Qui a dit qu'un impact de carrosserie ne pouvait être sensuel ?
Meilleurs messages postés par Peri
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RE: Illusions d'optique et double-takesposté dans Arts
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"Comment ont-ils fait ?" [un topic sur les effets spéciaux à l'ancienne]posté dans Parler Cinéma
"Comment ont ils fait ?" Cette question, nous nous la sommes tous posé au moins une fois, en réaction à un effet spécial particulièrement réussi, tels des spectateurs ébahis par un brillant numéro de prestidigitation.
Comment ont-ils réussi ce tour de force, ces magiciens du cinéma ?
Le paradoxe est que, plus les effets spéciaux gagnaient en qualité ces 20 dernières années, et moins la question se posait, la réponse toute-prête "boh c'est fait par ordinateur" tendant à s'imposer de plus en plus, siphonnant tout le côté magique de la chose.
Voila pourquoi je nous invite à nous reposer cette question, en partageant ici quelques effets visuels à la mécanique aussi mystérieuse qu'astucieuse, n'ayant -si possible- pas eu recours à l'informatique.
2001, l'odyssée de l'espace. (1968)
Au début du film, un voyageur endormi durant son vol spatial laisse échapper son stylo, lequel se met à flotter en apesanteur.

Sh ! The Octopus (1937)
En retirant sa perruque, une femme voit son visage changer radicalement.

Et de votre côté, en avez vous d'autres à partager ?
(vous n'êtes pas obligés de poster la réponse à "comment ça a été fait ?", c'est quelque chose que l'on peut aussi découvrir ensemble.
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RE: Cooking challenge 2021posté dans Cuisine
@Shanna a dit dans Cooking challenge :
Damned, j'avais pas pensé à cette faille procédurale : à chaque fois que qqun va tenter de valider le dernier item, Hornet va venir approuver ou désapprouver.

Tous ces instants de suspense épique en perspective.



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RE: Célébrez-vous la Saint-Valentin ?posté dans Loisirs
Personne n'a posté ici aujourd'hui ?
Bon, ben je m'y colle... pour critiquer la démarche. [mode_rabat-joie_on]

Oui, l'essence de cette fête m'a toujours quelque peu échappé. Ok, je comprends le folklore, la mignonitude et l'énergie positive gravitant autour de tout ça.
Mais la magie de l'Amour ne réside t'elle pas dans sa spontanéité, son imprévisibilité ? Par conséquent, il n'y a selon moi pas plus "tue l'Amour" que de décréter une journée officielle où on attend de tous les couples qu'ils se fassent des petits cadeaux et des diners aux chandelles.D'autant que, on va pas se mentir, c'est souvent un prétexte de la part des restaurateurs pour gonfler artificiellement leurs prix.
Voilà pourquoi, avec Madame, ça fait pas mal d'années qu'on marque quand même le coup, mais systématiquement le lendemain, le 15 février... soit le jour de la Saint-Claude (qui est par ailleurs la capitale de la pipe, et... je ne... sais pas du tout où je vais avec cette info...)

