Meilleurs messages postés par Egon

@Kallindra Mario passe même devant Spider-Man Accross the Spider Verse et devant le dernier Miyazaki.

@Hornet Tu le vis comment d'être seulement deuxième ?

@Doc-Cranium a dit dans Combien mesurez-vous ? :

Quand je passe à coté de mon ancien collège, je compte pas le nombre d'élèves qui font ma taille, voire plus, ça me fait halluciner.

J'en profite pour mettre ici l'avis que j'avais laissé sur un autre site après le visionnage de ce film :

"Ce film est intéressant parce qu’il soulève une question plus que pertinente et que beaucoup préfèrent souvent oublier pour éviter de perdre du temps à discuter ou parce qu’ils craignent de voir partir en poussière leurs certitudes : les faits peuvent être tordus dans le sens que l’on veut si on y prend pas garde. C’est d’ailleurs une idée clairement énoncée par un des membres du jury au cours de leur délibération. C’est un fait que les apparences sont souvent trompeuses et qu’il ne faut jamais être sûr de soi tant qu’on n’a pas pris le temps de peser le pour et le contre de chaque fait qui nous a été donné d’apprécier.
Tout au long du film, les personnages s’accrochent aux faits car selon ceux qui considèrent l’accusé coupable, ce sont les faits seuls qui sont les garants de ce qui est vrai ou non or, justement, tout s’efforce de démontrer le contraire au fur et à mesure que les minutes passent et que les membres de jury s’acharnent à débattre sur la véracité des témoignages à l’encontre de l’accusé.
Un témoin ne dit pas toujours la vérité, cela ne veut pas dire qu’il ment mais ses préjugés, son parti pris peuvent le persuader de donner une vision non véridique de ce qu’il a vu/entendu.
Et nous y voilà, à l’autre thématique marquante du film : les préjugés. En effet, les membres du jury appartiennent à différents milieux sociaux et cela va pas mal influencer leurs visions des choses tout au long des délibérations, ceux qui n’ont jamais mis les pieds dans un quartier pauvre ou ayant côtoyé les “voyous” de loin étant plus prompts à juger que les jurés issus des classes ouvrières. Plus les faits sont débattus, plus chacun commence à mettre en doute ses idées préconçues pour se faire une idée neuve de l’affaire qui les concerne.
Enfin, une autre thématique est abordée et pas des moindres, la responsabilité qu’il incombe à chacun de juger de la vie d’autrui. Certes, en tant que membres d’un jury, ils se retrouvent dans un contexte bien précis à devoir émettre un jugement qui aura une conséquence lourde sur la vie d’une autre personne mais c’est l’idée même de pouvoir autant influencer l’existence d’une personne à partir de quelques faits qui nous sont rapportés qui donne une énorme responsabilité et, par là même, l’obligation de ne pas prendre celle-ci à la légère…ce que font certains jurés au début en voulant en finir au plus vite avec les délibérations pour retourner à leur vie comme si de rien n’était.
Bien sûr, dans ce film il est aussi question de sujets que la psychologie sociale aime bien : les effets de groupes, la persuasion notamment, et ces phénomènes sont superbement portés et mis en lumière par les acteurs et la mise en scène."

Georgio (de son vrai nom Georges Edouard Nicolo) est un rappeur français. Il s'est fait connaître sur internet et son premier album Rose Noire a été produit grâce au financement participatif.

Aujourd'hui, deux autres albums sont venus s'ajouter à sa discographie : Héra et XX5. Un nouvel album devrait sortir courant 2020 selon certains tweets du rappeur.

Ses chansons ont la particularité d'être assez poétiques, mêlant souvent mélancolie et mots justes, références littéraires et argot. À l'écoute de ses albums, on constate que la musique est assez cathartique pour lui, qu'il y a une forte sensibilité dans le regard qu'il porte sur le monde.
On est loin d'un rap agressif, dénonciateur. Ici, on est plutôt dans un rap littéraire (d'ailleurs Georgio a déjà rapé sur des textes littéraires), qui dépeint les états d'âmes des individus et pousse à la rêverie.

Quelques exemples de ce qu'il fait :

(Celle-ci, je ne m'en lasse jamais ! Et c'est justement une mise en musique d'un texte littéraire, de Frida Kahlo en l'occurrence).

