J'ai du le voir à deux reprises coup sur coup dans la période suivant sa sortie, les années passent et je serai bien en peine de donner un avis éclairé aujourd'hui avec les bribes d'information(s) qui me reste mais je me souviens bien de l'état dans lequel j'étais une fois le 1er visionnage terminé.
Euphorique et à crier à tue-tête au génie.
Quelle prouesse de commencer un film par la fin de celui-ci et de tenir en haleine le spectateur jusqu'à la dernière minute. Un labyrinthe inextricable passionnant.
Merci de me rappeler qu'en tant que fan de Nolan, je me dois de me refaire un visionnage pour l'un de ces films que j'ai considéré moi aussi comme culte.
Il est temps que je le mentionne au présent. Direction télécharg la plateforme légale de streaming.
Moi aussi magnifique semaine de vacances avec feu d'artifice du côté de Paris dans le métro. J'étais très confiant sur mes chances que ça se passe bien étant donné que je capte rien à la circulation dans mes villes de 5000 habitants. Hey ben putain pas loupé, fallait prendre le métro à la porte de Chatelet chépakoi et limite je me suis retrouvé au marché aux Puces de Saint-Ouen. J'ai vu la tour Montparnasse en mode Buzz l'éclair avec charge de 25 kilos sur le dos et envoyé bouler 2/3 touristes japonais sans pass sanitaire. Les journées qu'on aime. Demain repos.
Revu ce magnifique film hier soir.
Génial de bout en bout.
Visuellement c'est superbe.
30 millions de dollars et pondre un truc comme ça bordel..
Respect.
Une fin un peu trop expéditive à mon goût.
Mais le fil rouge du film et son évolution:
"On est chez nous dégagez bande de pouilleux" jusqu'à presque verser sa petite larme pour les bestioles à la fin est vraiment super.
District 10 est en cours d'écriture apparemment.
La S.F qu'on aime.
Merci monsieur Blomkamp.
Dans un mois direction le train pour un long voyage.
Entre le Covidage, les grèves, les couronnes qui pètent, le sens de l'orientation, la foule, Noel et les impondérables, le topic vivra de nouveau.
Alors effectivement c'est le film que j'ai choisi pour la compétition.
Un bug dans la matrice qui s'appelle la flemme a fait que le topic a été crée par une adorable enfant à ma place, néanmoins cela ne m'immunise pas de donner un bref aperçu de mon choix.
Déjà l'acteur phare c'est l'un de mes bébés: Bénédict Cumberlalach-etc.
Aperçu dans la série Sherlock j'ai adoré cet oiseau et je l'ai trouvé superbe dans Imitation Game.
Torturé, sur-intelligence, moitié zozo, incompris, manque de sociabilité, sa palette personnelle d'acteur m'excite les vaisseaux sanguins.
Ensuite le sujet, la seconde guerre mondiale offre son ombre menaçante mais ce n'est pas le sujet du film.
C'est plutôt l'incroyable mécanique qui a opéré à Bletchley Park pour parvenir à défoncer les codes cryptés des machines allemandes qui transmettaient des ordres pour des convois, des sous-marins etc.
Tiré bien sûr d'évènements réels, on entre dans le cerveau d'Alan Turing, Monsieur ancêtre de l'ordinateur tombé en désuétude pour le seul tord d'aimer suçoter autre chose que des sucettes.
On peut ne pas aimer la seconde guerre mondiale mais apprécier ce film axé sur l'histoire de la période.
C'est le tour de passe-passe que parvient à offrir Imitation Game pour certain(s).
Merci de valider ces péripéties. Vous êtes bien bonnes. Soyons honnête, si ma lampe de chevet tombait ce soir, je serai foutu d'en faire un topic. C'est à la fois une malédiction et un don. Vu l'animation que va donner lieu ma fin d'année, il y aura sans doute un début d'incendie en terme de coneries. Soyez connectés et pensez à activer la cloche pour recevoir les notifications.
