Ravi de me jeter corps et âme dans cette nouvelle aventure. Pour le moment je laisse le suspense atterrir gentiment. Vous aurez l'occasion d'en savoir plus sur cette gargouille mystérieuse et cet étrange Zébulon. Au plaisir d'échanges savoureux.
Meilleurs messages postés par Zébulon
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N'ayez crainte, ce n'est que moi.posté dans Présentations
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RE: N'ayez crainte, ce n'est que moi.posté dans Présentations
Un merci groupé à tous. Pour résumer un peu de moi, j'ai trouvé ce forum par hasard dans les méandres du net. Et comme j'aime les pop-corn, ( ils me font penser au cinéma ) mon appétit s'est aiguisé.
Alors me voici fraichement débarqué ici. J'ai l'habitude des forums et j'aime bien en découvrir d'autres. Mais pas de les déshabiller, ceci s'entend. J'habite dans une ville au beau château, non loin où Napoléon a déposé les armes. Mon but est de ne pas vous donner larme à l'œil : ce temps est révolu. Puis vous allez bien trouver de quelle ville il s'agit. Vous avez toutes mes amitiés au passage, même aux pas sages du tout. Il faut de tout comme on dit. Le côté positif est qu'après quelques petites intrusions dans les posts, j'ai été séduit par la qualité des échanges et beau degré de prestance des membres au pont de sentir mes membres frémir. Moi-même, j'affectionne la création de posts sympas. Mais inutile de se hâter trop vite : il faut laisser le temps tâter la patience. Se jeter dans la gueule du loup ne sert à rien. Professionnellement je suis dans la restauration. Inutile de vous emporter, je ne fais pas à emporter. C'est la crise des Fourneaux, comme le dit si bien les journaux. Il y a d'autres menus sympas, comme le goût des plaisirs. Je ne dis pas que je suis célibataire. Je ne souhaite nullement une émeute à peine arrivé. Toujours se faire en premier comme ami les potes. Une fois ami, la présentation des amies est plus facile et passe mieux. A ne pas confondre avec une passe. Je passe la main aux malotrus. Voilà en gros la situation qui n'est pas une mince affaire. Pour la peine je trinque un verre à votre santé. Ce sera champagne. Aux champs ce n'est pas le bagne, bien au contraire.
A très vite, Chers membres.Zébu, agitateur des présentations.
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RE: Le poids des apparencesposté dans Sciences Humaines et Sociales
@Kachina13
Ah...ma Bretonne. Je l'ai rencontrée à l'île de Groix. Mon petit bout de paradis qui a bercé mon enfance. J'étais jeune et beau. Mes grands-parents y vivaient avec mon oncle. Un oncle extraordinaire. On ne pouvait que l'aimer. Lors d'une soirée dans un pub, tenu par un homme admirable, le destin m'a présenté cette belle Bretonne. Un bel amour est né. A cette époque j'habitais à B-B. Boulogne-Billancourt, là où j'ai vécu bébé et y habitais par la suite. Ma Bretonne étudiais à la Fac de Nanterre. Ce qui permettait de jongler entre la Bretagne et Boulogne. Un an s'est écoulé. Nous avions des projets communs. Comme de vivre ensemble. Oui mais voilà, il a fallu une tragédie. Un vendredi soir, j'ai loupé le dernier bateau pour Groix de 20h30. J'ai dû passer la nuit à Lorient. Je suis allé dans un pub. Juste comme ça histoire de, avant de regagner ma chambre d'hôtel. Une Bretonne m'a fait du rentre-dedans. Non pas que c'était une beauté merveilleuse, mais dotée d'un esprit brillant. Sa beauté intérieur me fascinait. J'ai été obligé de lui dire qu'entre nous ce n'était pas possible. Elle m'a fait des louanges. Ce qui n'a pas empêché d'échanger nos 06. Après une soirée arrosée et moult discussions, j'ai regagné ma chambre d'hôtel. Le lendemain, à 8h45, me voici dans le bateau. Ma chérie était radieuse. Moi aussi. Puis, comme à son accoutumée, nous avions passé un week-end formidable. Le lundi soir j'étais de retour chez-moi. La Bretonne " bis" a commencé à m'envoyer des SMS foudroyants. Non pas d'amour, mais enjolivés d'alexandrins. Elle adorait