Ahhhhhh j'adore Iron Maidon. La voix du chanteur est incroyable, les musiques sont géniales et pour beaucoup, vraiment travaillées. Même si on ne connait pas toutes les musiques d'Iron Maiden, on reconnait facilement l'univers, la voix etc.

Messages postés par Miliam
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RE: Iron Maiden
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RE: The Police
C'est un des groupes que j'écoutais quand j'étais adolescente. J'aime beaucoup la voix de Sting. Il ne fait pas partie de mes groupes préférés mais j'aime bien écouter de temps en temps. Every breath you take est une chanson que j'affectionne beaucoup.
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RE: Led Zeppelin
Le rock est un genre musical que j'aime particulièrement et le hard en fait partie. J'aime bien Led Zeppelin. Je ne suis pas au point d'être fan mais j'apprécie écouter des musiques de ce groupe de temps en temps. Quitte à chanter dans ma voiture les fenêtres ouvertes (oui je chante tout le temps dans ma voiture ah ah). J'aime bien l'univers du groupe et puis la voix de Robert Plant est juste incroyable !
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RE: The Beatles
J'aime beaucoup les Beatles
! Mes titres préférés sont : Here comes the sun, Yesterday, A Hard Day's Night... Difficile de choisir car j'en aime beaucoup !
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RE: Rencontre avec Joe Black (Meet Joe Black)
J'ai beaucoup aimé le film. Je ne suis pas fan de la romance mais j'aime bien l'histoire, les personnages. Le film est un peu lent mais je me suis laissée bercée et le questionnement sur la mort est intéressant aussi.
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RE: Quels sports pratiquez-vous ?
J'ai repris le Yoga et la musculation depuis hier.
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RE: Du mal a tourner à la page à cause d'une ancienne collègue
Coucou CarrySalt !
Quand je te lis, je ressens beaucoup de colère. Je ne suis personne pour te dire ce que tu as à faire par contre comme tu demandes conseils je te dirai que la vengeance n'enlèvera pas la souffrance que tu as en toi et qu'elle t'apportera des problèmes. Je comprends ta colère néanmoins je ne pense pas que la solution soit dans la vengeance, la violence. Je pense plutôt que la solution soit dans l'expression saine de ce que tu ressens : taper dans un sac de boxe, faire du sport, crier dans un coussin, écrire etc. En somme, prendre soin de toi plutôt que d'entretenir ta colère ardente. D'autant plus, je ne pense pas que te venger te permettra vraiment d'aller mieux, de te sentir mieux et comme te l'a très bien dit ton entourage, tu pourrais vraiment avoir de gros problèmes. C'est pour ça que les lois existent, c'est pour éviter les débordements.
Pour ma part, j'ai déjà eu des altercations et généralement ces personnes ne se trouvent pas dans la même ville mais dans des villages alentours. Toutefois, il est arrivé que je supporte pendant un an une ancienne amie qui a fait de nombreuses histoires malsaines et nous étions voisines de palier. J'ai eu des difficultés à faire le deuil de cette relation amicale depuis plus de 10 ans mais il le fallait. Il m'arrivait de parler toute seule, de ruminer dans l'appartement mais je pense que comme on étaient voisines, cela ne m'aidais pas à passer à autre chose. Je l'entendais arriver, j'entendais ses disputes récurrentes et violentes avec son compagnon, je la croisais etc. A partir du moment où je n'ai plus été voisine de palier, je n'ai plus ruminé ni pensé à elle alors que j'y pensais tous les jours quand nous étions voisines.
J'ai eu d'autres altercations, notamment avec un membre de ma belle-famille qui est intolérant, raciste etc. Tout ce qui n'est pas en accord avec mes valeurs. Ainsi qu'avec d'autres personnes plus intimes qui ont été très violentes et malsaines.