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RE: Vos moments extraordinaires/insolites/débilesposté dans Carte blanche
Le contexte
il y a une quinzaine d'année, toute ma famille se donne rendez vous chez le grand-père pour y passer une petite semaine au bord de la mer, pas loin de Barcelone. Entre les voitures et les trains, chacun vient par ses propres moyens. On se dit qu'on se débrouillera en covoiturage pour rapatrier tout le monde en fin de séjour.
Seulement problème, on réalise bien vite qu'il manque de la place. Quelqu'un ne sera pas du voyage de retour, et devra se rabattre sur un avion. Ca tombe sur moi, le moins aérodromophobe de la bande.Le jour de l'acte
C'était un dimanche. Toute la famille a pris la route très tôt le matin pour 11 à 12 heures de route. Ne reste que les grand-parents, résidents permanent. Moi je ne décolle qu'à partir de 18h et dispose encore d'une petite journée à profiter. Et justement il fait beau. Et il y a des vagues. J'adore les vagues.Au bon endroit... au bon moment
Je ne me prive pas, je passe toute la matinée dans les rouleaux, à bodysurfer. Gamin j'en avais une planche pour prendre les vagues, elle a cassé, on ne m'en a jamais repayé une, et j'ai du faire sans. Du coup j'ai découvert le bodysurf en autodidacte, jusqu'à développer une technique relativement efficace, je dois le reconnaitre. Notez bien cela, même ça ne servira plus pour le reste du récit (j'avais juste envie de le placer).
Au bout d'une petit heure, la fatigue se faisant sentir, je décide de sortir de l'eau, quand une personne à proximité m'interpelle. Elle me fait des signes. Dans un premier temps, je pense qu'elle s'adresse à quelqu'un d'autre. Mais non, nous sommes seuls. Sans compter qu'entre les crachats et régurgitations de cette tête qui peine à dépasser de l'eau, je commence à reconnaitre des appels à l'aide, dans un espagnol paniqué."A toi de jouer bonhomme"
Nous sommes seuls, disais-je dans le paragraphe précédent. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre que cette personne se noie, et que son unique espoir, c'est moi. En deux coups de crawl, je le rejoins et tente de l'agripper pour le ramener vers le rivage. Vous voyez ces scènes de films où tout semble se résoudre une fois que le noyé est rejoins par quelqu'un ? Bon, et bien dans la réalité ça ne se passe pas comme ça. Le courant est fort. Bordel, une baïne. Tu m'étonnes qu'il se soit fait avoir. En plus il est lourd. Plus petit mais plus lourd que moi. Je n'arriverai pas à le ramener seul. Il s'en aperçoit aussi. Il panique de plus belle, gesticule de plus en plus, s'agrippe à moi comme à un rondin. Ce con me pousse vers le fond. Il va me filer un coup et on va se noyer tous les deux si ça continue comme ça.Tour d’hommes sous-marine
L'équation est simple. Soit les sauveteurs de la plage interviennent vite, soit je l'abandonne si je ne veux pas mourir moi aussi. C'est là que j'ai une idée. Là où nous sommes, la profondeur ne dépasse pas deux mètres. Après lui avoir ordonné de crier, je prend une énorme bouffée d'air et je plonge. J'attrape les jambes du malheureux et je le hisse, du mieux que je peux, la tête hors de l’eau. C'est que nous sommes en Catalogne, Puta Madre !, la terre des Castells, ces tours d'hommes hautes de plusieurs étages (cliquez, c'est beau à voir). Mon record personnel d’apnée est de quelque chose comme 2 minutes 30. Là, avec la fatigue, les remous, le poids du mec, je ne dépasserai pas les 40 secondes, je le sais. Mais tout est bon à prendre. Je tiens la base du mieux que je peux, mon gars hurle tout ce qu’il a. Deux surveillants de plage l’entendent, se jètent à l’eau, et sont sur nous en 30 secondes.Mais… mais c’est Daniel Craig !
Il est sauvé ! L’un des sauveteurs commence à le ramener jusqu’à la plage où un attroupement s’est depuis peu formé. L’autre se tourne vers moi. Je lui fais comprendre que tout va bien, il me laisse donc rejoindre le rivage par mes propre moyens. Après tout ça, j’allais quand même pas me pointer sur le sable en tant que « sauvé », même si c'est un peu le cas... J’ai ma petite fierté quand même. Et c'est là que vous devez commencer à vous dire « Eh mais il devait pas y avoir Daniel Craig dans ton histoire ? ».L’épisode se finit ainsi. Je m’enquiers de l’état de mon infortuné compagnon de houle, pris en main par les secours. Il va bien. Plus de peur que de mal. Nous échangeons une poignée de main, et un regard. Ce regard, bon sang. Ce regard qui ne peut pas mentir et ne dit rien de moins d'autre que « vous m’avez sauvé la vie ». Ecrit comme ça ça peut avoir l’air ampoulé, mais en vrai je vous assure que ça vous traverse le coeur, en emportant un morceau de poumon au passage.
De retour chez mon grand père, je trouve ce dernier sur la terrasse, face à la mer, le regard perdu vers le loin, tel ces vigies de l'Histoire qui ont traversé l'existence en ayant vu trop de belles ou de vilaines choses.
-T’as sauvé quelqu’un ?
-Oui.
-Allez, viens à table, ça va être froid. -
RE: Illusions d'optique et double-takesposté dans Arts
Ces trois jeunes filles font la même taille.