écrire en alexandrin. Je lui répondais en haiku. A bout du 4ème échange, nous sommes revenus au basic. Aucun de nous deux ne parvenait à comprendre quelque chose. Au moins les échanges se faisaient plus rapidement. Dans tout ça, ma Bretonne officielle commençait à avoir des doutes au style de mon écriture en mode quatrain. Ses soupçons se sont envolés lorsque je lui ai dit qu'elle m'inspirait au point d'embellir mes mots. Qu'est-ce que je n'ai pas dit là. Ses hormones ont explosé. Et voilà l'autre Bretonne qui en remet une couche. Dans ma tête il fallait " scier " cette relation avant l'embûche. Oui mais voilà, la bougresse m'a proposé un concert de Lo'Jo et Yog Sothot à Lorient. " J'adore !" que je lui ai dit. Quel con, jamais entendu parler d'eux. Mais elle m'a vanté ce groupe d'une telle manière, que machinalement j'ai fini par adorer sans ne rien savoir sur eux. Ce concert était prévu le week-end en cours. J'ai appelé ma Bretonne d'amour pour lui dire que ce week-end je ne pourrai pas venir. Jusque là, tout va bien.Le samedi matin, me voici à Lorient. Je retrouve la " tueuse de couple. " Dans ma tête rien n'allait. Je me disais : " qu'est-ce que je fiche ici." Elle avait raison : le concert était génial. La nuit j'ai dormi sur son canapé. Il était 5h00 du mat. Discuter de tout et de rien, le temps passe plus vite qu'une lettre à la poste. Je suis reparti le dimanche soir avec un souvenir immarcescible. Ce souvenir de cette tonitruante Bretonne. La page s'est fermée. Elle a compris qu'elle ne faisait pas le poids sur la Groisillonne. A mon avis elle a dû se toucher pas mal de fois en pensant à moi. De mon côté, mes idées se sont définitivement consacrées à ma chérie. Le moment où tout a basculé. Je ne le savais pas encore, sauf les Groisillons. Et surtout ma chérie. La stratégie a été de faire comme si tout allait bien. Le week-end suivant, ouf, j'ai eu le bateau de 20h30. La traversée s'est faites comme une mamie derrière ses rideaux. J'étais cette mamie. Moi, toujours sur la partie supérieur de la poupe à regarder ce que j'ai vu dix mille fois. Peu importe, on ne s'en lasse jamais. Il faudra que je pose cette question aux mamies, le charme en moins des paysages.
J'arrive à destination. La maison des parents de ma Belle. Le temps est magnifique. J'entre tout excité. Je me trouve en fasse d'un comité d'accueil. Ma Belle et ses parents, debout devant la table de la cuisine. Je commence à avoir la blob loche. Ma chérie me demande si je n'ai rien à lui dire. Je tire une grimace d'écolier. Elle me montre des yeux le journal Ouest France. Je le regarde. Il était déplié. J'ai reçu une surcharge de dix mille volts. En gros plan, moi et la Lorientaise en gros plan au concert. Aucun portable à cette époque, pourtant. Fichu journaliste. Le con m'a mitraillé avec la croqueuse d'homme. Ce jour là, je n'ai pas déballé mes affaires. J'ai passé le week-end chez un ami. Mes grands-parents et mon oncle ont perdu vie peu de temps avant. Une histoire digne de la sorcellerie. Ma chérie ne m'a jamais cru quand je lui ai dit qu'il ne s'était rien passé entre nous. Une triste fin. Actuellement elle a un grand garçon fait avec un autre homme. Tout ça à cause de cette photo. Moi en train de la tenir par l'épaule... Fichu journaliste.
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RE: Propositions d'animations à venirposté dans Animations Communauté
Chers membres.
Un jour je placerai ici un jeu que j'ai crée pour un forum et qui a fait un malheur. " La chasse au trésor. "
L'aventure se passe dans un château avec plusieurs pièces. Chaque pièce contient une énigme à résoudre. Il y en a 8 en tout. Le jeu se déroule en deux équipes. La particularité est que les équipes sont scindées en deux posts. Une équipe n'a pas accès à l'évolution de l'autre équipe, sauf moi. Puis les non participants. Le but du jeu est de résoudre l'énigme de la dernière pièce ( une fois les autres résolues bien entendu ), avec à la clé ce fameux trésor.
