Je n'ai pas trop l'habitude de changer mon avatar toutes les 5 mn, mais j'aime bien Halloween, c'est pour moi une belle occasion...

Je n'ai pas trop l'habitude de changer mon avatar toutes les 5 mn, mais j'aime bien Halloween, c'est pour moi une belle occasion...
Bonjour à tous,
J'habite en région Rhône Alpes, et j'aime tous ce qui est créatif.
Je cherchais un forum sympa afin de discuter avec convivialité... il me semble avoir trouvé, donc au plaisir de vous croiser au fil des discussions !
Ayant été plus que mutique depuis ma présentation il y a quelques mois, je repasse par ici par politesse... Effectivement, je n'ai pas eu beaucoup de temps dernièrement et j'ai mis de coté ce forum auquel j'avais bien prévu de participer.
Mais là je vais trouver le temps !
Popcorn m'a été recommandé chaudement par l'une d'entre vous, et je suis sure que ce n'est pas sans raison !
@Artelise C'est assez contradictoire en effet !
Mes 3 enfants ont maintenant entre 23 et 30 ans, mais quand ils étaient ados, je ne suis souvent fait regarder de travers par les parents "rigoureux"... Mon approche était différente, mais le temps m'a montré qu'elle était bonne.
Lorsque mes enfants avaient environ 14 ans, j'ai commencé à leur "apprendre" à boire : faire gouter, leur permettre de consommer des alcools pas fort sous surveillance, et à terme leur apprendre à gérer leur consommation, et surtout les effets.
Et c'est ce qu'ils ont fait, progressivement, sans se faire avoir, et maintenant ils savent faire sans excès.
Par contre, j'ai vu des gamins à qui ça avait été complètement interdit(par les parents qui me regardaient de travers) se retrouver un jour à 16 ans hors de la surveillance des parents (ça arrive forcément un jour), se jeter sur n'importe quel alcool et finir par partir en comas éthylique avec les pompiers...
Comme pour tout (l'utilisation d'internet par exemple), il vaut mieux leur apprendre à se comporter que leur interdire, car c'est vraiment un leurre de s'imaginer qu'ils resterons toute leur vie sur cette interdiction. Et plus on a interdit, plus il y iront quand la contrainte lâchera !
Connaissant cette histoire, je n'irais pas voir ce film parce que je n'ai pas envie de m'imposer ça. Du peu que j'ai pu voir, le jeu des acteurs doit être excellent, et c'est une raison de plus.
Que cette histoire soit écœurante, c'est une première chose, mais le fait d'avoir vécu cette époque, de pouvoir confirmer par mon vécu que oui, à l'époque, ce genre de chose passait crème, ça me sidère. Et ça me bouleverse d'autant plus que moi aussi, je trouvais ça pas anormal (mais j'étais petite) et ça aurait pu m'arriver tranquillou.
@Jabba-the-Hutt a dit dans Le topic défouloir (quand t'as envie de rager) :
@Nyanne Il existe les donations aussi,plus ou moins arrangée d'ailleurs.
Dans le milieu que je fréquente, il est courant que le départ dans la vie se fasse avec de grosses sommes d'argent, un bien immobilier et naturellement des facilités certaines à l'emploi.Quand vous êtes content d'acheter vote première maison à 25 ans et que vous vous apercevez que tous vos collègues du même âge ont déjà un bien financé par papa/maman
Bien sur, ça arrive aussi. Mais s'il y a des gens qui ont de l'argent, tant mieux pour eux. De toute façon, il y a toujours eu des riches et des pauvres, et le fait que certains ont plus facilement accès à la propriété, ce n'est pas nouveau.
Je pense que si on y accède un peu plus tard que ces personnes, c'est pas si grave, l'important c'est qu'on assume correctement sa vie.
Je serais plus inquiète par le fossé qui se creuse et par le fait qu'il y a beaucoup de personnes qui n'y arriveront jamais...
@Cynthia80 a dit dans Transphobie de J. K. Rowling :
Tu fais une fixation là, non un gyneco ne soigne pas des trans, pas formés pour.
Ah oui ? pourtant, il y a toujours quelqu'un qui revient sur la question du gynéco alors qu'il a bien été dit précédemment qu'il fallait revenir au sujet...
Je ne fais que défendre mon point de vue et le partager. Libre à chacun d'être d'accord ou pas. Et moi je ne suis pas d'accord avec toi non plus. Et ce n'est pas un problème...
A ceux qui pensent qu'on en fait des caisses au sujet des personnes trans : si on les laissait être ce qu'elles ont envie d'être, vivre comme elles le souhaite, et vivre comme les autres, se faire soigner comme les autres, on n'en entendrait pas parler parce qu'on n'aurait pas besoin d'en parler...
Donc qui en fait des caisses à ce sujet, qui fait une fixette ?
Bah par exemple, JK Rowling, qui revient sur le sujet régulièrement.
Si on parle de la transphobie, c'est pas parce que les personnes trans existent, c'est parce que la transphobie existe !
Une conséquence passée sous silence : les suicides
Ceux qui compensaient leur manque d'envie de vivre par leur vie sociale et qui se sont retrouvé face au vide à l'intérieur d'eux mêmes, ceux qui étaient déjà hyper anxieux et qui n'ont pas su gérer la pression supplémentaire (il faut dire que les médias se sont éclatés), ceux qui avaient déjà une vie difficile pour qui ça a été le truc de trop...
Je suis convaincue qu'il y en a eu plus que ce qu'on croit...
