L’Union européenne ne s’était pas cachée, il y a 4 mois, d’avoir commandé 900 millions de doses de vaccin Pfizer pour 2022 :
15% de cette commande est destinée à la France, soit 165 millions de doses...pour un pays de 67 millions d’habitants.
Et elles ne concernent qu’un seul fabricant !
Car l’Europe a aussi commandé 150 millions de doses de Moderna et aurait passé une commande sur 3 ans pour le Novavax.
Pourtant, le Directeur Général de l’OMS a averti : « aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie
à coups de doses de rappel (…) La vaccination doit rester axée sur la diminution des décès et des maladies graves ».
Les épidémiologistes nous avaient prévenu : vacciner massivement en pleine épidémie,
c’est favoriser la mutation du virus, l’apparition de variants et l’échappement immunitaire.
Pourquoi les gouvernements ne reviennent-ils pas à la raison au lieu de s’acharner dans cette course en avant vaccinale ?
Celle-ci est d’autant plus insensée qu’Omicron change la donne.
Il s'avère très contagieux, mais très peu dangereux, ce qui est normal pour un virus qui « s’adapte »
afin de contaminer le plus de personnes possible en en tuant le moins possible.
Des données écossaises démontrent qu’Omicron occasionnerait 3 fois moins d’hospitalisations que Delta.
En France, il y a proportionnellement beaucoup moins d’admissions en réanimation pour Omicron que pour Delta.
C'est donc Omicron qui pourrait nous faire acquérir l’immunité collective tant recherchée depuis près de 2 ans.
La vaccination de masse ralentit ce processus d’immunisation naturelle bien plus efficace qu'une immunisation artificielle.
Pour ma part, en attendant le vaccin Valneva, je m'appuie sur l’article R.4127-36 du code de la santé publique :
" le consentement de la personne soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade refuse les investigations et/ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences ".