La ville où a été filmée une célèbre scène du drama est victime du succès de la série..
On parle bien, ici, d'une série coréenne, censée de dérouler en Corée du Nord... ^^
... Et la ville est ... en Suisse !
Sinon, j'avoue que j'hésitais à la regarder cette série.
Les montagnes russes émotionnelles, ça ne me surprend pas. J'ai l'impression que c'est vraiment leur fort, aux coréens ! Il n'est pas une série que j'ai pu regarder jusqu'à présent qui ne parvient pas à mêler habilement humour, émotion, action, romance et réflexion ! A des dosages différents évidemment selon le thème de la série.
Depuis quelques semaines seulement.
J'ai mis le doigt dans cet univers en regardant :Alchemy of souls. Puis, j'ai continué dans un genre plus contemporain en visionnant the extraordinary Attorney Woo. J'ai ensuite voulu voir ce que donnait un mélange de contemporain et de fantastique avec : Mystic Pop up Bar, avant de revenir à une série de fiction historique avec King's affection... ). La dernière série que j'ai vu en entier, c'est Mr Queen (mais j'ai pas encore eu le temps de lui consacrer un sujet). Et je suis en train de regarder la très émouvante série Tomorrow.
pour les mp, il n'y a que ceux admis dans la section VIP qui peuvent en envoyer et en recevoir.
Je ne connaissais que Take me to church et encore sans savoir de qui c'était donc déjà merci de m'avoir éclairé, les autres titres postés ici sont agréables à écouter
Voilà ! c'est exactement ce que je m'apprêtais à dire !
je suis tout à fait d'accord avec toi.
Je pense que c'est d'abord et avant tout lié à notre capacité à nous accepter pleinement tels que nous sommes avec nos qualités et nos défauts... et surtout, avec nos différences. Car en réalité, avec du poil au pattes, être gros(se), maigre, grand(e), petit(e), etc. ou avoir des oreilles qui nous mettent mal à l'aise.. avant que ce soit perçu comme un "défaut" par soi-même et/ou par les autres, c'est d'abord et avant tout quelque chose que l'on perçoit comme une différence.
Or, on ne nous apprend pas forcément à accepter les différences (les nôtres ou celles des autres). On a besoin, c'est humain, de se sentir appartenir à quelque chose de plus grand que soi pour se sentir accepté et aimé. Et il suffit de peu, parfois, pour perdre ce sentiment d'appartenance et la confiance qui va avec.
Je pense qu'il est possible de faire un travail sur soi pour améliorer ce rapport difficile que nous avons avec nous-même et tenter de mieux nous accepter nous-même, même avec ce que nous percevons de différent / comme un défaut / une mochitude chez nous. Mais je pense aussi que cela à ses limites et que finalement, plutôt que de chercher à ne plus avoir de complexe, il faut parfois apprendre à vivre avec.. puisque, d'une certaine façon, ça fait aussi parti de nous-même, de notre personnalité, de ce que nous sommes. Tant que le complexe en question ne nous empêche pas d'être heureux(se).
J'ai toujours considéré le vin comme une sorte de bonus pour accompagner un bon repas ou pour fêter un évènement. Un bon vin, reste donc, pour moi d'abord et avant tout un vin qui va bien se marier avec ce que l'on mange. Ceci dit, j'ai pu constater, au fil des années que j'avais tendance à préférer les vins rouges fruités et rond, qu'ils viennent de Bourgogne ou de la région bordelaise. J'aime les vins blancs et les rosés lorsqu'ils sont légèrement sucrés. Quant aux pétillants, c'est un peu la même règle : j'ai du mal à apprécier ceux qui sont qualifiés de "sec".
A noter aussi que j'aime les vins rouges lorsqu'ils ont eu le temps de vieillir un peu. C'est d'ailleurs l'un des critères qui guideront mon choix lorsque je vais acheter une bouteille de vin rouge : son âge.
J'ai conscience, ensuite, qu'une bonne bouteille va beaucoup dépendre de son terroir d'origine et son millésime. Mais là, j'avoue manquer d'informations utiles pour faire un choix pertinent. Je me fie donc souvent aux noms que je connais un peu pour les avoir goûté et souvent apprécié.
J'aime souvent les St Emilion ; Les châteaux-neuf du pape; les chablis ; les Montbazillac, les Prosecco.
La meilleure bouteille que j'ai eu en main : un Croze l'hermitage - si mes souvenirs sont bons, c'était un noble rive de 1998 (On me l'a offerte en 2005)
C'est une chose que je craignais aussi.
D'ailleurs, j'avais fait savoir à Mnemmeth que je craignais ne plus trouver de plaisir à regarder l'émission si c'était Jarry qui se retrouvait aux commandes.
Mais je lui ai laissé sa chance et je trouve qu'il ne s'en sort pas trop mal. J'aime plutôt bien l'ambiance qu'il arrive à générer sur le plateau.
Niveau complexes, j'ai longtemps été "gâtée".
Je n'ai jamais eu un physique disons "avantageux" et j'ai longtemps été la proie des médisances et des moqueries (poils aux pattes, surpoids) et mon psoriasis a rajouté une jolie dose de méfiance et de dégoût de la part de mes camarades de classe. J'étais par ailleurs du genre "timide" et "réservée" et j'ai naturellement développé un cruel manque de confiance en moi.