Une autre particularité : en page d'accueil est disposé chaque pièce avec le nom de l'énigme mais sans...l'énigme. Elle viendra au moment où l'équipe entre dans cette pièce. Et chaque équipe choisira l'ordre des pièces. Le fun est plus grand. Par contre il faut un certain temps pour que je puisse mettre tout ceci en route. Sans oublier la création des deux équipes ainsi que le " formatage " de deux posts isolés. Formatage qui ne dépend pas de moi. De mon côté je fais vivre chaque évolution des équipes. Ce qui demande une présence conséquente ainsi que la disponibilité des membres. Pour info, le jeu s'est déroulé sur environ un mois. Chose sûre, on s'éclate comme des fous.
Affaire à suive comme on dit.
Le guide du château.

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RE: Vous avez carte blanche !posté dans Carte blanche
En achetant mes poissons panés je me suis fais avoir. La boite était vide. Ils sont pas nés.
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RE: Le parfum, cette rencontre olfactiveposté dans Beauté - Mode
Niveau parfum, celui qui est bien perturbé avec ces effluves, il se prénomme : " le papillon de nuit." le mâle, surtout. Une belle histoire à la fois émouvante et tragique.
Voici son histoire.
Nous sommes au mois de juin. Il est 23h00. Le ciel brille de millier d'étoiles. Les fêtards et les amoureux arpentent les rues de Paris. Le papillon de nuit n'y prête guère attention à toute cette agitation. Il est paisiblement posé sur la branche d'un arbre qui jouxte les quais de Seine, non loin du Louvre. Même le beau ciel illuminé n'attire pas vraiment son attention. Mais bientôt une " chose " va le captiver. Ce que nous, ne voyons pas. Un ciel de millier de " blandices." Les phéromones d'une femelle qui se trouve au jardin du Luxembourg. Un ciel étoilé de caresses et de flatteries qui recouvre une bonne partie du toit de Paris. La femelle laisse le mâle venir à elle. Après tout, il faut mériter cette offrande. Le papillon du Louvre n'y tient plus. L'appel est trop grand. Généreux, surtout. Le voici à s'envoler dans le sillage des phéromones, l'odorat affûté. Au bout de cinq cent mètres, il pense savoir où se cache la belle. Le voici à tourner autour d'une jeune dame. Elle tente de le repousser de la main. De toute façon le papillon a bien vu qu'elle ne ressemblait en rien à sa promise. Il s'est fait avoir à cause de son parfum qui ressemble à s'y méprendre aux phéromones de la femelle ailée. Puis, voilà que le papillon se prend de plein fouet un candélabre vers Trocadéro. Il l'a pris pour l'astre lunaire. Ouf, tout va bien, juste un peu assommé. Le voyage peu reprendre. Le regret est que le papillon de nuit ne puisse proposer " service de cicérone." Quel beau guide touristique à n'en pas douter. Maintenant c'est au tour d'une dame de joie éméchée dans les bras d'une aventure furtive, que le papillon virevolte. En voulant le repousser d'un grand coup de main, c'est l'amant à la va-vite qui en a fait les frais : une baffe en pleine tronche. C'est ça d'être éméchée. Le papillon ne capte plus rien. Il était persuadé que ces phéromones, c'était les bonnes. A mon avis le parfum mélangé aux relents d'alcool, putain de phéromones. Et rebelote, un autre candélabre en pleine tronche. Il était moins une qu'il se fasse écraser par une chaussure. Le revoici à reprendre son envol, une aile à moitié en lambeau. Au bout d'une heure, après bien des embûches, la délivrance. Le papillon de nuit trouve enfin sa belle, toujours immobile. Le temps des amours peut commencer. La femelle est contente : enfin, elle va pouvoir procréer. Le mâle, moins. Une fois l'accouplement fini, il tombe de la branche, mort d'épuisement. Il ne se relèvera jamais. Son voyage a eu raison de lui et la femelle a déjà oublié son téméraire compagnon d'infortune comme une vielle chaussette. Ce qui compte pour elle, est de chausser le ciel d'une pluie de paillettes de blandices enivrantes. Son langage à elle, oh combien sensuel...
