Y a eu suffisamment de rappels sur Reddit cette semaine pour que je m'en souvienne le jour J. J'ai balancé un message vocal avant que mon frère et ma sœur soient réveillés. J'ai eu la primauté, c'est moi l'enfant préféré maintenant.
Meilleurs messages postés par Egon
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RE: Fête des mères
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RE: Quels sont vos plus gros défauts ?
- Susceptible très beaucoup (associée à une hypersensibilité, ça fait des ravages).
- Je n'ai absolument aucune confiance en moi et par ricochet en les autres.
- Je suis indécise à l'extrême, ça va du truc totalement anodin genre décider quoi manger, quelle activité choisir dans la journée à quoi faire de mon existence. Ça fait marrer mais sur le long terme c'est juste hyper chiant.
- Je suis une stressée de la life même quand j'ai l'impression d'être détendue, je me rends compte que mon corps est toujours aussi tendu -_-
- J'ai besoin d'apprendre, de découvrir de nouvelles choses régulièrement sinon je tourne en rond, je m'ennuie, je déconsidère tout et je deviens pessimiste au possible. Vous me direz, c'est la même pour tout le monde, sauf que dans ma tête ça arrive encore plus rapidement et très régulièrement.
- Impulsive
- Je fais partie de ces connards qui relèvent toutes les choses négatives mais qui sont incapables de s'exprimer sur le positif. Ça va de paire avec le fait que j'aime raconter beaucoup de conneries pour meubler ou détourner l'attention plutôt que de dire vraiment ce que je pense.
- J'ai besoin de tout contrôler dans mon environnement sinon ça ajoute du stress sauf que, dans les faits, très peu de choses dépendent de nous-mêmes, et donc je me retrouve vite perdue. Je suis dans l'analyse et l'interprétation constantes pour essayer de parer l'impossibilité d'avoir une maîtrise des choses et des autres, ce qui est épuisant en plus d'être vain, quand ça ne verse pas dans la surinterprétation, la sur-analyse au point d'aller droit dans le mur.
Hihi, j'ai dressé un joli portrait maintenant j'vais aller me cacher un peu.
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RE: Les cadeaux que vous avez reçus
@LeaPierce Je ne savais pas que Sarah Andersen avait sorti un jeu de société, il consiste en quoi ?
@Twillily Swan Song est excellent ! Une de mes lectures préférées de l'année (et j'aime bien en général ce qu'édite les éditions Monsieur Toussaint Louverture).
J'ai aussi été plutôt gâtée de mon côté :
- une enceinte JBL charge 5 (on l'a essayé tout à l'heure et le son rend vraiment bien).
- Le parfum Amour de Kenzo (que je portais déjà quand j'étais ado).
- des livres
- un lonely planet sur l'Allemagne en prévision de futures vacances.
- un médaillon Lucioles (pour le côté fangirl de The Last Of Us)
- Des chocolats et du cidre histoire de bien s'empiffrer.
Et ça devrait encore continuer dans quelques jours avec l'anniversaire.
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Je ne comprends pas...
Bah oui ! Parce qu'on ne comprend pas tout ce qui se passe dans le monde, certains concepts, certaines prises de positions (comme ceux qui considèrent que l'homéopathie soigne réellement), certains comportements, l'existence même de certaines choses, objets... Je vous propose de faire part ici de votre incompréhension et peut-être que ce sera l'occasion de comprendre un point de vue qui vous dépasse ou, au pire, on pourra toujours déplorer la chose à l'unisson !
Perso, je ne comprends pas les gens qui nient l'existence de classes sociales. Des décennies d'études ont prouvé leur existence et pourtant ses détracteurs nous disent que c'est un concept dépassé, qui n'a plus lieu d'être dans la société actuelle. Est-ce parce que c'est un concept qui sonne trop communiste à leurs yeux puisque théorisés notamment par Marx et Engels ? Je ne comprends pas comment l'on peut se persuader que la société n'est pas hiérarchisée et notamment en fonction des professions (et donc de la position de celle-ci et des revenus qu'on en tire), du capital culturel et du capital économique hérités de la famille.
Et vous, quelles sont vos incompréhensions ?
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RE: Les cadeaux que vous avez reçus
Les cadeaux d'anniversaire dans la continuité de nowel :
- La BD Le Voyage de Shuna de Miyazaki
- Deux autres livres (un auteur russe et un auteur contemporain)
- un jeu
- des chaussures Air Jordan MVP comme Koursk mais version femme (encore plus stylées).
