@leo a dit dans Le poids des apparences :
un handicap est-il représentatif des comportements de l'espèce ? Je sais que nous vivons dans un climat d'idéologie des minorités et des individualités uniques, particulières et spéciales, mais si nous partons sur ce terrain arrêtons tout de suite la discussion à "aucune discussion ne peut avoir lieu sur les goûts", c'est plus simple... Fin de tous les sujets de ce type.
Pour ceux que j'ai connu, ils étaient vraiment loin, très loin de l'accès au marché de la séduction. (Merci de ne pas prendre ce terme pour une horrible marchandisation de belles âmes pures et affectueuses. Les foules sentimentales ont beau avoir soif d'idéal, elles vivent le réel et le font vivre aux autres).
Peut-être que nous sommes, ici, des minorités, des individualités uniques, particulières et spéciales. Peut-être pas. Et c'est peut-être cela, que nous discutons. J'apprécie les contre-exemples. Jonesy en propose un, je trouve, intéressant. Elle ne brandit aucun combat.
Si tu souhaites des arguments nietzschéens, hégéliens, sur l'apparence même... Il faut le dire, le demander de manière plus claire. Si l'on peut considérer que les philosophes ont le souci de l'objectivation suprême. Peut-être voulais-tu dire : Abstraction ? Si nous restons dans la pure philosophie, et que je mets mon grain de sel, je vais commencer à discuter chaque mot, et dévier. Les notions apparence/réalité ; désir de l'autre/cristallisation. Je me retiens férocement...