A l’époque, à sa sortie, le film m’en a touché une sans faire bouger l’autre. Aujourd’hui ce film se déguste comme un Bergerac à 11 degrés. En 2009 le premier Iron-Man était de sortie, Captain America et son bouclier était déjà prêt à faire le con et moi aussi je succombais au délire des super-héros et lors des nuits difficiles d’insomnie, je m’imaginais faire partie des Avengers doté de pouvoirs de télékinésie. Le réveil fut brutal et des années plus tard Watchmen entra dans mon cœur. Un générique d’ouverture magnifique qui restera dans les annales, un monde sombre, des phrases qui choquent, des scènes qui s’entrechoquent en choquant, c’est trash et cette ombre de l’apocalypse qui traîne tout au long du film est pesante. Des super-héros déchus, une enquête, on recoupe chaque fil narratif pour en faire un joyeux bousin de 3h30 en version Ultimate Director Cut Anthologie chépakoi et en avant Nounours. Les acteurs sont bons. Rorschach a une vraie gueule d’abîmé comme je les aime, le Comédien possède un faciès mémorable avec l’acteur de vous-savez-qui-c’est-walking-dead et Docteur Manhattan en a dans le slip et on sent tout au long du film sa puissance. Pas besoin de le voir dans le plus simple appareil pour la sentir d’ailleurs. Est-il gentil ? Est-il méchant ? Est-il suisse et neutre ? Je bascule tantôt d’un côté, tantôt de l’autre. Je ne fais pas partie des gens qui lisent les Comics, les bandes dessinées et tout le bazar donc j’ai découvert l’intrigue au fur et à mesure et j’ai été vivement emballé par le grand final ou l’on passe par tout un tas d’émotions. Bien loin des Avengers et du bien contre le mal, le film propose sa tambouille à base de : le mal c’est pas bien mais le bien est-il réellement bien par rapport au mal qui est mal ? Et j’aime ça. Les années passent et je deviens rabougri, le gant de Thanos ne m’inspire plus et je ne reverrai pas Spiderman et l’arche magique dans 10ans. Watchmen oui. Merci Zach Snyder.
A venir: Oui j'ai liké. Si vous avez un problème et ressentez le besoin d'en discuter afin de laver le linge sale en famille, je suis disponible en messagerie privée du lundi au vendredi 9h30-16h30.
Vu dimanche après-midi.
Après la réjouissante surprise de 2018, ce thriller horrifique nous offre une suite qui était attendu au tournant après un premier carton avec un p'tit budget pour le volet numéro 1.
On retrouve grosso merdo la recette qui a fonctionné pour Sans un Bruit 1, le silence étant la meilleure arme pour éviter de se faire embrocher par des créatures qui ont un design que j'aime beaucoup. Surtout leurs têtes. La scène d'ouverture a été très apprécié et après 15 minutes de film je me suis dis "vas-y bébé on va passer une bonne soirée" malgré mon constat personnel sur le fait que le film est bien trop court. Il fallait 1h55. On aura à peine 1h30. Je pardonne à John Krasinki mais c'est la dernière fois. Mais John a voulu me faire plaisir en plaçant l'un de mes acteurs favoris en la personne du beau, du magnifique Cillian Murphy que j'aime. Bon on va pas se raconter des conneries il n'est pas transcendant dans le film mais c'est Cillian alors c'est pas grave. Pas transcendant pour moi mais l'ensemble du casting reste convaincant. Convaincant et même plutôt satisfaisant. On est pas sur du dialogue comme avec les Tontons Flingueurs, ça bavasse pas toutes les 5 minutes et vaut mieux car les créatures ne sont pas là pour couper du bois mais je suis arrivé tout de même à m'attacher aux personnages et la dernière demie-heure est à la hauteur avec une tension maximale pour chacun des membres de la famille. Pas mal de questions sans réponses quand même, un peu trop court comme déjà mentionné mais l'ensemble fut agréable, le principe est original et a fait mouche pour moi. Je remercie Johnny pour son essai dans le milieu apocalyptique et j'attends le 3 en entassant mes paquets de chips.
@biquette Ce soir c'est galette sucre/beurre + galette complète saucisse fermière + dessert avec crêpe crème fouettée, chocolat, amandes + crêpe flambée, le tout arrosé de 75cl de cidre made in paysans locaux. Je cherche déjà des spots à proutes parce que ça va gazer sévère.
Vous aimez les films d’amour, de romance, l’évolution naturelle d’un couple au cours d’une vie retranscrit par la caméra d'un réalisateur ? Alors ne regardez pas The Lobster car il y a des chances que vous dégueuliez votre petit déjeuner.
Mais pour briller en société et citer les manquements de celle-ci envers ceux qui sortent des sentiers battus et questionner l’esprit de chacun sur la définition des relations humaines et la notion de célibat et ses conséquences, alors lisez attentivement.
La phrase précédente ne veut absolument rien dire mais ça fait intelligent alors j’ai tenté de la placer.
Bref, trêve de carabistouille, comme je suis à l’aise avec l’informatique, je vous copie-colle ici-même le synopsis des copains d’Allociné de The Lobster :
Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Dans un futur proche… Toute personne célibataire est arrêtée, transférée à l’Hôtel et a 45 jours pour trouver l’âme soeur. Passé ce délai, elle sera transformée en l'animal de son choix. Pour échapper à ce destin, un homme s'enfuit et rejoint dans les bois un groupe de résistants ; les Solitaires.
