Messages postés par ayamé

@tigrette : les effets 2aires, nombreux ou pas, graves ou pas, doivent être TOUS identifiés et signalés ( trop sont encore cachés ). " La vérité scientifique, qui n'exclut pas les nuances et peut évoluer, doit être la référence qui guide les décisions politiques et permet d'apaiser les tensions trop nombreuses ".
A mon sens, la " vérité scientifique " a pour conclusion : la balance bénéfices-risques n'est favorable qu'aux personnes à risques ( réels comme les co-morbidités, pas ceux liés à l'âge car certains âgés sont en bien meilleure santé que d'autres plus jeunes ).
2e conclusion : qu'on laisse tranquilles ceux en bonne santé. S'ils attrapent le covid, la très grosse majorité n'ira pas à l'hosto, et c'est bien la surcharge des hôpitaux qui est l'inquiétude 1ère du gvt, sa motivation principale pour justifier la vaccination, et non notre santé !

La Lettre de " Santé-Corps-Esprit ".
Sait-on vraiment ce qu’on fait, quand on interfère avec notre précieux système immunitaire ?
Dans un cours de vaccinologie donné à l’Hôpital d’instruction des armées du Val-de-Grâce, l’enseignant, Jean-François Saluzzo, virologue et expert auprès de l'OMS, pendant plus de 10 ans directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi-Pasteur, dit ceci : « historiquement, un vaccin qui ne marche pas dès le début, on n’arrive pas à le faire marcher par la suite. Le paludisme, cela fait x années. L’herpès, cela ne marche toujours pas. Idem pour la syphilis. Sa conclusion :
si l’on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie, il faut étudier la réponse immunitaire.
Le vaccin causerait une sorte d’infection atténuée qui conduit notre organisme à garder en mémoire le microbe dangereux (via la fabrication d’anticorps), ce qui lui permettra de se défendre efficacement par la suite en cas de véritable infection.
S’il était si simple de créer un vaccin sûr et efficace, on aurait depuis longtemps créé un vaccin contre le virus respiratoire syncytial qui cause tant de bronchiolites infantiles parfois mortelles. Sanofi aurait réussi à mettre au point un vaccin contre la dengue sans causer la mort d’enfants philippins.
On n’aurait pas besoin de mettre dans les seringues, même à des doses supposées « sans danger », des substances aussi toxiques et controversées que le formaldéhyde ou l’aluminium.
Il y a notamment une difficulté fondamentale et insoluble : plus le vaccin se rapproche de l’infection naturelle, plus il est efficace, mais aussi potentiellement dangereux comme peut l’être l’infection.
Et plus le vaccin s’éloigne de l’infection naturelle (avec des microbes tués ou des petites parties isolées du microbe), moins il stimule le système immunitaire, et plus il requiert d’ajouter d’autres substances potentiellement risquées (des adjuvants, comme l’aluminium). Ce que la plupart des gens ignorent, c’est que le système immunitaire est probablement la partie de notre physiologie la plus mal comprise en médecine.
Le Pr Mark Davis, directeur de l’Institut d’immunologie de l’Université de Stanford :
« le système immunitaire est d’une complexité inouïe, comprenant au moins 15 types de cellules différentes en interaction qui crachent des dizaines de molécules différentes dans le sang pour communiquer entre elles et se battre. Et nous ne savons pas vraiment ce que font la majorité d’entre elles ou ce qu’elles devraient faire ».
Les risques à long terme des vaccins ont-ils réellement été évalués ? Et cela ne devrait-il pas rendre modeste sur l’efficacité des vaccins dans la durée ?
Car les conséquences de la vaccination sont infiniment plus complexes que ce que l’on imagine. Prenez les fameux anticorps : contrairement à une idée répandue, on peut en avoir beaucoup sans être protégé de la maladie. Cela a été reconnu par le Pr Delfraissy devant le Sénat : « Vous pouvez avoir des anticorps à un niveau élevé et faire un Covid.
Et vous pouvez, après vaccination, avoir peu d’anticorps et ne pas l'attraper. En pratique opérationnelle, il ne faut surtout pas laisser s’installer l’idée que les anticorps servent à quelque chose ».
Certains vaccins favorisent les infections : comme on l’a vu avec le Covid, il y a des anticorps « facilitants », qui non seulement ne protègent pas, mais risquent de faciliter l’infection.
Plusieurs études ont ainsi suggéré que les vaccins contre la grippe augmentent le risque d’être infecté par d’autres virus respiratoires comme les coronavirus.
Était-ce prudent, pendant la crise Covid, d’inciter fortement la population à se vacciner contre la grippe ?
Tout ceci pour vous dire qu’il y a beaucoup moins de certitudes qu’on le croit avec les vaccins.
C’est pourquoi je prépare un livre sur le sujet qui promet d’être assez « explosif ».
Xavier Bazin, journaliste d'investigation scientifique passionné de médecine naturelle ( un complotiste donc pour certains ), auteur avec le Dr Eric Ménat du livre :
" Big Pharma démasqué ! De la chloroquine aux vaccins, la face noire de notre système de santé " .

