Messages postés par Artelise

@Shanna

Ah ! Quel humour ! J'adore !
J'ai bien ri ! Merci ça fait du bien !

@LeaPierce a dit dans Atypical :

la différence invisible

Oui, c'est sans doute l'une des rares bd qui évoque l'autisme au féminin avec justesse.

@LeaPierce

Le truc, c'est qu'à chaque fois que je regarde une série ou un film qui traite du sujet, je ne peux pas m'empêcher de me demander quel message il transmet, quelle image il donne de l'autisme et à quel point il peut aider, ou non, à la compréhension de ce que vivent les autistes au quotidien. La question sous-jacente étant la suivante : quel série / film / livre (oui les livres j'en ai lu un paquet aussi, dans cette même optique^^) je peux conseiller à des gens qui cherchent à comprendre ?
Premier public : ma mère, mes beaux parents, mes sœurs, ma belle-sœur...

Et jusqu'à présent, j'ai rien trouvé qui soit vraiment très parlant ni très utile.
Les seuls ouvrages que j'ai pu trouver qui soit un temps soit peu utile à un début de compréhension, ils sont.. en allemand ! ^^

@LeaPierce a dit dans Atypical :

Je pense que c'est une comédie adolescente et que ça s'arrête là...

Tu vois, c'est ça que je trouves terriblement dommage.
Les gens vont regarder la série et se dire que, grâce à ça, ils vont mieux comprendre l'autisme... alors que non.
Alors je sais que le rôle d'une série télé, ce n'est pas forcément d'aider les gens à apprendre ou comprendre des trucs. Mais sur de tels sujets, je pense qu'un minimums d'efforts de crédibilité et de cohérence devrait être requis.

A vrai dire, sur l'autisme son mode de fonctionnement et les conseils sur la bonne façon d'agir face à une personne autiste, je préfère nettement la série Astrid et Raphaëlle diffusée sur France2.

ça fait un moment que je me dis qu'il faut que je fasse un sujet sur cette série, d'ailleurs, faut que je trouves le temps.

@LeaPierce

Je suis actuellement en train de regarder. J'ai vu les 4 premiers épisodes de la saison 1. C'est un peu court pour donner un avis vraiment pertinent, mais je peut déjà vous dire que le seul épisode que j'ai trouvé pertinent, jusqu'ici, c'est l'épisode 1. ^^

Vous savez, parfois, quand on regarde une série ou un film, on écoute les dialogue et on se dit :"tiens, ça, c'est un truc que j'aurais pu dire".. Eh bien, pour le coup, il y a une phrase que la mère dit dans ce premier épisode que j'ai véritablement dit, mot pour mot. Et ça m'avait vraiment bouleversé. ça m'a donné l'impression que, du coup, la série serait bien. Sauf que... c'est du grand n'importe quoi, en fait.

La psy ne fait pas du tout du bon boulot. La mère, qui se rend compte qu'elle a oublié de vivre, se tourne vers un choix de vie très contestable. Comme si il n'y avait que ce moyen-là pour se sentir exister ^^ mais quelle conne !!

Et le TSA est finalement très mal décrit.
Dans le premier épisode, la mère et le père parlent au sujet des crises que leur fils fait parfois à l'extérieur. Or, on le voit aller en cours et aller dans un centre commercial sans que ça semble lui poser de soucis majeur. Il semble avoir besoin de porter son casque à réduction de bruit (Bose, je connais, on en a 2 à la maison) quand il va à l'école, mais il s'en passe très bien quand il se rend dans un centre commercial en pleine journée. Et il travaille dans un magasin comme un adolescent lambda..
Bref, la seule difficulté qu'il semble éprouver, c'est en rapport avec sa quête d'une petite amie. Comme si, comme par miracle, une personne atteinte d'un TSA n'avait qu'un seul problème à la fois. Or, je peux vous confirmer que ce n'est pas le cas.

Enfin je rappelle que cette impression correspond au peu que j'ai vu le moment.

@Shanna
La date correspondait à un évènement / fête en l'honneur des non textiles ?

@LeaPierce a dit

Difficile de faire mieux, t'es mal tombée Artelise

Je confirme ^^

@Shanna

...

Je vote pour Orabig.

@agathe

trouvé ! Mais j'ai pas le temps de relancer.

@mariella25

Je ne sais pas ce que tu appelles "recentes", mais pour moi, il y a un album de Vangelis qui me semble un incontournable : Voices.