Alors si un jour vous voyez un papillon de nuit tourner autour de vous, il ne faut pas lui en vouloir. Le parfum que nous portons ressemble aux phéromones de la femelle. Un jour il faudra lui demander si les parfums bon marché agissent également.
Le parfum; les phéromones sensuelles... -
L'extraordinaire Alex Honnoldposté dans Sport
Alex Honnold, qui est-il ? Un grimpeur en solo intégral ( sans cordée ) de l'extrême. Quand le mental lié au plaisir peut faire surpasser un homme dans une performance extrême de l'impossible, au risque de perdre la vie en une fraction de second. Ce grimpeur Californien en solo intégral me fait halluciner. Comment décrire cette performance de gravir cette falaise mythique de granite " d' El Capitan "de près de 1000 mètres de hauteur avec la forces des bras et des jambes sans la moindre protection ? Le seul à avoir réussi son ascension sans corde. Sauf en repérage. Il a mis 3h46. Moi, à 2 mètres je tombe. En plus c'est vrai sur un rocher d'escalade de Fontainebleau. Je suis tombé comme une loutre. Comme il dit, c'est une compétition où il faut gagner la médaille d'or, sinon c'est la mort. Le risque ultime dans une forme d'extase en oubliant la mort toute proche, qui guette l'infime erreur. Le pire est qu'une fois en haut, c'est comme s' il avait gravit un mur de 5 mètres. Aucun signe de fatigue ni une réelle explosion de joie, sauf intérieurement. Exploit fait en 2017. Et sans doute le seul pour longtemps. Tout simplement prodigieux. Un beau reportage à visionner pour faire " waouh !"


Escalader ce " mur " de 900 mètres à main nue. Comment ne pas halluciner.

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RE: Le poids des apparencesposté dans Sciences Humaines et Sociales
@Astyanax
J'en rougi comme une belle rose. Merci.
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RE: Faut que je vous avoue...posté dans Carte blanche
Je suis obligé de vous avouer que je fais que des conneries. Pour preuve, même la conne rit. Une connerie, c'est toujours con. Surtout celui ou celle qui la porte en criant : " Hop, tous en selle, on va faire des conneries au trot ! " Une de mes conneries est ce triste jour où j'ai monté un cheval. Je me suis rendu compte que je n'avais pas assez de couilles pour ça. Je suis tombé comme un âne. Une ânerie de plus dans ma collection déjà pas fameuse du tout. Inutile de raconter celle de la vache - avec qui je pensais régler le problème du cheval - que j'ai montée. Au début c'était sympa. Elle était toute docile. Logique, elle préférait brouter que de s'occuper de moi. Oui mais voilà, il a fallu que ce fichu taureau déboule à toute vitesse. La honte de ma vie à cause de la vache morte de rire. Par chance le taureau a préféré la vache. Le voir me narguer à ce point, dommage que j'ai perdu mes couilles en tombant du cheval tête de mule. Là, il aurait moins fait le malin. Du coup j'ai opté pour les moutons. Je me suis mis au tricotage de la laine fraîche. Le résultat ? De beaux pulls d'hiver. Hélas, encore un fait divers. Une connerie de plus. Je me suis retrouvé avec une haleine de mouton. Je passe les détails. La honte. J'espère que je ne fais pas une connerie avec les " pop-corn."
Zébu, agitateur des ras le pompon.
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RE: Le poids des apparencesposté dans Sciences Humaines et Sociales
Avec ma tante, le poids des apparences prend tout son sens quand elle dort dans une tente. La tente devient boursoufflée. Et le problème arrive quand il faut emporter les deux. Le problème de comment écrire : " J'emporte mes tentes. Mes tentes ou mes tantes ?
face à ce problème, j'ai trouvé le moyen d'en faire un pluriel.
1 tente + 1 tante = 2 tentantes.
J'écris : j'emporte mes tentantes.
Mon tout est tentant.
Comme cette idée tentante d'inviter les belles à faire du camping
Surtout les Canadiennes
A condition qu'elles aiment les sardines au menu
Et d'écouter un peu de Sardou
Aux paroles prégnantes
Sans envies répugnantes
Sans errance et sans souffrance
Le poids des apparences
Que l'on aime à dire
Jolie calliépie
Belle chipie
A la corpulence généreuse
Encore et en corps
Que je goûte à tes apparences
Afin que je puisse
Retirer le poids de mes fardeaux
Pour que, puissions aller en radeau
Puisons ensemble cette envie
De naviguer ensemble
J'en fais un dessin
Mais pas des seins
Juste un destin
Beau festin
Du poids des apparences
La plus belle des richesses.Zébu.