Le lien suivant pour la bande-annonce. J’ai pensé à tout.
Le casting n’est pas né de la dernière pluie car on retrouve en guest-star Colin Farrell. Colin pour la petite histoire devait prendre 20 kilos pour incarner le rôle du bon petit mari à grosse bedaine pour partir à la recherche de sa dulcinée. Il a littéralement fait fondre dans un micro-onde de la glace Haagen-Dazs et la boire comme ça pour prendre plus vite. J’en bouffe autant que lui mais malheureusement je ne tourne pas dans des films.
Et puis la sublime Rachel Weisz est de la partie elle aussi. J’étais amoureux d’elle dans Stalingrad (2000) le film ou ça fait pan-pan en plein milieu de la bataille de Stalingrad pendant la seconde guerre mondiale. Léa Seydoux s’invite aussi dans le film mais elle m’en touche une sans faire bouger l’autre.
Bref, y a quand même des têtes connues pour ce gloubi-boulga avec à sa tête un réalisateur moitié grec je crois, des consortiums privés anglais, des acteurs de toute la péninsule ibérique ou occidentale et ça nous donne une sacrée usine à gaz et un beau bordel pour ce film suspect.
L'avis de Kourski la Tepu :
3 portes de sortie :
On adhère au projet
On en fini avec la vie
On reprends le cours de sa vie normale mais on loue les efforts qui ont été fait pour proposer des choses différentes
C’est donc la 3éme option que je favorise pour cet O.V.N.I sorti tout droit des entrailles d’un grec à l’esprit démoniaque. J’ai lu rapidement la 1ére page des critiques Allociné des spectateurs et j’ai quitté la page et supprimer mon compte car le film se présente comme incroyablement clivant. Soit c’est une arnaque et ceux qui aiment sont à éliminer soit les autres sont fermés comme des huîtres et ne sont bons qu’à se tripoter sur le gant de Thanos. Ils sont fous là-bas. Toujours est-il que ce film détonne et sa proposition de monde alternatif ou chaque célibataire est à éradiquer offre des moments complètement WTF. Comme je suis pas tout net dans la tête, j’ai plutôt apprécié le film et me suis même offert le luxe de rigoler un petit peu.
Comme au moment ou l’homme qui zozote se fait griller la main dans un grille-pain pour s’être caresser l’engin. Le septième art qu’on aime.
Bref, lâchez-vous, que faîtes-vous, qu’en pensez-vous.
@biquette Il faut en rire ce soir ma jeune biquette. Je respire, je marche, je mange des frites. Tout va bien. Je retente demain. La marche vers l'espoir. -vol2-
J'étais un fifrelin dans les années 90 et je n'avais pas froid aux yeux. Oh ça non. Oui oui papa je regarde Boumbo et Power Rangers t'inquiète pas. Et derrière je me coltinai des films à haute sensation. En 1995 j'étais un enfant qui respirait la confiance. Après le visionnage du film je sentais le caca. Celui d'un stressé qui voyait dés le lendemain dans la glace de la salle de bain le reflet du Predator qui était prêt à m'envoyer des missiles portatifs chépakoi qu'il avait sur son épaule.
Le premier coup de pression commença avec la vision du Predator. Ce gloubi-boulga de couleurs primaires qui simule la vision du Predator enflamme mon corps d'enfant. On sait qu'il est là mais on ne le voit pas. Il est à gauche? Raté mon con il est à droite. Alors il est à droite? T'es trop lent bébé il est à gauche.
Johnny Mac Tiernan a su jouer avec nos nerfs comme personne. Il présente sa bande à couilles épaisses qui paraissent invincibles. On s'identifie bien à ces gros bras à l'humour discutable alors que nos cuisses galbés dans du papier à musique ne représentent même pas 20% de la masse musculaire des avants-bras des acteurs.
Puis l'impensable. La bête c'est du costaud. Ils tombent comme des mouches les saligauds. Et c'est sacrément bien foutu.
La musique inoubliable, oppressante, jouissive vous transperce l'âme. Vous savez. Vous savez qu'il va se passer quelque chose. Mais vous ne voyez rien. Vous devinez. Et vous chiez calmement dans votre culotte.
Le prédateur prédate.
Le prédateur humain prédate que dalle et s'humanise.
Les effets spéciaux sont au poil de cul, le décor est étouffant, le huis-clos en pleine jungle est tourné comme il faut et l'apparition du seigneur de ces lieux est un choc.
Mon film référence d'Arnold avec Terminator 2. Quelques années plus tard j'ai eu pour Noel le tee-shirt Predator mais j'ai du l'abandonner rapidement car sa matière low-cost me donnait des boutons et des rougeurs sur le torse. N'est pas un prédateur qui veux.