Connaissez-vous ?

Hourra ! Ils ont retrouvé le colis après que je leur ai collé aux basques et comme par miracle il est reparti après avoir été bloqué je ne sais où pendant dix jours. Bon, le suivi dit qu'il est censé être livré aujourd'hui, vaut mieux prévoir un peu plus large que de leur faire confiance à 100% hein.

Nos réactions en sortant de la salle : "ah ouais tout ce ramdam pour ça ?". Encore un film totalement surestimé que l'on va monter au pinacle parce que c'est pas un "blockbuster MCU" mais un "film indépendant (de la franchise)".

Alors, oui visuellement c'est très beau, oui la musique se marrie très bien à l'ambiance du film, oui le jeu d'acteur de Joaquin Phoenix est très bon mais on me dit dans l'oreillette qu'on a légèrement oublié le scénario dans ce film réalisé par un premier de la classe.

• Comment ça, y'a pas de scénario ? T'as dormi pendant la séance ou quoi ?! me dit-on outré par mes propos blasphématoires.
• Bah si, c'est vrai, je suis un peu de mauvaise foi. Ce gloubiboulga extrêmement convenu, c'est ce qui doit ressembler le plus à ce que l'on appelle "scénario" généralement.
• Un gloubiboulga convenu ? Comment ça ?
  
  Spoiler

  - Extrêmement convenu même. On suit ce pauvre Arthur Fleck dont on nous bassine pendant 1h qu'il a pas de chance, que sa vie elle est vraiment pas cool mais qu'en plus les gens ils sont pas gentils avec lui. Ouin ouin, c'est triste tout ça. De là à dire que pour devenir un méchant tout pas beau, il faut avoir un mauvais karma, il n'y a qu'un pas...que le film franchit allègrement. Il saute même à pieds joints dans le cliché.
  Si seulement, il s'arrêtait là mais nan ! Il tend à nous montrer que celui qui va devenir le Joker n'est qu'un type totalement passif qui ne fait que subir tous les événements et devient un "symbole" du chaos par... bah quasiment par hasard hein. Ce n'est pas un homme qui, à force, finit par embrasser sa folie et en faire une force, non c'est juste une éternelle victime qui perd petit à petit complètement les pédales, franchit une ligne rouge et n'a absolument aucun contrôle sur la suite des événements. On est loin du personnage du Joker que l'on connaît bien : celui d'un type extrêmement cynique, qui n'a aucune morale et est un leader né.

On pourrait aussi ajouter d'autres incohérences mais Sylareen en a déjà mentionné dans son post. Et j'ai un peu la flemme aussi j'avoue. Bref, c'est un film potable mais on est très loin du chef d’œuvre.

Bande de hippies !

Cette fois-ci c'est bon, vous pensez ou ils l'ont mis au pif dans la BAL du voisin ? (comment ça je deviens parano à force ? é_è).

Spoiler

J'ai enfin pris le temps de le voir alors qu'il traînait depuis des semaines sur mon pc. Et le comble c'est que je l'ai vu au cinéma et en VF (parce que mon ami n'aime pas la VO).
J'ai craint pour les doublages mais ça va, c'était supportable et puis les acteurs connus avaient leur doubleur officiel mais quand même l'immersion est meilleure en VO donc je le rematterai dans ces conditions.
Sinon que dire ? J'ai vraiment bien aimé le concept de filmer en un long plan séquence (avec quelques coupes évidemment) parce que ça permet d'être au plus près des personnages et ça nous permet de ressentir le sentiment d'urgence comme eux. D'ailleurs, c'est filmer à la hauteur des personnages principaux, ce qui fait qu'on partage leur champ de vision et nous donne donc presque l'impression d'être à leurs côtés (sans oublier le fait que ça joue aussi sur l'angoisse dans les moments de fusillade et/ou de course contre la montre puisque la visibilité est réduite).
Je n'ai pas trouvé le temps long perso ! Par contre, il y a un passage que j'ai trouvé trop facile au niveau scénaristique, c'est vraiment le gros truc pour faire avancer l'action mais qui ne prend plus vraiment à force.

J'ai eu ses nouveaux titres dans mes suggestions YouTube ce week-end et je confirme que ça vaut le coup. Pour le moment, ma préférence va au titre "Big data".

