@Orabig "Tout simplement", on peut considérer que tu as résolu l'énigme surtout. Difficile en effet de trouver l'exacte phrase publiée sur le timbre, mais c'était bien qqchose qui pouvait être pris comme un message pas très flatteur.
En 1981, le service postal américain a émis un nouveau timbre, qui a obtenu pour sa promotion son propre article dans le New York Times et une page entière dans le Wall Street Journal.
Voici à quoi il ressemblait :
On pourrait traduire le texte par : "L'alcoolisme, on peut / tu peux le battre / en venir à bout !".
Je ne sais pas comment c'est possible que personne dans la team marketing n'ait réalisé avant l'émission de ces 97 millions de timbres que le slogan était hyper maladroit pour ce type de produit. Sur un poster, pourquoi pas, mais pas sur un timbre… (Il pourrait aller dans le topic "conception discutable" celui-là ! )
Ce timbre collé sur une enveloppe, le message au destinataire semblait être, au choix :
soit "j'ai remarqué que tu buvais pas mal, tu es sans doute alcoolique, laisse-moi t'aider",
soit "perso j'ai vaincu mon problème d'alcool, comme quoi quand on veut".
L'ironie de l'affaire c'est que l'idée derrière le slogan était bien sûr de lutter contre la stigmatisation des alcooliques (je rappelle que ça se passe en 1981), il fallait faire évoluer les esprits, amener les gens à arrêter de considérer les alcooliques comme des tarés faisant des choix amoraux, et à comprendre qu'ils souffrent d'une vraie maladie.
C'est pas mal l'effet inverse qui s'est produit : les gens ne voulaient ni passer pour des alcooliques, ni suggérer que les destinataires de leurs courriers l'étaient.
J'ai une grippe àlak. Voilà ce que c'est que d'avoir cédé au "protocole sanitaire niveau socle" (zéro restriction, pas de masque, vas-y que je te brasse les masses/miasmes). J'étais toute contente de plus porter le masque h24 au boulot, mais malgré les précautions pour pas s'approcher des élèves, il a fallu seulement 15 jours pour qu'on ait tous la crève (oui parce que je suis pas la seule).
Seul point positif : c'est pas le covid (j'ai fait un test en pharmacie, toujours aussi agréable mm).
Enfin les symptômes restent extrêmement pénibles. Et me voilà de nouveau obligée de porter un masque.
Ça ne finira donc jamais
Principe du jeu :
Chaque participant inscrit a reçu une phrase secrète que je lui ai imposée. Chaque phrase est unique et un peu insolite. Le joueur va s'appliquer à publier cette phrase, quelque part sur le forum, avec une certaine nonchalance, c'est-à-dire idéalement au cœur d'une conversation, de la manière la plus cohérente possible, comme s'il s'agissait d'un message tout à fait banal qu'il aurait pu dire lui-même sur le forum.
Le jeu consiste pour tous les membres du forum (participants ou non) à essayer de dénicher les phrases insolites publiées parmi les posts publics habituels sur Popcornfr.
Un système de points particulièrement ingénieux permettra de récompenser : les joueurs qui auront réussi à caser leurs phrases sans être repérés, et les membres enquêteurs qui auront su faire le tri et trouver les phrases insolites.
Les participants vont publier leurs phrases sur le forum, en dehors de la partie VIP, entre ce vendredi 17 mars à 0h01 et samedi 18 mars à 23h59. Toute phrase insolite publiée en dehors de cette limite temporelle est hors-jeu.
La phrase peut être intégrée à l'intérieur d'un post, avec des choses écrites avant et/ou après.
(Quelques exemples de phrases insolites, évidemment différentes de celles du jeu en cours.)
Les phrases sont, comme leur nom l'indique, des phrases. Ce ne sont jamais de simples expressions sans verbe. Par ex. : ça ne peut pas être "fier comme un waker"; par contre ça pourrait être "j'étais fier comme un waker".
Tous les membres du forum peuvent enquêter, jusqu'à dimanche (19 mars) 19h, heure qui sonnera la fin du jeu.
Récap des périodes :
Vendredi 17 mars à 0h01 – début du jeu, les participants peuvent publier leurs phrases, tout le monde peut enquêter
Samedi 18 mars à 23h59 – fin de la publication des phrases, mais tout le monde peut continuer d'enquêter
Dimanche 19 mars à 19h – fin des enquêtes.
Comment jouer ?
Lorsque vous avez des soupçons sur une phrase lue sur le forum, postez ici (dans le topic où nous sommes) votre proposition sur le modèle de post suivant : "je pense qu’Untel devait placer la phrase : « … », publiée à [tel endroit sur le forum]" (donnez le lien idéalement).
Merci de respecter cette formulation et de la poster ici publiquement. Ne m’envoyez pas vos soupçons par MP, ils ne seront pas pris en compte et je n'y répondrai pas.
IMPORTANT: Les participants ne doivent en aucun cas valider ou non les propositions des enquêteurs. Personne ne saura s'il a bien détecté une phrase immédiatement, cette révélation ne sera faite qu'à la toute fin du jeu.
Vous êtes vivement encouragés à multiplier les hypothèses, sans limite. Si vous tombez juste, vous gagnerez des points ! (donc même un "non-participant" peut gagner le jeu) Et si vous vous trompez vous n'en perdrez pas (en revanche chaque hypothèse erronée rapporte 1 point au participant visé).
Si une hypothèse est publiée à l'identique par plusieurs enquêteurs, et qu'à l'issue du jeu on découvre qu'elle était correcte, c'est le premier popcorner qui l'avait publiée qui remportera les points de la découverte.
