque événement politique majeur a pris en otage cette émission qui devait être un spectacle multiculturel .Chaque pays n'ayant pas la prérogative de modifier le règlement unilatéralement, ils se sont accaparés le pouvoir de se rebeller, et pour manifester leurs désapprobations.
A l'instar d'une grève, en somme
C'en est donc fini de l'éthique de cette exhibition musicale.
Triste spectacle européen

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@Cygoris a dit dans Vos réactions sur l'actu :
L'Eurovision se doit d'être apolitique.
ouais et l'Eurovision se doit d'être EUROpéenne.
donc l'un dans l'autre, ils ont rien à y faire. -
Tous les pays membres de l’Union Européenne de Radio-Télévision l’UER peuvent participer au Concours Eurovision.
Depuis l’élargissement de l’UER à partir de 1990, les pays d’Europe centrale et de l’Est autrefois regroupés au sein de l’Intervision peuvent eux aussi participer.
Il s'agit de la plupart des pays européens et de quelques pays du bassin méditerranéen non-européens.
Parmi eux, Israël a longtemps été le seul à participer régulièrement au concours, et depuis les années 2000, il a été rejoint par la Géorgie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan.
Le spectacle étant très apprécié en Australie, le pays est autorisé à participer au concours depuis 2005 en tant que «membre associé de l’UER».

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@Cygoris Don't care, ils sont pas européens, pas plus que les australiens. Et si faut dégager la Géorgie, l'Arménie et l'Azerbaidjan, qu'on le fasse.
Sinon organisions un Mondovision et invitons tout le monde. Là j'men taperais. -
@Kallindra a dit dans Vos réactions sur l'actu :
Sinon organisions un Mondovision et invitons tout le monde.
On en est pas loin