Les mises à jour de la Play alors que tu veux juste lancer ton jeu aehf ikaHFGUIK NHrghjknh fnkfgrezjknhrfhjk è_é

@Amy94 a dit dans Le Voyage de Chihiro (Sen to Chihiro no kamikakushi) :

@Egon a dit dans Le Voyage de Chihiro (Sen to Chihiro no kamikakushi) :

@Godzapon Ahah, ça t'a marqué ça hein. Néanmoins, ce n'est pas tant que je n'ai pas du tout aimé que c'est simplement un film totalement pervers (non je n'ai pas du tout l'esprit mal placé). é_è

Ah a ce point ! C'est intrigant. Je vais peut-être le regarder alors
D'accord @Godzapon si je le regarde, je laisserai mon âme d'enfant regarder le film

Je suis obligée de ressortir l'extrait du topic qu'avait fait Prosti (vu qu'on l'a vu ensemble et qu'on avait la même idée) sur un ancien forum pour parler des films Ghibli vu sous un angle moins "magique" et notamment le passage sur Totoro :

@ADzif a dit dans Questionnement personnel et sur le social aujourd'hui :

je ne parle à personne et pourtant je m’adresse à quelque chose, quelqu’un d’immatériel

Non, non, nous sommes des vrais gens, certes derrière des écrans mais tout de même.

Il y a énormément de gens qui ont du mal à se projeter facilement et qui galèrent quelques années avant de trouver des projets qui vont leur permettre d'évoluer et de créer leur petit bonheur à eux. Je dirais même qu'il n'est pas si courant que ça d'avoir un chemin tout tracé dès le départ et de le suivre jusqu'au bout parce que la vie est pleine d'aléas et d'événements inattendus qui vont forcément influencer notre parcours.

Je viens de le visionner dans le cadre du challenge ciné et il me laisse pour le moins songeuse.

Spoiler

Comme toi @Shanna, j'ai eu du mal avec la scène de la tarte et j'ai failli lâcher à ce moment-là tellement ça me rappelait les plans fixes alakon des premiers films d'Haneke (la partie de ping pong solo tmtc).

Le cadre est très minimaliste et la représentation du fantôme d'apparence très simple revêt bientôt une forme plus complexe. Ce n'est pas juste un drap blanc qui hante la maison dans laquelle il a vécu et devant laquelle il est mort, c'est l'incarnation du temps et de ce qui en découle : l'érosion des sentiments et de la mémoire. L'évolution inéluctable du monde en dépit du manque et des histoires individuelles. La maison ainsi que le fantôme sont des témoins de ce monde qui continue de filer toujours plus loin après notre court passage. Une révolution, deux révolutions, une infinité de révolutions. Et c'est comme si les choses étaient complètement différentes mais en même temps tellement semblables, comme si l'histoire était, en quelque sorte, un éternel recommencement avec quelques légères modifications... qui peuvent tout changer.

Ne vous attendez pas à une histoire de fantôme classique avec frissons et suspense à la clef. Le film joue plutôt sur un effet poétique et, comme le dit Shanna, il tient plus du conte. Le rythme est très lent et il faut s'accrocher au début si l'on veut pouvoir découvrir ce qu'il veut nous faire voir par les yeux du fantôme.

@MademoiselleAnge a dit dans Bien le Bonjour ! :

En jeu multi, j'ai Mario Kart

Ah ça c'est bien, on organise souvent des petits tournois sur le fofo.

Je me souviens encore plus de mon mdp sur PS4. Ça fait une heure que je tape toutes les combinaisons possibles et aucune qui marche. Ah et évidemment pour le réinitialiser faut donner la date de naissance enregistrée (qui n'est évidemment pas la mienne puisque j'avais mis un truc random). Bref, je vais balancer la manette si ça continue. è_é

EDIT : Ça y est, j'ai trouvé comment le changer sans passer par la date de naissance. Putain, ça m'aura pris presque deux heures.

@Barbouille a dit dans Atlantide, l'empire perdu (Atlantis, the lost empire) :

Et vous pouvez oublier de vouloir pousser la chansonnette car il n’y a aucune chanson dans ce film !

Il n'en faut pas plus pour me donner envie de le voir ! Je déteste ces putains de chansons niaises toutes les deux minutes, ça me faisait déjà péter des câbles enfant cette invention diabolique. è_é