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La Balade à Énigme Virtuelle #2 - La folie écarlateposté dans Animations Communauté
Bonsoir tous,
En cette periode si réjouissante de confinement, quoi de mieux que le virtuel pour pallier ces belles randonnées que nous ne pouvons plus faire IRL ?
C'est pourquoi je vous soumet cette seconde balade à Enigme (la première n'étant plus à jour ni disponible sur ce forum mais soit) où je vous emmène à nouveau à Paris, au coeur d'un quartier que vous reconnaitrez surement...
Comme pour la première édition, le jeu se joue grâce à Google Street View, en se déplaçant et s'orientant au moyen de quelques informations et d'une petite story de mon cru.
Quelques informations sont à glaner tout le long du parcours, les gagnants seront celles et ceux à m'avoir communiqué sur ma boite privée un mot sésame de 8 lettres.
Tout va bien ? Alors c'est parti.
Groggy, je retrouve mes esprits
c'est le lien pour jouer ----> ici <-----c'est le lien pour jouer me demandant dans un premier temps où je suis, puis pourquoi cette grille sur le sol ressemble tant à un vieil iPod.
Dans ma main, je trouve ceci.Les matricules écarlates ? Le nom de la P.C. ?
Qu'est-ce que c'est que ce délire encore ?
Bon, visiblement on attend quelque chose de moi. Il me faut trouver mon chemin.
Prenons donc la direction indiquée par ce parking à vélo.La couleur rouge semble particulièrement présente dans ce parc. Cet étrange édifice par exemple, surplombé d’une grue, au milieu du gazon sur ma droite. Une lettre et un chiffre sont inscrit dessus. Peut-être est-ce... je vais les noter, dans le doute…
J’arrive à hauteur d’un edifice d’aspect plus ancien offrant un abri aux deux-roues et… qu’est-ce que c’est que cet utilitaire rouge garé devant ? Pourquoi cette couleur m’attire t’elle tant ? Je décide de bifurquer ici, et de me rapprocher de ce véhicule. Il me rappelle un peu le bâtiment précédent avec ses lettres blanches sur ses portières.
Le temps me semble menaçant, je ne serais pas contre l'idée de me rapprocher de cette étrange toiture ondulée, droit devant. Sait-on jamais....
Ah enfin un panneau indicateur. Rouge lui aussi ? Décidemment. Où aller ? Je l’ignore. Tirons à pile ou face. Pile, ca sera au sud ; face, au nord. C’est face.
Il ne me faut que quelques mètres avant d’être reconfronté à cette maudite couleur. Elle va finir par me rendre fou. Et tiens puisqu'on en parle, la folie semble ici évoquée. Peut-être était-ce aussi le cas sur l’édifice-grue de tantôt, je re-vérifierai à l’occasion. Et à nouveau une lettre et un numéro. Tiens tiens...
Sur mon chemin je rencontre des chaises de bois parfaitement alignées sur le gazon. Elles m'invitent au repos, me calment. J'aime le vert. Mais il me faut continuer. Tout droit.
Pas si loin, la « folie-rouge » s’empare à nouveau de moi. Une fois. Puis deux. Je me doute de ce qu’il me faut faire.
Très vite j’arrive à ce lieu qui, d'ordinaire, fait la joie des enfants. Mais pas aujourd'hui visiblement. Il me faut à nouveau choisir mon chemin. Je repasse sous la toiture ondulée. Mon Dieu, tout ce rouge ! Le bâtiment mitoyen, rayé et aux teintes désaturées, m'apaise. Je choisis de le contourner et ce faisant, le "rouge" tente à nouveau de m'affecter. Je lui échappe. Cette fois.
Je marche tout droit maintenant. M'aventurer trop sur la gauche serait dangereux. Arriverai-je jusqu’à hauteur de cette espèce d’énorme boule de pétanque sur l’autre rive, sans me laisser distraire par cette damnée couleur rouge que je ne cesse de rencontrer. Evidemment que je n’y arrive pas.
Tiens, une passerelle. "La folie" la jouxte. Passer dessous ne m’attire donc guère. Coupons donc par les arbres sans y prêter attention. Une seconde fois, je m'échappe de l'emprise du rouge.
Qu’est-ce que cela ? Une bicyclette ? Surement abandonnée il y a fort longtemps par quelque colossal géant, vu ses dimensions. Je n’ai pas le temps de m’y attarder, m'abandonnant à nouveau, dans un instant de faiblesse, au rouge. Tiens, « la folie » ne semble ici pas mentionnée. De l’autre côté peut-être ? Vérifions. Oui, elle y est. Je continue tout droit jusqu’à un poste de contrôle. Ses barrières restent abaissées ? Que nenni, je passe quand même.
A droite ? à gauche ? Il me semble que je n’ai guère le choix de toutes façons. Continuons.
Une nouvelle barrière ? Celle-ci est ouverte au moins. Un peu plus loin il me faudra traverser le canal, mais surtout, surtout, sans traverser la piste cyclable.
Oulah, ce virage en épingle à cheveux m’a surpris. Dans la précipitation, je manque de trébucher. Le temps de reprendre mes esprits, je remarque ce carton, fixé à un panneau de signalisation. Serait-ce…. ? Continuons.
Oui, la voila, elle n’était pas bien loin. Monter à son bord m’est impossible. Mais c’est sans importance, je pense avoir tout ce qu’il faut pour terminer.
Merci pour votre participation et bonne chance à tous !
Edit :
Conseil de game play. Il est plus simple de jouer depuis un pc, en affichant en simultanée, et la photosphère, et le plan.

