Messages postés par Jabba the Hutt

@Marcel Si elle promène l'aspirateur en petite tenue, ça peut valoir le coup

@Mai-Tai Chacun ses faiblesses, moi c'est le pressing pour mes fringues pour le boulot.
Je ne supporte pas le repassage, par principe, je ne vais pas imposer à ma femme une tâche que je ne veux pas assumer donc.... pressing.

Ben c'est que du bonheur
De l'argent très bien dépenser.

@agathe J'ai suffisamment de femmes autour de moi qui aiment bien les voitures pour m'en convaincre.
C'est pas tout à fait la même passion, moins mécanique et peut être un peu plus "émotionnelle " mais c'est de la passion tout de même.

@agathe a dit dans Vintage classic cars :

Que des hommes soient émerveillés, pourquoi pas ?
Mais franchement, de tels monuments n'ont plus leur place dans le monde d'aujourd'hui. A part dans les musées ou en "tour de région" pendant l'été.

Après... 15 à 20L aux 100 km , sinon plus, ça donne à réfléchir pour la planète.

Sexisme ordinaire
Il y a en fait pas mal de femmes s'intéressent et aiment les voitures en général.

@Marcel Le mythe de Sisyphe en action

@Orabig C'est un holocron Sith en fait, c'est du copitage

@Cuillère Ah ça la maniaquerie, moi je suis identifié comme maniaque pour les voitures

En attendant, elle aime quand même bien avoir ses voitures toujours nickel.
Donc bon, les petits sobriquets faut parfois prendre un peu de distance.

C'est le genre de conflit que nous allons voir de plus en plus apparaitre dans la décennie qui vient avec le développement de l'IA un peu partout.

Et cela va toucher chaque domaine et sommité comme lambda indifféremment .
Les sommités résistent juste un peu plus longtemps sur la réputation.

Nous allons vivre comparativement, le même style de révolution que le monde industriel a vécu avec l'apparition de l'automatisation sur les chaines de production.

@LeaPierce Le temps gagné dans les phases de ménage est un motivateur puissant, surtout si tu n'aimes pas ledit ménage.

Pour le pour ou contre le personnel de ménage, il y a différentes écoles et je pense que chacune a ses arguments valables.

@pompon Sûrement, je n'en sais rien, nous ne nous sommes jamais, par principe, penchés sur la question.

@LeaPierce Pour moi, c'est pas le plus propre possible qui compte, c'est le plus en accord avec les attentes de chacun.
Et puis à un moment donné, tu te rends compte aussi qu'y passé ta vie, ça a une limite.

Une maison, ça vie de toute façon donc avec des enfants, des animaux etc.... forcément

Alors, tu peux toujours gérer au mieux des "sas de propreté" afin de garantir au mieux de contenir l'expansion de la saleté, mais forcément, quand il y a de la vie.
Tu peux aussi bosser au maximum l'organisation du ménage afin d'en augmenter le rendement. Mais ça a aussi une limite.

Après, il reste la solution de la femme de ménage

@Shanna Non, c'est effectivement plus fort en juillet/aout mais c'est un phénomène que je constate toute l'année et qui est en augmentation d'année en année.
Là ça sort parce que sur 5 trucs, pas un ne se passe comme prévu avec en plus des gens qui n'en n'ont rien à foutre genre on est à leur disposition...

Et le pire c'est que j'ai l'impression qu'une partie de la population s'y résigne genre c'est normal.

Et faut bien comprendre que j'ai rien contre le pauvre guss qui est face au client et qui doit annoncer que ça va pas le faire hein.
En tant que chef d'exploitation (que tu sois artisan, dans une PME, une grande entreprise, une administration etc...), si tu as de la charge de travail en prévision, c'est à toi de mettre le personnel nécessaire pour l'assumer, sinon tu fixes pas des rdv, des programmations d'opération, etc... etc... que tu ne peux pas assurer.

De manière générale, j'ai le retour d'expérience que soit tu fais les choses par toi même, toi t'es emmerdé à gérer des entreprises et des gens qui veulent rien foutre. Et là encore je parle pas des gens en bout de chaine hein.

Après, c'est aussi la déformation professionnelle qui parle.
Mais ça reste quand même hyper saoulant à la longue de voir que plus rien de tourne normalement ici bas.

@Louikatorz Etre craint et obéi ce n'est pas tout à fait pareil qu'être respecté.

