Citations de vos lectures
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@Astyanax il y a ce topic, et puis il y a celui-ci aussi et enfin ce topic-ci
Là ce topic se veut très général, mais effectivement il y en a déjà plusieurs sur le thème des citations.
Voila, et suffisait de rechercher le mot citation dans le forum pour trouver ça.
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@WaveRider : tu nous as autorisés à nous faire plaisir ! alors voilà je te prends au mot!
Ci-après une citation de Pierre Berloquin(ingénieur, créateur de casse-tête, écrivain ...........Cf! fiche wiki) dont j'ai fait mienne depuis longtemps........"Parler pour ne rien dire est grave. Parler pour ne pas rire, est Impardonnable"
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Citations personnelles :
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La nature a doté l'homme d'un plus gros cerveau. C'est bien, cela lui permet de faire de plus grosses conneries ! Peut-être qu'il aurait mieux valu agrandir sa conscience avant...
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En 1789, des sans-culottes en colère ont fait la révolution pour virer du pouvoir les oppresseurs qui les faisaient vivre dans la misère. Aujourd'hui, les gens portent des culottes mais y'a plus rien dedans, alors ils offrent le pouvoir à des oppresseurs et les remercient de leur accorder une misère pour vivre...
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« J'ai toujours imaginé l'âme humaine comme une maison du Trésor à pièces multiples, les unes pleines de choses précieuses et les autres vides. Beaucoup d'hommes, la majorité des hommes, passent toute leur vie dans les petites salles vides aux portes toujours ouvertes parce que les autres sont fermées à double tour et que les clés n'en sont accessibles qu'à ceux qui ont le courage d'affronter le feu des pires tourments. Moi le vide et les ténèbres m'ont toujours fait peur. C'est pour cela que j'ai toujours chercher à trouver les clés de mes trésors. Mais les trésors eux-mêmes sont trompeurs. Dès qu'on en a trouvé un, on a envie de découvrir les autres, les plus cachés, ceux que peut-être seule la mort est à même de nous révéler. Mais cela ne nous empêche pas de les désirer de toute l'avidité des avares... C'est peut-être là une convoitise bien vaine... Mais sans elle, la vie n'aurait aucune valeur et ne se différencierait en rien de celle du moindre insecte ! Je sens qu'aujourd'hui je viens de trouver un nouveau trésor et que je dois être prêt à tous les sacrifices pour le sauvegarder ! »
In La Forêt des pendus de Liviu Rebreanu
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Extrait de " Journal d'une mère indigne " de Manuèle Peyrol :
" Et alors, puisque nous avons gagné les uns par rapport aux autres la liberté de mouvement, que nous allons encore mieux
apprendre à respecter nos libertés et nos évidences ?
Le voilà, l'amour-sésame, l'amour-solution : il est à naître chaque matin....
Et vous, défiez-vous de la bergère qui invente les chemins de vos pâturages.
Et que votre troupeau se disperse à l'écart des sentiers battus. je ne suis pas si sûre de moi, je ferai de mon mieux.
A vous de résister, à vous d'écouter en vous l'autre voix, la voix majeure, votre voix qui doit dicter sans appel,
celle que je vous souhaite et dont j'assure provisoirement l'intérim. ..
Le temps est plus riche quand on le passe dans sa peau. "
Ce livre m'a beaucoup aidée, et en tant que fille, et en tant que mère.
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"On y va, par Toutatis!"
Abraracourcix, Obelix et Cie, tome 23, p. 46.Ca compte quand même!
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« Mais nos souvenirs demeurent collectifs, et ils nous sont rappelés par les autres, alors même qu’il s’agit d’événements auxquels nous seul avons été mêlé, et d’objets que nous seul avons vus. C’est qu’en réalité nous ne sommes jamais seul. Il n’est pas nécessaire que d’autres hommes soient là, qui se distinguent matériellement de nous : car nous portons toujours avec nous et en nous une quantité de personnes qui ne se confondent pas. J’arrive pour la première fois à Londres, et je m’y promène à plusieurs reprises, tantôt avec un compagnon, tantôt avec un autre. Tantôt c’est un architecte, qui attire mon attention sur les édifices, leurs proportions, leur disposition. Tantôt c’est un historien : j’apprends que cette rue a été tracée à telle époque, que cette maison a vu naître un homme connu, qu’il s’est passé, ici ou là, des incidents notables. Avec un peintre, je suis sensible à la tonalité des parcs, à la ligne des palais, des églises, aux jeux de lumière et de l’ombre sur les murs et les façades de Westminter, du Temple, sur la Tamise. Un commerçant, un homme d’affaires m’entraîne dans les voies populeuses de la Cité, m’arrête devant les boutiques, les librairies, les grands magasins. Mais quand même je n’aurais pas marché à côté de quelqu’un, il suffit que j’aie lu des descriptions de la ville, faites de tous ces divers points de vue, qu’on m’ait conseillé d’en voir tels aspects, plus simplement encore, que j’en aie étudié le plan.