C'était une bêtise, mais le fait d'en parler, ça peut aussi être une seconde bêtise...
Il faut relativiser : cet épisode a été instructif pour toi. D'abord ça a démontré par l'exemple qu'il fallait apprendre à dire non, et ça t'a aussi appris qu'il ne fallait pas transgresser les règles car ça te met visiblement trop mal à l'aise.
Il faut donc accepter la leçon, et tourner la page.
Concernant le danger concret, étant donné qu'il n'y a pas eu de caméras, et que c'était quand même un acte vraiment minime, il faut se préparer à mentir si jamais le collègue lâche le morceau en partant (mais visiblement, il n'y a aucune raison).
S'il le fait, c'est que c'est vraiment quelqu'un de pas sympa. Il n'y aura donc aucune raison de le protéger, donc il suffira de dire qu'il a menti (par jalousie par exemple) et c'est tout. Ca sera parole contre parole.
Et s'il ne dit rien, tout rentrera dans l'ordre, et tout le monde sera content.
Les gens n'ont pas toujours besoin de tout savoir. Nous même on ne sait pas tout sur les autres, et ça ne nous pose pas de problèmes...
@Kallindra L'acceptation des personnes transgenre est une question intime, et chacun a sa propre position.
Considérer les femmes transgenres comme ses égales quand on est une femme, ou l'inverse, ça relève de l'intériorité de chacun.
Et ce n'est pas un problème.
Pour ma part, je considère qu'il existe des grandes, des petites, des femmes qui sont des armoires à glace et d'autres qui s'habillent en 14 ans. Des hommes aussi. C'est la diversité.
A mon sens, la présente des personnes trans n'est qu'un très léger élargissement dans la diversité, cette diversité qui fait déjà qu'on n'a pas toute la même force.
Mais ce n'est que mon opinion, qui ne vaut pas plus que celle des autres.
Cependant, au contraire des opinions intimes, quand c'est la société qui n'accepte pas cet élargissement de diversité, ce qui entraine que les personnes transgenre accèdent à moins de soins, de soutien social ou tout autre service dont bénéficie la population, je trouve que c'est un problème.
Sur le principe, ça serait en effet intéressant, mais je ne pense pas que je trouverais le courage de le lire...
Dans l'Egypte antique, les femmes avaient le droit de répudier un mari et d'être propriétaire...
Je n'ai jamais vu ni fait de book de musicien, par contre, je me doute que ce qui doit être important, c'est l'ambiance que ça dégage.
C'est une question de communication, comment communiquer les éléments impalpables qui font que tu es un musicien singulier qui se démarque des autres...
Pour moi c'est l'antiquité, avec une fascination particulière pour l'Egypte des pharaons.
Ca vient surement d'une sensibilité à l'art de cet époque, mais je me suis aussi beaucoup documentée sur cette civilisation, et j'y ai trouvé une vision qui m'a passionnée.
@Barbouille a dit dans Chasse : un weekend mortel :
Qu'en pensez vous ?
Ca craint !
On n'a pas fini de se prendre des balles perdues...
Et ça démontre le soutien du gouvernement à cette activité que je trouve plus que contestable.
@icescream L'éducation est en effet à la charge des familles, et l'enseignement à la charge du système éducatif. C'est vrai que les mots sont mal utilisés, mais on est d'accord sur ce point.
Par contre, faire la surveillance dans l'enceinte de l'établissement, et veiller à ce que les règles soient respectées, cela relève de l'établissement, pas des familles.
Mais effectivement, si les familles ne font pas leur part, c'est clair que ça ne facilite pas la tâche...
Je trouve que c'est un non sens ! Moi qui ait commencé à avoir des cystites à l'âge de 14 ou 15 ans, ça n'aurait pas été possible...
Mais bon, il y a quand même un truc auquel je pense : je sais que ce n'est pas forcément facile, mais gérer le comportement des élèves dans l'enceinte de l'établissement, ça fait partie du taf des équipes éducatives et de surveillance.
Ok, ils manquent de personnel, mais est-ce que ce problème doit se régler au détriment de la santé des enfants ?
@LeaPierce Tout à fait ! D'ailleurs, je le sais parce que c'est exactement ce que j'ai fait ! (il y a longtemps)
@Artelise C'est assez contradictoire en effet !
Mes 3 enfants ont maintenant entre 23 et 30 ans, mais quand ils étaient ados, je ne suis souvent fait regarder de travers par les parents "rigoureux"... Mon approche était différente, mais le temps m'a montré qu'elle était bonne.
Lorsque mes enfants avaient environ 14 ans, j'ai commencé à leur "apprendre" à boire : faire gouter, leur permettre de consommer des alcools pas fort sous surveillance, et à terme leur apprendre à gérer leur consommation, et surtout les effets.
Et c'est ce qu'ils ont fait, progressivement, sans se faire avoir, et maintenant ils savent faire sans excès.
Par contre, j'ai vu des gamins à qui ça avait été complètement interdit(par les parents qui me regardaient de travers) se retrouver un jour à 16 ans hors de la surveillance des parents (ça arrive forcément un jour), se jeter sur n'importe quel alcool et finir par partir en comas éthylique avec les pompiers...
Comme pour tout (l'utilisation d'internet par exemple), il vaut mieux leur apprendre à se comporter que leur interdire, car c'est vraiment un leurre de s'imaginer qu'ils resterons toute leur vie sur cette interdiction. Et plus on a interdit, plus il y iront quand la contrainte lâchera !