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RE: Vous avez carte blanche !posté dans Carte blanche
Je vais me coucher. Demain matin je prends la route. Retour au bercail pour quelques jours. J'attends encore un peu à cause de la chouette. J'aime entendre son hululement. Il n' effraie pas, loin de là, mais si proche.
Puis je vais compter les kilomètres en guise de moutons. De toute façon je m'endors toujours de suite. Le problème est réglé comme une horloge sablier.
Belle nuit à tous. En espérant qu'elle ne sera blanche... -
RE: Votre flop 20 acteurs / actrices de cinéma et de TVposté dans Parler Cinéma
@Dryanaide
Ah oui, effectivement. Les 2 font la paire de toute façon. Mais pas une paire de baskets... -
RE: Le poids des apparencesposté dans Sciences Humaines et Sociales
@Zébulon a dit dans Le poids des apparences :
Ce sujet est passionnant, car il comporte plusieurs points. Les temps n'ont-ils pas changés ? Jadis on regardait moins l'apparence. Et encore moins le statut social. Pour cette raison que l'on voit des moches avec des belles. Il faut bien rire un peu. Néanmoins, une règle ne change guère : nous avons tous les yeux de Chimène. Puis, existe encore et toujours : " qui se ressemble s'assemble." Et d'ajouter : " qui s'aime, sème bonne récolte." Je préfère la seconde. Il faut toujours passer la seconde et la 3ème est la bonne. Jamais deux sans trois comme on dit. Me concernant, j'ai un profond attachement au physique. Hélas, mes profondeurs sont disons...oblatives. Du moins je me le demande parfois. Je suis sous l'assuétude de mes attitudes obscures. Un mystère insondable dont moi-même je ne parviens à percer. Mes rêves sont aussi éphémères qu'une thébaïde à la quiétude paisible : tout se trouve en haute altitude. Et dire que je suis un bon hôte avec un peu d'aménité. Je suis le roi des casting pourris. Et je suis unique également. Ne riez pas, ma dernière conquête a duré 6 mois. Nombre de mois où il ne s'est rien passé. J'ai juste goûté au confort de son lit. Comme lit il y a mieux, même si le sien était taille XXL. Bizarrement je dors comme un bébé dans mon lit taille S. Sans doute à cause du S. Il me fait penser à "sport."
Sinon j'aime écrire après avoir abusé un tantinet d'apéro. L'inspiration s'enivre et devient frappante comme un martinet. Mais un toujours du domaine tantinet. J'aimais mes années 2000. Une belle fiction comme 2001 l'Odyssée de l'espace. Tous mes rêves se sont réalisés après avoir passé 5 semaines à l'hosto. Mon noël 2000 était top. J'avais 5 infirmières à mes côtés. Une d'elles a fini en drame. Le soir elle m'offre un délicieux chocolat chaud. J'ai préféré le goût de son sourire. Au matin, son sourire était affreux. Pensez bien, lorsqu'elle a découvert le bol du chocolat rempli. Comme un con, j'ai eu la flemme de me lever. J'ai pissé dedans. Pas eu le temps de le vider. Passons cette honte. De toute façon la pire est arrivée quelques mois après mon rétablissement. Une chérie que j'ai titillée dans un bal en Bourgogne. La belle époque. Au matin elle n'était plus là, dans mon lit. A mon avis c'était à cause d'avoir confondu l'armoire de la chambre avec un arbre. Heureusement que ses fringues se trouvaient sur la chaise. Hélas, elle ne dormait pas. Elle a allumé la lumière et elle m'a demandé ce que je fais. -Je pisse. Eh merde, c'est l'armoire. " Ce coup-là plus de m'être endormi sur elle au moment du câlin deux heures avant, logique d'avoir fichu le camp au chant du cop.