Je dirai que lorsque j'ai des altercations, déjà je bloque la personne si elle est mauvaise que ce soit sur les réseaux, par mail etc. Quand je fais un trait sur quelqu'un c'est radical. Ensuite, je me mets en position pour comprendre la situation dans sa globalité. C'est-à-dire ne pas qu'entendre mon point de vue en boucle mais surtout comprendre ce qu'il m'arrive, comprendre mes pensées et ce que ça vient toucher en moi (mes besoins, mon passé etc.) et aussi comprendre l'autre. Je me mets à la place de l'autre. D'ailleurs, ce n'est pas un exercice mental évident surtout quand on est en colère et donc qu'on est pas en disposition de comprendre, voire qu'on ne veut pas comprendre parce que y'a rien à comprendre (alors que si). La colère aveugle et ne permet pas d'y voir clair. Et je me suis aperçue que plus je me mets en position de compréhension de l'autre, plus je m'apaise intérieurement et moins j'en ai quelque chose à faire de ces personnes. Attention, comprendre ne veut pas dire excuser ! Cette compréhension permet de voir les choses autrement, de lâcher prise au fur et à mesure, de prendre de la distance et du recul.
J'ai remarqué que la majeure partie des gens qui ont été maltraitants à mon égard étaient malheureux dans leur vie et avec eux-mêmes. Je vois la vie de mon ex-amie, sa relation avec son copain... je trouve ça plutôt triste en fait. Triste qu'elle ne soit pas heureuse alors emmerder les gens est un échappatoire temporaire qui ne lui fait plus penser à sa vie qui ne lui convient pas plutôt que prendre une décision qui lui permettrai de vivre vraiment sa vie comme elle l'entend. Je ne vais pas raconter sa vie mais j'ai compris certaines de ses réactions dont le fait que j'ai su prendre des décisions pour me protéger, évoluer etc. et les mettre en acte dans ma vie. Choses qu'elle n'a jamais su faire et je pense qu'elle était jalouse. Elle voulait que je reste dans la même barque qu'elle, c'est-à-dire avec un mec toxique qui ne me respecte pas.
Comme tu l'as dit à cette collègue : il faut accepter les gens comme ils sont. Et, ce, même quand ont voit leurs côtés négatifs. Cela ne veut pas dire accepter ce qu'ils nous ont fait, mais cela permet aussi de passer à autre chose. De vivre notre vie dans le présent et non un passé que l'on entretien.
En résumé, quand j'ai ce genre d'altercations violentes et qui laissent des marques voire traumatisent je mets en place plusieurs choses :
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Je prends soin de moi c'est-à-dire de mon corps et de ma tête. Je me repose, je fais du sport pour évacuer ou trouve un truc qui me correspond pour évacuer ma colère. J'en parle aussi à des personnes de confiance.
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Je travaille sur moi-même. Par exemple en me demandant qu'est-ce-que ça vient questionner chez moi, qu'est-ce qui se rejoue, qu'est-ce que ça vient toucher chez moi, pourquoi j'ai ces pensées, pourquoi je n'arrive pas à passer à autre chose etc. Je travaille ma confiance/estime de soi si elles sont atteintes par exemple. Je lis des bouquins, regarde des vidéos sur la colère ou d'autres sujets qui peuvent être en rapport avec ce que je vis. Ce qui me permet aussi de me comprendre mais aussi de comprendre l'autre, de voir les nuances de la vie que n'apporte pas la colère.
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Je cherche à comprendre la situation dans sa globalité et pas que sur mon seul point de vue qui est subjectif. Je me demande aussi qu'est-ce que j'en ai appris ? Quelles leçons j'en tire ? Le but est de se détacher de la colère, d'aller au-delà parce que justement la colère aveugle et ne permet pas d'y voir clair. Le but est justement d'y voir clair, d'aller au-delà de mes jugements personnels qui ne me font pas avancer mais stagner voire peuvent parfois faire régresser.
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Je cherche à comprendre l'autre (en évitant de juger le plus possible) de par ce que je sais de lui (situation, vécu etc.). Cela me permet de me rendre compte qu'à chaque fois ce sont des gens frustrés, profondément tristes qui n'ont pas encore ou n'auront jamais les outils pour résoudre leurs problèmes psychologiques, de vie etc. Cela ne veut pas dire de se lamenter sur leur sort mais de ne pas prendre les choses personnellement et que mon angle de vue est autant subjectif que celui de la personne qui m'a fait du mal. Que les gens font en fonction de leur passif, ce qu'ils ont vécus, de leurs outils (si ils ont été élevés durement ils ont sûrement des outils cassés surtout si ils ne se sont pas fait aider comparé à d'autres) etc. Et donc que y'a des personnes qui ne sont pas à notre niveau de compréhension des choses, du monde etc., parce qu'elle n'y ont pas accès et certaines personnes n'y auront jamais accès.