Supposons que je me promène tout seul. Dira-t-on que, de cette promenade, je ne peux garder que des souvenirs individuels, qui ne sont qu’à moi ? Cependant, je ne m’y suis promené seul qu’en apparence. En passant devant Westminter, j’ai pensé à ce que m’en avait dit mon ami historien (ou, ce qui revient au même, à ce que j’en avais lu dans une histoire). En traversant un pont, j’ai considéré l’effet de perspective que mon ami peintre m’avait signalé (ou qui m’avait frappé dans un tableau, dans une gravure). Je me suis dirigé, en me reportant par la pensée, à mon plan. La première fois que j’ai été à Londres, devant St. Paul ou Mansion House, sur le Strand, aux alentours des Court’s of Law, bien des impressions me rappelaient les romans de Dickens lus dans mon enfance : je m’y promenais donc avec Dickens. À tous ces moments, dans toutes ces circonstances, je ne puis dire que j’étais seul, que je réfléchissais seul, puisqu’en pensée je me replaçais dans tel ou tel groupe, celui que je composais avec cet architecte, et, au-delà de lui, avec ceux dont il n’était que l’interprète auprès de moi, ou avec ce peintre (et son groupe), avec le géomètre qui avait dessiné ce plan, ou avec un romancier. d’autres hommes ont eu ces souvenirs en commun avec moi. Bien plus, ils m’aident à me les rappeler : pour mieux me souvenir, je me tourne vers eux, j’adopte momentanément leur point de vue, je rentre dans leur groupe, dont je continue à faire partie, puisque j’en subis encore l’impulsion et que je retrouve en moi bien des idées et façons de pensée où je ne me serais pas élevé tout seul, et par lesquelles je demeure en contact avec eux. »
In La Mémoire collective de Maurice Halbwachs.
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Chacune de nos lectures est une graine qui germe...Jules Renard -
"Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu."
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@Un Ancien Utilisateur a dit :
- La nature a doté l'homme d'un plus gros cerveau. C'est bien, cela lui permet de faire de plus grosses conneries ! Peut-être qu'il aurait mieux valu agrandir sa conscience avant...
sacrée phrase.
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En pleine lecture d'un livre :
"Sur Tinder, une femme a 50% de chance de matcher avec une autre personne. Tandis qu'un homme a 2% de chance de matcher."Woaw. C'est assez choquant comme différence.
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@leapierce Ah tinder ce monde merveilleux
Effectivement c'est un lieu où les femmes trient et où les hommes tentent tout (gros résumé généralisant
)
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@le-taxidermiste ça vaut pour quasiment tous les sites de rencontres de ce que j'ai entendu.
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@leapierce Ah ben ça c'est simple en fait il doit y avoir 10 hommes pour une femme sur la plupart des sites de rencontres
L'offre et la demande sont en grand déséquilibre.
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@leapierce C'est quoi le bouquin ?
Sinon, oui c'est un sujet que j'ai beaucoup vu revenir sur Reddit notamment. Les mecs se plaignent qu'ils ont nettement moins de matchs que les filles et que tout est fait pour qu'ils prennent un abonnement dans l'espoir de débloquer un peu plus de matchs via les options payantes. -
@egon Faut le voir comme l'entrée en boîte de nuit, les mecs paient pas les filles parce que c'est bien connu de manière commerciale, là où y-a d'la meuf, les mecs suivent et paient ^^
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Polyamour et d'eau fraîche par (entre autres) Cookie kalkair, le même que pour Pénis de table. C'est pas le sujet central mais il en parle brièvement que pour lui, ça a toujours été une galère et que les statistiques jouent pas en sa faveur.
Je te confirme pour le coup de l'abonnement, apparemment c'est un classique. Triste.
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"C'est comme ça : si la vie se vit prospectivement, elle ne se comprend, en revanche, que rétrospectivement. Vous vous retournez et découvrez - avec respect ou effroi - un canevas que vous ne pensiez pas avoir créé."
In Le Conquérant de Jan Kjaerstad.
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"Il [l'orgasme] est devenu une sorte de gratification raffinée, que Mihaela Pavlicev compare à notre capacité humaine à apprécier l'art, dont les origines évolutives sont obscures,mais 《qui pourrait être le résultat d'une propriété non adaptative du cerveau》, sans que notre enthousiasme diminue. 《On peut voir l'orgasme féminin comme une forme d'art qui ne répond qu'à elle-même plutôt que de remplir une fonction utilitaire, conclut la chercheuse. C'est probablement la forme d'art la plus intime, pour une audience d'une ou deux personnes》"
Tiré dun numéro spécial de Sciences&Avenir Les grandes énigmes de l'Évolution, conclusion de la partie L'orgasme un fascinant mystère
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"Tu n’es pas simplement abîmé. Toi aussi, on t’a abandonné. Toi aussi, on t’a laissé quelque part, sans se soucier de savoir si demain, tu respirerais encore. Toi aussi, tu es un peu orphelin, de ces lâches sans conscience. Toi aussi, tu étais sur un fil, si fragile, si branlant, que tu aurais pu tomber de l’autre côté. Toi aussi… Jimi… Toi aussi tu connais cette solitude… Celle dont on ne peut parler à personne… À part à ceux qui la comprennent…" Les mots oubliés, L.Haime