Pour ou contre, la question n'est pas vraiment là.
De mon point de vue, si le gouvernement a laissé le choix au départ, c'est qu'il ne pouvait pas imposer la vaccination par manque de doses. En fait tout vient de là. Les laboratoires ont approvisionné en premier lieu les pays les ayant financé, puis les pays riches puis ... Bah osef des pauvres malgré ce que disent les gouvernements riches.
De plus, l'organisation a été particulièrement chaotique. La prise de rendez-vous est une bataille sans nom. De plus, pour les antivax, on a maintenant plus de 6 mois de recule pour voir qu'à court terme, en terme de santé c'est mieux avec le vaccin que sans. Pasteur, lors de son vaccin contre la rage, il a fait le taf et aujourd'hui personne n'irait remettre en cause les avancés que cela a apporté à notre mode de vie, pour notre santé et même le bilan de toutes les maladies "éradiquées" grâce à la vaccination (enfin certaines sont sur le retour avec le faiblissement de la vaccination des nouveau nés et oublie des rappels).
Le choix de laisser le choix par le gouvernement a plus été dicté par le fait qu'il n'avait pas les moyens d'imposer les choses (organisation, nombre de doses suffisantes) qu'autre chose. On ne parle pas de la communication désastreuse, mais quand on voit des société payer des YT pour discréditer tel vaccin ... Bref, beaucoup de choses sont allées de travers dans cette histoire. Ceci dit, il faut juste se rappeler que l'on vit actuellement une situation "historique" que l'on étudiera dans les manuels scolaire dans 50 ans.
Le système du passe sanitaire est une mesure soupape pour permettre à la population de décompresser après tant de sacrifices. Est-ce juste ? Probablement pas, mais si le gouvernement déclare un nouveau confinement, la population va péter les plombs. Donc c'est probablement la seule solution "mi-figue, mi-raisin" qu'ils ont trouvé pour répondre à la problématique.
Ouais, ça part dans tous les sens, mais j'avoue que j'ai un peu de mal à me dépatouiller avec mes propres pensés sur ce sujet entre l'éthique, l'intérêt personnel, l'intérêt publique, etc.