@Louikatorz Dictateur botoxé d'une république bananière sacrée réincarnation

J'en ai raz le bol des entreprises de service ou autre qui n'assurent pas leur mission au prétexte qu'ils n'ont pas le personnel.
Tu as pris un rdv, tu t'es arrangé pour être dispo etc... et faut que tu gueules pour que ces entreprises assurent leurs engagements.

C'est devenu un véritable classique et ça touche vraiment tous les domaines. C'est juste insupportable.

Je l'ai vu.
Rien que pour les looks etc... ça vaut le coup
Bon après le film raconte une histoire qui n'est pas transcendante si on est pas fan de basket etc... mais ça se laisse regarder avec des moments assez fendards.

Et effectivement, si c'est 100% vrai, big up maman jordan

@Marcel Tu l'as mais tu es trop jeune effectivement

@Marcel D'ailleurs, il y a déjà longtemps on disait: gare au goriiiiiiiiiiiiiiille!

Tout s'explique

Toi tu files un mauvais coton.
Tu commences à sous entendre que les parents auraient une responsabilité dans la réussite de leur enfant.
Et pourquoi pas dire que Ciotti à l'air d'un mec sympa tant qu'on y est

La boutade passez, il y a vraiment effectivement un véritable avant et après.

Bien souvent l'après se défini par le fait qu'on a bien vécu (même si c'était artificiellement) un truc qu'on vivait comme une "contrainte" ou un désagrément.
Du coup après, ben on ne veut plus se l'infliger sans forcément imaginer les conséquences derrière.

Sur le boulot, j'observe chez les jeunes ingénieurs la volonté d'être le plus possible à distance.
Hors dans les métiers dont je parle, le contact, la présence (pas nécessairement à 100%) sont un vecteur de performance et de reussite énorme.
Certains sujets sont insolubles en distanciels et se solutionnent en 5 minutes en étant là.
Le réveil d'info est nul en distancié alors qu'il est énorme en étant sur place.
Etc...
On se retrouve avec des super techniciens (point d'offense aux techniciens ) et plus des cadres en développement.

Mais voilà, durant le confinement, on A quand même bosser en dégradé avec certaine réussite. Du coup il y a l'illusion que se serait possible à long terme.

@LeaPierce C'est pas une question de facilité à s'asseoir sur 17k€ avec facilité.

C'est surtout relativiser les choses.
Sinon, on deviendrait complétement fou.

Parce que si tu creuses un peu, pendant ce temps, on ne peut toujours pas non plus avoir la jouissance de notre bien (ce n'est pas qu'un manque à gagner, on ne peut pas vendre pour réorienter notre capital sur ce bien par exemple).
Bien pour lequel nous avons naturellement des frais (assurance etc...)
Bien que nous devrons bien évidemment restaurer l'année prochaine (en général dans ce genre d'histoire, tu récupères pas ton bien en bon état et nous savons déjà qu'il y a certaines détériorations)
bien qui dans le contexte immobilier actuel, perd en plus de la valeur (la baisse de l'immobilier est estimée entre 5 et 10% sur la prochaine année).

c'est donc bien plus que 17k€ de perte au final.
Doit facilement y avoir moyen d'arriver à une estimation de 40 ou 50k€ de perte par rapport au déroulement normal de l'investissement.

Mais, on fait quoi après?
Nous n'allons pas nous mettre hors la loi pour faire valoir nos droits.
On ne va pas non plus devenir fou pour un sujet du genre.

Il est nettement plus important quand même que ma femme voit sa santé s'améliorer même si on est moins "riche".
Même si on était dans la merde financièrement d'ailleurs (on a vécu toute genre de période dans notre vie).
L'argent reste un moyen, pas une fin.

Oui, je trouve particulièrement débectant le comportement de nos locataires.
Oui, j'ai trouvé les complaintes et mensonges devant le juge carrément gerbif . D'ailleurs, ça a été un grand moment...
Oui, ça me fou en rogne qu'on puisse utiliser le système au détriment d'autres qui le respectent et ça tranquillou bilou.
Oui, ça me fou en l'air parce que l'ensemble de nos investissements, c'est la sueur de nos fronts qu'on fait travailler et donc une partie de privation pour avoir mieux plus tard (nous ne sommes pas issu de famille avec du capital).
Oui, ça me fou en rogne parce qu'on pourrait faire plus pour nos enfants en temps normal.
etc...

Mais retourner tout ça sans cesse, c'est rester figer, c'est s'arrêter de vivre aussi, c'est la mort.
Et nous ne sommes pas comme ça. Ni moi, ni ma femme.
On traite, on avance en parallèle, on continue à vivre et on ira au bout.
On croit un peu moins en l'humain quoi...