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Cette compréhension de la situation ainsi de l'autre me permet de prendre du recul, d'évoluer psychologiquement, d'apprendre beaucoup de choses sur l'autre aussi bien que sur moi et finalement d'être en paix avec moi-même. De lâcher prise, de ne plus me prendre la tête sur certains points et de vivre ma vie dans le présent. Et aussi, de ne pas garder le cadeau empoisonné que la personne m'a laissé.
Par exemple, une des leçons que j'ai tiré d'une personne malveillante, c'est qu'elle était décédée en étant seule et malheureuse sans avoir pris conscience de ses problèmes, de l'impact de ses comportements sur les siens etc. En somme de ne pas avoir pris conscience de choses qui lui aurait peut être permis de vivre une vie meilleure et plus apaisée. Mais plus personne ne lui parlait tellement elle causait des problèmes. Et bizarrement, après tout le mal qu'elle a fait, j'ai eu une certaine compassion. J'ai trouvé sa situation triste. Triste qu'elle soit morte toute seule sans jamais avoir fait d'efforts (aller voir un psychologue, travailler sur elle-même) pour être bien dans sa vie et avec les autres, triste qu'elle n'ai finalement été jamais vraiment heureuse dans sa vie et qu'elle était vraiment torturée. Car, il ne faut pas se leurrer, faire du mal aux autres et que ce soit bien encré dans sa vie... c'est que la personne a vraiment un problème et est en souffrance pour se comporter ainsi. J'ai appris des choses graves qu'elle a vécue et j'ai ressenti de la peine pour elle, j'ai aussi compris des choses. Cela ne veut pas dire que j'excuse ce qu'elle a pu me faire à moi comme à d'autres, mais en fait, ça me permet d'aller de l'avant, d'être plus légère et surtout en paix. Et surtout de me dire que je ne veux pas finir comme elle.
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RE: Bernard Werber
@LeaPierce
Je l'avais entendu en parler lors d'une interview trouvée sur Youtube.
Merci @Kallindra!
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RE: Bonnet de nuit
@Carl_Jung
Je ne sais pas, je n'ai pas encore testé. Je suppose que non car quand je fais mon henné que je pose toute la nuit, je dors avec une serviette autour de mes cheveux et ça ne m'empêche pas de dormir. Alors je suppose qu'un bonnet de nuit ou foulard doit être plus agréable. -
RE: Bonnet de nuit
@Carl_Jung
Oui c'est ça. Après j'aime bien ceux présentés par Ayamé.@ayamé
Ah oui ! Un foulard ça peut être intéressant aussi ! Je voulais m'en trouver un lorsque j'ai les cheveux un peu gras histoire de tenir un jour de plus. -
RE: Bernard Werber
Un de mes auteurs préférés. J'adore son style d'écriture très fluide où on voyage facilement, les univers qu'il crée sont très intéressants. Je trouve qu'il est vraiment brillant (en sachant qu'il a écrit les fourmis lorsqu'il était adolescent) car ses livres amènent plusieurs dimensions de réflexion. Je pense que c'est un auteur vraiment unique en son genre doué d'une grande sensibilité et subtilité.
J'ai lu : Les fourmis, les thanatonautes, l'empire des anges, nos amis les humains, le livre du voyage, l'encyclopédie du savoir et absolu, le père de nos pères... j'en ai d'autres de lui que je n'ai pas encore lu dont la prophétie des abeilles, le miroir de cassandre, demain les chats etc.
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RE: Bonnet de nuit
J'aimerai bien me trouver un bonnet en soie car apparemment ça protège les cheveux à tendance grasse et ça évite qu'il régressent trop vite.
Après j'avoue que je ne suis pas fan d'un bonnet de nuit, je n'en vois pas vraiment l'utilité vu que j'ai la tête enfuie sous la couette quand je dors (il faut imaginer un sarcophage)
. En tout cas, personnellement, je n'en aurai aucune utilité. Après peut être que d'autres oui.
Edit : après avec la baisse de chauffage annoncée par le gouvernement, c'est sans nul doute une très bonne idée.