EBU (= UER) 2013 -


️










🅽🅹
🆄🆁,
Hornet


J'ai, voyez-vous, une réaction à la fois horrifiée, méprisante et dégoûtée, vis-à-vis de "l’instrumentalisation du chef d’état-major des armées à des fins politiques !!!"
(Je cite) :
"Les évènements se bousculent dans une actualité dense et anxiogène, alimentant un débat public qui devient manichéen, caricatural, outrancier, voire violent.
De ce climat détestable naissent sistématiquement des polémiques qui agravent maleureusement la coésion et le moral du pays dans un moment dificile.
L’intervention du chef d’état-major des armées (CEMA) au congrès des maires de France et la polémique qu’elle a provoquée ilustrent parfaitement cette dérive. Mais nos dirigeants, au plus haut niveau de l’État, par leur conception du pouvoir, leur manipulation des institutions ou des problèmes à régler, leur déni des réalités, leur propension à diviser les Français pour survivre, n’en sont-ils pas...
Les premiers responsables ?Si l’intervention du CEMA, inhabituelle dans un tel contexte, suscite légitimement des questions, ce n’est finalement pas tant pour les propos tenus que pour sa présence dans une telle instance. Le CEMA était, à l’évidence, en mission commandée et donc instrumentalisé par le pouvoir politique !
... Ce faisant, n’est-il pas sorti de son domaine d’atributions, son discours ayant une portée politique indéniable qui relève des prérogatives, au minimum, du ministre des Armées sinon du Premier ministre ou du président de la République ?
Alors ???
Pourquoi a-t-il accepté de se sacrifier et d’aller à l’abattoir si on s’en tient aux réactions et polémiques engagées contre son intervention, à peine trois mois après sa prise de fonctions ?Il peut être utile, avant d’aborder ces interrogations, de rappeler le sens de cette notion d’instrumentalisation.
En effet, "instrumentaliser une persone", signifie "l’utiliser come un moyen pour ateindre un but personel, souvent en détournant ses intentions." Cela implique une forme de manipulation où cette personne est considérée come un instrument pour des fins utilitaires. En d’autres termes, cela se traduit, dans le cas présent, par l’utilisation du CEMA par le pouvoir exécutif – le président de la République "soi-même et en personne" ! - à des fins personnelles et politiques qui ne tiennent pas compte de la fonction et du statut du général pour remplir une tâche qu’il refuse d’assumer lui-même, cette fois en raison d’un rejet de sa politique, voire de sa personne par une grande majorité de Français.Son absence cette année, alors qu’il intervient habituellement en ouverture ou en clôture de ce congrès, s’inscrit dans un contexte politique très tendu. C’est bien là la véritable source de la polémique qui a enflammé le débat public. "L’instrumentalisation des armées" en la personne du CEMA, et donc la politisation de nos forces armées au service de la politique politicienne est le seul levier qui reste, semble-t-il, au pouvoir exécutif pour continuer à exister à un moment critique sur le plan intérieur...
Le Gouvernement n’étant pas certain de ne pas être renversé d'ici à la fin de l’année !S’agissant du discours prononcé par le CEMA, hormis le fait qu’il est dans son rôle lorsqu’il évoque la nécessité de développer l’esprit de défense, de renforcer le pacte armées-nation, de préserver la cohésion de la nation et la solidarité, d’évoquer la situation internationale et les menaces à prendre en compte, son propos n’en demeure pas moins globalement très politique sur la forme et sur le fond.
À l’évidence, même s’il était officiellement invité par le président des maires de France, c'est, en réalité, le président de la République qui l’a chargé d’intervenir à ce congrès.
... C’est d’ailleurs la répétition de la conférence de presse tenue par son prédécesseur, le général Burckard, 48 heures avant le 14 juillet dernier. Dans les deux cas, nous assistons – ce n’était pas le cas jusqu’à présent – à l’utilisation, à l’instrumentalisation, à la politisation du CEMA au service de la propagande élyséenne qui focalise toute son action et son énergie sur le dossier Ukraine/Russie ; et qui insiste sur le danger que représente la Russie, *alors qu’à aucun moment n’est évoquée la véritable menace mortelle de nos démocraties qui pèse sur l’Europe et en particulier sur la France, à savoir l’islam conquérant et violent par le biais d’une immigration invasive.
Un tel déni de la menace existentielle qui met en grand danger l’avenir des Français est simplement hallucinant et est donc déplorable et coupable. !!!Cela dit, dans les deux cas, des ambigüités, des maladresses ou des contradictions doivent être notées.
En effet, s’agissant de la guère Ukraine/Russie, le général Burckard affirmait qu’elle est existentielle pour la Russie alors que le président de la République affirme, lui, qu’elle l’est pour l’Europe, niant ainsi l’argument sécuritaire des Russes face à l’OTAN et occultant le fait qu’il avait affirmé lui-même, en 2022, en privé, que l’OTAN était responsable du déclenchement de cette guerre. Cette notion de guerre existentielle pour l’Europe, revendiquée par le Président, ne semble pas avoir été reprise littéralement par le général Mandon, comme par son prédécesseur. Nos chefs militaires seraient-ils plus prudents dans l’approche du traitement délicat de ce conflit ?
N’y aurait-il pas un point de divergence, voire de désaccord avec le chef de l’État, même s’ils se prêtent au rôle de relai de son discours guerrier et de préparation des esprits ?C’est de toute façon cohérent avec leurs fonctions et avec le principe sage "si vis pacem, para bellum" !
C’est, en effet, l’intérêt des armées d’obtenir des budgets adaptés à leurs missions, budgets ayant, depuis la fin de la Guerre froide, servi de variable d’ajustement dans les budgets de l’État successifs pour passer scandaleusement de 3,5 % du PIB en 1990 à 1,2 % à la fin de la présidence Hollande, en 2017. Les 2 % atteints pour 2025 ne permettent cependant pas à nos armées d’être engagées dans un conflit de haute intensité !!!Il faut, par ailleurs, souligner une autre ambigüité ou contradiction majeure lorsque est invoquée, à juste titre, la cohésion nationale qui représente le cœur, le centre de gravité du pays, car il constitue "l’élément-clé" qui fonde la résilience de la Nation. Ce devrait donc être une force qui contribue à affirmer la volonté de se défendre lorsque la situation l’exige. Mais en tenant ce plaidoyer, nos chefs militaires se rendent-ils compte du décalage de leur propos avec la situation réelle du pays ? Sont-ils conscients des ravages causés à notre cohésion nationale, en voie de délitement, par une immigration de masse et hostile, incontrôlée et favorisée sinon organisée par l’Union européenne et acceptée par nos dirigeants coupables ?
