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@LeaPierce Ce qu'on peut souhaiter c'est surtout que les républicains se prennent une tôle aux élections de mi-mandat.

Tu peux visuellement pour l'enfant jeter quelque chose et le donner par la suite sans qu'il le voit.

La palette de punitions ou de declencheurs* est immense.
La difficulté, la seule réelle, c'est de gérer ses propres pulsions sur le moment. Et chaque parent a en général en tête toujours un moment où il a flanché.
Parce qu'un gosse ça sait en général bien comment te mettre hors de toi. Ça ce n'est pas quelque chose de perceptible avec les gosses des autres, c'est vraiment avec les siens. Et c'est là où être deux est un atout majeur.

Moi je suis plutôt longues explications avec logique implacable, c'est efficace. Après une grosse colère naturellement
Tu réunis la perte de temps de la punition, le rappel de ta position supérieure dans l'ordre d'autorité, l'explication nécessaire à la formation et le maintien du lien (le but étant d'obtenir un échange argumenté).

Bon moi les miens sont plus grands, on est sur des choses plus complexes.

*Parce que le but de l'action est d'infléchir un comportement pour qu'il ne se produise plus.

@Hilda-Van-Holp a dit dans Les Alpes françaises gagnent les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver en 2030 :

Mais à quel moment il a été dit qu'il ne faudrait pas compenser le coût du covid ?

Les aides, la gratuité c'était un prêt que toutes les entreprises (et les particuliers) remboursent là maintenant. Ca a été mis en place pour limiter l'effondrement et que nous puissions continuer à produire de la richesse. Là encore on peut voir ça comme un investissement.

Et c'est pareil dans tous les pays où des aides ont été fournies.

Je n'ai aucune étiquette politique, mais si il y a une chose que je sais c'est que ce qui t'es donné d'une main te sera reprise de l'autre.

Cela dit puisque vous avez décidé qu'on était pauvres (pffff) eh bien continuez à le croire. C'est pas vrai mais tant pis.

Ca ne me semble pas être là une problématique d'étiquette politique mais de définition des choses.

@Kallindra De la part de quelqu'un qui a perdu ses parents jeunes, ce n'est ni agressif, ni méprisant en fait.
Et c'est tout à fait compréhensible une telle réaction.

C'est juste pas la même vision des choses parce que l'expérience est totalement autre.

D'un côté il y a le manque, de l'autre le trop plein.
La perception de l'un ne peut permettre d'envisager l'autre de manière perspicace.

@peri D'autant que la fameuse scène fait fortement penser à la fin de fallen order.
Même base, même couloir, même issue...

@Kallindra a dit dans Vos réactions sur l'actu :

Avec nos socialistes, dans un puits sans fond.

Je pense aussi que nos forces politiques de gauche se sont arrêtés de parler aux français, mais c'est un autre débat.

@LeaPierce Nous, on ne jette pas mais dans un autre registre, j'ai détruit une étoile noire en légo pour faire comprendre qu'il fallait respecter les affaires et le travail des autres.

@kallindra
Au contraire, il est plus facile de s'élever quand on a rien que quand on a déjà tout.
Quand tu pars d'en haut, au mieux tu restes en haut.
Mais au delà de la boutade, ce n'est pas vraiment le sujet il me semble.

On parle de comportement (relatif notamment à sa propre santé) associé par déterminisme à la condition sociale.
Ça n'a que peut de rapport avec s'élever ou non dans l'échelle sociale.
On peut certainnement faire des liens de corrélation mais en faire des liens de causalité me semble plus délicat même si en partie cela doit pouvoir s'expliquer.

@Kallindra C'est pas si simple:" voir pour faire vendre la maison".

Ils peuvent faire plein de conneries sans pour autant être déclaré comme plus autonomes.

Non non, toute coïncidence avec une quelconque expérience est totalement fortuite.

Non mais ep3

Ep4

Ep5

Mais de qui se moque-t-on

@Cuillère C'est un cas typique de croissance externe par concentration de l'activité pour asphyxier les autres entreprises du secteur et améliorer les profits.

Après le bouleversement du secteur par l'arrivé des plateforme, le marché est mature.
Cela signifie qu'il n'y a plus de part de marché à prendre par croissance interne au moyen d'un business modèle innovant (comme ça a été le cas avec l'arrivée des plateformes).

Mais le grignotage de part de marché et la croissance s'est aussi faite au détriment de la rentabilité.

Donc maintenant, la stratégie est d'absorber en partie la concurrence pour dominer les marchés et retrouver des marges de profit grâce à une position dominante.

Ici c'est demain pour mon fils et jeudi pour ma fille.
Autant dire qu'ils sont encore en mode glandouille de fin de vacance

@marie-thérèse a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :

@jabba-the-hutt a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :

@marie-thérèse a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :

@peri a dit dans Ils osent tout, c'est à ça qu'on les reconnait :

Il suffirait juste pour beaucoup qu'ils stoppent la clope, freinent drastiquement la bouteille, et commencent à se mettre aux fourneaux au lieu de tourner au big mac ou à la pizza 7j/7. Ils y gagneraient et de l'argent, et quelques années de plus. Quant à se mettre au sport ? Allez ne grillons pas les étapes, une chose à la fois.

Oui, je sais, ça sonne "vieux con" d'aller dire ça. Mais c'est juste la réalité du terrain.

Ce n'est pas la peine de se victimiser. Moi et d'autres t'ont donné un point de vu social qui penche plutôt à gauche. Tandis que toi tu as une vison économique, plutôt de quelqu'un de droite.
Après la rationalité est dans les deux camps. À ton opposé, J'opte pour plus d'empathie afin de mieux cerner l'emprise psychologie des comportements à risques. Et par expérience professionelle je sais que l'impact du cadre social est déterminant sur les chances ou non de se sortir de ces comportements.
Tu penses que les pauvres ont choisi les comportements à risques car certains s'en sortent, comme tes potes. Et donc ils pourraient les abandonner facilement si ils choisissaient de le faire. Pour toi le facteur déterminant est "le choix". C'est juste un point de vue auquel je n'adhère pas du tout, trop simpliste à mon goût. Pour moi le facteur déterminant est la condition sociale.

Si on suit ton point de vue, la condition sociale s'imposerait à l'individu face au choix ou à sa volonté.
Cela voudrait alors dire que l'individu est trop faible pour garantir la bonne conduite de ses choix face à sa condition sociale et qu'il y aurait quoiqu'il arrive un déterminisme implacable.

Non tu as mal lu. Je dis que le facteur aggravant des comportements à risque est social. La condition de vie des personnes. Que le choix n'a que très peu d'impact.

Moi, j'ai rien contre le côté empathique de la chose, mais considérer les individus comme des êtres faibles soumis à un déterminisme de condition me gène un peu plus.

C'est toi qui considère qu'il y a des êtres faibles dans ton premier paragraphe. Ne me fait pas porter le chapeau de ce jugement ignoble.

Enfin, il me gène surtout dans les conséquences justificatrices de la démonstration.
A quoi bon luter pour aller vers le mieux puisque ma condition sociale me déterminer en tant qu'individu et comportements associés (bon ou mauvais d'ailleurs).
Ça déresponsabilise vachement l'humain face à ses choix tout de même.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas travailler sur soi pour changer certains comportement, comme celui par exemple de l' arrogance.
Je dis que certaines classes sociales, principalement les plus pauvres en ce qui concerne les comportements à risques pour la santé, s'en sortent moins bien. Je trouve ça totalement stupide d'expliquer ce fait parce que les pauvres l'ont choisi.

La vérité me semble être plus entre les deux.
Enfin, simple avis d'un autre vieux con

Oui entre deux chaises. Fait oser dire ça après 5 ans de Macroniste.

Je ne considère pas les individus comme potentiellement faible, pour ça que l'explication du déterminisme qui s'impose me gène.

De ce que je comprends, tu fais le constat mais pas d'hypothèse sur la cause alors. Ce n'est pas ce que j'avais compris de ton intervention.

Et je suis d'accord que le choix simple n'est pas suffisant à l'explication.

@Angelina-0 Règle de base, l'écrit n'est pas contestable.
Avec l'en, toujours laisser des écrits.

@peri Et puis surtout

Spoiler

Obiwan dans le vaisceau rebelle: "non mais il faut qu'on en finisse maintenant, aujourd'hui"
Obiwan sur la planète du duel:" je ferai mon devoir" #déjàvu
Obiwan après avoir défait Vador again:" Alors mon ami est vraiment mort "
Ok salut, à la prochaine

Mais putain mais....

On passera sur

Non effectivement rien ne va.

Mention spéciale au

@icescream Malheureusement ça va vite plus être le cas le matin. Et on va entrer dans le long tunnel de nuit
Je ne supporte pas cette période que je trouve vraiment nulle.

@Cynthia80 Il n'y a pas besoin de plus de règles dans notre société.
Il y en a autant qu'auparavant, certaines apparaissant, certaines évoluant, d'autres disparaissant, etc....

En revanche, elles doivent être connues, expliquées, comprises, appliquées et sanctionnées. C'est un travail d'ensemble et de longue haleine qui n'est plus vraiment à la mode cependant.
Il reste déterminant pour positionner socialement un individus. Et d'ailleurs, même ceux qui luttent contre ce système travaillent assidument à positionner correctement leur progéniture dans cette maitrise du corpus de règles.

De même, la façon de travailler sur ces sujets doit être expliqué et connue afin d'en maitriser le fonctionnement.

On peut considérer que c'est trop tôt pour des enfants en CP, on peut considérer que la méthode n'est pas bonne, que la façon de présenter la méthode n'est pas approprié, mais il faut bien à un moment ou commencer le processus. Notamment auprès d'enfant qui n'ont aucun repères.

Et non, une société ne peut pas fonctionner si des règles communes ne sont pas mises en place, connues, expliquées, etc...
Et toutes ces règles, elles ne sont pas maitrisées par génération spontanée.

https://www.santepubliquefrance.fr/docs/inegalites-sociales-de-sante-des-determinants-multiples

Ah, voilà un peu de grain à moudre.
Article fort intéressant basé sur des études française, anglaise etc...
On y distingue l'appréciation des causes comportementale, structurelle et sociale.
Et donc visiblement, le choix (puisqu'il était question de ça) c'est 1/3 du "problème"

Quand tu essais de trouver des chaussures pour ta femme en douce

Mais cet enfer, comment tu arrives à te décider bordel

@Cynthia80 RIP Jean Pierre Pernaut