Enfin, je précise qu’en tant qu’animatrice je ne participe pas au jeu, donc il ne faut pas fonder une quelconque réflexion sur mes posts ou mes likes sur le forum : si d’aventure je likais des posts contenant des phrases insolites, ce ne serait évidemment pas à cause de la phrase bien placée; et si je participe à des conversations qui soulèvent vos soupçons, ce ne sera jamais dans le but d'aider un joueur à placer sa phrase. En clair : mes agissements sur le forum ne constituent pas des indices.
Tous les membres du forum peuvent enquêter et gagner des points. Les membres non-participants partent avec un score de 0.
Les scores obtenus et les solutions (phrases insolites et où elles ont été casées) seront publiés à l’issue du jeu.
Orabig avait raison en imaginant un croque-mort "à la Lucky Luke"... La solution a été trouvée quasi entièrement par Artelise !
L'histoire se passe à Kansas City, dans les années 1880. Almon Strowger ("Tom") découvre que la femme de son concurrent travaille en tant qu'opératrice téléphonique.
À l'époque, lorsque quelqu'un voulait passer un appel téléphonique, il parlait d'abord à un opérateur qui le mettait ensuite en relation avec le correspondant désigné.
Pour Strowger cela ne fait aucun doute : à chaque fois qu'un potentiel client demande à être connecté par téléphone à son entreprise de pompes funèbres, la femme de son concurrent triche et le connecte au téléphone de son mari à la place. Et hop, les soussous dans la popoche.
Avouons que le stratagème, bien que frauduleux, était malin !
Mais évidemment pour Strowger on doit y mettre un terme. L'homme développe une haine viscérale pour les opérateurs téléphoniques et se met en tête de mettre fin une fois pour toute à ce système de transmission qu'il juge défaillant car beaucoup trop soumis à l'erreur ou à la malhonnêteté humaines.
Strowger étant inventeur à ses heures perdues, il développe alors le concept du commutateur téléphonique automatique, permettant aux appelants de se contacter directement, sans passer par un intermédiaire humain. GG !
ah mince je considérais que ça faisait 2 mots moi (enfin ça en fait bien 2 en anglais, mais j'ai compté pareil en français...)
De bonnes idées de tous, mais c'est @agathe qui a vu juste !
Septembre 2011, Dartmouth (Canada). Kevin Keating remarque que plus aucun courrier n'est livré chez lui. Il pense d'abord que son courrier est volé, mais finit par téléphoner aux services postaux. Une semaine plus tard il reçoit la note manuscrite suivante :
"spider webs" ("toiles d'araignées"). Point final.
Ces mots étaient écrits par le facteur habituel, qui refusait simplement de livrer le courrier de Kevin parce qu'il y avait des toiles d'araignées en travers de l'allée menant à la boîte aux lettres. Comme Kevin n'utilisait pas cette allée particulière pour sortir ou rentrer chez lui, il n'avait pas remarqué les toiles d'araignées.
(Au final il les a balayées et le facteur a consenti à revenir livrer le courrier…)
Mars 2013, à Astrakhan en Russie.
Alexander Kuptsov, 25 ans, officier de l'armée russe, voulait se remettre avec son ex-petite amie lycéenne de 17 ans… (Déjà ce début de scénario, même sans prise d'otageles calculs sont pas bons Kévin.)
Alexander a donc décidé de déployer toute son expertise militaire pour concocter un plan brillant ayant pour unique but de raviver la flamme de l'amour dans les yeux de sa belle.
Armé d'un pistolet et d'une bombe factices, il a pris d'assaut la salle de classe de sa petite amie, prof et élèves inclus dans la prise d'otages.
Il pensait sincèrement éblouir son ex avec cette démonstration de force : selon son plan huilé elle lui tomberait forcément dans les bras et ils repartiraient tous les deux vers l'horizon flamboyant.
Étonnamment la fille ne s'est pas montrée intéressée, ce qui a tellement déstabilisé Alexander que la seule demande qu'il a pensé à faire à la police fut : "une pizza et un Sprite". (Plus tard il a finalement ajouté à cette rançon une voiture et une petite somme d'argent, réalisant sans doute qu'il n'aurait plus trop de choix que de tenter de fuir, tout seul du coup).
Finalement la police est parvenue à l'arrêter dans le lycée, et personne n'a été blessé dans l'histoire (à part l'ego d'Alexander).
@Hornet Quand on prend les précautions que tu indiques, effectivement ça change rien de mettre un nom sur la crève qu'on a. Par contre oui, le seul détail qui me semble intéressant à connaître c'est si c'est très contagieux ou pas (covid = oui).
On a eu plusieurs cas de tuberculose* dans mon bahut l'an dernier, et tous les élèves et personnels qui avaient été en contact avec les malades pendant + de 8h (donc énormément de monde, dont moi) ont dû passer une radio des poumons + analyse sanguine. Quand l'infirmière nous a annoncé ça on a tous un peu flippé mais le premier truc qu'elle a dit après c'était "c'est pas du tout aussi contagieux que le covid" et perso ça m'a rassurée.
(et pour la petite anecdote, une élève qui avait la tuberculose était assise en classe à 50cm de moi, c'est quasi-sûr que si elle avait eu le covid je l'aurais eu aussi)
Bref, la contagiosité ça a du sens, voilà donc l'intérêt de savoir de quoi on souffre. Mais c'est sûr que si on s'isole un minimum et qu'on tousse pas sur les autres, bon, ça n'embête personne de pas savoir exactement quel virus on a ramassé.
la tuberculose steuplaît, cette maladie du moyen-âge
J'adore le fait qu'un objet pareil (tout comme la plupart des logos et autres trucs qu'on a postés avant) est forcément passé entre des tonnes de mains avant d'être réellement fabriqué, et que personne n'a vu de problème...