@Miliam : tu pointes un détail ( de taille pourtant ) que je n'avais pas perçu plus que ça = la différence entre estime de soi et confiance en soi. Bon, elles sont liées, mais je réalise avec ton com que l'on doit d'abord travailler sur l'estime de soi pour que celui sur la confiance en soi soit plus efficace, tu ne crois pas ?
Je vais t'avouer que perso, j'ai travaillé sur l'estime de soi en PIP ( psychothérapie d'inspiration psychanalytique ) pour soigner mes blessures d'enfance. Et de là, celui sur la confiance en soi est venu tout naturellement comme une évidence.
Alors oui : un retour, particulièrement sur ce livre ( 50 ex d'estime de soi ) m'intéresse. Et je ne doute pas qu'il peut en intéresser d'autres .
Ce sujet aurait mérité un topic à part : te sens-tu de le faire ?

Meilleurs messages postés par ayamé
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RE: Que lisez-vous en ce moment ?
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RE: Citations remarquables
Je ne sais de qui sont ces citations, on va dire de la vox populi tant on peut les observer....
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RE: Le poids des apparences
@leo : " @ayamé
Tu sais très bien à qui, doublement tu t'adressais. Si tu n'es pas capable d'assumer tes remarques et de devoir les détourner en étant assurée du soutien collectif vis à vis du bouc émissaire, soit.
Tu as donc lu ce livre totalement par hasard et sans aucune idée d'aucune sorte sur son sujet, ni même après 3, 6, 20 pages... ?"Je ne pensais pas à toi, mais j'assume le fait d' avoir, en écrivant, pensé que peut-être tu te sentirais concerné et auquel cas, je me suis dit : si tel est le cas, ce sera donc l'effet miroir, et là, c'est son problème et non le mien. Cela ne peut être assimilé à une insulte.
Un peu de psycho ? " Personne n'est capable de vous contrarier sans votre consentement "( Eléanor Roosevelt ).
C'est fou comme la mettre en pratique, cette phrase, apporte comme zénitude et de là, des relations plus paisibles avec les autres.
Tu dis : " assurée du soutien collectif ? "
Le soutien collectif...c'est quelque-chose de très mobile, il va comme il vient, on le sait bien.
Être assuré de son soutien est illusoire." Tu as donc lu ce livre totalement par hasard et sans aucune idée d'aucune sorte sur son sujet, ni même après 3, 6, 20 pages... ?"
Le livre dont j'ai parlé, comme je l'ai dit, je l'ai pris au hasard dans une boîte à livres dans la rue.
Je peux lire de tout, suis pas raciste envers des auteurs qui ne sont pas de grands intellos.
Effectivement, je n'ai aucune idée sur son sujet, même après 180 pages sur 332, même si le début m'a évoqué " la belle et la bête ".
Je comprends mal pourquoi tu doutes de mon affirmation.
Dans nombre de tes interventions, tu nous demandes de nous justifier, ce qui suppose qu'en amont, nous sommes supposés avoir éventuellement tort.
Démarrer ainsi un échange ne facilite vraiment pas le bon déroulé de celui-ci. Perso, j'ai passé l'âge de me justifier.A l'avenir, j'éviterai de discuter avec toi, je réalise que je n'ai pas le niveau que tu souhaites et j'ai assez d'humilité pour savoir m'effacer.
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RE: Élection présidentielle de 2022
@carl_jung : oui, je m'en offusque et je pense que les sondages devraient être interdits au moins 15 jours avant les élections.
Mais ce qui me chagrine le plus, c'est que les gens soient autantinfluençablesdéfaitistes.
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RE: Bastien Vivès : accusé de faire l'apologie de la pédopornographie
Tout le problème est là : au nom de la liberté d'expression, peut-on tout se permettre et doit-on tout accepter sans mot dire ? A mes yeux, il n'y a rien de pire que salir ce qui est sacré : l'innocence de l'enfance !
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RE: Citations remarquables
@Carl_Jung : bin y'en a plein au gouvernement qui ne servent à rien et qui sont quasi inusables
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RE: La tristesse fait-elle fuir les autres ?
