Spécialité faire tomber mon tel par terre. Cette fois-ci, j'ai réussi lexploit de le faire tomber à la fois sur la marche du tram et le début du quai et direct sur l'écran puisque la coque aime bien s'ouvrir quand il chute.
Tout le monde m'a regardé genre : "hanlala, il a pris cher ton tel, tu dois avoir le seum" avec leur sourire narquois alors qu'en fait il a rien eu. Il a jamais rien malgré le fait que je lui mène la vie dure à le faire tomber tout le temps.
Je suis protégée des dieux. 
J'ai la réponse de la RH : elle a fait une fausse manipulation et m'a pas mis sur le bon indice. Elle a envoyé l'info au service dédié pour qu'ils fassent le nécessaire. Me voilà rassurée, c'était bien une erreur de leur part.
Quand tu rentres de congés après une semaine, que t'es crevée, que tu croules sous les mails sans savoir ce qui a été traité ou non pendant ton absence et qu'en plus aucun des collègues n'est là pour te briefer sur ce qu'il y a à faire (l'un étant en congés ce matin et l'autre malade). Ça sent la bonne reprise comme on l'aime. è_é
Qui c'est qui va voir Orelsan en concert à la fin de l'année ? C'est bibi.
Qui c'est qui a eu la mauvaise idée de poser deux minutes ses lunettes sur son lit, d'oublier et de s'asseoir dessus ?
Tain, heureusement que j'avais prévu d'aller justement chez l'opticien demain. J'viens d'abîmer une des branches de lunettes comme une conne. -_-
Je vous ai parlé du fait qu'après le parcours du combattant pour finaliser l'abonnement gaz, ça fait maintenant dix jours qu'on essaye de finaliser celui de l'eau ?
On est apparemment un "cas d'école" parce que nos infos compteur ne correspondent pas à ce qui est enregistré dans leur logiciel et qu'ils sont incapables de comprendre que l'erreur est dans l'enregistrement et pas de notre côté (le compteur fonctionne sous nos yeux et c'est bien celui correspondant à l'appartement, pas celui du pape). <<
Tain, c'te poisse quand même. Vivement le prochain déménagement pour qu'on s'amuse encore autant à rappeler les différents services téléphoniques des fournisseurs. 
@Koursk Bon, maintenant tu te calmes sinon pas de frites ce soir. 
WEEK-END ! Après une journée réunion (= branlette), ça fait zizir !
@Kallindra a dit dans MICI : des maladies méconnues et encore tabous :
c'est un placebo le spasfon. Ca ne me choquerait pas que ce soit déremboursé.
Non, à la base c'est un médicament qui concerne les problèmes intestinaux. Il a été prescrit à outrance pour les règles alors que ça n'a strictement rien à voir.
Perso, j'ai appris très récemment qu'on prescrivait ça souvent aux femmes qui se plaignaient de douleurs liées aux règles. J'ai été assez surprise vu que j'ai toujours utilisé ça uniquement pour soulager les douleurs intestinales (et encore, uniquement quand les spasmes deviennent vraiment douloureux).
Je joue pour partager mes goûts. Ça fait pas souvent mouche mais m'en fous. Je veux pas mettre les trucs les plus connus ou les plus appropriés juste pour gagner.
(J'envoie mon extrait en début de semaine).
C'est bon, je suis là. On peut commencer.
Y a eu suffisamment de rappels sur Reddit cette semaine pour que je m'en souvienne le jour J. J'ai balancé un message vocal avant que mon frère et ma sœur soient réveillés. J'ai eu la primauté, c'est moi l'enfant préféré maintenant. 
Quand t'as jamais été très gracieux. °_°
J'ai gagné une battle de cinéma. 
Franchement chapeau aux autres participants, y a eu plein de bons extraits dans cette animation.
J'aime toujours autant y participer même si je ne le fais clairement pas pour gagner puisque je suis toujours out dans la première moitié d'habitude. 
RDV à la prochaine pour encore plein de nouveaux extraits à découvrir !
The Devil's Advocate (ou L'Associé du diable en VF) est un film réalisé par Taylor Hackford et sorti en 1997. Il est l'adaptation cinématographique du roman
The Devil's Advocate d'Andrew Neiderman.
Le pitchounet :
"Kevin Lomax, un jeune et brillant avocat de Floride, doit faire un choix, défendre son client, un professeur, Getty, qu'il sait coupable d'abus sexuel sur une mineure, ou abandonner le procès. Cependant, il n'a jamais perdu un seul procès de sa vie, c'est pourquoi il décide de passer outre ses convictions et gagne le procès en discréditant totalement la jeune accusatrice de son client. Il reçoit alors une proposition très lucrative de la part de John Milton : rejoindre le grand cabinet d'avocats new-yorkais que Milton dirige. Sa femme, Mary Ann, le persuade alors d'accepter, alors que sa mère, une femme très religieuse, le met en garde contre les dangers que représente New York, ville de tous les vices.
Kevin et Mary Ann partent donc pour New York et le jeune avocat délaisse vite de plus en plus sa femme au profit de son travail" (cf. l'ami wiki).