@granola : vu que je suis claustrophobe, j'y mettrai plein d'anxiolytiques et de somnifères pour me transformer en marmotte.
Y survivrai-je ? Bof, pas plus que sans à mon avis.

@outrebleu : ça va t-y aller, ma bonne dame, si un " cétacé de métal " venait sillonner les eaux de la Seine à l'instar de ceux en chair, baleine ou beluga ?
Nous Gaulois, craignions auparavant que le ciel nous tombe sur la tête. Maintenant, il nous faut redouter en plus le danger qui proviendrait des fonds marins.
Je viens nourrir ton bide qui, non, n'en est pas un. J'ai souri aussi au parallèle que tu as fait .

@biquette : pour moi, sans les choux de B mais plutôt avec petites patates grenaille et haricots verts.
Il m'arrive d'être tradi en cuisine .

@jean : de ce côté-là, c'est tout bon. Et côté alimentation ?
Tu dis être constipé depuis l'enfance : certains ont un transit lent et n'avoir qu'1 à 2 selles par semaine n'est pas considéré comme pathologique.
Ce que le médecin voudra savoir, c'est s'il y a quand-même émission de gaz ( dans l'occlusion, il n'y en a plus ) et s'il y a des nausées : 1er signe de l'occlusion.
De même, rester 5h sans pisser n'est pas grave en soi, mais il faut savoir si la vessie est pleine ou à moitié vide, ce qui orientera le diagnostic. Bref, ces 2 problèmes sont quand-même à revoir avec ton médecin.

@jean : la constipation est souvent ( mais pas toujours ) dûe à 2 causes principales :
pas assez de fibres dans l'alimentation ( légumes-fruits-légumineuses et céréales complètes ou semi-complètes ) et pas assez d'hydratation : il est plus important de boire régulièrement tout au long de la journée que beaucoup aux heures des repas.
Vois s'il y a quelque-chose qui pêche chez toi de ce côté-là.

@ninjean : un bon bout de temps...et tu te retrouves dans la boue . Sinon, c'est quoi, des " tca " ?
A part ça, point n'est besoin d'avoir beaucoup d'entourage, mais d'un peu seulement qui soit assez attentif pour apporter un peu de bien-être.

@icescream : ok, mais " en même temps ", voilà des personnes qui se retrouvent sans revenus, même pas droit au chômage, après tant de loyaux services rendus quand il n'y avait ni vaccin, ni matériel de protection non plus : c'est pour moi un vrai scandale !

@icescream : oui tu peux pleurer. Pour rien au monde je ne l'aurais râté et je l'ai revu avec autant de plaisir que la 1ère fois au ciné. Ce film ne prend pas de rides .

Notre Jojo national n'a pas échappé à l'appel de la country.

