Bravo pour l'implication ! Chapeau bas !
Dans le cadre de mon métier, c'est quotidien.
Anne, ma soeur Anne, ne vois tu rien venir.... Résonne dans ma tête, à chaque seconde de ma vie.
Bravo pour l'implication ! Chapeau bas !
Dans le cadre de mon métier, c'est quotidien.
Anne, ma soeur Anne, ne vois tu rien venir.... Résonne dans ma tête, à chaque seconde de ma vie.
@Egon a dit dans Blackwater :
@Astyanax Bon, bah ça me donne envie de passer mon chemin.
Je peux vous recopier les deux premières pages, si vous le souhaitez.
Série littéraire
@Doc-Cranium a dit dans Que lisez-vous en ce moment ? :
Quelqu'un ici connaît la série Blackwater de Michael McDowell ?
Je devais vous faire un rapide retour, je le fais...
En essayant de ne rien spoiler.
Je le conseille à tous les amateurs de Bridgerton et autres intrigues de familles bourrées de fric. Et à ceux qui rêvent d'un mélange de fresques familiales et de fantastique... Faut aimer les descriptions et en même temps... Il faut accepter des personnages sans personnalité profonde.
Bon, là, les familles prennent l'eau ; départ de l'oeuvre suite à une crue phénoménale.
Je ne suis pas allée jusqu'au bout. Autant, j'adore l'épopée familiale sur des générations avec des coups de pute, et des conversations à batons rompus... Autant, là, j'avais la fâcheuse impression de lire le scénario d'une série adolescente. Ce qui n'est pas si idiot car Mcdowell est scénariste.
Je ne l'ai pas lu dans la langue originale, mais l'écriture est moins crispante et légèrement moins plate qu'un roman-fleuve romantique. On sent les effets, quelques éléments qui laissent dans l'attente ; pas assez pour me retenir. On tourne un peu en rond, les dialogues sont évidés.
Le début est pas mal. J'ai tenu une centaine de pages, et j'ai préféré m'attaquer à d'autres mondes modernes...
Absolument adorable et impromptu.
J'allais souvent en club, et je me souviens des soirées entières dans les fumoirs avec des inconnus.
Ton message était sacrément chaleureux, drôle, et pointu. Cela me fait penser au bouquin que je lis actuellement : L'Homme qui danse de Victor Jestin. Sauf que tu étais dans une quête bien différente.
Au fond tout ces gens rêvaient de quitter cet endroit. La boîte n'était que leur lieu de passage, leur lieu de chasse. Il suffisait de les regarder pour le comprendre. La plupart se fichaient de la danse, cela se voyait dans leurs yeux, dans leurs corps pressés ; ils ne pensaient qu'à trouver quelqu'un et s'enfuir avec. Dans leur urgence à jouir il ne profitaient de rien, bâclaient la fête pour vite conclure, coucher, se délester de leur désir. J'aurais voulu les retenir, que la nuit ne se termine jamais, qu'une sorte de lave ou de brume entoure la boîte et nous force tous à y faire notre vie, à y dormir, à y rester.
Mais...
Je parlais des clubs proposés par les membres ici-même quelques messages plus tôt : lecture, trucs, trucs, trucs. Je te rattrape au fond du ravin, n'aie crainte.
Aller au club seule, je ne sais pas si j'oserais. J'attends de voir si j'attrape quelques personnes avec mon exotisme de planquée.
Merci à tous pour ces messages qui réchauffent le coeur. Qui ressemble assez loin à un vieux mouchoir dégueulant de morve.
Je vous lis ; je médite.
Je n'arrêterai pas d'écrire dans les bars ; le monde m'inspire, même s'il me laisse pour le moment, la tronche contre le sol. Je me place moi-même dans cette situation, étant réservée comme tout.
Je tenterai les clubs ; j'avais essayé jeune... J'étais sacrément mal à laise.
Comme dit Bertrand Cantat :
Elle se penche parfois de son nid d'hirondelle
Daigne me recevoir, ne me laisse pas de place pour m'asseoir
Bref, merci.
J'ai compris pourquoi j'étais ignorée de mes collègues. Les bruits de couloirs, et puis, je suis arrivée durant une conversation qui mettait en avant que je travaillais trop, que j'étais corvéable à merci, que je m'amusais un peu trop à jouer la psychologue de comptoir auprès des élèves. Que je n'étais pas à ma place.
Cela me fait souffrir. Je vais essayer de rencontrer du monde. Mais où ? Je vais fréquemment dans les bars pour lire, écrire. Je n'ose pas forcément aller vers les inconnus. Parfois, je me fais draguer par des garçons bourrés. Se faire des amitiés à 30 ans... est... délicat...