ou même en affichant le récit en parallèle c'est encore mieux.

Hall of fame :
Ils ont bouclé le parcours et trouvé le mot sesame :
1- @Trichemire
2- @Shanna
3- @Moving
4- @Steliane
5- @Marmotte
6- @Ragnar -
RE: Les titres de films anglais traduits... en anglais !posté dans Parler Cinéma
L'un des derniers sur lesquels je suis tombé.
En français, le film Knight and Day est devenu... Night and Day.


: Tu as vu France ? J'ai fait un jeu de mot. 
: Don't care. 

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RE: [AJA] Aujourd'hui j'ai apprisposté dans Carte blanche
AJA que les manchots d'Adélie avaient comme pratique sexuelle la masturbation à l'aide de poussins morts.
Un super sujet de conversation à placer durant le réveillon, entre les huitres et les toasts au Chutney.

Oh oui, tu peux faire ton mignon, toi. On sait ce que tu fais quand on a le dos tourné.
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RE: Illusions d'optique et double-takesposté dans Arts
C’est un oiseau ? C’est un avion ? Non, c’est SUPER-ÉVÊQUE !
️https://x.com/buitengebieden/status/1758212165570302411?s=61&t=ZryV6W00u_4aymaxwjb_NQ
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RE: QUIZ - En criant son nom 3 - Orabig et Kallindra ont vaincu !posté dans Animations Communauté
@Mnemmeth a dit dans QUIZ en live ce soir ! En criant son nom ! :
pourquoi le dino?
Si c'est en rapport à son âge, Brigitte n'a que 32 millions d'annees, contre 65 pour les dinos.
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RE: Le réveillon du jour de l'anposté dans Carte blanche
Joyeux 32 décembre 2020 à toutes et tous !