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RE: C est quoi le but de votre vie ?
Être heureuse. Je le suis déjà en partie mais je pense que je le serai lorsque j'aurai rendu mon mémoire cette année. Je pourrai enfin passer à autre chose et démarrer une nouvelle vie.
Ensuite je dirai que j'aimerai apprendre un maximum de choses avant de mourir au travers des livres, des voyages, des instruments de musique, de rencontres etc.
Puis, je dirai de vivre selon un mode de vie qui me convient et que pour l'instant, vu ma situation je ne peux pas encore y songer pleinement (je le fais à un petit degré) : un peu de minimalisme, plus de produits sains, des vêtements dont j'ai besoin et éthiques, faire des soins (massages en instituts notamment), écrire un livre etc. Pourquoi pas m'engager dans l'écologie par la suite ou devenir professeur de Yoga en plus de mon travail. Je ne sais pas encore. Mais une chose est sûre, je veux me détacher un maximum du capitalisme et de ses retombées (notamment psychologiques). Pourquoi pas avoir une maison perdue dans la forêt ou à côté d'un lac.
Enfin, continuer à me remettre en question, évoluer, me questionner pour avancer psychologiquement afin d'atteindre d'autres degrés de conscience.
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RE: Vos coups de cœur
Je joue à Disney Dreamlight Valley et honnêtement j'aime bien. C'est reposant. Un jeu style Animal Crossing.
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RE: Idée salade
@Niko
Merci du partage !Ce que je fais en ce moment c'est raviolis + feuilles d'épinards + Boursin + tomates cerises.
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RE: Comment surmonter la dépression ?
Coucou Balaka,
J'ai fait un burn-out qui est devenu une dépression durant deux ans. Je ne pensais pas que j'en ferai une vu ma personnalité, comme quoi personne n'est immunisé contre la dépression, ça peut arriver à tout le monde. Ma dépression était sévère et pas chronique mais je peux comprendre tes ressentis. Parce que dans tous les cas, les symptômes et comment on vit les choses, ça se rejoint beaucoup. C'est dur de se lever le matin quand les autres ont une batterie (un peu comme une batterie de téléphone) à 90-100% tandis que toi, ta batterie est à 5% et tu dois faire avec toute la journée. Que tu n'as envie de rien mis-à-part rester dans ton lit. Même rester loin des autres fait du bien car rien qu'aller dans un magasin c'est une épreuve ou passer quelques soirées mais pas plus parce que c'est fatiguant. Surtout quand parfois t'as des gens qui ne comprennent pas alors là c'est pire.
Se concentrer rien que pour apprendre ses cours, c'est une épreuve. Je me souviens j'apprenais 20 minutes, je dormais plus d'une heure. Je pensais à la mort tous les jours surtout que j'habitais pas loin d'un canal alors je me disais un coup de volant et c'est fini. Je me flagellais en permanence. Mais y'a une petite voix, encore plus profonde que celle qui était méchante avec moi et ne me faisait pas avancer, faisait que je restais vivante et que je continuais à me battre.
Cette petite voix qui était vraiment toute petite, était à cheval sur mon traitement (antidépresseur) et mes séances chez ma psychologue. Ou était encore une petite lueur d'espoir. Que rien n'était perdu.
J'avais cette impression de ne jamais pouvoir m'en sortir et pourtant, je considère depuis novembre dernier que je m'en suis sortie. Je dirai, de par mon expérience (qui n'est pas une vérité générale) que ce qui m'a aidé à m'en sortir c'est :
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Un traitement que j'ai tenu jusqu'au bout,
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Un suivi psychologique assidu et donc maintenu dans le temps. Même si y'a des améliorations sur le court terme pendant une période, chacun avance à son rythme. Arrêter un suivi c'est aussi prendre le risque de casser le processus de soin (qui prend du temps selon les personnes) et de mieux être.
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Écrire un journal où je notais ce que je faisais dans la journée même si ce n'est pas grand chose, mes pensées, trois qualités que je me trouvais, une citation inspirante. Écrire m'a permis de prendre du recul, de comprendre mon évolution au fil des mois... Je me décrivais, ma personnalité etc. Alors au début, y'avait pas grand chose, mais au fur et à mesure ça s'étoffait.
