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Mouarf, vous êtes horribles ! XD !

Pourquoi ça serait réservé aux couples hétéros d'être si mal assortis, hein ?! L'amour est aveugle !

Bien sûr, tu peux aller voir un sexologue pour réfléchir à tout ça avec un professionnel.

Mais voici certaines réflexions à la lecture de ton message...

Se masturber et faire l'amour avec quelqu'un, ce sont deux choses totalement différentes, selon moi. Par conséquent, les comparer et te dire qu'il y a un problème avec ta femme puisque c'est là que tu es "rapide" et pas "en solo", ça me semble inapproprié, parce que ce sont deux choses différentes, deux buts différents, etc.

Pourquoi te retenir ? Prends-tu du plaisir quand tu arrives l'éjaculation, même si elle est selon toi "trop rapide" ? Parce que si oui, le principal problème est alors de donner aussi du plaisir à ta femme, et de ne pas stopper la relation sexuelle trop vite parce que toi, tu es arrivé à l'orgasme.
Et pour ça... Ben y a pas que le coït à explorer, hein ! Il y a bien d'autres façons de donner du plaisir et de l'amener à la jouissance, sans utiliser ton pénis...

Enfin, ne plus avoir de relation sexuelle parce que tu as l'impression que ça foire, c'est un mauvais plan. C'est pas ça qui va régler les choses. Parles-en. À la principale intéressée, bien sûr, pour savoir si elle est frustrée, par quoi, et pour trouver ensemble des pistes.

Moi je n'aime pas "concupiscent" et "suspect", niveau sonorités.
(con - cul - pissant / suce-pet)

Ni "putain". Je dis "bordel" (ou mieux : "bowdel"... ou pire : "bordel de queue").

Il doit y en avoir d'autres, des mots détestés...

Ah oui : "souvenance". Mon père écrit des poèmes et des chroniques de BD entre autres, et il trouve toujours à placer ce mot-là quelque part et ça m'agaaaace !
Il a aussi des expressions qui m'énervent et qu'il emploie sans cesse, par exemple : "loin s'en faut".

Je reviendrai à ce sujet Vais surement en trouver d'autres !

Clairement, la BD est mille fois mieux que le film...

Voici mon vote:

4
16
7

(13, si j'avais le droit d'en mettre un 4ème)

Chouette jeu, belle variété d'images, montage vidéo sympa, j'adhère

Ha... C'est un chemin à prendre selon nos acquis ou selon nos envies ?

S'il est choisi d'après nos compétences, je n'ai pas le choix, je dois viser le chemin 4. Mais la politique ?! Berk berk berk !
S'il dépend de nos envies, probablement que le chemin 3 me conviendrait mieux.
Parce que je ne suis pas folle : à moins que tout le monde devienne sourd autour de moi, aucune chance que je fasse de la musique et sois appréciée pour ça ! Et le cinéma... Mouarf, mon expérience de figurante était fun, mais ne m'a pas donné envie d'exercer le métier d'actrice XD ! Ou alors, côté scénariste. Ah ouaaaaaais !

Ok ok, je choisis le chemin 2, mais côté caché

Mouarf, j'ai appris trois mots, dans une lecture d'un topic sur un forum... : "sybaritisme" (j'aime beaucoup), "déréliction", "tautologie".

Reste à les retenir. Et j'espère en apprendre encore plein d'autres !!

Perso, j'aime beaucoup ce genre de bd.

J'en ai une sur la psychologie dans le même style. C'est intéressant pour débuter des réflexions sur soi.

Je suis un compte Instagram en rapport avec les émotions, que j'apprécie beaucoup aussi : apprentie_girafe. Je conseille, si le sujet vous intéresse.

Et sinon, en BD, il y a aussi une série "feel good", qui propose des histoires zen et petits contes pour mener à réfléchir au sens de notre vie, à l'importance qu'on accorde aux choses, etc. C'est "Le jour où"... À lire !

5 Marcel
1 Zguner
3 Music

J'ai du mal à me passer de sortir prendre l'air.

Et malheureusement, je ne suis pas capable de passer une journée sans écrans.

La fin d'année scolaire passée était déjà trop pénible pour moi...
J'ai pris les devants et stoppé ma carrière.
Et là, la rentrée approchant, je n'ai pas de salaire, pas de perspective d'avenir concrète, mais je suis mille fois plus sereine que si j'avais dû reprendre.
Je pense bien à tous les enseignants, ainsi qu'aux enfants (ouf, eux ont une sacrée capacité d'adaptation), que je plains de tout mon coeur de reprendre dans ces conditions, de devoir porter le masque à temps plein, etc.
Plein de courage à tous !!!

Les 3 R XD !!!!

Pour ma part, j'ai de l'énergie le matin... Je me lève sans trop de difficultés, je prends une douche et déjeune, et suis prête à utiliser mon cerveau rapidement et longtemps, ou à nettoyer l'appart, par exemple.