Pour revenir à cette histoire de " rêves réalisés", est grâce à la musique. Durant trois semaines, impossible de dormir. Je n'arrivais pas à rêver. Du moins de penser. Ce cas de figure empêche de dormir. Puis j'ai écouté de la musique. Un Walkman. Tout s'est mit à frémir en moi. J'ai pu imaginer et rêver. Et tout s'est réalisé. J'étais sur le devant de la scène. Un patron en or et une liberté insouciante. Je plaisais aux mecs et aux filles. Une période révolue. La sagesse et la quarantaine ont eu raison de moi. La crise de la quarantaine n'est pas une légende. Et encore moins mes conquêtes qui n'avais rien d'une légende. Je pensais que le physique ne faisait pas tout. J'en ai eu la preuve que si. Et plus jamais de psychologues. Une fois mais pas deux. Et plus encore si très douées en math. Même aller au WC est un art. On ne fait pas pipi, on fait Pi Pi. Trop pour moi.
Une autre, qui pourtant n'était pas mal, un truc de dingue. la première fois qu'elle vient chez-moi. On picole un peu. Je file aux WC. Je reviens et je la retrouve entièrement " débâchée " sur le lit. Je censure la position. Sauf celle de mon lit en position Ouest. Tout est à l'Ouest avec moi. Je lui ai dit de tout remballer. Pas de sensualité, pas de galipettes. Elle est partie en mode furax. Heureusement qu'il n'existe pas de plainte pour " refus d'introduction." Une plainte impossible à mettre en œuvre. On va croire que se sont les écrivains qu'on accuse de ne pas avoir mis d'introduction dans leur roman. Il pourront se défendre avec l'index. L'honneur est sauf.Pour revenir au vif du sujet avec la nature du post, j'oubliais cette relation fumeuse avec celle de 24 ans de plus que moi. Une que j'ai connue tout petit. Punaise qu'elle était moche. Il faut pardonner mon âge con à cette époque. Son mari était un très bon ami de mon cher père en plus d'être son collègue du boulot. Il a fini par faire ses valises. Je me suis retrouvé avec elle et ses deux gosses. Un fille de 12 ans et un garçon de deux ans moins que moi. J'ai fait les valises à mon tour quand la fille voulait prendre la place de la mère. Situation loin d'être vénielle. Les trois ont pleuré. La mère à cause d'un amour volatilisé, le fiston pour avoir perdu son seul pote et la fille pour ne plus pouvoir fantasmer. Sans déconner où ai-je mis les pieds.
Le pire est cette histoire avec ma Bretonne. Pour une fois qu'une me plaisait. Fait chier comme on dit. Le dénouement de la clôture de notre relation, il faut le voir pour le croire. Une histoire de fou. On verra ça plus tard.
Bref : le poids des apparences, que de choses à dire. J'espère que cette lecture n'est pas trop rapsodique. -
RE: Vous avez carte blanche !posté dans Carte blanche
Moi aussi j'ai parfois l'impression d'être un ado avec mon sac à dos. A l'intérieur se trouve ce que je ne quitte jamais. Mes ballades, mes joies, mon esprit ronchon, mes musiques préférées, la forêt de Fontainebleau, le charme de la campagne, mes baskets, mes vieux fringues, mes délires, mes errances, mon nid douillet joliment décoré, mes soirées Blind test ( pour boire et le côté festif, je ne trouve jamais rien ), les films, l'écriture de mon roman ( qui est resté collé sur une page, il n'avance plus ) mes délires du Net pire qu'un ado, le calme, les tempêtes, les coups de foudres ( j'arrive toujours après l'éclair ), mon portable et tout et tout dont quelques atouts, hormis la carte blanche. Elle porte bien son nom. Elle est tellement blanche que je ne vois pas où sont indiquées les directions. De toute façon je n'aime pas les cartes tout court. Elle me font penser à du papier. Alors je me noie. Je n'ai pas pied. Oui, je suis comme un ado qui ne sait pas nager. Mon sac à dos me sert de bouée de sauvetage...
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RE: Le poids des apparencesposté dans Sciences Humaines et Sociales
@Astyanax
Le soucis est qu'à force il risque d'y en avoir plusieurs, de sujets. A moins d'en faire un " fourre-tout."
Cette idée m'enchante moyennement. Raison un peu... personnelle.
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RE: Vous avez carte blanche !posté dans Carte blanche
@Virgoh
Ca, c'est gentil. N'ayez crainte, Chère Virgoh, rarement elles sont blanches. Sauf en allant danser. Là, elles sont bl' hanches. On se déhanche jusqu'au petit déjeuner.