Les musiques et la voix de l'artiste Enya me semblent également tout indiquées pour la relaxation et l'apaisement. Je recommande particulièrement l'écoute de son album : A day without rain.

Une artiste grandiose également que je recommande : Loreena McKennitt.
Un de ses albums que je préfère : The book of secret.

Ensuite, moi, personnellement, dans mon bain, j'aime écouter les albums de Dido -

@LAZARE

Trouvé, aussi !

Pour moi, il a :

je ne peux que reparler de ce film Sexe intention, avec le générique de fin.
Mentionné ici

Sinon, il y a :
The princess bride.

Je connaissais la musique bien avant, évidemment, mais depuis que j'ai vu le film Chevalier - A knight's tale, je ne peux plus les dissocier :

Sinon, je pourrais encore citer :

Le Grand bleu - signé Eric Serra

Inoubliable car totalement inattendu :

Dans le 5e élément, le chant lyrico-électro-pop de Plavalaguna.

Et un de mes extrait musicaux préféré sans que le film reste plus que ça dans ma mémoire en dehors de la scène culte de l'arrivée sur la plage : 1492 et l'extrait musical "Conquest of paradise" musique signé Vangelis.

Et un petit dernier :

I see Fire de Ed Sheeran pour le film The hobbit - the desolation of Smaug

sinon, petit aparté : Chi Mai, pour moi, c'est autant Royal Canin que Le professionnel. ^^

@Kachina

Moi, son avatar, il me donne l'impression qu'il y a un message en train de charger sur une messagerie instantanée.. ^^ lol

@Artelise

où est @Marie-Thérèse ?

Bon jeu !

@LAZARE

Je l'ai... je poste la preuve bientôt.

edit :

Je relance bientôt..

@Heidi
Mon bonheur, il est un peu partout.
Dans les sourires et les rires de mes enfants.
Dans la satisfaction de les voir s'épanouir et grandir, gagner - chacun à leur rythme - en autonomie et devenir indépendants (même si, avec leur autisme, c'est encore un bien grand mot).
Il est dans l'idée que nous avons suffisamment d'argent pour faire des projets et nous sortir des petits tracas de la vie sans passer des nuits blanches à faire les comptes pour savoir quand et avec quel argent, on va bien pouvoir faire réparer la machine à laver (ce qui est vraiment et actuellement le cas. )
Il est dans les toutes petites choses de la vie: un rayon de soleil, mon petit euh.. grand mug de café quotidien, la pluie qui bat sur les carreaux, la satisfaction d'une bonne douche après une séance de sport, le parfum d'une fleur, une bonne raclette ou fondue bourguignonne partagée en famille...

Mon bonheur, il est dans le fait que j'ai apprit à vivre avec ce que j'ai plutôt que de pleurer après les choses que je n'ai pas. Mon bonheur, je me le fabrique au jour le jour, en me donnant les moyens de concrétiser mes projets.
Mon bonheur, il se construit au présent, sans se laisser plomber par des regrets. Le passé est le passé, je ne le renie pas, mais j'en fais - autant que possible - une force lorsque j'en tire des leçons de vie.

Il se construit aussi lorsque je me fixe des projets réalistes et réalisables et que je m'efforce de laisser de côté certains projets qui, finalement, ne verront pas le jour. Je me souviens, souvent, que nul ne sait de quoi l'avenir sera fait et que si un projet qui me tenait à coeur ne se fait finalement pas, ce n'est pas forcément une catastrophe ; je me dis que, dans l'absolu, rien ne me permet de savoir que ce projet là en particulier m'aurait conduite à plus de bonheur, plus de satisfaction, que, au contraire, ça aurait pu tout gâcher à plus ou moins long terme.

On en revient donc à la base : il faut savoir rêver, se projeter, se donner des buts à atteindre, car ça aide à avancer. Surtout si on apprend à se donner les moyens de concrétiser nos rêves ou nos projets. Mais dans le même temps, il faut savoir se contenter de ce que l'on a.

Une dernière chose aussi. J'ai apprit à construire mon propre bonheur moi-même. Attendre que les autres vous rendent heureux, espérer que le bonheur vienne grâce aux gens qui nous entoure ou attendre que certains évènements se produisent, c'est courir, je crois, à l'échec et à la déception. Alors, certes, je ne dis pas que les autres ne peuvent pas nous rendre heureux. C'est même très bien si une partie de votre bonheur se construit sur l'amour et les attention que les autres vous portent. Mais il faut absolument que notre bonheur ne dépende pas que de cela.