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RE: Le jeu de l'image inadéquateposté dans Animations Communauté
@jool a dit dans Le jeu de l'image inadéquate :
@Orabig
Justement c'est tout ce qui fait le jeu des bluffeurs d'orienter les doutes selon les personnes visées, j'ai regardé attentivement les 2 saisons des Traîtres et c'était bluffant de voir comment les honnêtes s'éradiquaient entre eux sous le regard amusé des traîtres!Ou regard amusé de l'organisatrice.
Car une hypothèse n'a toujours pas été avancée : celle voulant qu'il n'y a en fait aucun traitre, uniquement des gens honnêtes, et que @Shanna nous la fait à l'envers depuis le début.

En plus, c'est pas comme si je lui avais soufflé cette idée, il y a six mois à peine.
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RE: Illusions d'optique et double-takesposté dans Arts
Peut-être celle-ci a t'elle déjà été postée par ici.
Quel étrange animal identifiez-vous ici ?

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RE: Quel est le jeu qui vous a le plus marqué ?posté dans Parler Jeux
Il y a un jeu.
C'est pas mon préféré. C'est pas le plus beau, ni le mieux écrit auquel j'ai joué.Mais il a réussi à m'affecter d'une façon à laquelle je ne m'attendais pas.
Ce jeu, c'est les Sims 1.

Quand j'y ai joué, il y a près d'une vingtaine d'année, je me suis retrouvé dans cette situation particulière.
J'avais simulé une petite colloc de 4 personnes qui tournait bien.
Et voila qu'est arrivé "l'élément perturbateur". L'une de mes sims s'amourache d'un voisin, lequel emménage illico. Ok. A l'aise le gars.Ca aurait pu très bien se passer. L'ennui est que le gars était un gros flemmard, un parasite fini au sein de la maison et que, lorsque le couple a cassé, il est resté. Du coup, il a fallu que je lui emménage sa propre chambre, ce qui m'a couté des sous que lui ne me rapportait pas.
N'arrivant pas à le faire évoluer en mieux, j'ai cherché à le faire partir, en vain.
Il était solidement accroché au foyer, même si plus rien ne l'y retenait (sérieux, le voisin, t'avais pas un domicile avant ?)C'est donc tout naturellement que j'en suis venu à l'idée... de le tuer.
A l'époque, les trucs et astuces pour tuer un Sim n'étaient pas particulièrement connus, il m'a fallu tâtonner. J'ai finalement réussi à le noyer dans la piscine.L'intrus mort, je pensais que le quotidien allait reprendre son cours, comme auparavant. Sauf que ce décès a endeuillé mes sims comme jamais. Ils ne faisaient plus rien d'autres que se lamenter, passant leurs journées à se recueillir devant l'urne du mort. J'ai donc vendu l'urne et...
Stop.
Jeu en pause 
Bon sang, qu'est-ce que tu viens de faire Peri ?

Tu viens de préméditer, et perpétrer un meurtre. Et tu as même poussé l'horreur jusqu'à vendre l'urne de ta victime, allant jusqu'à te faire de l'argent par ton refus à lui accorder la moindre sépulture.
Bien sur c'est virtuel, ce n'est qu'un jeu. Personne n'est mort.
Ca ne change pas le fait que j'ai choisi d'agir de la sorte. J'ai choisi de tuer, quand bien même c'était pas nécessaire, et surtout dans un jeu où ça ne s'y prêtait pas (on n'est pas non plus dans GTA ou dans Hitman). Je vous jure que sur le coup, ça fait bizarre. Comme si une part insoupçonnée -et particulièrement sombre- de moi-même avait temporairement pris les commande. On ne se sent pas reluisant sur le moment.
Je me souviens que j'ai alors senti le besoin de sortir prendre l'air et de réfléchir à tout ça.

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RE: Vous avez carte blanche !posté dans Carte blanche
En vous souhaitant à tous de passer une soirée plus passionnante que la mienne.

Un vieux clavier, qui marche parfaitement, mais qui était crade....
Mais crade.
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RE: Illusions d'optique et double-takesposté dans Arts
Une tapisserie (tout ce qu'il y a de plus plat) représentant un tapis ondulé.