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Bien m'entourer : personnes bienveillantes, compréhensives, soutenantes qui ne font pas de problèmes. J'ai fait un tri car j'ai connu des personnes qui m'enfonçaient plus qu'autre chose. Donc les personnes qui m'enfoncent bah ça dégage.
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Réapprendre à me connaître car je ne savais plus qui j'étais, je ne savais pas décrire ma personnalité mis-à-part dire que j'étais gentille. Pour ça, je me renseignais sur le sujet. Qu'est-ce que je pouvais faire pour plus me connaître ? Trouver des livres sur le sujet, raconter mon histoire de vie à l'écrit, demander à mes amis et ma famille (personnes bienveillantes et de confiance) comment ils me décriraient etc.
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Prendre soin de moi : faire du sport (j'ai mis longtemps à m'y mettre mais j'ai fini à y arriver notamment en faisant du Yoga), prendre soin de mon corps (avec des huiles, automassages, coiffures, maquillage, soin de la peau).
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Lire des livres : de développement personnel, de témoignage. Je prenais ce qui pouvais m'aider au niveau de ma dépression mais aussi sur ce que je devais améliorer chez moi : confiance, estime, amour de soi par exemple.
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Mieux me parler : je me disais que j'étais nulle, que je n'arriverai à rien, que j'étais bonne à rien etc. Sauf que ça, c'est la voix méchante de la dépression, ce n'est pas la réalité. Et j'ai travaillé dessus pour me parler avec bienveillance en tenant des propos qu'on dirait à un enfant, son meilleur ami.
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Prendre confiance en moi : faire du sport (Yoga, muscu etc.), faire une to do list raisonnable de temps en temps et pouvoir observer qu'avec le temps j'arrivais à la finir, lire des bouquins sur le sujet, faire des exercices en répondant à des questions permettant de mieux me comprendre.
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Écouter des podcasts et regarder des vidéos Youtube, reportages... sur la dépression pour mieux comprendre son fonctionnement, et du coup m'aider à prendre du recul. Pas visionner du contenu négatif à souhait, mais des contenus objectifs qui permettaient de comprendre la dépression et donc de mieux comprendre mon état.
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Ne pas m'embourber dans la dépression : alors quand je dis ça, c'est plutôt ne pas lire, consommer des vidéos et témoignages qui ne me permettent pas d'avancer et qui ont plutôt tendance à m'enfoncer. Pour te dire, j'ai été sur un forum avec des personnes dépressives. Au début, j'étais contente car je me sentais comprise mais au bout d'un certain temps, ça m'enfermait plus dans la dépression voire m'enfonçait plus qu'autre chose.
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Accepter d'être malade : je n'acceptais pas mon état. Il fallait toujours que je fasse telle ou telle chose, comme si je n'étais pas malade. Sauf que si, j'étais malade. La dépression est une maladie grave et invisible, c'est pour ça qu'elle n'est pas aussi bien comprise qu'une personne qui a une maladie qui se voit physiquement. Cela ne veut pas dire se conforter dans la maladie, mais simplement accepter que je ne peux pas avoir le même rythme que les autres.
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Aller vers ce qui me fait du bien et donc me reconnecter avec mes envies : Yoga, lire, marcher en forêt etc. En fait, j'étais dans le flou total. Comme si j'étais dans le noir avec une boussole à peine éclairée et que je devais trouver mon chemin. Dès que la boussole scintille ou pointe un endroit, hop j'y vais. J'ai envie de peindre, je le fais. J'ai envie de lire, je le fais. J'ai envie de regarder un film ou une série, je le fais. J'ai envie de jouer à un jeu vidéo, je le fais. J'ai envie de manger tel truc, je le fais. J'ai envie de me faire masser, je le fais. J'ai envie de voir mes amis, je le fais. J'ai envie de téléphoner à un ami, je le fais et si il n'est pas disponible c'est pas grave je réessaye quand il le sera. J'ai envie de faire du scrapbooking, je le fais. J'ai envie de dessiner, je le fais etc. Au début, je n'avais pas envie de grand chose. Rien à vrai dire. Mais j'ai fini par m'écouter. Dès que j'avais envie de faire un truc, j'y allais. Alors bien sûr, l'envie de se jeter dans le canal on va éviter hein. C'est l'envie de faire des choses qui nous font du bien, qui sont agréables, pour lesquelles on a du plaisir etc.