Mais le pire, en vrai, ce n'était pas tellement mes camarades de classe. Le pire, c'était ma propre soeur qui se moquait de moi et me mettait à l'écart. Quand elle ne m'accusait pas d'hypocrisie (parce que pour elle, mon côté calme et gentil c'était quelque chose de calculé de ma part, pour que nos parents la trouve, par comparaison, méchante), elle m'accusait d'être la honte de la famille. ^^ Quand elle a commencé ses études d'infirmière et qu'elle a suivit quelques cours de psychologie, elle m'a "diagnostiquée" comme étant "hystérique"..
ça a longtemps pesé sur mon mental et la façon que j'avais de me considérer moi-même. Il m'a fallut des années (et un millier de kilomètres) pour me libérer de mes doutes et de mes complexes.
Enfin, je parle de libération, mais... certes, je ne crains plus d'aller à la piscine / plage sans m'être rasée au préalable. Nafoute de celles et ceux que les poils rebutent. Mais, je porte toujours des jupes extra-longues ou des pantalons... je trouve ça confortable et joli.. mais je ne pourrais pas réfuter catégoriquement l'idée que je cherche encore, inconsciemment, à cacher mes jambes.
Et pour le manque de confiance en moi... j'assume bien mieux, surtout depuis que j'ai comprit certaines choses à mon sujet .. mais j'avoue rester fragile à ce sujet.
Tablequest : mon fils aime beaucoup. Je ne sais pas comment il est tombé dessus, mais c'est grâce à leurs facéties qu'il a eu envie de tenter l'aventure du jeu de rôle et que je me suis retrouvée propulsée MJ... (faut que je fasse avancer mon scénario d'ailleurs ^^)
C'est une bonne question. Mais honnêtement, j'avoue que c'est un univers qui m'horripile tellement que c'est limite épidermique.
Top chef est la seule exception.. sans doute parce que l'émission, bien que cataloguée dans la catégorie "télé-réalité" reste centré sur la cuisine et la gastronomie et non pas sur la vie (celle qu'on veut bien nous vendre et nous montrer) des candidats.
Mystic Pop up Bar est une série télévisée sud-coréenne (K-drama) basée sur un webtoon (Twin Tops Bar). Elle a été diffusée sur JTBC entre le 20 mai et le 25 juin 2010. C’est une comédie dramatique fantastique*. Il faut y rajouter, également une touche de romance.
Fantastique parce qu’elle met en scène des phénomènes surnaturels et fantastiques ; mais aussi parce que, de mon point de vue, elle est fantastique.
Les acteurs principaux sont Hwang Jung-eum, Yook Sung-jae et Choi Won-Young.
La série compte une saison de 12 épisodes.
Le postulat de départ prend racine dans la culture coréenne animiste. Dans cette série, on part du principe que les esprits existent et que la réincarnation est une réalité concrète.
Dans le premier épisode, on fait connaissance avec Weol-ju et Guibanjang. Ensemble, ils gèrent un bar éphémère. Très vite, on comprend que Weol-ju a pour mission d’apaiser les griefs / rancœurs / regrets de 100 000 personnes. Pour parvenir à remplir sa mission, Weol-ju utilise son don : elle a en effet le pouvoir d’entrer dans le monde des rêves et d’influencer, par ce biais, l’état d’esprit de ses clients ou de ses « victimes ». Reste alors aux gens à concrétiser dans la vie réelle ce qui reste à accomplir pour avancer et changer ce qui doit être changé.
Ça fait 500 ans qu’elle y travaille, il lui reste une dizaine de cas à régler mais, d’une part, le temps qui lui a été accordé arrive à son terme et d’autre part, il s’avère que c’est une mission de plus en plus difficile à remplir. Les gens se confiant de moins en moins facilement, que ce soit par méfiance, prudence ou, le plus souvent, par pudeur.
C’est alors qu’elle croise le chemin de Kang-Bae qui est doté (pour son plus grand malheur), d’une capacité qui pourrait s’avérer bien utile à Weol-ju. En effet, il suffit qu’il touche une personne pour que cette dernière se confie à lui, lui faisant part de ses peines, souffrances et doléances. Weol-ju décide alors de mettre tout en œuvre pour qu’il entre à son service…
Mais, bien évidemment, la série ne se contente pas de mettre en scène une série de situations qu’il faut aider à résoudre, l’histoire est plus complexe que cela. Et au fur et à mesure que l’on fait connaissance avec les personnages et leur histoire, on découvre une histoire d’amour complexe sur trame des destins croisés.
Mon avis :
C’est une très belle série.
Les personnages que l’on pourrait croire très caricaturaux au départ, sont en réalité assez complexes. Et si l’histoire des personnages principaux restent toujours au cœur de la série comme une sorte de fil rouge, on se rend vite compte que les scénaristes gardent malgré tout à cœur de dénoncer certaines situations sociales et comportements typiques de la société coréenne, encourageant son public à faire bouger les choses. Autre atout : les épisodes se suivent mais ne se ressemblent pas. Il y a de l’humour, de l’action, de l’émotion, le tout dosé de belle manière.
Atout bonus : c’est une rencontre inattendue avec la gastronomie coréenne.
Une belle série donc, que je qualifierais, s’il s’agissait d’un livre, de « feel good ».
ah lol... voilà ce que c'est que d'essayer de participer aux sujets du forum et d'écrire, en même temps, un article sur la dernière série que j'ai regardé. ^^