Par contre, ma compagne, elle a le rythme inverse. Quand je commence à piquer du nez le soir, elle commence à déborder d'énergie... Si c'est elle qui fait du nettoyage, il n'est pas rare qu'elle le commence vers 18h-19h et le termine 3h plus tard, lorsque je ne pense qu'à rejoindre ma couette. Et quand je me lève le matin, c'est la galère pour réussir à la faire émerger de son sommeil !

D'ailleurs, la question "au fait, c'est quand le matin pour vous ?" a toute son importance.

Pour moi, le matin, c'est entre 6h et 10h30. Après, on commence la "fin de matinée".
Pour ma compagne, le matin, c'est quand elle se lève. Ou, en fait, non, même pas. Quand elle commence sa journée de travail.
Par exemple, on met le réveil à 9h. Elle sort du lit vers 10h30. Elle va au boulot vers 11h30. Elle considère que c'est le matin jusqu'à 14h. Et avant 9h, c'est la nuit !

Je n'ai pas tout lu, mais je suis d'accord sur le manque de cohérence et de logique du port du masque.

Que l'auteure du message de base se soit fait incendier immédiatement par je-ne-sais-plus-qui (je ne cherche à incriminer personne, et n'ai de ressentiment envers aucun des deux concernés, donc je ne veux pas retenir les pseudos), ça me semble exagéré... C'était directement virulent, la suite du sujet est partie en couille.

Le sujet du port du masque est difficile, il divise beaucoup. Entre ceux qui suivent les lois à fond et même plus, ceux qui craignent le virus, ceux qui souffrent de la situation, ceux qui se rebellent, ceux qui la subissent, "font avec" tout en effectuant quelques aménagements pour que ce soit moins pénible, ceux qui l'analysent et ne comprennent plus rien...

Je n'ai donc pas l'intention d'entrer dans le débat, juste de dire : je comprends ce sentiment d'illogique, car rien n'est logique dans l'histoire :

• Je peux être sans masque dans un restaurant ou en terrasse d'un café, pendant des heures. On parle, on mange, donc on postillonne.
• Je dois porter mon masque dans une salle de cinéma. Pourtant, là, on est silencieux.
• Je dois mettre un masque dans les rues, toutes, à Bruxelles. Même s'il n'y a pas un chat à l'horizon.
• Mais si je cours, suis en trottinette ou en vélo, c'est bon. Ces trois activités sont considérées comme du sport. Mais pas la marche, même si je ne sors que pour bouger et que c'est donc mon seul vrai exercice physique du jour.
• Du jour au lendemain, les enfants sont passés du statut de "pestiférés" (c'étaient les porteurs sains dangereux) à celui de "innocents" (ils ne contaminent pas et ne sont pas contaminés).
• Etc.

Tout ce que j'ai envie de dire : c'est vivement que le vaccin soit créé, et qu'on reprenne une vie qui aura plus de sens et sera moins créatrice de conflits !

Comme @Mai-Tai , je n'ai pas pensé à un seul insecte plaisant !! Ah si, après avoir un peu réfléchi, la coccinelle m'est venue à l'esprit, mais très furtivement. Le moustique, la mouche et le frelon étaient trop insistants !!
Aloooors, go pour Star Wars !

Surtout que... bien ou mal, ça va toujours.
Donc, si ça va bien, je réponds "bien merci". Et si ça va pas bien, je réponds "ça va".

Il y a un aspect au port du masque que l'on aborde très peu...

On parle des difficultés à respirer et des problèmes de bienêtre physique que créent ces accessoires peu confortables.

Mais quid de l'aspect "psychologique" ?
Le sentiment d'être muselé...
La difficulté à reconnaitre les gens dans la rue...
Ne plus voir sourire personne...
Le malaise à force d'éviter de s'approcher d'autrui...
L'incompréhension à cause des voix étouffées...
Les sentiments désagréables qui en découlent (pour le parleur -> pas compris, tristesse, abandon / pour l'écouteur -> culpabilité de faire répéter, abandon)...

Au final, le porter... Je gère. J'ai délaissé le tissu pour passer au papier, plus léger. Je le porte "mal" (en attente sur le menton) la plupart du temps, et quand je croise des gens, ou que je vois des flics dans les environs, je le mets bien. Parce que je sais que c'est "sanitairement important" et un "masque anti-amendes". Avant, j'avais des migraines dès que je mettais le masque. Avec ces aménagements personnels, c'est bon, je préserve ma santé physique. Pas trop d'épuisement, de maux de tête, de chaleur, ... C'est supportable.

Mais le reste, tout l'aspect psychologique, ça va prendre du temps... Pour moi, le port du masque est angoissant, désagréable, démoralisant, déshumanisant aussi, d'une certaine manière, en tout cas pas du tout naturel. Et autant je voulais m'habituer physiquement, car c'est indispensable, autant je refuse de m'habituer psychologiquement ! Bref, je suis dans la memerde, car j'ai bien l'impression qu'on va devoir se le taper encore longtemps !

Ayame
Artelise
Kachina

Lol, bien sûr ! Moi et plein d'autres gens !
Et y a une entreprise de sanitaires qui porte mon nom de famille XD ! Un nom de famille de chiotte, quoi !

@Sky Degueu !!