Qu'est-ce que la tristesse : " l'envahissement de la conscience par une douleur morale qui empêche
de se réjouir du reste ( merci, mister Google ).
Avec empathie, on va écouter celui qui répand sa tristesse sur soi mais l'on sait que nos mots
ne lui permettront pas vraiment " de se réjouir du reste " : alors bien sûr, on en ressent un certain malaise.
On espère que notre regard bienveillant permettra à cette personne, l'espace d'un instant,
de ressentir un peu de réconfort.
Mais comme dit leo, il y a cette notion de trop. Quand une personne nous inonde trop de sa tristesse,
se produit l'effet domino : on se retrouve comme contaminé par sa tristesse, on la sent en soi
s'attaquer à notre joie de vivre.
C'est encore plus vrai quand la tristesse n'a pas de fondement bien déterminé, ce que Baudelaire nommait le spleen,
ce mal de vivre que l'on ressent parfois parce qu'il fait partie intégrante de la condition humaine.
Papa Freud l'associait à thanatos, la pulsion de mort, mais il y a en face eros : la pulsion de vie,
qui réclame son dû de réjouissances.
Alors non : la tristesse n'attire pas, au mieux tentons-nous de l'adoucir, mais si elle dure trop longtemps,
il est légitime de vouloir la fuir, parce que c'est eros qui l'exige.
Je ne vois pas cela comme de l'individualisme, mais juste comme la nécessaire préservation de soi,
de l' intégrité du moi qui aspire à s'épanouir et non à s'étioler : tel est le but de la vie, non ? -
RE: Moi je m'appelle Manuel Valls
@hornet a dit dans Moi je m'appelle Manuel Valls :
Maintenant, je sais que je suis majoritairement Français : dans mes valeurs, dans ma façon de penser et de faire de la politique ».
Pliée de rire : il lui a fallu tout ce temps pour le réaliser ? Alors, Français dans ses valeurs, ok, mais lesquelles ? Et croit-il que les Français vont lui pardonner si facilement d'avoir abandonné la France pour le soleil catalan ?
Je suis curieuse de voir quel parti il va créer et sous quelle étiquette ?
Va t-il arriver à trouver son rôle et son masque dans la commedia dell'arte version 2022 ?
Suite au prochain acte :))). -
RE: Réécriture de romans "pour que ça passe bien"
Que dire après mes VDD avec lesquels je suis complètement d'accord.
Ô monde cruel qui nous plonge dans des crises qui se succèdent sans fin, vite, avant que nous ne sombrions trop bas dans le duo peur-désespoir, lissons le plus possible et donnons aux oeuvres un air de bisounours ! C'est bien ça, pour donner une illusion de réconfort, non ? -
RE: Citations remarquables
On s'aperçoit parfois que, malgré belles branches et abondante verdure, certaines racines poussaient dans des cailloux...
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RE: Féminisme et lesbianisme
" Délivrez-nous du mâle " : un jeu de mot qui se voulait subtil et qui en fait n'est que débile.
Quant à l'autre pancarte, je découvre que, bien qu'ayant pratiqué le féminisme toute ma vie,
bin je ne suis féministe qu'en théorie, parce qu'en pratique, je ne le serais pas puisque j'aime la gent masculine.
Sans compter que j'en ai mis 3 au monde, des mecs, que j'ai élevés dans le concept
de complémentarité égalitaire. Cela faisait partie de ma vision du féminisme.Ce qui me fait rager : entendu Zemour dire que le congé paternel d'1 mois était stupide, parce que
le bébé ne voit que sa mère, n'est attaché qu'à elle et que le père n'est pas intéressé par un nouveau-né.
" Tous les psys l'expliquent ", dit-il. Les psys disent aussi que le bébé se familiarise avec la voix du père
déjà in utéro et ce n'est pas pour rien qu'à la naissance, on met le bébé sur le ventre de la mère puis dans les bras du père.
