Ce sujet est passionnant, car il comporte plusieurs points. Les temps n'ont-ils pas changés ? Jadis on regardait moins l'apparence. Et encore moins le statut social. Pour cette raison que l'on voit des moches avec des belles. Il faut bien rire un peu. Néanmoins, une règle ne change guère : nous avons tous les yeux de Chimène. Puis, existe encore et toujours : " qui se ressemble s'assemble." Et d'ajouter : " qui s'aime, sème bonne récolte." Je préfère la seconde. Il faut toujours passer la seconde et la 3ème est la bonne. Jamais deux sans trois comme on dit. Me concernant, j'ai un profond attachement au physique. Hélas, mes profondeurs sont disons...oblatives. Du moins je me le demande parfois. Je suis sous l'assuétude de mes attitudes obscures. Un mystère insondable dont moi-même je ne parviens à percer. Mes rêves sont aussi éphémères qu'une thébaïde à la quiétude paisible : tout se trouve en haute altitude. Et dire que je suis un bon hôte avec un peu d'aménité. Je suis le roi des casting pourris. Et je suis unique également. Ne riez pas, ma dernière conquête a duré 6 mois. Nombre de mois où il ne s'est rien passé. J'ai juste goûté au confort de son lit. Comme lit il y a mieux, même si le sien était taille XXL. Bizarrement je dors comme un bébé dans mon lit taille S. Sans doute à cause du S. Il me fait penser à "sport."
Sinon j'aime écrire après avoir abusé un tantinet d'apéro. L'inspiration s'enivre et devient frappante comme un martinet. Mais un toujours du domaine tantinet. J'aimais mes années 2000. Une belle fiction comme 2001 l'Odyssée de l'espace. Tous mes rêves se sont réalisés après avoir passé 5 semaines à l'hosto. Mon noël 2000 était top. J'avais 5 infirmières à mes côtés. Une d'elles a fini en drame. Le soir elle m'offre un délicieux chocolat chaud. J'ai préféré le goût de son sourire. Au matin, son sourire était affreux. Pensez bien, lorsqu'elle a découvert le bol du chocolat rempli. Comme un con, j'ai eu la flemme de me lever. J'ai pissé dedans. Pas eu le temps de le vider. Passons cette honte. De toute façon la pire est arrivée quelques mois après mon rétablissement. Une chérie que j'ai titillée dans un bal en Bourgogne. La belle époque. Au matin elle n'était plus là, dans mon lit. A mon avis c'était à cause d'avoir confondu l'armoire de la chambre avec un arbre. Heureusement que ses fringues se trouvaient sur la chaise. Hélas, elle ne dormait pas. Elle a allumé la lumière et elle m'a demandé ce que je fais. -Je pisse. Eh merde, c'est l'armoire. " Ce coup-là plus de m'être endormi sur elle au moment du câlin deux heures avant, logique d'avoir fichu le camp au chant du cop.
Pour revenir à cette histoire de " rêves réalisés", est grâce à la musique. Durant trois semaines, impossible de dormir. Je n'arrivais pas à rêver. Du moins de penser. Ce cas de figure empêche de dormir. Puis j'ai écouté de la musique. Un Walkman. Tout s'est mit à frémir en moi. J'ai pu imaginer et rêver. Et tout s'est réalisé. J'étais sur le devant de la scène. Un patron en or et une liberté insouciante. Je plaisais aux mecs et aux filles. Une période révolue. La sagesse et la quarantaine ont eu raison de moi. La crise de la quarantaine n'est pas une légende. Et encore moins mes conquêtes qui n'avais rien d'une légende. Je pensais que le physique ne faisait pas tout. J'en ai eu la preuve que si. Et plus jamais de psychologues. Une fois mais pas deux. Et plus encore si très douées en math. Même aller au WC est un art. On ne fait pas pipi, on fait Pi Pi. Trop pour moi.
Une autre, qui pourtant n'était pas mal, un truc de dingue. la première fois qu'elle vient chez-moi. On picole un peu. Je file aux WC. Je reviens et je la retrouve entièrement " débâchée " sur le lit. Je censure la position. Sauf celle de mon lit en position Ouest. Tout est à l'Ouest avec moi. Je lui ai dit de tout remballer. Pas de sensualité, pas de galipettes. Elle est partie en mode furax. Heureusement qu'il n'existe pas de plainte pour " refus d'introduction." Une plainte impossible à mettre en œuvre. On va croire que se sont les écrivains qu'on accuse de ne pas avoir mis d'introduction dans leur roman. Il pourront se défendre avec l'index. L'honneur est sauf.
Pour revenir au vif du sujet avec la nature du post, j'oubliais cette relation fumeuse avec celle de 24 ans de plus que moi. Une que j'ai connue tout petit. Punaise qu'elle était moche. Il faut pardonner mon âge con à cette époque. Son mari était un très bon ami de mon cher père en plus d'être son collègue du boulot. Il a fini par faire ses valises. Je me suis retrouvé avec elle et ses deux gosses. Un fille de 12 ans et un garçon de deux ans moins que moi. J'ai fait les valises à mon tour quand la fille voulait prendre la place de la mère. Situation loin d'être vénielle. Les trois ont pleuré. La mère à cause d'un amour volatilisé, le fiston pour avoir perdu son seul pote et la fille pour ne plus pouvoir fantasmer. Sans déconner où ai-je mis les pieds.
Le pire est cette histoire avec ma Bretonne. Pour une fois qu'une me plaisait. Fait chier comme on dit. Le dénouement de la clôture de notre relation, il faut le voir pour le croire. Une histoire de fou. On verra ça plus tard.
Bref : le poids des apparences, que de choses à dire. J'espère que cette lecture n'est pas trop rapsodique.