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Écouter cette petite voix bienveillante : celle qui te fait te raccrocher à la vie.
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Apprendre à gérer mes émotions : notamment en me renseignant sur les émotions, leur rôle, pratiquer la méditation, des exercices de respiration etc. Parce que je faisais des crises d'angoisses. J'avais jamais connu ça avant d'être en dépression.
C'est quelques outils et solutions que j'ai trouvés mais ils ne sont pas universels. Peut être qu'ils pourront t'aider. En tout cas, je te souhaite vraiment de sortir de ta dépression. Je me souviens à quel point c'était difficile à vivre. Mais on peut s'en sortir. Des personnes ont réussi dont moi. Tu peux y arriver. Cela prendra le temps que ça prendra, personnellement ça a pris deux ans mais y'a des personnes c'est plus de temps et d'autres moins. Chacun son rythme. La meilleure façon d'évoluer n'est pas de se comparer aux autres mais à soi même. Courage, tu as tout mon soutien !
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RE: YouTube dans la tourmente
Y'avait déjà eu des soucis comme ça avec certains Youtubeurs français. Je sais que Mastu s'était plein qu'à chaque fois qu'il postait une vidéo il était démonétisé peu de temps après sans aucune raison. Le joueur du grenier en a parlé aussi. C'est un autre sujet mais pour dire que les problèmes avec Youtube ne datent pas d'hier.
Je ne sais pas si il est clairement question de racisme pour la situation que tu décris. J'avais vu un reportage intéressant qui parlait des gens derrière Youtube qui traitent je ne sais combien de vidéos par jour (violence et j'en passe). Alors soit ça relève de l'erreur humaine (ce qui peut être plausible), soit ça relève de quelque chose dont je n'ai pas connaissance et c'est sûrement le cas aussi. Après, quand tu sais que tu as du contenu porno voire pédophile sur Youtube (souvent facilement accessible)... y'a de quoi se poser des questions.
Merci du partage, je n'étais pas au courant et c'est intéressant !
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RE: Faut-il légaliser l’euthanasie en France ?
@ayamé
Oui, je t'avoues que je ne comprends pas pourquoi on perds du temps là-dessus. C'est une évidence. -
RE: Faut-il légaliser l’euthanasie en France ?
Oui clairement. Dans plusieurs pays dont la Belgique c'est autorisé et très cadré.
En 2002, l’euthanasie a été dépénalisée en Belgique, sous certaines conditions. Ces conditions ont été revues en 2014 en vue d'étendre l'euthanasie aux mineurs. Pour entrer dans la cadre de la législation belge, le patient pouvant demander une euthanasie doit répondre à plusieurs conditions : * Patient majeur ou mineur émancipé, capable ou encore mineur doté de la capacité de discernement et conscient au moment de sa demande * Demande volontaire, réfléchie et répétée sans pression extérieure * Patient majeur ou mineur émancipé dans une situation médicale sans issue, qui est dans un état de souffrance physique ou psychique constante et insupportable ; qui ne peut être apaisée et qui résulte d’une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable * Patient mineur doté de la capacité de discernement dans une situation sans issue, qui est dans un état de souffrance physique constante et insupportable ; qui ne peut être apaisée, qui entraîne le décès à brève échéance et qui résulte d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable. Le médecin doit remplir plusieurs obligations envers le patient, ses proches, l’équipe soignante, et doit contacter un autre médecin. Dans le cas d'un patient mineur non émancipé, un pédopsychiatre ou un psychologue doit être consulté en précisant les raisons de la demande. La loi belge autorise dans certains cas d’euthanasier des patients hors phase terminale moyennant des conditions supplémentaires. L’euthanasie est un acte médical. Toutefois, le médecin n’est pas obligé de pratiquer une euthanasie, mais doit en informer son patient et transmettre le dossier à un autre médecin en vue d’assurer la continuité des soins. Après l’euthanasie, le médecin doit remettre un document d’enregistrement (document pour patient mineur) à la Commission Fédérale de contrôle d’évaluation.
Source : https://www.soinspalliatifs.be/euthanasie.html