Je reviendrai pour citer les dernières cadeaux de Noël quand j'aurais vu ma famille. 🥺
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RE: Le Bonheur du jour !
Je suis fière de mouah parce que j'ai réussi à réparer mon vélo toute seule comme une grandeuh !
J'vais pouvoir l'utiliser demain après une semaine de bus, c'était temps parce que j'en avais marre. -
RE: Battles lecture : Première édition - Mai Tai a gagné !
Je remercie les gens qui ont eu pitié de mon extrait. Les choix les plus proches de nos goûts ne payent pas en général. é_è
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RE: Plaisirs minuscules
Acheter du pain qui sort juste du four et qu'on va fatalement grignoter le temps du trajet. °_°
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RE: Les grands changements de votre vie
Le premier changement de vie qui m'a permis de fuir une ambiance pas très saine, ça a été l'entrée dans les études supérieures qui m'ont fait quitter le domicile parental et prendre mon indépendance.
Le deuxième gros changement de vie est venu à la suite de la rupture sentimentale après 9 ans de couple qui m'a fait partir à l'autre bout de la France, me retrouver dans un endroit où je ne connaissais personne, où je n'avais absolument rien et tout à construire.
Le troisième changement est en cours et démarrera complètement quand j'aurais pu me réinscrire à la fac pour poursuivre la construction d'une nouvelle stabilité. Il est dû à une autre forme de rupture.Bref, c'est essentiellement quand je me mange des murs que je me décide à me bouger. Un mal pour un bien, on dira.
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Baby Driver
Baby Driver est un film réalisé par Edgar Wright (oui, le mec qui a réalisé Spaced, la trilogie Cornetto et Scott Pilgrim vs the World <3), sorti en salles en 2017.
Il possède un casting de fifous avec notamment Kevin Spacey, Jon Hamm, Jon Bernthal, Lilly James et Jamie Foxx.Le pitchounet :
"Chauffeur pour des braqueurs de banque, Baby a un truc pour être le meilleur dans sa partie : il roule au rythme de sa propre playlist. Lorsqu’il rencontre la fille de ses rêves, Baby cherche à mettre fin à ses activités criminelles pour revenir dans le droit chemin. Mais il est forcé de travailler pour un grand patron du crime et le braquage tourne mal… Désormais, sa liberté, son avenir avec la fille qu’il aime et sa vie sont en jeu." (cf. Allociné).
Le trailer du film :
Tout ce qui fait l'originalité de ce film, c'est qu'il est rythmé par la musique. Les scènes, la gestuelle des acteurs et même certaines parties de leurs dialogues sont directement en lien avec les musiques qui tournent en boucle tout au long des 2h de film et nous placent directement dans la peau de Baby, en écoutant sa playlist qui lui permet, à la fois de fuir ses acouphènes et la réalité peu enviable dans laquelle il baigne au quotidien.
La BO est excellente et variée, les dialogues sont savoureux comme d'habitude chez Edgar Wright, sans oublier que le casting porte très bien le scénario qui peut paraître léger mais qui est travaillé pas mal par tous les détails qui jonchent le film (en arrière plan notamment). C'est réécriture assez parodique et contemporaine du conte de fée vu par un jeune homme qui a vécu un peu trop longtemps dans son pays magique.Bref, vous l'aurez compris, ce film c'est la coolitude incarnée !
L'avez-vous déjà vu ? Si oui, qu'en avez-vous pensé ? Si non, foncez le voir !
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L'Associé du diable (The Devil's Advocate)
The Devil's Advocate (ou L'Associé du diable en VF) est un film réalisé par Taylor Hackford et sorti en 1997. Il est l'adaptation cinématographique du roman
The Devil's Advocate d'Andrew Neiderman.Le pitchounet :
"Kevin Lomax, un jeune et brillant avocat de Floride, doit faire un choix, défendre son client, un professeur, Getty, qu'il sait coupable d'abus sexuel sur une mineure, ou abandonner le procès. Cependant, il n'a jamais perdu un seul procès de sa vie, c'est pourquoi il décide de passer outre ses convictions et gagne le procès en discréditant totalement la jeune accusatrice de son client. Il reçoit alors une proposition très lucrative de la part de John Milton : rejoindre le grand cabinet d'avocats new-yorkais que Milton dirige. Sa femme, Mary Ann, le persuade alors d'accepter, alors que sa mère, une femme très religieuse, le met en garde contre les dangers que représente New York, ville de tous les vices.