Et quand on a plusieurs enfants, que le père s'occupe de l'aîné pendant que la mère s'occupe du nouveau-né,
ça n'a aucune utilité non plus ? Grrr ! -
RE: Moi je m'appelle Manuel Valls
@delnis : il faut différencier les catalans espagnols de ceux français, ils sont un peu différents...
oui, bon, ils sont autant des emmerdeurs.
Quoi ? S'insurge le quart catalan de mes origines, va t-on sortir le couplet sur l'atavisme de chaque pays,
voire même de chaque région de France ? :)))Ceci dit, @Delnis, Darmanin lui est très bien intégré, grâce à ... l'accession au pouvoir. Il a dit :
" « Grand honneur, pour le petit-fils d’immigré que je suis, d’être nommé Ministre de l’Intérieur
de notre beau pays » .
Gérald D. a révélé que son 2ème prénom est Moussa, en l’honneur de son grand-père Harki,
Moussa Ouakid, qui fut tirailleur algérien, résistant dans les FFI et harkis. "
On peut donc en déduire que Manuel a râté lui-même son " intégration " : pour cette fois,
ce n'est pas nous, peuple de France, qui en est responsable.
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RE: Le huis clos dans la littérature
Dans un huis clos, les personnes ne peuvent ni entrer ni sortir du lieu dans lequel elles sont confinées, comme dans un huis clos au tribunal.
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RE: Qui êtes-vous ? ou plutôt, qui pensez-vous être ?
@manson a dit dans Qui etes vous ? ou plutot , Qui pensez vous etre? :
@morphée personne ne sait qui je suis.
Ça vaut peut-être mieux
.
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RE: Élections législatives de 2022
@hornet : et voilà comment les médias cherchent une fois de plus à influencer les gens en diabolisant, cette fois-ci, Mélenchon.
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RE: Que lisez-vous en ce moment ?
@Mai-Tai : en romans uniques, j'ai lu " le moine et le vénérable " qui n'est pas sur l'Egypte, mais je te le recommande et " la reine soleil " : j'ai beaucoup aimé.
https://www.babelio.com/livres/Jacq-La-reine-soleil--Laimee-de-Toutankhamon/228990 -
RE: Qui êtes-vous ? ou plutôt, qui pensez-vous être ?
@mai-tai et @loutre : à mon humble avis, il ne fera pas long feu sur le forum, n'y trouvant pas le public
qu'il aimerait que l'on soit.
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RE: Élections législatives de 2022
@carl_jung : j'entends que certains journaleux le traitent de trotskiste, insulte suprême, mdr.
Bin moi, j'aime bien certaines idées du trotskisme, en tenant compte de la réalité historique qui fait qu'on doit adapter une idéologie à la conjoncture actuelle, ce que fait Mélenchon." Dans toute société, l’économie joue le rôle principal, et c’est elle, ce sont ses lois qui déterminent les rapports des hommes entre eux, le droit, la morale, les formes de la vie politique, l’art lui-même et bien entendu les religions : " l’infrastructure économique détermine la superstructure idéologique ". Ce ne sont pas les idées, ce n’est pas la volonté des hommes qui provoquent les changements de l’économie, ce sont les changements de l’économie qui entraînent une modification dans la pensée des hommes ..
Le socialisme, qui est la propriété collective ou commune de tous les biens, ou, à tout le moins, des instruments de production et d’échange, n’échappera pas à cette loi : il ne sera pas une création des hommes devenus soudain plus soucieux d’égalité et de communauté. Il sera le produit inéluctable de l’évolution nécessaire des phénomènes économiques, les lois du marché, et notamment celles de l’offre et de la demande, construisant dans le sein de la société capitaliste les fondements de la société socialiste. Ces lois sont la concentration industrielle (qui fait disparaître les petites entreprises, impossibles à collectiviser, au profit des grandes qui deviennent des monopoles, lesquels anéantissent la concurrence et permettent ainsi à la puissance publique qui s’en emparera d’administrer l’économie au lieu de se soumettre aux lois du marché), la paupérisation, absolue ou relative, qui exaspère la lutte des classes , l’inéluctabilité des crises de surproduction et de chômage qui ne cesseront de se succéder jusqu’à la dernière, la crise générale du capitalisme."