Mon avis (déjà posté dans un autre topic) :
The Devil's Advocate. Je l'avais vu enfant et même si je ne me souvenais plus des détails, j'avais été marquée par une chose dans ce film : cette sensation de malaise qui nous saisit rapidement lors de son visionnage et qui ne nous quitte plus jusqu'à la fin.
Ça faisait longtemps qu'il traînait sur mon disque dur en attente d'un re-visionnage avec des yeux d'adulte. Je crois que je l'avais téléchargé quand il avait été mentionné parmi les "joyaux cachés" du cinéma dans le topic questionnaire. Et la personne qui l'a cité, je connais ses goûts, je pouvais m'y fier.
Bref, avec ce second visionnage ma sensation première a été confirmée. Pour ceux qui ne connaissent pas le speech du film : Kevin Lomax est un jeune avocat à qui tout réussit. Il ne perd aucun procès. Un jour, il se retrouve en prise avec ses convictions lorsqu'il se rend compte que l'homme qu'il défend est bel et bien coupable mais reléguant ses états d'âme, il fait en sorte de gagner le procès pour continuer sur son sans faute.
Peu après, il se voit subitement offrir un poste dans l'un des plus grands cabinets d'avocats de New-York. Ayant du mal à croire à sa chance mais flatté dans son ambition, Kevin accepte le job et part de sa Floride natale pour New-York (la nouvelle Babylone ?) avec sa femme.
Ce film parle de ce que l'on est prêt à perdre pour atteindre nos ambitions, assouvir nos désirs. Il y a-t-il une limite à la vanité ou sommes-nous tous corruptibles ? Et ce n'est même pas d'y répondre en déplorant le fait que notre monde n'est pas beau à voir sous certains angles qui interpelle le plus. Non, c'est ce doute qu'il insinue à un moment donné dans l'esprit du personnage de Kevin mais aussi dans celui des spectateurs à travers le personnage de John Milton : et si cette morale qui nous empêche d'agir comme bon nous semble au détriment des autres et de ce qui nous entoure, et si cette morale reposait elle-même sur pas grand chose ? Dans ce cas-là, qu'est-ce qui nous empêcherait d'accepter de prêter l'oreille à nos désirs les plus fous ?
Ce doute qui s'insinue petit à petit, ce doute viscéral qui se cache derrière nos idées de pureté, de morale, de ce qui est bien et mal, qui nous fait dire ce qui est juste, et si c'était ça notre vraie faiblesse ? Un pas en avant et l'on sombre dans le relativisme total et c'est alors la porte ouverte à l'absence de limite.
La tentation est partout, elle flatte tous ces désirs inassouvis qui vont nous accompagner toute notre vie parce que nous devons faire des choix, nous ne pouvons pas tout avoir. C'est l'acception de ces choix et que tout désir ne peut être réalisé qui nous permet de ne pas sombrer totalement dans la vanité. Oui, vous l'aurez compris, le film s'inspire pas mal de la religion chrétienne dans sa manière de définir le monde existant et pour expliquer ses dérives.
Al Pacino y est évidemment excellent (plus que Keanu Reeves qui, comme d'habitude, est toujours aussi plat dans ses expressions faciales et son jeu. °_°).
Avez-vous déjà vu le film ? Qu'en pensez-vous ?
Je suis tombée par hasard sur cette photo de 2018 dans ma galerie. Prise quand je séjournais dans la campagne haut-viennoise.
Même des années après, j'aime toujours autant cette musique :
À mon sens, ça ne peut pas s'éviter à 100% puisque l'écrit conduit dans certains contextes aux quiproquos pour les raisons évoquées dans le post initial (on a pas la personne en face et on manque donc des données essentielles comme l'intonation, le regard, etc., qui en disent souvent beaucoup plus que les mots en eux-mêmes), les meilleures attitudes à adopter sont :
la prise de recul : ne pas tout prendre au premier degré et prendre la mouche et considérer que les informations manquantes jouent beaucoup sur notre interprétation au détriment de l'intention de l'émetteur.
la communication : communiquer encore plus et en expliquant ce que l'on voulait vraiment dire sans se fâcher et en prenant la peine d'écouter l'autre, c'est la clef ! Il m'est arrivé un nombre incalculable de fois quand j'étais moi-même pas en forme ou de mauvaise humeur de mésinterpréter le sens de certains propos et de partir au quart de tour au lieu de prendre le temps de simplement dire à mon interlocuteur : "écoute j'ai compris x et je l'ai pas bien pris alors qu'apparemment c'était y que tu voulais dire". Franchement, ça change la vie juste quand on prend de s'écouter mutuellement, l'écrit en devient tout de suite moins compliqué.
Favoriser les échanges vocaux quand on ne peut pas voir la personne régulièrement IRL. Rien que d'entendre la voix, ça donne une toute autre dimension et ça permet de relativiser pas mal de choses et éviter de nombreux écueils.
Un truc t'as énervé, fait diablement tiquer ? Aujourd'hui, ce n'est pas ta journée, tu enchaînes les poisses ? On t'a un peu trop cherché des noises ? Ce topic est fait pour te défouler ! C'est mieux qu'un punching ball !
@Cuillère Faut vraiment qu'ils arrêtent d'étirer jusqu'à overdose des univers qui sont très bien en one-shot.
Surtout que les Jurassic World sont vraiment pas terribles du tout.