Voilà.
C'était l'essai philosophique d'Artelise sur le thème du Bonheur.

@Sylareen Sauf erreur de ma part, il me semble qu'à la fin du quiz, on passe tous en "anonyme" sauf si on est inscrit sur le site et qu'on y a un compte actif.
ça n'empêche pas Shanna de voir nos scores associés à nos pseudos du forum (normalement).

@LeaPierce

Je ne sais pas si ça va te rassurer ou pas.
Mais moi, quand je participe aux Battles (vote ou, comme pour la première fois ici, en tant que candidate), ce qui me motives, c'est la curiosité. Celle de voir comment les / mes adversaires vont interpréter le thème, de quelle manière ça les interpelle, ce que ça leur évoque. Je garde à l'esprit, toujours, qu'on a pas la même culture, pas la même sensibilité, pas la même façon de penser et que c'est ça qui fera la richesse de la Battle.
Quand je vote pour une proposition, je vote évidemment avec ma propre sensibilité, ma propre réflexion, ma propre approche du thème. ça ne veut pas dire que l'autre proposition était "nulle" ou "HS". ça veut juste dire que l'autre m'a davantage parlé - à moi - (et parfois, ça tient pas à grand chose ) Et puis, c'est un peu comme quand j'arrive dans une pâtisserie et que j'hésite entre tarte au citron et tarte au citron meringué.. un jour, je vais préférer l'une et le jour suivant, ça sera l'autre. Question d'humeur, de météo, d'heure, de lumière... ^^ bref, ça se joue à rien et j'en ai conscience quand je vote dans les Battle. Il ne s'agit donc pas de juger le gout de la personne qui a proposé l'extrait, pas pour moi, en tout cas.

Bisous (si tu le permets).

@Shanna

Bon, la bd, n'étant pas ma littérature de prédilection, j'avoue avoir demandé à mon homme de venir m'aider un peu... Et puis, une fois ou deux, juste pour confirmation, j'ai sorti le Joker "A****r" - mon fils, qui a toute la collection des Asterix dans sa bibliothèque. Il faudra donc considérer mon score comme un score "collectif familial de la famille d'Artelise".

Mais euh.. la question 34... sérieux ! ??

Pierre de vie est un roman écrit par Jo Walton.
Il a été traduit de l'anglais.
Le titre original est : Lifelode. A noter que ce mot est un néologisme de l'auteur.
Le roman a reçu le prix "Fantasy Mythopoeic" - catégorie littérature adulte, en 2010.

Voici l'accroche que l'on peut lire en 4e de couverture sur l'édition française que l'on peut trouver chez les Edition Denoël :

Applekirk est un village rural situé dans les Marches, la région centrale d'un monde où le temps ne s'écoule pas à la même vitesse selon que l'on se trouve à l'est - où la magie est très puissante et où vivent les dieux - ou à l'ouest - où la magie est totalement absente. C'est la fin de l'été, et la vie s'écoule paisiblement pour les villageois. Mais le manoir va être mis sens dessus dessous par le retour de Hanethe, qui fut autrefois la maîtresse des lieux. Partie en Orient, elle y est restée quelques dizaines d'années. Mais, plus à l'ouest, à Applekirk, plusieurs générations se sont succédé. Ayant provoqué la colère d'Agdisdis, la déesse du mariage, Hanethe la fuit. Mais Agdisdis est bien décidée à se venger. Subtil roman de fantasy - prix Mythopoeic en 2010 -, Pierre-de-vie dresse le portrait de femmes simples et merveilleuses, d'une famille sans histoires mais singulière, confrontées à des changements qui les dépassent, dans un monde hors du commun.

Mon ressenti :
Au tout début, lors de la lecture du premier chapitre, on peut se sentir un peu perdu. Car l'univers dans lequel ce récit nous plonge parvient à nous paraître très familier tout en s'avérant rapidement étranger à tout ce que l'on connait. De la même façon, le rythme que Jo Walton a choisit pour nous raconter son histoire peut également nous déstabiliser. Et pourtant, rapidement, on se laisse happer par l'intrigue et le mystère qui se dévoilent peu à peu, et on se retrouve finalement piégé : soudain, on a peine à reposer le livre.
Il fait partie de mes plus belles découvertes littéraires de ce quelques dernières années.