Par l’acquisition régulière et trop laxiste de la nationalité française depuis des décennies par des populations de cultures incompatibles avec la nôtre, la nation est en train de se fracturer, d’exploser car gangrenée par un comunautarisme islamique qui vire au séparatisme conduisant, (à "bas bruit"!), à la colonisation de notre pays.
Encore une fois, la vraie menace existentielle est celle-là qui affaiblit et met en danger notre cohésion nationale et pourrait inhiber notre capacité de réaction et notre volonté de nous défendre. La cohésion nationale répond à un besoin vital pour tout pays, pour tout peuple et requiert donc une certaine cohérence interne contraire à l’hétérogénéité d’une société. Sans cohésion nationale qui repose sur son passé historique, sur sa mémoire et sur un degré élevé d’homogénéité de la société, un peuple ne saurait avoir un avenir apaisé.
Cette immigration est en train de tuer la France !!!Quant aux maladresses de langage, il est impératif dans un tel exercice dont l’objectif doit, malgré la nécessité de présenter la situation du pays, désormais peu enviable, et d’exposer les menaces qui pèsent sur notre pays, viser à donner quelques signes d’espérance aux Français.
Le choix des mots est donc très important en fonction de l’auditoire auquel le propos s’adresse, ici les Français à travers les maires de France. Or, il faut bien admettre que lorsque le CEMA déclare que "nos soldats tiendront s’ils sentent que le pays est derrière eux" (…). Mais s’ils sentent que le pays n’est pas prêt à perdre ses enfants (…), alors nous sommes en risque", il participe et renforce le climat anxiogène qui règne aujourd'hui dans notre société ayant perdu toute confiance en l’avenir et moralement fragilisée.
"Perdre ses enfants" sont des mots inhumains et terriblement angoissants pour des parents qui reçoivent le discours guerrier omniprésent d’un Président belliciste qui veut exister après la perte d’une partie de son pouvoir consécutive à la dissolution de l’Assemblée nationale.
Après la polémique créée par ce propos, un démenti a rapidement été diffusé par les autorités, évoquant une mauvaise interprétation, le terme "enfants" devant être remplacé par celui de "militaires".
Il n’en demeure pas moins que ces mots sont angoissants, mais également ambigus dans le contexte présent, car le CEMA s’exprimait pour le Président et on peut penser qu’ils ont été validés, voire choisis par ce dernier.
Cela est, d’une part, conforme à la conception que se fait le Président du pouvoir :
"diriger le pays par la peur"!!!
... L’expérience de la Covid a été une réussite, il n’y a donc pas lieu de changer de méthode. Propos ambigus, d’autre part, car le projet de service national volontaire s’invitait curieusement dès le lendemain du discours du CEMA, sans débat préalable et dans ce contexte de guerre potentielle avec la Russie.
Cela ne pouvait que renforcer la crainte et l’angoisse des Français. La précipitation et le contexte de cette annonce laissent cependant à penser qu’il s’agit, à ce stade, d’une opération de communication du Président pour tenter...
De "reprendre" la main...
Qu’il n’a plus !Enfin, cette guerre qui n’aurait jamais dû avoir lieu est une guère États-Unis/Russie par procuration.
Par ailleurs, le Président Hollande (entre 2015 et 2017) et le Président Macron (entre 2017 et 2022) n’auraient-ils pas dû tout faire pour honorer la signature de la France...
Notre pays étant garant de l’aplication des acords de Minsk ? De plus, la France, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, présidait l’UE au cours du premier semestre 2022, ce qui lui offrait l’oportunité de "marquer l’Histoire" en organisant, avant même le déclenchement armé de ce conflit, une conférence pour la pais au lieu de suivre aveuglément les États-Unis, premiers responsables de cette guerre. Le Président français n’a-t-il pas raté un rendez-vous historique qui aurait pu changer les choses et bénéficier grandement à la France et finalement à l’Europe tout entière ? Aujourd’hui, alors que militairement l’Ukraine a déjà perdu cette guerre et que le Président américain présente son plan de paix, l’Union européène (UE) s’entête à alimenter ce conflit en versant à l’Ukraine des dizaines et des dizaines de milliards à fonds perdus et à accepter des centaines, voire des miliers de morts chaque jour qui passe !!!D’autre part, le Président français qui se veut le chef de file d’une coalition des volontaires béliqueuse – dont très peu des participants seraient au demeurant capables de fournir des troupes – cherche à imposer ses conditions qui ne seront jamais prises en compte par la Russie.
Cela dit, il devient urgent que la France redevienne une puissance d’équilibre – ses responsabilités internationales comme membre du Conseil de sécurité l’y invitent fortement – pour être acteur de paix, plutôt qu’acteur de guerre; et ses dirigeants se doivent d’euvrer dans l’intérêt de la France et des Français.
Cette guerre n’est pas la nôtre.L’intervention du CEMA au congrès des maires de France à la place du président de la République, dans le contexte politique très tendu et anxiogène que connait aujourd’hui notre pays, notament depuis la dissolution, ne peut être comprise que comme le refus de ce dernier d’afronter les nombreus élus présents alors que la situation du pays, dans tous les domaines, est plus que préocupante, qu’il n’a toujours pas de budget pour 2026 et que le Gouvernement n’est pas sûr de passer l’anée.
En "instrumentalisant" le CEMA – et à travers sa personne, les armées elles-mêmes – il crée une situation dérangeante pour les maires et pour le CEMA qui n’a pu que s’exécuter et instiller la peur pour neutraliser et soummetre les opositions.Instrumentaliser ainsi politiquement cette institution régaliène n’est pas convenable, car il faut rapeler que nos forces armées ne doivent pas être politisées car elles exercent un sacerdoce, avant tout, au profit du peuple qu’elles sont chargées de défendre et de protéger, quels qu’en soient d’ailleurs ses représentants. C’est le sens même de l’existence des armées :
Et le président de la République n’a pas le droit de faire peur à la Nation, come il n’a pas le droit, non plus – il n’a pas été élu pour cela !!! – de laisser notre pays être envahi par une imigration hostile qui, elle...
Conduit à la guerre sur notre propre sol !"(Fin de citation) :
Grand merci
Pour votre aimable attention :
Et excellent samedi !!! -
Sans transition, je découvre que "la France est la championne d'Europe de la mort au travail"
source : Frustration magazine -
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Il n'y a que moi qui trouve que ça ne présage rien de bon pour le futur du cinéma ?
Même si Netflix rassure sur certains points... comme l'indépendance Warner/Netflix, maintien des sorties en salle, mais moins longtemps (ah ah).. j'y crois pas du tout.