Je vais éponger ma peine en vous lisant ce week-end !
@Elenwey Merci à toi.
Il y a une semaine. Je n'ai jamais eu de réponses.
Je vais suivre vos conseils ; je pense malgré tout être devenue le mouton noir de la bande.
Merci à tous.
Je suis un peu particulière. Je n'ai pas encore tous les codes sociétaux. Je lis trop, et les conversations basiques ne me sont toujours pas familières.
Nous avons un groupe whatsapp pour les sorties entre collègues. J'ai lancé une invitation, faisant un grand effort...
Je n'ai reçu aucune réponse. Je me sens isolée. Et con d'avoir cru être presque intégrée au bout de quatre ans.
@Lazare , merci de cette découverte. J'ai une inclination également pour la robotique et les romans liés à cette thématique.
Je peux désormais rester des heures devant :
Grown up "Lookout tower".
Cela dépend.
Souvent, j'essaie de me rassurer en me disant qu'il n'existe pas véritablement de choix cornélien. Qu'il est possible de combiner les deux possibilités sans trop en rogner une.
Sinon. Je me lance. Je déteste perdre du temps et des nerfs. Un peu à l'aveugle.
Episode 2 vu.
Alors, je comprends que l'on campe les personnages. Mais j'ai trouvé vachement chiant.
Aucun frisson. Je n'ai même pas été caressée par le souffle épique...
Les bunkers... Après avoir regardé le film The Divide de Xavier Gens, je n'ai pas arrêté d'emmerder mes collègues pour faire des pronostics sur qui crèverait en premier, comment.
J'en profite pour conseiller ce film aux amateurs d'oeuvres dérangeantes et crasseuses.
Je prends 1000 bouquins — j'espère avoir le temps du moins de les prendre avec moi —, mon lecteur mp3 qui tient encore la route, deux flingues, une hâche — j'aime bien couper des têtes dans Left 4 dead —, un vibromasseur, des jeux "solos". J'aimerais être seule pour être sûre de ne pas avoir à tuer l'autre.
Ou je reste dehors, et je survis. Une minute.
A la fois énigmatique et profondément criant de souffrance.
Insomniaque ici aussi.
Et... Tant pis. J'ai appris à vivre avec. J'ai l'impression de vivre deux fois plus que les autres, car la nuit, je dessine, j'écris, j'écoute des podcasts, je regarde des films, je lis. La journée, je suis crevée, mais je tiens.
Je risque peut-être de mourir jeune, mais tant pis ! Je prends le pari que j'aurais vécu pleinement.
On mangeait des épinards ; je n'aimais pas les épinards. Manque de bol... Je n'aimais pas non plus ma glace...
J'avais fait l'effort de manger le quart de chaque aliment, puis j'ai tout replacé convenablement dans une assiette.
On m'a forcée à manger la bouillie.
Avez-vous trouvé un moyen de regarder la série sans vous abonner à OCS ?
Je n'ai pas vraiment envie de me faire happer avec une semaine gratuite puis 11.99 euros ! Je n'ai pas regardé les termes.
Sinon, j'attendrai que la fièvre passe.
Intéressée donc par la série, même si la maison des Targaryen me laisse un peu de marbre. Les dragons... De même. Mais je vais évidemment me laisser avoir par l'esthétique et la musique épique.
Je serai ta némésis de message.
Anecdote d'une randonnée non voulue.
Dans une forêt en Seine-et-marne. J'accompagnais un monsieur touché d'Alzheimer. Il était certain de son chemin, il l'avait fait plusieurs fois. J'avais confiance en lui.
Depuis ? Et moi ? La randonnée ? Non. Sportive ? Non.
Attention aux éléments de langage qui globalisent le propos et en font une forme de vérité générale...
" Quoiqu'on en dise".
Quand on évoque les "petits dealers", "des voleurs", il s'agit finalement d'une sorte de contrepied avec les arguments adverses qui maquillent la réalité en prison en mettant uniquement en avant les profils qui font froid dans le dos. Personne n'a soulevé que ce "n'était rien".
Pensant comme certains sur ce topic, je ne vais pas culpabiliser de ressentir de la compassion pour les incarcérés. Cela ne signifie pas que je ne ressens rien pour les "victimes". "Vous n'avez pas le monopole du coeur."
@kallindra a dit dans Quel est le dernier film que vous avez vu ? :
vu Dune hier soir
Idem. Grande claque esthétique.
Avec une musique typée Dead can dance. Le bonheur.