Kevin et Mary Ann partent donc pour New York et le jeune avocat délaisse vite de plus en plus sa femme au profit de son travail" (cf. l'ami wiki).
Mon avis (déjà posté dans un autre topic) :
The Devil's Advocate. Je l'avais vu enfant et même si je ne me souvenais plus des détails, j'avais été marquée par une chose dans ce film : cette sensation de malaise qui nous saisit rapidement lors de son visionnage et qui ne nous quitte plus jusqu'à la fin.
Ça faisait longtemps qu'il traînait sur mon disque dur en attente d'un re-visionnage avec des yeux d'adulte. Je crois que je l'avais téléchargé quand il avait été mentionné parmi les "joyaux cachés" du cinéma dans le topic questionnaire. Et la personne qui l'a cité, je connais ses goûts, je pouvais m'y fier.Bref, avec ce second visionnage ma sensation première a été confirmée. Pour ceux qui ne connaissent pas le speech du film : Kevin Lomax est un jeune avocat à qui tout réussit. Il ne perd aucun procès. Un jour, il se retrouve en prise avec ses convictions lorsqu'il se rend compte que l'homme qu'il défend est bel et bien coupable mais reléguant ses états d'âme, il fait en sorte de gagner le procès pour continuer sur son sans faute.
Peu après, il se voit subitement offrir un poste dans l'un des plus grands cabinets d'avocats de New-York. Ayant du mal à croire à sa chance mais flatté dans son ambition, Kevin accepte le job et part de sa Floride natale pour New-York (la nouvelle Babylone ?) avec sa femme.Ce film parle de ce que l'on est prêt à perdre pour atteindre nos ambitions, assouvir nos désirs. Il y a-t-il une limite à la vanité ou sommes-nous tous corruptibles ? Et ce n'est même pas d'y répondre en déplorant le fait que notre monde n'est pas beau à voir sous certains angles qui interpelle le plus. Non, c'est ce doute qu'il insinue à un moment donné dans l'esprit du personnage de Kevin mais aussi dans celui des spectateurs à travers le personnage de John Milton : et si cette morale qui nous empêche d'agir comme bon nous semble au détriment des autres et de ce qui nous entoure, et si cette morale reposait elle-même sur pas grand chose ? Dans ce cas-là, qu'est-ce qui nous empêcherait d'accepter de prêter l'oreille à nos désirs les plus fous ?
Ce doute qui s'insinue petit à petit, ce doute viscéral qui se cache derrière nos idées de pureté, de morale, de ce qui est bien et mal, qui nous fait dire ce qui est juste, et si c'était ça notre vraie faiblesse ? Un pas en avant et l'on sombre dans le relativisme total et c'est alors la porte ouverte à l'absence de limite.
La tentation est partout, elle flatte tous ces désirs inassouvis qui vont nous accompagner toute notre vie parce que nous devons faire des choix, nous ne pouvons pas tout avoir. C'est l'acception de ces choix et que tout désir ne peut être réalisé qui nous permet de ne pas sombrer totalement dans la vanité. Oui, vous l'aurez compris, le film s'inspire pas mal de la religion chrétienne dans sa manière de définir le monde existant et pour expliquer ses dérives.
Al Pacino y est évidemment excellent (plus que Keanu Reeves qui, comme d'habitude, est toujours aussi plat dans ses expressions faciales et son jeu. °_°).Avez-vous déjà vu le film ? Qu'en pensez-vous ?
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RE: [AJA] Aujourd'hui j'ai appris
@Hornet Dis-toi que le chien non plus n'aurait pas voulu de toi.
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RE: Vous avez carte blanche !
J'ai enfin récupéré mon nouveau chti vélo qui s'appelle Gravi (oui, je viens de le trouver à l'instant) :
Ça va faire du bien.
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RE: Échanges avec l'équipe
@jool a dit dans Échanges avec l'équipe :
Pour info : je suis un mec
Et tu ne le dis que maintenant ?!
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RE: Le Bonheur du jour !
J'ai encore un peu perdu du poids, pas grand chose (1kg) mais ça a fait ma journée.