Lu sur Médiapart : " Jamais les groupes du CAC 40 n’ont gagné autant d’argent. Au premier semestre, leurs résultats s’élèvent à 81,3 milliards d’euros, en hausse de 34 % sur un an.
Les grands groupes, et pas seulement ceux du luxe, ont appris le bénéfice de la rareté et des positions dominantes pour imposer des hausses de prix spectaculaires. Le capitalisme de rente a de beaux jours devant lui.
Même le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, s’en mêle. Après avoir découvert les profits stratosphériques des majors pétrolières – autour de 20 milliards de dollars en moyenne – il les a dénoncés sur Twitter : « Il est immoral que les sociétés pétrolières et gazières réalisent des profits record grâce à la crise énergétique actuelle sur le dos des plus pauvres, et avec un coût énorme pour le climat. J’exhorte tous les gouvernements à taxer ces profits excessifs et à utiliser les fonds pour soutenir les personnes les plus vulnérables. »

@biquette : celui de mes fils qui vit à Brest m'a ramené cette bière du bout du Finistère, 6°3, pas pour les fillettes, mais pour nous, ça le fait .
Zut, j'aurais dû mettre ce com dans celui des bières...pas grave, il va bien ici aussi car elle fut accompagnée de frites. RAF de la chaleur, c'est ma friteuse SEB qui s'est occupée de tout pendant que nous sirotions la dite bière et que l'un de mes fils faisait cuire au barbeuk une bonne viande rouge.

@cygoris : un seul être vous manque et tout est dépeuplé...bon, on survivra hein.

@gainsburk : " buvons encore, une dernière fois, à l'amitié, l'amour, la joie "...et là, je t'accompagne, ahaha.

@gainsburk : t'inquiète. Les hommes sont critiqués en position verticale, mais à l'horizontale, les discours s'inversent...idem à l'inverse ( vs hommes vis à vis des femmes )

La 3e guerre mondiale qui semble se profiler à l'horizon ( merci USA et Chine en plus des autres Européens ) remettrait à plat bien des problèmes et changerait bien des choses...
La vie se déroulant sous forme de courbe sinusoïdale, on ne reste jamais ni en haut de la vague, ni en son creux, donc...on verra bien demain.

@cynthia80 : les gestes barrière, pour moi, c'est surtout la distanciation et le gel hydro-alcoolique. Quand je fus covidée, je me tenais à distance respectable de mon fils qui vit avec moi et j'aérai énormément, il n'a pas été contaminé.

@music a dit dans Votre propre expérience COVID :

Mais ce que je sais, c'est que je n'ai pas envie à nouveau de contracter ce virus.

Je te comprends. Sachant que le vaccin n'empêche pas de l'attraper, les gestes barrière restent la seule prévention. Après, chacun les applique ou pas " en son âme et conscience ".

@music : vi, comme il y a aussi des gens qui meurent de la grippe. Ainsi, le nombre moyen de décès quotidiens peut dépasser 2 000 lors des pics de grippe saisonnière (comme en janvier 2017, avec 2 200 décès par jour en moyenne).
Sans oublier que nombre de décès attribués au covid auraient dû honnêtement l'être pour les vraies raisons :
" en 2020, en France, la COVID-19 aurait entraîné le décès de 64 600 personnes, un nombre à nuancer car une grande partie peut-être attribuée à deux facteurs : d’un côté les décès RIivotril, médicament autorisé sur simple suspicion de COVID-19 et qui faisait mourir les personnes âgées ( on l'a vite oubliée, cette cause ) et d’autre part les messages catastrophiques de Santé Publique France demandant aux personnes ayant des symptômes de rester chez eux jusqu’à avoir des formes sévères. Cela a conduit à la catastrophe de l’hypoxie ( manque d'oxygène dans le sang ) heureuse vraisemblablement responsable de plusieurs milliers de morts que l’on aurait pu éviter par un traitement précoce et adapté. Ainsi qu’à la non prise en charge de pathologie d’urgence (type infarctus etc.)."
Il faut toujours rendre à César ce qui appartient à César.