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RE: La Balade à Énigme Virtuelle #2 - La folie écarlateposté dans Animations Communauté
Félicitation pour cette créativité. J'en ai conçu quelques-uns du genre. Sur un forum ces jeux sont parfaits. Encore bravo pour celui-ci. Chapeau.
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RE: Questionnaire de Proust revisitéposté dans Carte blanche
Votre principal trait de caractère : joyeux
La qualité que vous préférez chez un homme : bon vivant
La qualité que vous préférez chez une femme : aimer les bons vivants
Ce que vous appréciez le plus chez vos amis : l'hospitalité
Votre principal défaut : Si je le dis je n'aurai plus d'amis
Votre principale qualité : pas en toc
Votre occupation préférée : Faire toc-toc j'arrive
Votre rêve de bonheur : qu'on m'ouvre la porte à chaque fois
Quel serait votre plus grand malheur : que personne n'ouvre
Ce que vous voudriez être : tout sauf un hêtre
Le pays où vous désireriez vivre : avec des beaux êtres
La couleur que vous préférez : en voir de toutes les couleurs
La fleur que vous préférez : la rose. La plus belle prose
L'animal que vous préférez : tout sauf sauf les ânes
Votre poète préféré : celui qui n'est pas trop pouet pouet
Votre auteur préféré : celui qui prend le plus de hauteur
Vos héros favoris dans la fiction : ceux qui font mieux que la fiction
Vos héroïnes favorites dans la fiction : celles qui me font partager leurs fictions
Votre peintre favori : celui qui a peint mes murs
Vos héros dans la vie réelle : la fiction les a emportés
Vos héroïnes dans l'histoire : l'histoire d'un jour, l'histoire pour toujours
Vos prénoms favoris (masculins et féminins) : elle, Chérie, on l'appelle toujours ainsi, lui, Cool, il est toujours cool
Ce que vous détestez par-dessus tout : ce qui est au dessus du détestable
Caractères que vous méprisez le plus : les cons détestables
Comment aimeriez-vous mourir : en me réveillant mort
Les fautes qui vous inspirent le plus d'indulgence : qui se corrigent
L'objet qui vous parait indispensable : mon trousseau de clés
Les 3 choses que vous emporteriez sur une île déserte : un seau, une pelle et un drapeau pour le planter en haut de mon château de sable
Le mot qu'enfant vous disiez tout le temps de travers : areu veut être reureu
L'expression française que vous préférez : c'est la merde
Votre mot préféré du moment : fait chier
Votre citation préférée tirée d'un livre : l'introduction par l'index
Le livre que vous avez détesté lire : celui qui ne faisait rien
La langue étrangère qui vous plaît le plus : celle qui me comprend
Le pseudo que vous préférez (un des vôtres et/ou celui de quelqu'un du forum) : tous. Je n'aime pas faire des jaloux
Votre plus belle réussite : de n'avoir rendu personne jaloux
Votre plus bel échec : celui en bois sculpté
Votre meilleur souvenir : quand j'ai gagné aux échecs
La qualité que les autres vous donnent : de ne pas me demander de rendre ce qu'ils m'ont donné
Le défaut que les autres vous donnent : là, je rends ce qu'ils me donnent
Votre émotion préférée : le coeur
Le membre qui pourrait le mieux vous décrire sur le forum : les mains. j'aime donner des coups de mains
L'émotion que vous gérez le moins bien : celle de demain
La chanson qui vous définit le mieux : tout petit la planète. Je suis en orbite
Le livre que vous pourriez relire sans vous lasser : l'angoisse de la page blanche
Votre film préféré : L'angoisse prend forme
En quoi voudriez vous être réincarné : tout sauf en ongle incarné
Ce qui vous angoisse le plus : les ongles
Une erreur qui vous a appris quelque chose : me couper les ongles
Votre plus grande force : la force G
La personne sur laquelle vous pouvez compter : celle qui aime les G
Votre addiction : le point
Le juron que vous dites le plus : fichu point G. Quand ça veut pas, ça veut pas -
RE: Le parfum, cette rencontre olfactiveposté dans Beauté - Mode
Moi, ce que j'adore le plus chez les coiffeuses c'est " l'hairotisme. "
